00:00
Beethoven - Fidelio, Op. 72
Fidelio (dont le titre original était « Leonore, oder Der Triumph der ehelichen Liebe », ce qui signifie « Leonore ou le triomphe de l’amour marital »), op. 72, est le seul opéra de Ludwig van Beethoven. Ce film d’opéra créé en 2018 au Theater St. Gallen (Suisse) s’appuie sur la célèbre production par Jan Schmidt-Garre de Fidelio de Beethoven. Otto Tausk dirige le Sinfonieorchester et les chœurs de St. Gallen, de même que de merveilleux solistes dans les décors magnifiques de Nikolaus Webern. Les créateurs du film ont minutieusement filmé et monté plusieurs performances, en plus d’intégrer des séquences supplémentaires mettant en vedette la soliste Jacquelyn Wagner (Leonore). Une captivante production scénique enrichie et transformée en une expérience cinématographique unique.
01:56
Legato - Le monde du piano
Une nouvelle génération de pianistes passionnés par la virtuosité et animés par la soif d’enrichir le répertoire provoque une « renaissance du piano ». En plus des chefs-d’œuvre classiques, ils interprètent des morceaux peu joués et des compositeurs inconnus. La série « Legato » permet au public de faire la connaissance de cette nouvelle génération. A travers ces portraits filmés, nous arrivons à connaître leur style, leurs méthodes et leurs objectifs personnels. Cet épisode est centré sur le pianiste canadien Marc-André Hamelin. Il joue des œuvres de Haydn (sonate pour piano en mi majeur), Chopin (sonate pour piano no. 3), Debussy (préludes, deuxième livre), Hamelin (étude no. 7) et deux courtes compositions de Gershwin (« Do, do, do » et « Liza »).
03:27
Modena - The Belcanto School
This documentary by Mark Perna shows the training and professional growth actions for opera singers, the promotion and enhancement of the cultural offer of the city and province of Modena and the maintenance and development of the Modenese musical tradition in the field of opera.
03:52
Beethoven - Septuor en mi bémol majeur, op. 20
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent le Septuor en mi bémol majeur, op. 20, pour clarinette, cor, basson, violon, alto, violoncelle et contrebasse de Ludwig van Beethoven. Composée en 1799, cette œuvre a connu une grande popularité du vivant du compositeur. Plusieurs arrangements ont été créés par Beethoven lui-même pour différents ensembles, notamment pour deux guitares et quatre pianos, ou encore pour clarinette (ou violon), violoncelle et piano. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
04:36
IVC 2021 - Demi-finale: Fauré, Tchaïkovski et al.
Le ténor Zhuohan Sun (Chine, 1993) et la pianiste Sara Pavlovic (Serbie, 1996) interprètent « Ehetanzlied » tirée de Sechs Lieder und Gesänge, op. 10, d’Alexander von Zemlinsky; « Nell » tirée des Trois mélodies, op. 18, de Gabriel Fauré; « Net, tol'ko tot, kto znal » tirée des Six Romances, op. 6, de Piotr Ilitch Tchaïkovski; Die Mutter Erde, D. 788, de Franz Schubert; Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « Bonne journée » tirée de Tel jour, telle nuit, FP 86, de Francis Poulenc; et « Der Jäger » tirée de Mörike-Lieder d’Hugo Wolf dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
04:59
Schumann - Fantaisie, op. 17
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. La Fantaisie en do, op. 17, a été composée en 1836 puis révisée avant sa publication, en 1839. Cette pièce dédiée à Franz Liszt est l’une des plus grandes œuvres de Schumann pour piano solo, et une pièce phare du début de la période romantique. La Fantaisie en do est composée sous forme de sonate libre. Son premier mouvement est rhapsodique et passionné, son mouvement central constitue un rondo grandiose, et son mouvement final se fait lent et méditatif. Cette œuvre est interprétée par Riccardo Schwartz (1986). En carrière, Schwartz a eu le privilège de se produire comme soliste sous la direction de nombreux chefs d’orchestre de renom, dont Gustav Kuhn and Yuri Temirkanov. Ses prestations saluées par la critique et le public comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés dans les salles de concert les plus prestigieuses au monde.
06:00
Le German Brass joue Bach
L’ensemble German Brass livre quelques-uns des airs les plus populaires de Bach dans des arrangements pour cuivres à couper le souffle. Enregistré en direct de la magnifique église Saint-Thomas de Leipzig, ce concert comprend des pièces intemporelles du légendaire compositeur allemand, telles que Toccata et fugue en ré mineur, l’Adagio en sol mineur et Jesus bleibet meine Freude. Le German Brass figure parmi les ensembles de cuivres les plus populaires de notre temps, et regroupe des musiciens provenant des meilleurs orchestres allemands, notamment les orchestres philharmoniques de Berlin et de Munich. Offrant une vue complète de l’église pour laquelle Bach a conçu la plupart de ses œuvres et tirant parti de l’acoustique exceptionnelle de la salle, cet enregistrement de pointe est une véritable fête visuelle et auditive, et une célébration parfaite de l’œuvre de Bach.
07:00
Bach - Concerto brandebourgeois no 2
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 2 en fa majeur (BWV 1047) de Bach. Cette pièce met en vedette la trompette, le violon, la flûte à bec et le hautbois en guise de solistes. La partition virtuose et vertigineuse de la trompette y est particulièrement remarquable.
07:11
Bach - Motets
Ce concert de fête à la Gethsemanekirche de Berlin marque le 60ième anniversaire du RIAS Kammerchor. Sous le bâton du nouveau chef d’orchestre Hans-Christophe Rademan, le RIAS Kammerchor et l’Akademie für Alte Musik Berlin interprètent des motets célèbres de Johann Sebastian Bach alternés par certaines de ses plus belles œuvres instrumentales. Fondé en 1948, le chœur est réputé mondialement comme l’un des meilleurs ensembles de sa catégorie.
08:44
Telemann - Jesus liegt in letzten Zügen, TWV 1:983
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
09:00
Villa-Lobos: Musique pour violoncelle et piano II
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps. Dans le deuxième épisode de cette minisérie, Boubli plonge plus en profondeur dans l’œuvre de Villa-Lobos pour explorer ses influences musicales et l’anatomie de certaines de ses compositeurs les plus célèbres, dont la Pequena Suíte, une collection de danses et de courtes pièces en six mouvements qui offre un clin d’œil à son amour de Jean-Sébastien Bach.
09:26
Schubert - Rondo D. 951
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant consacré à la musique de chambre, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom, dont les pianistes Lily Maisky et Iddo Bar-Shaï, les violonistes Tedi Papavrami et Akiko Suwanai, l’altiste Lyda Chen-Argerich – qui est également sa fille – et le violoncelliste Mischa Maisky. Au programme du concert se trouvent le Trio pour piano no 1 en ré mineur, op. 49, de Felix Mendelssohn; la Sonate pour violon de Leoš Janáček; le Rondo en la majeur, D. 951, de Franz Schubert; et le Quatuor pour piano no 3 en do mineur, op. 60, de Johannes Brahms. Cette performance a été enregistrée le 4 mai et le 13 juin 2021.
10:01
Bruckner - Symphonie nº 9
La Symphonie n°9 d’Anton Bruckner peut être considérée comme un adieu à la vie. Alors qu’il entamait sa composition en 1887, sa santé commençait à décliner. Il a exprimé l’espoir que « Dieu [lui] accorde suffisamment de temps pour l’achever » et y a travaillé assidûment pendant les années suivantes. Mais à la fin de 1894, il n’avait achevé que les trois premiers mouvements. Lorsqu’il mourut le 11 octobre 1896, il laissa six versions différentes du mouvement final, toutes incomplètes. Malgré son caractère inachevé, cette œuvre monumentale évoque la grandeur d’une cathédrale majestueuse. Les détails de ce colosse architectural sont formés avec une étonnante transparence par Franz Welser-Möst et le Cleveland Orchestra. Cette performance puissante et pointue de l’orchestre a été enregistrée en direct fin octobre 2007 dans la magnifique « Salle dorée » du légendaire Musikverein de Vienne, où l’œuvre a été créée.
11:06
Brahms - 3 sonates pour violon, Op. 78, 100 et 108
Lors de ce splendide concert de 2013 à l’église de Verbier, en Suidde, le violoniste grec Leonidas Kavakos et la pianiste chinoise Yuja Wang s’unissent pour interpréter trois sonates de Johannes Brahms. Leonidas Kavakos est devenu célèbre en 1985, lorsqu’il est devenu le plus jeune musicien à remporter le premier prix du prestigieux concours Sibelius. Avec Yuja Wang, une artiste qui s’est elle aussi illustrée dès le plus jeune âge, il forme ce duo de maîtres consacré à l’interprétation de musique de chambre. Le programme comprend la Sonate pour piano et violon no 1 en sol majeur, op. 78, aussi surnommée « Regensonate », et la Sonate pour piano et violon no 2 en la majeur, op. 100, surnommée « Thuner-Sonate », un portrait des paysages paisibles du lac de Thoune, en Suisse. Il se conclut de façon enflammée et passionnée avec la Sonate pour piano et violon no 3 en ré mineur, op. 108.
12:28
À la découverte de chefs-d’œuvre – Beethoven No. 5
Les vingt volets de la série « À la découverte de chefs-d’œuvre » constituent des introductions audiovisuelles aux chefs-d’œuvre de la musique classique. Les introductions permettent au téléspectateur d’apprécier les plus belles compositions, depuis le baroque jusqu’à l’époque moderne, sous un jour totalement nouveau. Des extraits de partitions et des explications d'experts aident le téléspectateur à suivre les motifs et rythmes et à comprendre la structure de l’œuvre. Ce volet présente une œuvre passionnante : la Cinquième Symphonie de Ludwig van Beethoven. Dès les premières secondes, le fameux motif à quatre notes jette littéralement un sort sur celui qui écoute. Wulf Konold, spécialiste allemand de Beethoven, illustre au piano toutes les variations ingénieuses de ce motif. Avec un grand sens de la pédagogie, il présente également les autres caractéristiques de cette œuvre extraordinaire, dont les références non-musicales ont inspiré bon nombre de spéculations, et explique comment le compositeur allemand a su y instaurer du suspense. Le musicologue allemand Armin Koch apporte lui aussi son analyse.
12:55
Beethoven - Quintette pour piano et vents, op. 16
Luca Vignali (hautbois), Angelo De Angelis (clarinette), Carmine Pinto (cor), Eliseo Smordoni (basson) et Linda Di Carlo (piano) interprètent le Quintette pour piano et vents en mi bémol majeur, op. 16, de Ludwig van Beethoven. Achevée en 1796, cette œuvre est souvent considérée comme inspirée du Quintette pour piano et vents, K. 452 de Mozart. En effet, les deux quintettes partagent la même combinaison inhabituelle d’instruments, sont écrits dans la même tonalité et présentent la même structure en trois mouvements. Une différence notable est que Beethoven, en tant que virtuose du piano, a composé les sections pour piano de façon à mettre en valeur la qualité de son jeu. De plus, le compositeur met régulièrement cet instrument à l’avant-plan. L’œuvre a été publiée en 1801 en deux versions : sous forme de quintette pour piano et vents et de quatuor pour piano et cordes (désignée par la mention op. 16). Cette performance a été enregistrée à l’Auditorium Santa Cecilia de Pérouse, le 23 juin 2022.
13:23
Mozart - Symphonie no 34, K. 338
Maestro Iván Fischer dirige l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans un merveilleux programme composé d’œuvres de Wolfgang Amadeus Mozart et d’Antonín Dvořák. Le concert débute par la Symphonie no 34 en do majeur, K. 338, de Mozart. Achevée à l’été 1780, cette œuvre est la dernière symphonie composée par Mozart à Salzbourg, où il était musicien de la cour. La symphonie compte trois mouvements : le premier et le dernier sont énergiques et entraînants, tandis que le deuxième, composé pour cordes seules, est plutôt calme. Le programme se poursuit avec la Symphonie no 7 en ré mineur, op. 70, de Dvořák. Achevée en mars 1885, cette pièce a été présentée pour la première fois à Londres un mois plus tard, sous la baguette du compositeur lui-même. Comme c’est généralement le cas pour les œuvres de cette période, la symphonie présente un style sombre et dramatique, qui crée un contraste notable avec l’œuvre du compositeur. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, le 29 janvier 2021.
14:05
Couperin - Troisième Livre: Une nouvelle voie
En écrivant son troisième livre sur le clavecin, Couperin a trouvé son propre style. La suite à l’ancienne a fait son temps et l’ordre atteint son apogée. Même si le nombre de sections par ordre est limité, une puissante description atmosphérique donne à l’œuvre caractère et cohérence. Cette publication légendaire contient certains des plus remarquables exemples du répertoire des claviers baroques : exactement dans les cordes de Bertrand Cuiller.
15:00
Waldbühne 2004 - Nuit avec Tchaïkovski
The Berliner Philharmoniker and Lang Lang under the baton of Sir Simon Rattle
16:37
Mahler - Symphonie no 1 en ré majeur, « Titan »
Le Maggio Musicale Fiorentino (Mai musical de Florence) est le plus ancien festival italien consacré à l’opéra et à la musique. Il a été créé en 1933 pour présenter des opéras contemporains et oubliés, mais au fil des ans, sa portée s’est élargie pour inclure des concerts orchestraux. Dans le cadre de l’édition 2021 du festival, maestro Daniel Harding a dirigé l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans un programme merveilleux comprenant l’Ouverture tragique en ré mineur, op. 81, de Johannes Brahms, et la Symphonie no 1 en ré majeur, dite « Titan » de Gustav Mahler. Composée pendant l’été 1880, l’ouverture de Brahms affiche un caractère sombre et tumultueux qui pourrait être considéré comme le pendant sérieux de la plus joyeuse Ouverture pour une fête académique, op. 80. Mahler a achevé sa première symphonie huit ans plus tard. À l’origine, elle comptait cinq mouvements, mais le compositeur a décidé d’éliminer le deuxième, intitulé « Blumine », quelques années plus tard pour nous laisser la version en quatre mouvements que nous connaissons aujourd’hui. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
17:35
Rachmaninov - Concerto pour piano n ° 4 et Nielsen
Fabio Luisi dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark lors d’une puissante performance tirée des célébrations en l’honneur du 150e anniversaire du compositeur national du Danemark, Carl Nielsen. Aux côtés de l’ironique Symphonie no 6 de Nielsen, le concert présente la pianiste française de renommée mondiale Lise de la Salle en tant que soliste du Concerto pour piano no 4 de Rachmaninov. Ce concerto méconnu a disposé de trois versions distinctes pendant que le compositeur était encore vivant, et il est caractérisé par son mouvement chromatique audacieux et ses qualités évoquant le jazz. Luisi et de la Salle possédaient déjà de l’expérience avec ce morceau, car ils l’avaient interprété et enregistré ensemble auparavant. Cette performance a été captée au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2017.
19:05
Villa-Lobos - Quatuor à cordes no 16
L’ensemble Quarteto Radamés Gnattali interprète le Quatuor à cordes no 16 d’Heitor Villa-Lobos. Ce quatuor composé de Carla Rincón (violon), Francisco Roa (violon), Fernando Thebaldi (alto) et Hugo Pilger (violoncelle) a été fondé en 2006 et se spécialise dans la musique brésilienne et les activités éducatives. Son enregistrement de la série complète des quatuors à cordes de Villa-Lobos est une réussite majeure qui a été saluée par la presse musicale internationale. Heitor Villa-Lobos est peu connu à l’extérieur de l’Amérique latine, si ce n’est que pour ses Bachianas brasileiras. Or, ce compositeur, chef d’orchestre et éducateur tenu en haute estime dans son Brésil natal a également composé des opéras, des symphonies, des concertos, des œuvres pour piano et chœur, ainsi que 17 quatuors à cordes. Ce concert a été enregistré au Palácio das Laranjeiras, dans la ville brésilienne de Rio de Janeiro.