01:00
Beethoven - Fidelio, Op. 72
Fidelio (dont le titre original était « Leonore, oder Der Triumph der ehelichen Liebe », ce qui signifie « Leonore ou le triomphe de l’amour marital »), op. 72, est le seul opéra de Ludwig van Beethoven. Ce film d’opéra créé en 2018 au Theater St. Gallen (Suisse) s’appuie sur la célèbre production par Jan Schmidt-Garre de Fidelio de Beethoven. Otto Tausk dirige le Sinfonieorchester et les chœurs de St. Gallen, de même que de merveilleux solistes dans les décors magnifiques de Nikolaus Webern. Les créateurs du film ont minutieusement filmé et monté plusieurs performances, en plus d’intégrer des séquences supplémentaires mettant en vedette la soliste Jacquelyn Wagner (Leonore). Une captivante production scénique enrichie et transformée en une expérience cinématographique unique.
02:56
A Tango Night - Live from Buenos Aires
À Buenos Aires, l’année 2006 a été clôturée de façon spectaculaire par un festival de musique argentine diffusé en direct de la capitale. En plein été argentin, l’Orquesta Filarmónica del Teatro Colon, sous la direction de Daniel Barenboim (qui y est soliste en plus d’être chef d’orchestre), accompagne le bandéoniste virtuose Leopoldo Federico et son Orquesta Tipica le temps d’un concert du Nouvel An mettant en vedette des tangos populaires et des classiques de la musique orchestrale latino-américaine. Pour l’occasion, le maître du tango José Carli a créé de nouveaux arrangements enchanteurs à des œuvres d’artistes argentins célèbres, tels qu’Astor Piazzolla, Carlos Gardel, Julio de Caro, Alberto Ginastera et Horacio Salgán. Des performances des danseurs de tango étoiles de Buenos Aires Mora Godoy et Junior Cervilla ajoutent un volet visuel saisissant à ce concert mémorable.
04:33
Documentaire 2017
Ce court documentaire suit les participants du 11e Concours international de piano Franz-Liszt, présenté au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
05:17
De Meij - Symphonie no 1 «Le Seigneur des Anneaux»
Ce concert résulte d’une collaboration entre les conservatoires Giuseppe Nicolini de Piacenza et Giuseppe Verdi de Milan, dans le cadre du projet « MIlanoPIACEnza ... suonare insieme ». Le programme du concert est composé d’œuvres du chef d’orchestre et compositeur néerlandais Johan de Meij. Intitulée « Seigneur des Anneaux », sa Symphonie no 1 pour bois et cuivres est basée sur la célèbre trilogie de J. R. R Tolkien. Cette œuvre compte cinq mouvements, inspirés de personnages et de passages du récit : Gandalf, Lothlórien, Gollum, Journey in the Dark et Hobbits. La première de la symphonie a été présentée à Bruxelles en 1988, et une version symphonique a été enregistrée par le London Symphony Orchestra en 2001. Ce concert mis en scène par Pietro Tagliaferri a été enregistré à la Sala dei Teatini du Teatri di Piacenza, en 2018.
06:01
IVC 2021 Demi-finale: Debussy, Schubert et autres
La mezzo-soprano Ekaterina Chayka-Rubinstein (Allemagne, 1998) et la pianiste Maria Yulin (Israël, 1988) interprètent « Colloque sentimental » tirée des Fêtes galantes II de Claude Debussy; « Die Geister am Mummelsee » tirée de Mörike-Lieder d’Hugo Wolf; « Bei dir allein » tirée de Vier Refrainlieder, D. 866, de Franz Schubert; Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « La fleur qui va sur l’eau » tirée des Trois mélodies, op. 85, de Gabriel Fauré; « Dance of the Moon in Santiago » tirée de Sun and Shadow (Spanish Songbook II) de George Crumb; et « Den’ li tsarit? » tirée des Sept romances, op. 47, de Piotr Ilitch Tchaïkovski dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
06:29
Schumann - Fantasiestücke, op. 12
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il propose Fantasiestücke, op. 12. Composée en 1837, cette œuvre forme une série de huit pièces pour piano aux caractères contrastants. Son titre est inspiré de la collection de romans Pièces de fantaisie à la manière de Callot de E. T. A. Hoffmann, l’un des auteurs préférés du compositeur. Comme il l’a fait pour Davidsbündlertänze, Schumann a conçu Fantasiestücke sous forme de dialogue musical entre Florestan et Eusebius, qui incarnent la dualité de sa propre personnalité. Le premier représente la facette passionnée du compositeur, tandis que le second illustre son côté rêveur. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
07:00
Mozart - Concerto pour piano no 20, KV 466
Ivan Klánský interprète le Concerto pour piano no 20, KV 466 de Mozart avec l’Orchestre de chambre de Prague, sous la direction de Jiri Belohlávek. Cette représentation a eu lieu au Palais Waldstein de Prague.
07:35
Bach - Partita no 2 (BWV 1004)
L’illustre violoniste allemande Isabelle Faust interprète la Partita no 2 en ré mineur (BWV 1004) de J. S. Bach. L'œuvre fait partie des célèbres Sonates et partitas pour violon seul du compositeur (BWV 1001-1006). La Partita no 2 comprend quatre mouvements de danse, suivis du célèbre mouvement final intitulé Chaconne, une pièce monumentale du répertoire pour violon. Dans cette Chaconne, Bach présente un thème sur lequel il développe en continu une série de variations, explorant une gamme complexe de possibilités harmoniques. Faust livre une merveilleuse performance captée à l’église Saint-Thomas de Leipzig, en Allemagne, en 2020.
08:08
Œuvres de Mendelssohn, Grieg et Beethoven
Le chef d’orchestre Jan Latham-Koenig dirige l’Orchestre symphonique de Flandres dans un concert enregistré au Concertgebouw de Bruges, en Belgique, le 21 avril 2016. Le programme débute avec l’ouverture Die Hebriden (Les Hébrides), op. 26, de Felix Mendelssohn, une œuvre inspirée par la nature de l’île écossaise de Staffa, dans l’archipel des Hébrides, qui a fortement impressionné le compositeur lors d’un de ses voyages dans les îles Britanniques. Le programme se poursuit avec le Concerto pour piano en la mineur, op. 16, d’Edvard Grieg, mettant en vedette le soliste Pascal Amoyel. Cette pièce, le seul concerto signé Grieg, a été achevée en 1868, et s’inspire de la musique folklorique norvégienne. Le concert se termine avec la Symphonie no 7 en la majeur, op. 92, de Ludwig van Beethoven. Cette pièce est très populaire, notamment en raison de son deuxième mouvement, un allegretto très émouvant, qui a suscité une demande de rappel immédiate lors de la première de l’œuvre, en 1813.
09:33
IVC 2021 Demi-finale: Fauré, Wolf et autres
La soprano Alisa Fedorenko (Russie, 1999) et le pianiste Evgenii Sergeev (Russie, 1986) interprètent « Mandoline » et « À Clymène » tirées des Cinq mélodies de Venise, op. 58, de Gabriel Fauré; « Lied der Delphine » tirée de Zwei Szenen aus dem Schauspiel ‘Lacrimas’, D. 857, de Franz Schubert; « Son » tirée des Six romances, op. 38, de Sergueï Rachmaninov; « Elfenlied » tirée de Mörike-Lieder de Hugo Wolf; « Staccato » tirée des Trois exercices de solfège de Rodion Chtchedrine; et Vermeer's gold de Bart Visman dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
09:59
Naples - Capitale oubliée de la musique - partie 2
Au fil des siècles, Naples a entretenu un climat remarquablement favorable à l’innovation artistique. Le paysage musical de la ville était extraordinairement diversifié, notamment grâce à la présence d’une cour royale ou vice-royale, à la pratique de la musique dans les églises, les fraternités et les œuvres de charité, au soutien financier de riches citoyens, et à la popularité du chant et de la danse dans la sphère publique.
10:12
Schumann - Grande Humoresque, op. 20
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète Humoreske en si bémol majeur, op. 20, œuvre composée par Schumann en 1839 et dédiée à Julie von Webenau. Le titre de l’œuvre fait référence au sens plus ancien du mot humour, qui désignait jadis un état émotif. Schumann s’est inspiré de l’auteur romantique allemand Jean Paul, qui définit l’humour comme « une infinité de contrastes » et « la juxtaposition de la banalité et de la grandeur de l’univers », qui donne lieu à « une sorte de rire qui contient à la fois douleur et splendeur ». Humoreske n’est pas divisée en mouvements distincts, mais consiste plutôt en une pièce continue aux sections contrastantes. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
11:05
Bruckner - Symphonie nº 7
Franz Welser-Möst dirige le Cleveland Orchestra dans une interprétation de la Symphonie n°7 de Bruckner. L’œuvre occupe une place singulièrement importante dans la production du compositeur. C’est avec cette pièce que Bruckner a finalement obtenu une large reconnaissance et elle est restée l’une de ses œuvres les plus populaires. La symphonie suit le format classique en quatre mouvements, et son cœur est un adagio long et profond, composé en mémoire de Wagner. Le premier mouvement commence par un thème vertigineux annoncé par les violoncelles. Le scherzo soulage l’atmosphère sombre de l’adagio précédent et la finale conclut la symphonie sur une note de joie débridée. Performance captée au Severance Hall, Cleveland, en 2008.
12:12
Beethoven - Quatuors à cordes nos 6 et 15
Le réputé quatuor à cordes français Quatuor Ébène a souligné le 250e anniversaire de naissance de Ludwig van Beethoven (1770-1827) avec un projet remarquable : l’enregistrement de l’ensemble de ses seize quatuors à cordes. Pendant cinq ans, les violonistes Pierre Colombet et Gabriel Le Magadure, l’altiste Marie Chilemme et le violoncelliste Raphaël Merlin ont plongé corps et âme dans ces 650 pages de musique en feuille, couvrant trois décennies de la prolifique carrière de Beethoven. Cet effort a culminé en six concerts captivants présentés à la Philharmonie de Paris à l’automne 2020. Le Quatuor Ébène a exploré toutes les facettes des quatuors à cordes de Beethoven, du dynamisme des quatuors à cordes de l’opus 18 aux quatuors Razumovsky, Les Harpes et Quartetto Serioso (opus 59, 74 et 95) de sa période intermédiaire, jusqu’à la profondeur de ses quatuors tardifs (opus 127 à 135). Dans ce programme, le Quatuor Ébène interprète le Quatuor à cordes no 6 en si bémol majeur, op. 18, no 6; et le Quatuor à cordes no 15 en la mineur, op. 132. Ce concert a été enregistré à la Philharmonie de Paris, le 24 novembre 2020.
13:30
Behind the Scenes at the Zurich Opera House
L’Opéra de Zurich figure parmi les opéras les plus réputés d’Europe. Quinze premières y sont présentées chaque année, ce qui représente un accomplissement majeur compte tenu du travail impressionnant mis dans chacune des productions. Ce documentaire captivant offre un regard privilégié dans les coulisses de l’Opéra de Zurich et suit la création intensive d’une nouvelle production, Il Barbiere di Siviglia de Gioachino Rossini, mettant en scène Vesselina Kasarova dans le rôle de Rosina. Le film présente également la préparation d’autres productions, notamment un atelier de création de Siegfried de Richard Wagner, mis en scène par Robert Wilson, et une répétition du Sacre du printemps d’Igor Stravinsky, chorégraphié par Heinz Spoerli. Ce documentaire lève le rideau sur plusieurs facettes captivantes de la vie d’un opéra.
14:24
Brahms - Sonate pour violon et piano no 2, op. 100
Lors de ce splendide concert de 2013 à l’église de Verbier, en Suidde, le violoniste grec Leonidas Kavakos et la pianiste chinoise Yuja Wang s’unissent pour interpréter trois sonates de Johannes Brahms. Leonidas Kavakos est devenu célèbre en 1985, lorsqu’il est devenu le plus jeune musicien à remporter le premier prix du prestigieux concours Sibelius. Avec Yuja Wang, une artiste qui s’est elle aussi illustrée dès le plus jeune âge, il forme ce duo de maîtres consacré à l’interprétation de musique de chambre. Le programme comprend la Sonate pour piano et violon no 1 en sol majeur, op. 78, aussi surnommée « Regensonate », et la Sonate pour piano et violon no 2 en la majeur, op. 100, surnommée « Thuner-Sonate », un portrait des paysages paisibles du lac de Thoune, en Suisse. Il se conclut de façon enflammée et passionnée avec la Sonate pour piano et violon no 3 en ré mineur, op. 108.
14:45
Ravel - Boléro
Le chef d’orchestre français Adrien Perruchon dirige l’Orchestre symphonique de Flandres dans une performance du célèbre Boléro de Maurice Ravel. Le Boléro est sans conteste l’une des œuvres les plus populaires du répertoire classique mondial. Elle a été commandée par la danseuse russe Ida Rubinstein, qui a demandé au compositeur de créer un ballet de caractère espagnol. L’œuvre composée par Ravel en 1928 est inspirée du boléro, une danse espagnole à trois temps datant du 18e siècle. L’œuvre est caractérisée par un motif rythmique principal, donné par la caisse claire sans aucune variation tout au long de la pièce. Cette performance a été enregistrée au Concertgebouw de Bruges, en Belgique, le 1er mars 2017.
15:01
Da Caserta et Filipotti - Dulcedo et Subtilitas
Filippotto et Antonello da Caserta sont les premiers compositeurs napolitains dont la musique a été conservée. Or, leurs compositions sont loin d’être primitives : les deux artistes figurent parmi les porte-étendard de l’ars subtilior et du style mélodique italien que le musicologue Nino Pirrotta a nommé le dulcedo. L’ensemble La Fonte Musica plonge dans l’héritage de la première école napolitaine pour nous faire découvrir les premières compositions mises à l’écrit ainsi que les traditions orales de la région.