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00:00
Offenbach - La Grande Duchesse de Gerolstein
PG02:06:002013HD
Dans l’opéra-comique La Grande-Duchesse de Gérolstein, Jacques Offenbach se moque de la guerre, alors aux portes de la France. La charge contre le gouvernement, l’armée et la noblesse est évidente, mais habilement camouflée pour satisfaire la censure par des costumes grotesques et une bouffonnerie musicale d’une gaieté étincelante. Et pourtant, personne n’était dupe à l’époque! Seul un compositeur de la trempe d’Offenbach était en mesure de réussir ce tour de force : être adulé par ceux dont il s’est si cyniquement inspiré! Cette version de La Grande-Duchesse de Gérolstein livrée par l’Opéra Royal de Wallonie-Liège sous la direction de Cyril Englebert met en vedette Patricia Fernandez, Sébastien Droy, Lionel Lhote, Sophie Junker, Jean-Philippe Corre, Giovanni Iovino, Patrick Delcour et Roger Joakim.
02:06
Gala from Berlin 1998 - Songs of Love and Desire
G01:30:001998HD
L’amour est le thème central de l’édition 1998 du gala du Nouvel An de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Puisque peu de compositeurs ont su décrire l’amour en musique comme Mozart et Verdi, maestro Claudio Abbado a sélectionné deux des plus grands interprètes actuels de leur œuvre, Christine Schäfer et Simon Keenlyside, comme têtes d’affiche de ce gala traditionnel. L’Argentin Marcelo Álvarez – que plusieurs comparent à un jeune Placido Domingo – livre des extraits de grandes œuvres du répertoire ténor, et la prima donna italienne Mirella Freni clôt la soirée avec une performance à couper le souffle de la scène de la lettre de l’opéra Eugène Onéguine de Tchaïkovski.
03:36
L'Angleterre, mon Angleterre - II
G00:20:002015HD
Du 28 août au 6 septembre 2015, le Festival de musique ancienne d’Utrecht a braqué les projecteurs sur England, my England. Lex Bohlmeijer anime ce documentaire en deux parties qui convie les téléspectateurs à un périple intrigant à travers l’Angleterre du Moyen Âge, de la Renaissance et de la période baroque, et crée un parallèle avec la ville d’Utrecht. Dans l’épisode 2 de la série documentaire England, my England, l’animateur René de Kam plonge dans le passé anglican de la ville d’Utrecht. Les téléspectateurs auront l’occasion de rencontrer les musiciens du festival, notamment Benjamin Bagby, Skip Sempé et The Newcastle Kingsmen, dont les membres interprètent une danse du sabre traditionnelle appelée Rapper Sword Dance dans le cadre de spectacles présentés dans les pubs de la ville.
03:56
Beethoven - Concerto pour violon, op. 61
G00:53:002015HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Dans cette performance, Grimal est accompagné de son ensemble pour interpréter le Concerto pour violon en ré majeur, op. 61, de Ludwig van Beethoven. Composé en 1806, le Concerto pour violon est la seule œuvre du genre créée par Beethoven. À la suite d’une première peu concluante, l’œuvre n’a pas été souvent interprétée au cours des décennies suivantes, mais a connu un second souffle en 1844, après une performance remarquable d’un jeune violoniste de 12 ans appelé Joseph Joachim. Depuis, il s’agit de l’une des œuvres du genre les plus souvent présentées. En rappel, Grimal interprète l’allegro tiré de la Sonate pour violon no 2 en la mineur, BWV 1003, de J. S. Bach. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2015.
04:50
IVC 2021 Demi-finale: Ives, Brahms et autres
G00:24:002021HD
Le baryton-basse Matthias Hoffmann (Autriche, 1991) et la pianiste Lisa Ochsendorf (Allemagne, 1991) interprètent « A. Very pleasant » tirée de « Memories » de Charles Ives; « Nachtwanderer » tirée de Fünf Lieder, op. 7, de Hans Erich Pfitzner; « Nachts » tirée de Zehn Lieder, op. 9, de Hans Sommer; « Da unten im Tale » tirée de Deutsche Volkslieder, WoO. 33, de Johannes Brahms; Chanson triste d’Henri Duparc; Vermeer's gold de Bart Visman; « La maîtresse volage » tirée des Chansons gaillardes, FP 42, de Francis Poulenc; Gruppe aus dem Tartarus, op. 24, no 1, D. 583, de Franz Schubert; « Na smert’ chizhika » tirée des Douze romances, op. 21, de Sergueï Rachmaninov; et « Sprich, Scheherazade » tirée de Neue Dichter Lieben de Moritz Eggert dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
05:14
Rachmaninov - Concerto pour piano no 1, op. 1
G00:45:002017HD
Le soliste Boris Berezovsky est accompagné par l’Orchestre philharmonique de Moscou, sous la direction d’Alexander Sladkovsky, pour interpréter le Concerto pour piano no 1, op. 1 de Rachmaninov, une pièce créée alors que le compositeur n’avait que 18 ans et étudiait au Conservatoire de Moscou. Le concert débute avec par une œuvre du jeune compositeur russe Elmir Nizamov (1986), intitulée Heavenly Movement. Enregistré au centre de concert Tchaïkovski de la Société philharmonique russe, le 28 avril 2017.
06:00
Bach – Pièces pour orgue
G00:23:002004HD
Le musicologue, chef d’orchestre, organiste et clavicordiste néerlandais Ton Koopman se spécialise dans l’interprétation de musique ancienne, tout particulièrement de l’œuvre de Johann Sebastian Bach. En plus de se produire à l’échelle mondiale en compagnie de l’Amsterdam Baroque Orchestra, Koopman est également un organiste très prisé. Dans cette diffusion sur les ondes de Stingray Brava, le musicien interprète Wachtet Auf, BWV 645, Nun komm der Heiden Heiland, la Fugue en sol mineur, Schmücke dich, o liebe Seele et la Toccata en ré mineur de Johann Sebastian Bach à l’orgue
06:23
Schubert - Ouverture Rosamunde (D. 644)
G00:10:002015HD
Andreas Spering dirige la Philharmonie Zuidnederland dans cette interprétation de l’ouverture de Rosamunde (D. 644) de Franz Schubert (1797-1828) Le concert a été enregistré à Muziekgebouw Eindhoven aux Pays-Bas en 2015.
06:34
Bach - Cantates de Noël
G01:24:002015HD
Le Collegium Vocale Gent s’est taillé une réputation enviable au rang des chœurs les plus prestigieux au monde. Fondé par le chef d’orchestre Philippe Herreweghe, l’ensemble belge témoigne d’une approche dynamique visant la recherche d’une sonorité authentique. À titre de Thomaskantor, le chantre principal de l’Allemagne protestante à l’époque, Bach a composé plusieurs cantates destinées à la liturgie luthérienne. Ses Cantates de Noël sont une invitation à méditer sur la nature de cette fête. L’orchestration évoque la splendeur et l’émerveillement, tandis que le contrepoint affiche un esprit festif. Les instruments à vent se font les messagers de la joie et les solistes proclament que la gloire est source de lumière. Ce programme unique, qui comprend les cantates BWV 40, 62, 63 et 91, a été enregistré le 23 décembre 2015 à l’église Saint-Roch de Paris. Sous la baguette de Philippe Herreweghe, le Collegium Vocale Gent propose une interprétation élégante et délicate de l’œuvre de Bach, sans trace d’exagération ni de vanité. Découvrez un concert splendide, qui évoque parfaitement la magie de Noël.
07:58
IVC 2021 Demi-finale: Debussy, Schubert et autres
G00:27:002021HD
La mezzo-soprano Ekaterina Chayka-Rubinstein (Allemagne, 1998) et la pianiste Maria Yulin (Israël, 1988) interprètent « Colloque sentimental » tirée des Fêtes galantes II de Claude Debussy; « Die Geister am Mummelsee » tirée de Mörike-Lieder d’Hugo Wolf; « Bei dir allein » tirée de Vier Refrainlieder, D. 866, de Franz Schubert; Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « La fleur qui va sur l’eau » tirée des Trois mélodies, op. 85, de Gabriel Fauré; « Dance of the Moon in Santiago » tirée de Sun and Shadow (Spanish Songbook II) de George Crumb; et « Den’ li tsarit? » tirée des Sept romances, op. 47, de Piotr Ilitch Tchaïkovski dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
08:26
Teatro Regio behind the scenes
G00:30:002016HD
Peu de théâtres italiens peuvent se vanter d’être un point de référence absolu pour la culture nationale et mondiale. Pilier de la vie de Turin, le Teatro Regio est à la fois un symbole d’excellence de la tradition lyrique nationale et une scène prestigieuse accueillant des opéras, des ballets, des concerts et des comédies musicales d’une grande substance. Ce court documentaire offre une incursion dans les coulisses du Teatro Regio et témoigne de la réputation enviable qui le précède depuis son ouverture, en 1740.
08:56
Liszt - Due Poemi Sinfonici
01:04:002015HD
Franz Liszt (1811 – 1886) a écrit treize poèmes symphoniques, pour la plupart inspirés de textes littéraires. Le compositeur en a également réalisé des arrangements pour piano à quatre mains, mettant en valeur sa capacité d’imiter tout un orchestre au piano. Liszt, l’un des pianistes les plus virtuoses du XIXe siècle, a fortement influencé le développement ultérieur de la musique de piano. Le romantisme était une période d’essor pour le jeu de piano virtuose : le piano était l’instrument de prédilection de d’innombrables musiciens et mélomanes. Aucun salon n’était complet sans un piano ; l’instrument était un symbole de statut social. On en jouait dans les salles de concerts, les salons, les palais, les églises et les cafés. Le poème symphonique No. 4 dite « Orpheus » de Liszt respire une ambiance méditative. Le poème symphonique No. 3 dite « Les Préludes » est surtout connu dans sa version symphonique – la version pour piano à quatre mains que vous entendez ici n’est que rarement interprétée. Composé entre 1845 et 1853, Liszt voulait au départ faire de cet ouvrage une introduction à une plus large composition chorale d’après des poèmes de Joseph Autran. Il abandonne l’idée et transforme l’ouvrage en une pièce symphonique autonome. Lors de ce concert, les deux pianistes italiens Marco Sollini et Salvatore Barbatano interprètent ces deux œuvres de Liszt. Le concert a été enregistré en 2015 à l’église San Marco, dans le village pittoresque de Ponzano di Fermo, dans le cadre du festival « Armonie delle sera », qui se tient chaque année dans la région des Marches.
10:00
Naples, ville des claviers - Alessandro Scarlatti
G00:55:002019HD
À l’âge de 24 ans, après avoir connu le succès à Rome, Alessandro Scarlatti a été nommé maître de chapelle de Naples, en 1684. Dans ce rôle prestigieux, Scarlatti a dû composer avec la jalousie et le mépris des membres de la scène musicale locale. Mais Scarlatti a développé la meilleure réponse possible à ce harcèlement : profiter d’une carrière brillante qui s’est étalée sur presque 30 ans et produire une œuvre phénoménale en cours d’exercice. Bart Naessens interprète ici ses œuvres pour clavier favorites tirées du répertoire de Scarlatti.
10:55
In Between: Isang Yun in North and South Korea
PG01:00:002013HD
Filmé entre les deux Corées, ce documentaire signé Maria Stodtmeier se demande si la musique peut créer des ponts dans un pays divisé. Pour ce faire, la documentariste met en scène une figure unissant les deux nations : le compositeur coréen Isang Yun, l’une des très rares figures reconnues de part et d’autre de la frontière. Le film retrace la vie de Yun, qui a été interprétée de multiples façons, s’intéresse aux paysages musicaux de la Corée du Nord et du Sud, et convie le téléspectateur à un périple captivant dans deux systèmes politiques que Yun a passé sa vie à tenter de réconcilier.
11:56
Chostakovitch - Concerto pour violon no 1, op 77
G00:43:002019HD
En mai 2019, le nouveau chef d’orchestre principal du Gewandhaus, Andris Nelsons, a dirigé un concert mettant en vedette la Symphonie no 5 de Tchaïkovski, surnommée Symphonie du destin. À l’époque, Tchaïkovski voyait dans cette pièce un échec cuisant, et une preuve du tarissement de sa source créative. Constamment rongé par le doute, le compositeur n’a jamais adopté une attitude confiante envers ses propres talents. Le programme du concert comprend également le Concerto pour violon no 1 de Chostakovitch, mettant en scène l’exceptionnelle soliste Baiba Skride. Dans cette composition, le violon ne prend aucune pause; son récit orageux se déploie au fil des lignes de basse « ostinato Passacaglia » et laisse résonner un chant d’une beauté saisissante. Ces deux œuvres sont entrecoupées de l’Élégie pour violon solo de Stravinsky, également interprétée par Baiba Skride.
12:40
PIAM - Finale: Beethoven, Chopin et al.
G00:54:002021HD
En 2019-2021, la première édition du Prix international Antonio Mormone (Premio Internazionale Antonio Mormone) a eu lieu dans la ville italienne de Milan. Ce concours international a été créé par Enrica Ciccarelli, présidente de la fondation La Società dei Concerti, en mémoire du célèbre découvreur de talents Antonio Mormone (1930-2017). La première édition était consacrée au piano. Lors de la finale de ce concours, Su Yeon Kim (Corée du Sud, 1994) interprète la transcription par Sergei Rachmaninoff du « Preludio » de la Partita no 3 en mi majeur (BWV 1006) de J. S. Bach; la Sonate no 30 en mi majeur (op. 109) de Ludwig van Beethoven; et la Sonate no 3 en si mineur (op. 58) de Frédéric Chopin. Cette performance a été captée à la Sala Verdi du Conservatoire de Milan en juillet 2021.
13:34
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Jihoon Son
G00:29:002022HD
Le ténor Jihoon Son (Corée du Sud, 1990) interprète « Pourquoi me réveiller? » de l’opéra Werther de Jules Massenet; « Si, ritrovarla io giuro » de l’opéra Cendrillon de Gioachino Rossini; et « Che gelida manina », extrait de l’opéra La Bohème de Giacomo Puccini, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Il est accompagné de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
14:04
Wagner - Le Crépuscule des dieux
PG04:29:002014HD
Hartmut Haenchen dirige l’Orchestre philharmonique des Pays-Bas et l’Opéra national des Pays-Bas dans une production de Götterdämmerung de Richard Wagner, dernière œuvre du cycle de quatre opéras Der Ring des Nibelungen, à l’Opéra national des Pays-Bas en 2014. Cette production dirigée par le metteur en scène Pierre Audi met en vedette les solistes Stig Andersen, Alejandro Marco-Buhrmester, Werner Van Mechelen, Kurt Rydl, Catherine Foster et Astrid Weber. Richard Wagner est sans doute le plus grand innovateur du monde de l’opéra du 19e siècle, et aspirait à créer la « Gesamtkunstwerk », soit l’œuvre d’art totale, qui unirait théâtre, musique et littérature. Le cycle Der Ring des Nibelungen a été composé entre 1853 et 1874, et comprend les opéras Das Rheingold, Die Walküre, Siegfried et Götterdämmerung. Les opéras de Wagner se démarquent par leur utilisation du « leitmotiv », un motif mélodique qui incarne une idée ou un personnage. De plus, Wagner fait appel à des harmonies non conventionnelles et à des instrumentations orchestrales très développées. Le cycle complet est encore interprété chaque année au Festival de Bayreuth, où il a été présenté pour la première fois en 1876.
18:34
Schubert - Quatuor à cordes no 15 en sol majeur
G00:48:002014HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Dans cette performance, le quatuor Les Dissonances – composé de David Grimal (violon), d’Hans Peter Hofmann (violon), de David Gaillard (alto) et de Xavier Phillips (violoncelle) – interprète le Quatuor à cordes no 15 en sol majeur, D. 887, op. 161, de Franz Schubert. Le compositeur a achevé son ultime quatuor à cordes en dix jours, au mois de juin 1826, mais l’œuvre n’a été publiée qu’en 1851, à titre posthume. Elle est caractérisée par une modulation incessante, qui alterne constamment entre notes majeures et mineures. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
19:22
Stravinsky - Jeu de cartes
G00:25:002015HD
Iván Fischer dirige le Budapest Festival Orchestra lors d’un concert enregistré à la salle de concert nationale Béla Bartók de Budapest, en 2015. Le concert commence avec l’« Ouverture sur des thèmes juifs », op. 34, de Prokofiev. Ensuite, Thomas Zehetmair est le violoniste soliste dans le Concerto pour violon no 2, op. 63, de Prokofiev. La deuxième partie du concert est consacrée à la musique de Stravinsky. Au programme, la musique composée pour le ballet Jeu de cartes (1937) et la suite no 2 de L’oiseau de feu (1919). Jeu de cartes, l’une des œuvres néoclassiques de Stravinsky, est composée de trois parties (« donnes »). La suite no 2 de L’oiseau de feu est basée sur la musique du ballet du même nom, composé pour les Ballets russes de Sergei Diaghilev et dont la première s’est tenue à Paris en 1910.
19:47
Liszt - Totentanz, S. 525
G00:14:002017HD
La pianiste russe Dina Ivanova interprète Totentanz, S. 525, de Franz Liszt en finale de la 11e édition de Concours international de piano Franz Liszt, présenté sur les planches du TivoliVredenburg d’Utrecht, aux Pays-Bas. La fascination de Liszt pour la mort est tangible dans plusieurs de ses œuvres, et tout particulièrement dans Totentanz (Danse macabre). Liszt a basé cette composition sur la séquence grégorienne du Dies irae, qu’il a décliné pour créer une série de variations sur ce thème macabre.
20:02
Documentaire 2017
G00:57:002017HD
Ce court documentaire suit les participants du 11e Concours international de piano Franz-Liszt, présenté au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
21:00
Donizetti – L’elisir d’amore
14A02:17:002012HD
Si la présentation de l’opéra L’elisir d’amore en 2012 à Baden-Baden a créé un incroyable engouement mondial, c’est sans contredit grâce à la signature unique du célébré ténor mexicain Rolando Villazón. Pour faire suite à sa première mise en scène (Werther, à Lyon en 2011), Villazòn est allé encore plus loin en mettant en scène l’opéra-comique de Donizetti en plus d’y jouer le rôle de Nemorino. Ce documentaire raconte cette « histoire dans une histoire » et dévoile le processus créatif derrière la mise en scène de l’opéra en deux actes au palais des festivals de Baden-Baden aux mois d’avril et de mai 2012. Nous y suivons Rolando Villazón lors des répétitions avec les chanteurs et les acteurs, et de ses échanges avec le jeune chef d’orchestre Pablo Heras-Casado en amont de cette performance hautement personnelle.
23:17
Rimsky-Korsakov - Le Conte du tsar Saltan suite
G00:20:002016HD
Lors de ce concert exquis capté en 2016 au Tchaikovsky Concert Hall de Moscou, l’Orchestre national de Russie et le pianiste vedette Boris Berezovsky sont dirigés par le chef d’orchestre Mikhail Pletnev pour interpréter deux magnifiques suites de Nikolai Rimsky-Korsakov. Lauréat du Concours international Tchaikovsky de Moscou en 1990, Berezovsky joue l’œuvre de Rimsky-Korsakov avec la puissance d’un virtuose. Le programme comprend la suite pour orchestre de La légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia, ainsi que l’imagerie musicale pour orchestre du Conte du tsar Saltan. Ce programme est produit par la Société philharmonique de Moscou, décrite par le compositeur de Saint-Pétersbourg Dmitri Shostakovich comme une actrice importante dans le « développement de la vie musicale [de la Russie] » et une « université rassemblant des millions d’amoureux de la musique et des milliers de musiciens ». La Société philharmonique de Moscou a été fondée en 1922 par Anatoly Lunacharsky, devenu commissaire de la Culture. Au fil des ans, elle est devenue la plus importante institution organisant des concerts en Russie.
23:37
B. Strozzi - Sino alla morte
G00:22:002020HD
Le chef d’orchestre et claveciniste argentin Leonardo García Alarcón dirige son ensemble Cappella Mediterranea lors de ce programme de musique baroque italienne. L’ensemble interprète quelques-unes des plus belles pièces baroques composées par Francesco Cavalli, un célèbre compositeur vénitien du XVIIe siècle, et deux de ses élèves de renom, Barbara Strozzi et Antonia Bembo. La soprano argentine Mariana Flores interprète les œuvres vocales. Au programme : « Sino alla morte » de Strozzi.