00:00
Debussy - Pelléas et Melisande
Alain Altinoglu dirige Philharmonia Zürich, Zusatzchor Opernhaus Zürich et SoprAlti der Oper Zürich lors d’une performance de Pelléas et Mélisande, un opéra de Debussy en cinq actes dont le livret en français est signé par Maurice Maeterlinck. Sa première s’est tenue à l’Opéra Comique de Paris en 1902. L’intrigue porte sur un triangle amoureux. Le prince Golaud trouve Mélisande, une mystérieuse jeune femme qu’il épouse et ramène au château de son grand-père, le roi Arkel. Mélisande s’éprend alors du jeune demi-frère de Golaud, Pelléas. Les solistes principaux sont Brindley Sherratt (Arkel), Jacques Imbrailo (Pelléas), Kyle Ketelsen (Golaud) et Corinne Winters (Mélisande). Réalisé par Dmitri Tcherniakov et enregistré à l’Opéra de Zurich en 2016.
02:47
Waldbühne 1999 - A Romantic Opera Night
Ce concert livré à la Waldbühne de Berlin célèbre l’héritage de Wagner et de son successeur le plus emblématique, Richard Strauss. Ce concert lyrique mettant en vedette le Berliner Philharmoniker et le soliste Ben Heppner est dirigé par James Levine, directeur musical du Metropolitan Opera depuis près de 40 ans. Parmi les œuvres de Strauss au programme de la soirée, on trouve Don Juan, op. 20; Cäcilie et Heimliche Aufforderung, op. 27; Zueignung, opus 10; Till Eulenspiegels lustige Streich; et la Valse/Di Rigori Armato de Der Rosenkavalier. Les œuvres de Wagner au programme comprennent le prélude In fernem Land tiré de Lohengrin; le prélude Liebestod tiré de Tristan und Isolde; le prélude Walther’s Preislied tiré de Die Meistersinger von Nürnberg; et Ritt der Walküren tiré de Die Wälkure. Fidèle à la tradition, le Berliner Philharmoniker clôt ce concert à la Waldbühne avec le Berliner Luft de Paul Lincke.
04:44
L'Angleterre, mon Angleterre - I
Du 28 août au 6 septembre 2015, le Festival de musique ancienne d’Utrecht a braqué les projecteurs sur England, my England. Lex Bohlmeijer anime ce documentaire en deux parties qui convie les téléspectateurs à un périple intrigant à travers l’Angleterre du Moyen Âge, de la Renaissance et de la période baroque, et crée un parallèle avec la ville d’Utrecht. L’épisode 1 de la série s’intéresse aux églises de la vieille ville d’Utrecht et à la source d’inspiration première de l’édition 2015 du festival – le domaine anglais de Boughton House – présentée par le duc de Buccleuch.
05:04
Ravel - Concerto pour piano en sol majeur
Mikhail Pletnev dirige l’Orchestre national de Russie dans une performance du Concerto pour piano en sol majeur de Maurice Ravel, mettant en vedette Lucas Debargue comme soliste. Le compositeur a achevé ce concerto dynamique en trois mouvements en 1931, auquel il a intégré plusieurs éléments tirés du jazz, tout particulièrement dans les mouvements d’ouverture et de clôture. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, dans le cadre de la neuvième édition du RNO Grand Festival, en 2017.
05:29
Telemann - Jesus liegt in letzten Zügen, TWV 1:983
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
05:45
Saint-Saëns - Polonaise pour deux pianos, op. 77
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant explorant le répertoire pour piano et violon, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom, dont les pianistes Evgeny Kissin, Theodosia Ntokou et Cristina Marton-Argerich, et le violoniste Maxim Vengerov. Le programme de ce concert comprend le Concertino pour deux pianos, op. 94 de Dmitri Chostakovitch; l’Impromptu no 3, op. 51, la Polonaise « héroïque » no 6, op. 53, et la Valse « minute », op. 64, no 1, de Frédéric Chopin; la Polonaise pour deux pianos, op. 77 de Camille Saint-Saëns; la Sonate pour violon et piano en la majeur de César Franck; et Liebesleid et Schön Rosmarin de Fritz Kreisler. Ce concert a été enregistré le 12 juin 2021.
06:00
Mozart – Concerto no 26 pour piano
W. A. Mozart a composé son concerto pour piano en ré majeur, KV 537 à Vienne en février 1788. Ce concerto a par la suite été surnommé « Couronnement » parce que Mozart l’a interprété à l’occasion du couronnement de Léopold II comme Empereur des Romains à Frankfurt am Main en octobre 1790. Dans cette diffusion, le pianiste suisse né en Uruguay Homero Francesch est accompagné par le Deutsche Kammerphilharmonie Bremen sous la direction de Gerd Albrecht. Homero Francesch s’est produit comme soliste avec les orchestres les plus renommés, du Berliner Philharmoniker au Wiener Philharmoniker, en passant par le New York Philharmonic et le Royal Concertgebouw Orchestra. Cet enregistrement a été fait au Christian-Zais-Saal à Wiesbaden, en Allemagne.
06:35
Saint-Saëns - Le Carnaval des animaux
Le chef d’orchestre mexicain Carlos Miguel Prieto dirige l’Orquesta Sinfónica de Minería dans une performance du Carnaval des animaux (1886) de Camille Saint-Saëns. Cette suite est composée de 14 mouvements, qui incarnent chacun un animal différent. Saint-Saëns ayant été inquiet de l’impact de cette fresque animalière remplie d’humour sur sa réputation de compositeur sérieux, l’œuvre a été publiée à titre posthume, en 1922. « Le cygne », composé pour violoncelle et deux pianos, est le seul mouvement qu’il a accepté de publier de son vivant. Ce mouvement iconique met en scène une magnifique mélodie ondoyante au violoncelle, doucement accompagnée par le piano, qui évoque l’image d’un cygne glissant gracieusement sur l’eau. Dans cette performance enregistrée à l’Auditorio Nacional de Mexico, en 2021, chaque mouvement est introduit par maestro Prieto.
07:03
Œuvres pour violoncelle et piano de Schumann e.a.
À Genève, la ville où elle a passé la majeure partie de sa vie, la pianiste argentine Martha Argerich invite son partenaire musical de toujours, le violoncelliste Mischa Maisky, à prendre part à un concert de musique de chambre exclusif. Entre chaque pièce, Argerich s’ouvre à sa fille Annie Dutoit dans le cadre d’une entrevue intimiste traitant de leur relation et de musique. Le programme du concert comprend sept variations tirées de La Flûte enchantée de Ludwig van Beethoven; Fantasiestücke, op. 73, de Robert Schumann; Introduction et Polonaise brillante, op. 3, de Frédéric Chopin; « Lerchengesang » (no 2) tirée de Quatre chants sérieux, op. 70, de Johannes Brahms; et le largo tiré de la Sonate pour violoncelle en sol mineur, op. 65, de Chopin. Ce concert a été enregistré les 12 et 13 novembre 2020 à Genève, en Suisse.
07:56
IVC 2021 Demi-finale: Debussy, Schubert et autres
La mezzo-soprano Ekaterina Chayka-Rubinstein (Allemagne, 1998) et la pianiste Maria Yulin (Israël, 1988) interprètent « Colloque sentimental » tirée des Fêtes galantes II de Claude Debussy; « Die Geister am Mummelsee » tirée de Mörike-Lieder d’Hugo Wolf; « Bei dir allein » tirée de Vier Refrainlieder, D. 866, de Franz Schubert; Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « La fleur qui va sur l’eau » tirée des Trois mélodies, op. 85, de Gabriel Fauré; « Dance of the Moon in Santiago » tirée de Sun and Shadow (Spanish Songbook II) de George Crumb; et « Den’ li tsarit? » tirée des Sept romances, op. 47, de Piotr Ilitch Tchaïkovski dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
08:23
La voix du violon
Comment décrire le lien intime qui unit le musicien et son instrument? Le violoniste de renommée mondiale Frank Peter Zimmerman parle de son Stradivarius de 1711, « Lady Inchiquin », comme de l’« amour de sa vie », mais que faut-il pour qu’un morceau de bois accède à ce statut privilégié? Après avoir dû rendre son instrument bien-aimé, qui appartenait à West LB, Zimmerman s’est tourné vers le luthier Martin Schleske, considéré par plusieurs comme un « Stradivari du 21e siècle ». Ce documentaire relie le récit de séparation et de réunion de Zimmerman à des démonstrations en coulisses du travail de Schleske, qui retracent la vie du violon de l’atelier jusqu’à la salle de concert.
09:15
Schumann - Faschingsschwank aus Wien, op. 26
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il présente Faschingsschwank aus Wien, op. 26 (Carnaval de Vienne). Schumann a composé les quatre premiers mouvements de cette pièce lors de son dernier séjour à Vienne, en 1839, et a achevé l’œuvre lors de son retour à Leipzig. Figurant parmi les cycles pour piano les plus populaires du compositeur, Faschingsschwank aus Wien est composée de cinq mouvements recréant l’atmosphère festive et animée du carnaval. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
10:00
Beethoven - Symphonie no 9
Sous la direction de Conrad van Alphen, la Sinfonia Rotterdam, le Chœur symphonique Octopus et quatre chanteurs solistes interprètent la Symphonie no 9 en ré mineur, op. 125 de Ludwig van Beethoven au palais de concerts De Doelen de Rotterdam, en 2019. Van Alphen a fondé la Sinfonia Rotterdam en 2000. Sous son leadership passionné, l’orchestre est rapidement devenu l’un des ensembles musicaux les plus réputés des Pays-Bas. Largement considérée comme l’œuvre la plus exceptionnelle de Beethoven, la Symphonie no 9 a été achevée en 1824, alors que le compositeur était presque entièrement sourd. Cette symphonie est unique puisque son dernier mouvement comprend un chœur et des solos de chant, qui mettent en musique le poème Ode an die Freude (Ode à la joie) de Friedrich Schiller. La symphonie est composée de quatre mouvements : Allegro ma non troppo, un poco maestoso, Molto vivace, Adagio molto e cantabile et la Finale. Les quatre solistes sont Gulnara Shafigullina (soprano), Claire Barnett-Jones (mezzo-soprano), Matthew Newlin (ténor) et Frederik Bergman (baryton).