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Meyerbeer - Les Huguenots
Le contexte de ce « grand opéra » de Giacomo Meyerbeer est le massacre de la Saint-Barthélemy. Raoul, un protestant, est amoureux de Valentine, une catholique : un amour impossible. Ce n’est pas que la question de religion qui éloigne les deux amoureux, car Valentine a été promise au Comte de Nevers, un catholique et l’ennemi de Raoul… Cette œuvre était très populaire juste après sa première représentation mais elle est tombée dans l’oubli après. Cette production de l’Opéra allemand de Berlin (1991) est un come-back triomphant pour cette œuvre intemporelle, présentée de façon contemporaine. Solistes: Angela Denning (Margarethe von Valois), Lucy Peacock (Valentine), Richard Leech (Raoul von Nangis), Hartmut Welker (Graf von Saint-Bris), Camille Capasso (Urban), Martin Blasius (Marcel). Chef d' orchestre: Stefan Soltesz.
02:40
Legato – World of the Piano
Pierre-Laurent Aimard, le virtuose du piano français, joue des parties de différentes œuvres à l’Académie des beaux-arts de Munich : Bach « L’art de la fugue », Carter « Matribute », « Two Diversions » et « Caténaires », George Benjamins « Shadowlines » et, pour finir, Beethoven Sonate pour piano No. 31.
04:01
A la découverte des chefs-d'œuvre : Bach
L'épisode de cette série présente la Concertos Brandebourgeois de Johann Sébastian Bach (1685-1750). Les exemples musicaux sont interprétés par le Freiburger Barockorchester dirigé par Gottfried von der Goltz. La période que Bach passe à Coethen (1717-1723) est l'une des plus productives de sa vie : partitas, sonates, pièces pour orchestre, suites pour violon seul, violoncelle seul, concertos pour violon et pour clavier naissent aux côtés des Concertos Brandebourgeois. Ils sont ancrés aujourd'hui dans le répertoire international et jouent aussi un rôle important dans l'éducation musicale. Le pianiste et expert de Bach Robert Levin nous donne des clés d'écoute.
04:31
Brahms - Symphonie n° 4 en mi mineur, op. 98
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances interprète la Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98, de Johannes Brahms. Brahms a achevé sa dernière symphonie en 1885, et en a dirigé la première en octobre de la même année, dans la ville allemande de Meiningen. Le mouvement final de la Symphonie no 4 est une chaconne, une variation classique qui reflète la fascination du compositeur envers la musique baroque. Ce mouvement s’ouvre avec un thème à huit mesures emprunté de la cantate Nach dir, Herr, verlanget mich, BWV 150, de J. S. Bach, et se poursuit par une série de variations présentant le même motif de basse. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2014.
05:11
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Hugo Laporte
Le baryton Hugo Laporte (Canada) interprète « Mein Sehnen, mein Wähne » de l’opéra La ville morte d’Erich Wolfgang Korngold; « Ô sainte médaille… Avant de quitter ces lieux » de l’opéra Faust par Charles Gounod; et « Son io, mio Carlo... Per me giunto... O Carlo, ascolta... Io morrò », tiré de l’opéra Don Carlo de Giuseppe Verdi, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Il est accompagné de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
05:30
Scriabin - Sonate pour piano no 1, op 6
Au cours des dernières années, une nouvelle génération de pianistes chinois a fait son entrée sur la scène internationale. L’Académie France-Chine vise à aider un maximum de jeunes musiciens chinois à peaufiner leur art en les introduisant à la culture française et européenne, et en leur procurant une vitrine dans ces nouveaux territoires. Parmi ces artistes se trouvent Chen Xue-Hong, Zhang Cheng, Chen Yunjie et Chen Sa, qui ont fait leur début conjoint à Paris dans le cadre de ce concert unique au Théâtre des Champs-Élysées. Au programme : la Sonate pour piano no 2 de Chopin, la Sonate pour piano no 1 de Schumann, la Sonate pour piano no 8 de Scriabin, et « Paysage (no 2) » et « Mazeppa (no 4) » tirées des Études d’exécution transcendante de Liszt. Le concert se termine avec « Regard de l’esprit de la joie (no 10) », tirée de Vingt regards sur l’Enfant-Jésus d’Olivier Messiaen.