00:00
Donizetti – L’elisir d’amore
Si la présentation de l’opéra L’elisir d’amore en 2012 à Baden-Baden a créé un incroyable engouement mondial, c’est sans contredit grâce à la signature unique du célébré ténor mexicain Rolando Villazón. Pour faire suite à sa première mise en scène (Werther, à Lyon en 2011), Villazòn est allé encore plus loin en mettant en scène l’opéra-comique de Donizetti en plus d’y jouer le rôle de Nemorino. Ce documentaire raconte cette « histoire dans une histoire » et dévoile le processus créatif derrière la mise en scène de l’opéra en deux actes au palais des festivals de Baden-Baden aux mois d’avril et de mai 2012. Nous y suivons Rolando Villazón lors des répétitions avec les chanteurs et les acteurs, et de ses échanges avec le jeune chef d’orchestre Pablo Heras-Casado en amont de cette performance hautement personnelle.
02:17
Christa Ludwig - Hommage à Vienne
En 1994, Christa Ludwig a livré sa dernière performance avant de tirer sa révérence sur les planches du Wiener Musikverein. Dans le cadre de ce concert mémorable, la célèbre soliste rend hommage à la ville qui a servi de trame de fond à ses plus grands triomphes. En effet, Ludwig a donné son premier concert dans cette salle historique en 1965, seulement 6 ans après ses débuts sur les planches du Metropolitan Opera. Aujourd’hui, devant une foule imposante de ses fans, elle revient sur la scène qui a accueilli plusieurs de ses performances les plus célébrées pour présenter des lieder soigneusement sélectionnés signés Beethoven, Schubert, Mahler et Wolf. Pour l’occasion, Ludwig est accompagnée par le pianiste Charles Spencer.
03:50
Teatro Regio behind the scenes
Peu de théâtres italiens peuvent se vanter d’être un point de référence absolu pour la culture nationale et mondiale. Pilier de la vie de Turin, le Teatro Regio est à la fois un symbole d’excellence de la tradition lyrique nationale et une scène prestigieuse accueillant des opéras, des ballets, des concerts et des comédies musicales d’une grande substance. Ce court documentaire offre une incursion dans les coulisses du Teatro Regio et témoigne de la réputation enviable qui le précède depuis son ouverture, en 1740.
04:21
Chostakovitch - Symphonie no 5
Dans le cadre d’une nouvelle collaboration avec Philip Glass, célèbre compositeur de « pièces aux structures répétitives », les pianistes françaises Katia et Marielle Labèque interprètent la première européenne du Concerto pour deux pianos de Glass, suivie de la Symphonie no 5 de Chostakovitch en compagnie de l’Orchestre de Paris. Ce concert est dirigé par Jaap van Zweden, directeur musical de l’Orchestre philharmonique de Hong Kong et prochain directeur musical du New York Philharmonic.
05:09
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Arvid Fagerfjäll
Le baryton Arvid Fagerfjäll (Suède, 1991) interprète « Chanson à boire » des Chansons pour voix et piano (op. 17) d’Édouard Lalo; « Was in der Schenke waren Heute » des Goethe-Lieder de Hugo Wolf; « Geselle, woll'n wir uns in Kutten hüllen », tiré de l’Italienisches Liederbuch, vol. I, de Hugo Wolf; « And I have sat » et « Yea, for this love of mine » du cycle Shine and Dark d’Aribert Reimann; « Martus (Stormclouds) » des Hymnes du Rig Veda (op. 24) de Gustav Holst; « Und hat der Tag all seine Qual » des 4 Gesänge (op. 8) d’Alexander von Zemlinsky; « Le cygne », des Histoires naturelles de Maurice Ravel; « La fleur qui va sur l’eau », des 3 Mélodies (op. 85) de Gabriel Fauré; et « Mit Myrten und Rosen », du Liederkreis (op. 24) de Robert Schumann, lors des demi-finales du volet Mélodie du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Cette performance a été captée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
05:36
Beethoven - Sonate pour piano, op. 109
Comment pouvons-nous pénétrer dans l’esprit créatif de Beethoven, tout particulièrement pour comprendre ce que signifiait la perte considérable de son ouïe lors des dernières années de sa vie? Le plus récent enregistrement des Sonates pour piano, opus 109, 110 et 111, de Beethoven par le pianiste Tom Beghin constitue une exploration artistique de la façon dont la musique du compositeur a été façonnée par l’environnement de travail qu’il a créé avec ses collègues et amis. Beghin interprète non seulement la trilogie de chefs-d’œuvre pianistiques sur une magnifique nouvelle réplique du piano Broadwood de Beethoven, mais il utilise également une reconstruction de la Gehörmaschine, soit la prothèse auditive qui était installée sur le piano du compositeur pour lui permettre de continuer de créer de la musique malgré le déclin de son audition. « Tu entends mieux lorsque tu places ta tête sous cette machine, n’est-ce pas? », a jadis demandé André Stein à Beethoven. Deux siècles plus tard, nous pouvons nous aussi placer notre tête sous la machine et nous demander : « Entendez-nous Beethoven différemment? » Beghin nous invite à pénétrer dans la machine, pour ressentir et entendre l’essence des vibrations exubérantes et irrésistiblement poétiques de Beethoven. Inside the Hearing Machine est une invitation au cœur du terrain de jeu multisensoriel d’un compositeur sourd pour qui la machine était plus qu’une prothèse auditive, et qui interagissait avec son instrument à l’aide de bien plus que le simple son.
06:00
Stravinsky - Symphonie de Psaumes
Wolfgang Gönnenwein dirige l’Orchester der Ludwigsburger Schloßfestspiele et le Süddeutscher Madrigalchor Stuttgart dans une interprétation de la Symphonie de Psaumes (1930) d’Igor Stravinsky. La symphonie comprend donc des versets des psaumes 38, 39 et 150, tirées de la Vulgate, la version latine de la Bible. L’œuvre compte trois mouvements qui se succèdent sans pause, et une orchestration remarquable exempte de violon, d’alto et de clarinette, dans un effort d’éviter la sonorité orchestrale traditionnellement associée à la période romantique. Cette performance a été captée au Ludwigsburger Schloßfestspiele en 1988.
06:23
Rimsky-Korsakov - Kitezh Suite
Le chef d’orchestre et pianiste russe Mikhail Pletnev dirige l’Orchestre national russe dans une performance consacrée au compositeur Rimski-Korsakov. Le programme comprend des pièces tirées des opéras La légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia et Le conte du tsar Saltan, qui comprend notamment le célèbre interlude Le vol du bourdon. Enregistré au centre de concert Tchaïkovski de la Société philharmonique russe en 2017. Réalisé par Elena Schnaptchits.
06:46
Karl Jenkins - The Armed Man: A Mass for Peace
Dans le cadre de ce concert historique, Sir Karl Jenkins dirige le World Orchestra for Peace et quelque 2 000 chanteurs provenant de près de 30 pays à l’aréna Mercedes Benz de Berlin, le 2 novembre 2018. Les solistes sont Leah-Marian Jones, Yumeji Matsufuji, Pauline Rathmann, Amir Aziz, Krzysztof Wisniewski (violon) et Valentino Worlitzsch (violoncelle). The Armed Man: A Mass for Peace du compositeur gallois Sir Karl Jenkins est l’œuvre la plus souvent interprétée de tout compositeur vivant. Dans le cadre de la plus imposante mise en scène de l’œuvre jamais produite, la musique de Jenkins est superposée à des images d’archives qui renforcent la trame narrative de l’œuvre en décrivant la rumeur précédant le conflit, la guerre et ses conséquences. Projeté sur cinq écrans géants, le film crée une toile de fond poignante à la narration musicale, et offre au public une expérience multimédia puissante et riche en émotions.
07:55
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Harriet Burns
La soprano Harriet Burns (Royaume-Uni, 1989) interprète « Singet nicht in Trauertönen » (op. 98) de Robert Schumann; « Atys » (D. 585) de Franz Schubert; « L’absent », tiré des Trois chansons (op. 5) de Gabriel Fauré; « Seranilla de la Zarzuela », extrait d’A Spanish Liederbooklet de Judith Weir; « Tournoiement (Songe d’opium) » du cycle Mélodies persanes (op. 26) de Camille Saint-Saëns; « Quilled Sonnet » de James K. Wright; « Au rossignol » de Charles Gounod (CG. 332) et « Och Moder, ich well in Ding han » des 49 Deutches Volkslieder (WoO. 33) de Johannes Brahms lors des demi-finales du volet Mélodie du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Cette performance a été captée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
08:23
In the Organ's Stomach
Olivier Latry, organiste titulaire actuel du Grand Orgue de Notre-Dame, présente les rouages de son instrument unique aux spectateurs dans le cadre d’un voyage stationnaire à travers paysages, histoire et aventures incroyables. Au-delà de sa fonction religieuse originelle, le grand orgue conçu par Cavaillé-Coll a captivé les compositeurs de toutes les époques et témoigne d’une modernité absolue. Olivier Latry est considéré comme l’un des plus grands organistes de sa génération, tant en France qu’à l’étranger. Il se considère comme un ambassadeur de la musique française du 17e au 20e siècle, ainsi qu’un défenseur de l’art de l’improvisation. Ce documentaire comprend le Boléro de Pierre Cochereau, Carillon de Westminster et le scherzo de la Symphonie no 2 de Louis Vierne, la Sonate no 1 d’Alexandre Guilmant, la Symphonie gothique de Charles-Marie Widor, Cortège et Litanie de Marcel Dupré et Passacaille et Fugue de Jean-Sébastien Bach.
09:15
Scriabin - Sonate pour piano no 1, op 6
Au cours des dernières années, une nouvelle génération de pianistes chinois a fait son entrée sur la scène internationale. L’Académie France-Chine vise à aider un maximum de jeunes musiciens chinois à peaufiner leur art en les introduisant à la culture française et européenne, et en leur procurant une vitrine dans ces nouveaux territoires. Parmi ces artistes se trouvent Chen Xue-Hong, Zhang Cheng, Chen Yunjie et Chen Sa, qui ont fait leur début conjoint à Paris dans le cadre de ce concert unique au Théâtre des Champs-Élysées. Au programme : la Sonate pour piano no 2 de Chopin, la Sonate pour piano no 1 de Schumann, la Sonate pour piano no 8 de Scriabin, et « Paysage (no 2) » et « Mazeppa (no 4) » tirées des Études d’exécution transcendante de Liszt. Le concert se termine avec « Regard de l’esprit de la joie (no 10) », tirée de Vingt regards sur l’Enfant-Jésus d’Olivier Messiaen.
10:01
Mozart - Requiem en ré mineur, K. 626
Daniel Harding dirige l’orchestre et le chœur du Maggio Musicale Fiorentino et quatre chanteurs solistes dans une performance majestueuse du Requiem en ré mineur, K. 626, de Wolfgang Amadeus Mozart. Les solistes sont la soprano Christiane Karg, la mezzo-soprano Sara Mingardo, le ténor Matthew Swensen et la basse Gianluca Buratto. Le Requiem a été commandé à Mozart en juillet 1791 par le comte autrichien Walsegg, qui souhaitait rendre hommage à sa défunte conjointe, Anna. À l’époque, le compositeur était concentré sur l’écriture de ses opéras La clemenza di Tito et La Flûte enchantée. Lorsqu’il s’est finalement attelé au Requiem, à l’automne de la même année, sa santé était en déclin considérable. Il est finalement décédé en décembre, avant d’avoir pu terminer son chef-d’œuvre. Le Requiem a finalement été achevé sous la forme que l’on connaît aujourd’hui par son élève, Franz Xaver Süssmayr, qui s’est basé sur du matériel de composition qui n’existe plus et peut-être sur les instructions verbales de Mozart. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
10:56
Concours de piano Rina Sala Gallo 2022: Finalistes
Créé en 1947 par la pianiste Rina Sala Gallo et Arturo Benedetti Michelangeli, le concours de piano international Rina Sala Gallo se déroule tous les deux ans à Monza, et est aujourd’hui l’un des événements culturels les plus prestigieux de la ville italienne. Cette diffusion présente les performances des trois finalistes de la 26e édition du concours, enregistrées à la Villa Reale di Monza, en octobre 2022. Young Sun Choi (Corée du Sud, 1991) interprète la Sonate pour piano no 30 en mi majeur, op. 106, de Ludwig van Beethoven; Seunghyuk Na (Corée du Sud, 1997) propose « Oiseaux tristes » et « Alborada del gracioso », tirées de la suite en cinq mouvements Miroirs de Maurice Ravel; et Ivan Bašić (Serbie, 1996) présente la Mephisto-Valse no 1 de Franz Liszt. Choi conclut le programme au son d’Images (Livre I) de Claude Debussy.
11:58
La voix du violon
Comment décrire le lien intime qui unit le musicien et son instrument? Le violoniste de renommée mondiale Frank Peter Zimmerman parle de son Stradivarius de 1711, « Lady Inchiquin », comme de l’« amour de sa vie », mais que faut-il pour qu’un morceau de bois accède à ce statut privilégié? Après avoir dû rendre son instrument bien-aimé, qui appartenait à West LB, Zimmerman s’est tourné vers le luthier Martin Schleske, considéré par plusieurs comme un « Stradivari du 21e siècle ». Ce documentaire relie le récit de séparation et de réunion de Zimmerman à des démonstrations en coulisses du travail de Schleske, qui retracent la vie du violon de l’atelier jusqu’à la salle de concert.
12:50
Villa-Lobos - Quatuor à cordes no 12
L’ensemble Quarteto Radamés Gnattali interprète le Quatuor à cordes no 12 d’Heitor Villa-Lobos. Ce quatuor composé de Carla Rincón (violon), Francisco Roa (violon), Fernando Thebaldi (alto) et Hugo Pilger (violoncelle) a été fondé en 2006 et se spécialise dans la musique brésilienne et les activités éducatives. Son enregistrement de la série complète des quatuors à cordes de Villa-Lobos est une réussite majeure qui a été saluée par la presse musicale internationale. Heitor Villa-Lobos est peu connu à l’extérieur de l’Amérique latine, si ce n’est que pour ses Bachianas brasileiras. Or, ce compositeur, chef d’orchestre et éducateur tenu en haute estime dans son Brésil natal a également composé des opéras, des symphonies, des concertos, des œuvres pour piano et chœur, ainsi que 17 quatuors à cordes. Ce concert a été enregistré au Palácio das Laranjeiras, dans la ville brésilienne de Rio de Janeiro.
13:17
Nielsen - Commotio
Fabio Luisi dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark lors d’une puissante performance tirée des célébrations en l’honneur du 150e anniversaire du compositeur national du Danemark, Carl Nielsen. Aux côtés de l’ironique Symphonie no 6 de Nielsen, le concert présente la pianiste française de renommée mondiale Lise de la Salle en tant que soliste du Concerto pour piano no 4 de Rachmaninov. Ce concerto méconnu a disposé de trois versions distinctes pendant que le compositeur était encore vivant, et il est caractérisé par son mouvement chromatique audacieux et ses qualités évoquant le jazz. Luisi et de la Salle possédaient déjà de l’expérience avec ce morceau, car ils l’avaient interprété et enregistré ensemble auparavant. Cette performance a été captée au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2017.
14:02
Tales of Two Cities: Leipzig-Damascus Coffee House
Le Tafelmusik Baroque Orchestra, aussi surnommé Tafelmusik, est un orchestre baroque canadien de Toronto spécialisé en musiques anciennes et dirigé par Jeanne Lamon. Avec le Trio Arabica, l’orchestre célèbre la musique et la culture du 18e siècle. Toutes deux situées au carrefour d’anciennes routes commerciales, les villes de Leipzig et de Damas sont devenues d’importants centres d’éducation reconnus pour leurs cafés, où des musiques ont été interprétées par les plus grands musiciens de leur époque. Ce concert présente des œuvres de Bach, Telemann et Händel, ainsi que des trésors de la musique classique arabe. Dans ce café interculturel, la musique, les textes et les images sont employés pour explorer la façon dont les gens qui vivent très loin les uns des autres peuvent être réunis par le commerce, les idées et l’art. Enregistrée au musée Aga Khan de Toronto, cette performance a été créée par Alison Mackay et mise en scène par Marshall Pynkoski.
15:41
Glass - Concerto pour deux pianos
Dans le cadre d’une nouvelle collaboration avec Philip Glass, célèbre compositeur de « pièces aux structures répétitives », les pianistes françaises Katia et Marielle Labèque interprètent la première européenne du Concerto pour deux pianos de Glass, en compagnie de l’Orchestre de Paris. Ce concert est dirigé par Jaap van Zweden, directeur musical du New York Philharmonic.
16:09
Ice Dance: La belle au bois dormant
Les Imperial Ice Stars sont une compagnie primée qui compte 26 patineurs ayant remporté des championnats nationaux, européens, mondiaux ou olympiques (250 médailles, au total). Ensemble, ils livrent des performances de patinage contemporain sur des scènes théâtrales faites de glace. Les Imperial Ice Stars ont reçu cinq étoiles des critiques et plusieurs ovations du public dans certaines des plus prestigieuses salles de spectacle au monde, y compris le Royal Albert Hall et le Sadler’s Wells Theatre (Londres), l’Esplanade Theatre (Singapour), la Place des Arts (Montréal) et Artscape (Cape Town). Cette fascinante performance filmée à la Melbourne Theatre Company, en Australie, offre un regard neuf sur l’histoire classique de La belle au bois dormant, avec la musique originale de Pyotr Ilyich Tchaikovsky (1840-1893).
17:45
Villa-Lobos - Quatuor à cordes no 7
L’ensemble Quarteto Radamés Gnattali interprète le Quatuor à cordes no 7 d’Heitor Villa-Lobos. Ce quatuor composé de Carla Rincón (violon), Francisco Roa (violon), Fernando Thebaldi (alto) et Hugo Pilger (violoncelle) a été fondé en 2006 et se spécialise dans la musique brésilienne et les activités éducatives. Son enregistrement de la série complète des quatuors à cordes de Villa-Lobos est une réussite majeure qui a été saluée par la presse musicale internationale. Heitor Villa-Lobos est peu connu à l’extérieur de l’Amérique latine, si ce n’est que pour ses Bachianas brasileiras. Or, ce compositeur, chef d’orchestre et éducateur tenu en haute estime dans son Brésil natal a également composé des opéras, des symphonies, des concertos, des œuvres pour piano et chœur, ainsi que 17 quatuors à cordes. Ce concert a été enregistré au Palácio do Catete, dans la ville brésilienne de Rio de Janeiro.
18:27
Les sœurs Berthollet au Théâtre des Champs-Élysées
Pour ce récital exceptionnel, enregistré en 2019 au Théâtre des Champs-Élysées, les sœurs Camille (violoncelle) et Julie Berthollet (violon) sont accompagnées par le pianiste Guillaume Vincent et l’Ensemble Appassionato, sous la baguette de Mathieu Herzog. Pour explorer tout l’éventail expressif du violon et du violoncelle, les sœurs ont choisi un répertoire qui fait le pont entre les styles musicaux et les époques, des airs baroques de Vivaldi aux notes jazz de Django Reinhardt et de Stéphane Grapelli. Le programme comprend les Danses hongroises, no 5 et no 6 de Brahms, Palladio de Karl Jenkins, « Theme from Forrest Gump », d’Alan Silvestri, le Quintette pour piano, op. 44 de Schumann, « The Red Violin » de John Corigliano, Hungarian Rhapsody, op. 68 de David Popper, « Minor Swing » de Reinhardt et Grappeli, et Csárdás de Vittorio Monti.
19:59
Musique brésilienne pour violoncelle & piano
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps. Dans le premier épisode de cette minisérie, des musiciens brésiliens discutent de l’influence de Villa-Lobos sur leur propre développement artistique et le lien intime qui liait le compositeur à son pays natal.
20:27
Finale Solo - Concours piano Liszt 2017
Dina Ivanova (1994, Russie) interprète Totentanz de Liszt (S525), Auf dem wasser zu singen (S558/2) de Schubert/Liszt et Erlkönig (S558/4) lors de la finale en solo du 11e Concours international de piano Franz Liszt, qui s’est tenu à TivoliVredenburg, Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
21:00
Le duel Morricone
Ce concert exclusif capté en direct présente une sélection unique de classiques du cinéma : des westerns-spaghettis iconiques de Sergio Leone jusqu’aux chefs-d’œuvre modernes de films de mafia par Francis Ford Coppola et les œuvres cultes de Tarantino. L’Orchestre symphonique national du Danemark et son chœur sont dirigés par Sarah Hicks lors de cette première interprétation de trames musicales authentiques composées par les légendes Ennio Morricone, Nino Rota, Sonny Bono et Bernard Herrmann. Les solistes sont Tuva Semmingsen (mezzo), Christine Nonbo Andersen (soprano), Hans Ulrik (saxophone) et Mads Kjølby (guitares). Capté au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2018.
22:12
Brahms - Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98
Le concert Europakonzert 2007 se déroule à Berlin, à l’occasion du 125e anniversaire de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Sous le thème « L’an 1882 », l’orchestre de renom est dirigé par Sir Simon Rattle pour interpréter le Concerto pour violon et la Quatrième symphonie de Brahms. Il présente aussi le « Prélude de l’Acte 1 » tiré de Parsifal de Wagner, une œuvre qui représente le premier enregistrement de cet orchestre, en septembre 1913, sous la direction d’Alfred Hertz. Les solistes sont Lisa Batiashvili (violon) et Truls Mørk (violoncelle), de jeunes virtuoses très convoités qui collaborent souvent avec des orchestres majeurs et offrent des récitals partout dans le monde.