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Puccini - Tosca
14A02:07:002017HD
Pour leur prestation à l’édition 2017 du Festival de Pâques de Baden-Baden, Sir Simon Rattle et le Berliner Philharmoniker se sont inspirés de Tosca, le plus réputé et sans doute le plus brillant des opéras de Puccini. Tosca n’est pas simplement un chef-d’œuvre d’un point de vue artistique, mais offre également une histoire fascinante riche en suspense. Cette œuvre en trois actes, présentée pour la toute première fois en 1900 au Teatro Costanzi de Rome, est basée sur un libretto signé par les Italiens Luigi Illica et Giuseppe Giacosa. Pour cette performance, Philipp Himmelmann propose une mise en scène spectaculaire qui offre une nouvelle perspective sur ce classique populaire, et met en scène Kristine Opolais dans le rôle de Tosca, et Marcelo Álvarez dans le rôle de Mario Cavaradossi.
02:07
Hearing the Silence
G01:07:002003HD
Âgé de soixante-dix ans, Claudio Abbado est l’un des chefs d’orchestre les meilleurs et les plus respectés au monde. Il a occupé le poste de directeur musical de La Scala de Milan de 1968 à 1986, celui de l’Opéra de Vienne de 1986 à 1991, et du Berlin Philharmonic de 1989 à 2002. Ardent défenseur du développement des jeunes talents musicaux, il a joué un rôle clé dans la création du Chamber Orchestra of Europe, de l’Orchestre des jeunes de l’Union européenne et du Gustav Mahler Youth Orchestra. Après une grave maladie, il entreprend une nouvelle étape de sa carrière en fondant l’Orchestre du Festival de Lucerne. Le réalisateur Paul Smaczny a suivi sa carrière au fil des ans, et l’a régulièrement filmé et interviewé. Dans ce profil, Abbado parle de sa vie et de son travail, de sa conception de la musique et de ses compositions préférées. Des entrevues inédites sont associées à des images du chef d’orchestre en répétition et en concert, des entrevues avec des amis et collègues, et des documents d’archives. Ce portrait présente le « penseur silencieux » sous un jour nouveau et inattendu.
03:15
Dance on screen
G00:58:002013HD
Dans Dance on Screen, le réputé réalisateur Reiner E. Moritz explore l’influence des médias modernes du 20e siècle sur le milieu de la danse, et vice-versa. L’invention de la caméra de cinéma et de la télévision a permis au public de découvrir non seulement de magnifiques œuvres chorégraphiques, mais également les expressions faciales et la présence scénique des artistes. Ces avancées techniques ont permis la conservation de cette forme d’art essentiellement éphémère. Abordant le ballet classique comme la danse moderne, Dance on Screen comprend également des entrevues avec des chorégraphes et des réalisateurs de renom, ainsi que des performances de certains des plus grands danseurs du 20e siècle, dont Alvin Ailey, Anna Pavlova et Pina Bausch.
04:14
Beethoven - Symphonie no 5 en do mineur, op. 67
G00:42:002014HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 5 en do mineur, op. 67, de Beethoven. Ce dernier a composé sa cinquième symphonie entre 1804 et 1808, et l’a achevée presque au même moment que sa Symphonie no 6, dite « Pastorale ». Ces deux œuvres ont été présentées pour la première fois dans le cadre d’un programme entièrement consacré à la musique de Beethoven, le 22 décembre 1808. La Symphonie no 5 est aujourd’hui l’une des œuvres les plus connues du répertoire classique. Elle s’ouvre sur le célèbre motif à quatre notes, souvent interprété comme la manifestation musicale de la « destinée qui cogne à la porte », qui revient sous différentes formes dans d’autres mouvements de la symphonie. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
04:56
IVC 2021 - Demi-finale: Duparc, Schumann et autres
G00:23:002021HD
Le baryton Geng Lee (Chine, 1994) et le pianiste Nils Basters (Allemagne, 1989) interprètent Chanson triste d’Henri Duparc; « Ein Jüngling liebt ein Mädchen » et « Am leuchtenden Sommermorgen » tirées de Dichterliebe, op. 48, de Robert Schumann; « Litany » tirée de Shadow of the Blues de John Musto; Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « Hôtel » tirée de Banalités, FP 107, de Francis Poulenc; et « Ging heut’ Morgen über’s Feld » tirée de Lieder eines fahrenden Gesellen de Gustav Mahler dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
05:20
Beethoven - Sonate pour piano no 32, op. 111
G00:39:002016HD
Comment pouvons-nous pénétrer dans l’esprit créatif de Beethoven, tout particulièrement pour comprendre ce que signifiait la perte considérable de son ouïe lors des dernières années de sa vie? Le plus récent enregistrement des Sonates pour piano, opus 109, 110 et 111, de Beethoven par le pianiste Tom Beghin constitue une exploration artistique de la façon dont la musique du compositeur a été façonnée par l’environnement de travail qu’il a créé avec ses collègues et amis. Beghin interprète non seulement la trilogie de chefs-d’œuvre pianistiques sur une magnifique nouvelle réplique du piano Broadwood de Beethoven, mais il utilise également une reconstruction de la Gehörmaschine, soit la prothèse auditive qui était installée sur le piano du compositeur pour lui permettre de continuer de créer de la musique malgré le déclin de son audition. « Tu entends mieux lorsque tu places ta tête sous cette machine, n’est-ce pas? », a jadis demandé André Stein à Beethoven. Deux siècles plus tard, nous pouvons nous aussi placer notre tête sous la machine et nous demander : « Entendez-nous Beethoven différemment? » Beghin nous invite à pénétrer dans la machine, pour ressentir et entendre l’essence des vibrations exubérantes et irrésistiblement poétiques de Beethoven. Inside the Hearing Machine est une invitation au cœur du terrain de jeu multisensoriel d’un compositeur sourd pour qui la machine était plus qu’une prothèse auditive, et qui interagissait avec son instrument à l’aide de bien plus que le simple son.
06:00
Bach – Pièces pour orgue
G00:23:002004HD
Le musicologue, chef d’orchestre, organiste et clavicordiste néerlandais Ton Koopman se spécialise dans l’interprétation de musique ancienne, tout particulièrement de l’œuvre de Johann Sebastian Bach. En plus de se produire à l’échelle mondiale en compagnie de l’Amsterdam Baroque Orchestra, Koopman est également un organiste très prisé. Dans cette diffusion sur les ondes de Stingray Brava, le musicien interprète Wachtet Auf, BWV 645, Nun komm der Heiden Heiland, la Fugue en sol mineur, Schmücke dich, o liebe Seele et la Toccata en ré mineur de Johann Sebastian Bach à l’orgue
06:23
Mozart - Divertimento no 11, K. 251
G00:28:002020HD
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent Divertimento no 11 en ré majeur, K. 251, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Nannerl-Septet. Le compositeur a produit cette œuvre en 1776, probablement pour souligner la fête du prénom de sa sœur Maria Anna, surnommée « Nannerl ». Ce septuor a été composé pour hautbois, deux cors, deux violons, alto et contrebasse. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
06:51
Muskens interprète des sonates de Franz Ignaz Beck
G00:45:002020HD
Chaque année à la fin du mois d’août, la ville néerlandaise d’Utrecht accueille le réputé Festival de musique ancienne. Plus grand festival consacré à la musique ancienne au monde, l’événement attire chaque année plus de 70 000 participants. En raison de la pandémie de COVID-19, l’édition 2020 du festival a été présentée sous une forme différente, regroupant concerts en salle et diffusions en direct quotidiennes de concerts et d’enregistrements d’archives. Dans le cadre du festival, le pianofortiste canadien Anders Muskens a proposé un récital composé de diverses sonates du compositeur baroque allemand Franz Ignaz Beck, notamment L’Éveillée et La Sophie. Cette performance a été enregistrée à la Gertrudiskapel d’Utrecht, le 25 août 2020.
07:37
IVC 2021 - Demi-finale: Schubert, Wolf et autres
G00:20:002021HD
La soprano Heidi Baumgartner (Autriche, 1998) et la pianiste Asuka Tagami (Japon, 1991) interprètent Suleika I, op. 14 no 1, D. 720, de Franz Schubert; « Er ist’s » tirée de Mörike-Lieder d’Hugo Wolf; Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « Sua katselen » tirée de Leino-Laulut de Kaija Saariaho; et « Pantomime » et « Apparition » tirées des Quatre chansons de jeunesse de Claude Debussy dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
07:57
Pierre Boulez - A life for music
G00:58:002017HD
Le musicien et compositeur français Pierre Boulez (1925-2016) est considéré comme l’une des figures plus influentes de la musique du 20e siècle. Dans le documentaire Pierre Boulez – A Life of Music (2017), Reiner E. Moritz brosse un portrait personnel d’un jeune artiste impatient, qui a déjà impétueusement suggéré de faire sauter les opéras pour faire table rase des traditions désuètes. Moritz explore comment le musicien en est ensuite venu à diriger Ring of the Century sur les planches de l’opéra de Bayreuth, sans doute le plus traditionnel des opéras d’Europe, et s’est taillé une réputation enviable parmi les plus importants orchestres internationaux. Le documentaire comprend des fragments de la riche œuvre du compositeur et des photos rares tirées des archives Boulez-Chevalier. Mais le documentaire se fait encore plus intimiste lorsque la famille et les amis du maestro se remémorent sa vie. Roger, frère cadet de Boulez, offre des renseignements précieux sur la jeunesse de Pierre, et le pianiste de renom Daniel Barenboim s’ouvre sur la musique et les compositions de son ami.
08:56
PIAM - Demi-finale I: Liszt et Ravel
G01:06:002020HD
L’héritage du réputé dénicheur de talents italien Antonio Mormone (1930-2017) se perpétue grâce au Premio Internazionale Antonio Mormone (PIAM), un concours de musique classique consacré à la relève. La première édition du concours, qui s’est déroulée dans diverses salles de Milan entre 2019 et 2021, était consacrée au piano. Josef Edoardo Mossali (Italie, 2001) y interprète Après une lecture de Dante : Fantasia quasi Sonata de Franz Liszt; la toccata tirée du Tombeau de Couperin de Maurice Ravel; et l’étude no 3 « La Campanella » des Six grandes études de Paganini de Liszt. Cette performance a été enregistrée au Teatro EDI Barrio de Milan, en février 2020.
10:02
Penderecki - Symphonie: Sept portes de Jérusalem
G01:30:002017HD
L’édition 2017 du festival de musique classique Printemps de Prague a connu une conclusion puissante grâce à la performance de Krzysztof Penderecki, qui a dirigé l’Orchestre symphonique de la radio de Prague et le chœur de l’Orchestre philharmonique slovaque lors de l’interprétation de sa monumentale septième symphonie, Les sept portes de Jérusalem. Cette œuvre témoignant de réflexions introspectives sur la foi a été composée, en l’honneur de Jérusalem, pour des solistes, un chœur et un orchestre, avec un libretto tiré du Vieux Testament. Pour s’exprimer, Penderecki emploie des instruments précis : le tubophone, des objets de percussion qu’il a lui-même conçus et le schofar, un instrument liturgique juif ancien. Les solistes de cette performance incluent Iwona Hossa (soprano), Karolina Sikora (soprano), Anna Lubanska (mezzo-soprano), Adam Zdunikowsk (ténor), Piotr Nowacki (basse) et David Švehlík (narrateur). Le programme dévoile aussi une interprétation de Serenade for Orchestra, du compositeur tchèque Isa Krejci. Capté au Smetana Hall de Prague, en République tchèque.
11:33
Œuvres pour piano de Rachmaninov, Beethoven et al.
G01:29:002021HD
Le pianiste russe Nikolay Lugansky a été encensé à l’échelle mondiale pour son interprétation du répertoire de Sergueï Rachmaninov. Dans ce fabuleux récital, l’éminent pianiste présente une sélection de pièces du compositeur romantique russe, ainsi que des œuvres de Ludwig van Beethoven et d’Alexander Glazunov. Le programme débute par la Sonate pour piano n° 14 en do dièse mineur, op. 27 no 2, dite « Clair de lune » de Beethoven, suivie de la Sonate pour piano n° 2 en mi mineur, op. 75, d’Alexander Glazunov. Lugansky interprète ensuite une sélection d’œuvres de Rachmaninov : sa transcription pour piano de la Partita n° 3 en mi majeur de J. S. Bach; une sélection des Études-Tableaux (nos 1, 2, 4 et 8, op, 33; et nos 5 et 6, op. 39); Lilas (op. 21, no 5); Prélude en do mineur, op. 23 no 7; et sa transcription de la Berceuse (op. 16 n° 1) de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, le 4 juin 2021.
13:03
Naples - Capitale oubliée de la musique - partie 1
G00:21:002019HD
Du 23 août au 1er septembre de 2019, le Festival de musique ancienne d’Utrecht explorera l’héritage musical de Naples, une métropole culturelle marquée par les contradictions et la solidarité. Dans le documentaire Napoli – Music’s Forgotten Capital, le co-commissaire du festival Thomas Höft part à la recherche d’histoires provenant de cette ville mystérieuse.
13:24
Bach - Sonate no 1 BWV 1014
G00:13:002009HD
La Sonate pour violon et clavecin No. 1 BWV 1014 est la première que Jean-Sébastien Bach ait composée avant 1725, probablement alors qu’il travaillait comme maître de chapelle à Köthen. On croit qu’il a écrit les sonates pour le prince Léopold et que, plus tard, il a adapté ces morceaux pour son usage personnel à Leipzig. C’est peut-être pour cette raison que les sonates sont bien jouables pour des amateursmais qu’elles contiennent également beaucoup de finesse, constituant aussi un défi pour les musiciens professionnels. Comme les «concertos brandebourgeois », ces œuvres ont été écrites pour former une série.
13:38
Bach - Concerto brandebourgeois no 5
G00:21:002021HD
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 5 en ré majeur (BWV 1050) de Bach. Un moment marquant est capté lorsque le clavecin devient soliste aux côtés de la flûte et du violon, au lieu de les accompagner. Cette pièce est considérée comme l’un des tout premiers concertos pour clavier de Bach.
14:00
Gala de Berlin – 2009
G01:41:002009HD
À son concert de gala de 2009, l’Orchestre philharmonique de Berlin a présenté, avec son directeur musical Sir Simon Rattle et le pianiste Lang Lang, des œuvres de deux compositeurs russes. Le concert s’est amorcé avec le Concerto pour piano no 2 en do mineur, op. 18, l’une des compositions les plus populaires de tous les temps de Rachmaninov. Cette pièce exige un pianiste virtuose, mais aussi un son orchestral vaste et souple. L’orchestre a poursuivi avec la musique de Casse-noisette de Tchaikovsky, l’un des ballets les plus connus au monde, pour se conclure avec la « Valse des flocons de neige » (tirée de Casse-noisette) et Étude no 1, Op. 25 de Chopin.
15:41
Rimsky-Korsakov - La légende de la ville invisible
G00:22:002016HD
Lors de ce concert exquis capté en 2016 au Tchaikovsky Concert Hall de Moscou, l’Orchestre national de Russie et le pianiste vedette Boris Berezovsky sont dirigés par le chef d’orchestre Mikhail Pletnev pour interpréter deux magnifiques suites de Nikolai Rimsky-Korsakov. Lauréat du Concours international Tchaikovsky de Moscou en 1990, Berezovsky joue l’œuvre de Rimsky-Korsakov avec la puissance d’un virtuose. Le programme comprend la suite pour orchestre de La légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia, ainsi que l’imagerie musicale pour orchestre du Conte du tsar Saltan. Ce programme est produit par la Société philharmonique de Moscou, décrite par le compositeur de Saint-Pétersbourg Dmitri Shostakovich comme une actrice importante dans le « développement de la vie musicale [de la Russie] » et une « université rassemblant des millions d’amoureux de la musique et des milliers de musiciens ». La Société philharmonique de Moscou a été fondée en 1922 par Anatoly Lunacharsky, devenu commissaire de la Culture. Au fil des ans, elle est devenue la plus importante institution organisant des concerts en Russie.
16:03
Balanchine
G01:46:002016HD
Dans cette compilation de chorégraphies envoûtantes de George Balanchine, le New York City Ballet rend hommage à celui qui a fondé cette compagnie de danse en 1948 avec Lincoln Kirstein. La présentation comprend Walpurgisnacht Ballet, qui a été chorégraphié pour une production de Faust par le Théâtre National de l’Opéra en 1975; Sonatine, ballet présenté en ouverture du Ravel Festival du New York City Ballet au printemps 1975; La valse, une création de Balanchine en 1951 sur des compositions de Maurice Ravel; et Symphonie en ut (Le palais de cristal). Balanchine a pris seulement deux semaines pour créer la chorégraphie de ce dernier, pour le Ballet de l’Opéra de Paris en 1947, où il était maître de ballet invité. Cette compilation enregistrée en 2016 marque le retour du New York City Ballet au Théâtre du Châtelet de Paris, après huit années d’absence.
17:49
Villa-Lobos - Quatuor à cordes no 7
G00:41:002018HD
L’ensemble Quarteto Radamés Gnattali interprète le Quatuor à cordes no 7 d’Heitor Villa-Lobos. Ce quatuor composé de Carla Rincón (violon), Francisco Roa (violon), Fernando Thebaldi (alto) et Hugo Pilger (violoncelle) a été fondé en 2006 et se spécialise dans la musique brésilienne et les activités éducatives. Son enregistrement de la série complète des quatuors à cordes de Villa-Lobos est une réussite majeure qui a été saluée par la presse musicale internationale. Heitor Villa-Lobos est peu connu à l’extérieur de l’Amérique latine, si ce n’est que pour ses Bachianas brasileiras. Or, ce compositeur, chef d’orchestre et éducateur tenu en haute estime dans son Brésil natal a également composé des opéras, des symphonies, des concertos, des œuvres pour piano et chœur, ainsi que 17 quatuors à cordes. Ce concert a été enregistré au Palácio do Catete, dans la ville brésilienne de Rio de Janeiro.
18:31
Pierre Boulez conducts Modern Classics
G01:24:002003HD
Pierre Boulez (1925-2016) était indéniablement l’une des figures les plus importantes de la musique moderne. Dans ce concert de l’Orchestre Gustav Mahler des Jeunes, Boulez fait preuve d’une compréhension parfaite de la musique du 20e siècle en retraçant le développement harmonique révolutionnaire du modernisme musical de trois « classiques modernes » clés : le prélude de Tristan et Isolde (1859) de Richard Wagner, Pelléas et Mélisande (1903) d’Arnold Schönberg et le Concerto pour violon (1935) d’Alban Berg. Fondé à l’initiative du chef d’orchestre Claudio Abbado en 1986, l’Orchestre Gustav Mahler des Jeunes est composé de musiciens de moins de 26 ans provenant de toute l’Europe. Le soliste du Concerto pour violon de Berg est Akiko Suwanai, le plus jeune lauréat du premier prix (1990) de l’histoire du Concours international Tchaïkovski de Moscou.
19:56
Musique brésilienne pour violoncelle & piano
G00:27:002018HD
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps. Dans le premier épisode de cette minisérie, des musiciens brésiliens discutent de l’influence de Villa-Lobos sur leur propre développement artistique et le lien intime qui liait le compositeur à son pays natal.
20:23
Demi-finale II - Concours piano de Liszt 2017
G00:36:002017HD
Alexander Ullman (1991, Royaume-Uni) interprète Die drei Zigeuner (S383), Die Zelle in Nonnenwerth (S382bis) et La lugubre gondola, (S134bis) dans le cadre de la demi-finale (catégorie musique de chambre) de la 11e édition du Concours international de piano Franz-Liszt, présentée au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
21:00
Rachmaninov - Concerto pour piano n ° 4 et Nielsen
G01:30:002017HD
Fabio Luisi dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark lors d’une puissante performance tirée des célébrations en l’honneur du 150e anniversaire du compositeur national du Danemark, Carl Nielsen. Aux côtés de l’ironique Symphonie no 6 de Nielsen, le concert présente la pianiste française de renommée mondiale Lise de la Salle en tant que soliste du Concerto pour piano no 4 de Rachmaninov. Ce concerto méconnu a disposé de trois versions distinctes pendant que le compositeur était encore vivant, et il est caractérisé par son mouvement chromatique audacieux et ses qualités évoquant le jazz. Luisi et de la Salle possédaient déjà de l’expérience avec ce morceau, car ils l’avaient interprété et enregistré ensemble auparavant. Cette performance a été captée au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2017.
22:30
Bizet - L'Arlésienne Suite
G00:28:002017HD
Sous la direction de Mihail Pletnev, Lucas Debargue et l’Orchestre national de Russie présentent un concert consacré à George Bizet et à Maurice Ravel. Le concert s’ouvre avec une sélection d’œuvres de Bizet composées pour la pièce de théâtre L’Arlésienne d’Alphonse Daudet, compilées par Pletnev. Debargue interprète ensuite le Concerto pour piano no 1 de Ravel, suivi par la Barcarolle no 4 de Fauré, présentée en rappel. Le mouvement initial du premier concerto de Ravel contient cinq thèmes distincts, dont deux présentent des accents basques et trois affichent l’influence du jazz. Ce concert a été enregistré à la salle de concert Tchaïkovski dans le cadre de la neuvième édition du Grand Festival de l’Orchestre national de Russie.
22:58
Von Zemlinsky - Trio pour clarinette, op. 3
G01:01:002018HD
L’Ensemble Valerius, composé de Jorge Gaona Ros (clarinette), Ksenia Kouzmenko (piano) et René Geesing (violoncelle), interprète le Trio pour clarinette, op. 3, d’Alexander von Zemlinsky au théâtre Concordia d’Enschede, le 18 février 2018. Von Zemlinsky est né à Vienne d’un père slovaque et d’une mère native de Sarajevo, et a étudié au Conservatoire de Vienne. Au début de la vingtaine, ses œuvres de musique de chambre ont été présentées au Wiener Tonkünstlerverein. En 1896, après la première de son Quintette à cordes, von Zemlinsky reçoit les foudres de Brahms, qui critique son insouciance harmonique et son incohérence tonale. La critique ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd, de sorte qu’on entend l’influence de Brahms, tant dans la forme que dans le contenu, dans le Trio pour clarinette de von Zemlinsky.