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Puccini - La Bohème
PG02:01:002017HD
Gustavo Dudamel dirige l’orchestre et le chœur de l’Opéra de Paris dans une performance de La Bohème de Giacomo Puccini, enregistrée à l’Opéra national de Paris en 2017. Cette mise en scène signée Claus Guth souligne le talent des solistes, parmi lesquels se trouvent Nicole Car, Aida Garifullina, Atalla Ayan et Artur Ruciński. L’opéra La Bohème a été présenté pour la première fois en 1896 au Teatro Regio, en Italie. Le libretto de l’opéra se concentre sur la relation entre le jeune poète Rodolfo et la couturière Mimì. Lorsque les deux se rencontrent, c’est le coup de foudre immédiat. Mais malmenée par les dures réalités de la pauvreté et de la maladie, la flamme qui consomme les amants s’éteindra-t-elle? La force brute de leur passion naissante résistera-t-elle aux épreuves que la vie met sur leur chemin?
02:01
Gala from Berlin 1998 - Songs of Love and Desire
G01:30:001998HD
L’amour est le thème central de l’édition 1998 du gala du Nouvel An de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Puisque peu de compositeurs ont su décrire l’amour en musique comme Mozart et Verdi, maestro Claudio Abbado a sélectionné deux des plus grands interprètes actuels de leur œuvre, Christine Schäfer et Simon Keenlyside, comme têtes d’affiche de ce gala traditionnel. L’Argentin Marcelo Álvarez – que plusieurs comparent à un jeune Placido Domingo – livre des extraits de grandes œuvres du répertoire ténor, et la prima donna italienne Mirella Freni clôt la soirée avec une performance à couper le souffle de la scène de la lettre de l’opéra Eugène Onéguine de Tchaïkovski.
03:31
Musique brésilienne pour violoncelle & piano
G00:27:002018HD
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps. Dans le premier épisode de cette minisérie, des musiciens brésiliens discutent de l’influence de Villa-Lobos sur leur propre développement artistique et le lien intime qui liait le compositeur à son pays natal.
03:59
Berlioz - Symphonie fantastique, op. 14
G00:58:002021HD
Le chef d’orchestre Eduard Topchjan dirige l’Orchestre philharmonique national d’Arménie dans une performance de la Symphonie fantastique, op. 14, d’Hector Berlioz. Cette pièce de musique à programme a été achevée en 1830, alors que Berlioz était encore étudiant au conservatoire. Inspirée par l’amour non réciproque de Berlioz pour l’actrice irlandaise Harriet Smithson, cette symphonie en cinq mouvements raconte les rêves d’un jeune artiste qui, incapable de se remettre d’un échec amoureux, consomme une dose mortelle d’opium. Berlioz reprend la même mélodie dans chaque mouvement, pour illustrer l’obsession du jeune protagoniste pour sa bien-aimée. L’œuvre fait appel à un orchestre imposant et compte un éventail impressionnant d’instruments, notamment des cloches d’église, un hautbois présent en coulisses et des instruments à cordes jouant col legno, soit avec le bois de l’archet. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Aram Khachaturian de Yerevan, en Arménie, en 2021.
04:57
IVC 2021 Demi-finale: Ives, Brahms et autres
G00:24:002021HD
Le baryton-basse Matthias Hoffmann (Autriche, 1991) et la pianiste Lisa Ochsendorf (Allemagne, 1991) interprètent « A. Very pleasant » tirée de « Memories » de Charles Ives; « Nachtwanderer » tirée de Fünf Lieder, op. 7, de Hans Erich Pfitzner; « Nachts » tirée de Zehn Lieder, op. 9, de Hans Sommer; « Da unten im Tale » tirée de Deutsche Volkslieder, WoO. 33, de Johannes Brahms; Chanson triste d’Henri Duparc; Vermeer's gold de Bart Visman; « La maîtresse volage » tirée des Chansons gaillardes, FP 42, de Francis Poulenc; Gruppe aus dem Tartarus, op. 24, no 1, D. 583, de Franz Schubert; « Na smert’ chizhika » tirée des Douze romances, op. 21, de Sergueï Rachmaninov; et « Sprich, Scheherazade » tirée de Neue Dichter Lieben de Moritz Eggert dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
05:22
Mozart - Concerto pour piano nº 14, KV 449
G00:37:002016HD
Le pianiste italien Francesco Attesti (*1975) figure sans contredit parmi les plus grands interprètes du répertoire romantique. Attesti a donné son premier concert à 11 ans, et s’est vu décerner les plus hautes notes par le Conservatorio Luigi Cherubini de Florence à 23 ans. Dans cet enregistrement capté lors de la tournée Deeply Mozart en 2016, Attesti interprète les concertos pour piano KV 449 et KV 488 de Mozart en compagnie de l’orchestre italien OIDA, sous la direction du chef d’orchestre Paolo Belloli.
06:00
Concerto pour piano no 12, KV 414
G00:28:001990HD
Vladimir Ashkenazy est à la fois soliste et chef d’orchestre du Concerto pour piano no 12, KV 414 de Mozart. Il est accompagné par l’Orchestre philharmonique royal au Hampton Court Palace, à Londres.
06:28
Chopin - Ballade No. 1, Op. 23
G00:12:002019HD
Roberto Giordano interprète la Ballade no 1, op. 23 de Chopin. Les esquisses de l’œuvre remontent à 1831, durant le séjour de huit mois de Chopin à Vienne. La première ballade a été achevée en 1835, après le déménagement à Paris du compositeur. Sa section principale est constituée de deux thèmes principaux qui se répètent dans diverses tonalités, suivis d’un accord tonitruant introduisant le presto con fuoco, qui termine le morceau avec une brûlante gamme de deux octaves. L’œuvre a acquis de la notoriété après avoir figuré sur la trame musicale du film Le pianiste (2002), de Roman Polanski, où elle est interprétée par Janusz Olejniczak.
06:41
Concert Mozart à Berlin
G01:13:002005HD
L’orchestre de chambre Carl Philipp Emanuel Bach livre un programme entièrement consacré à Mozart au Konzerthaus de Berlin, sous la direction d’Hartmut Haenchen. En formule réduite, l’ensemble parvient à donner vie aux nombreuses caractéristiques de la musique et à l’esprit unique du célèbre compositeur, qu’il s’agisse de sa gaieté de cœur, de son lyrisme, de son côté dramatique ou de son écriture polyphonique inspirée. La critique a toujours fait l’éloge de l’assurance stylistique, de la transparence des textures et de la précision technique de l’orchestre Carl Philipp Emanuel Bach. L’extraordinaire sensibilité et l’aisance assumée de Stefan Vladar en font un partenaire idéal pour Haenchen et son orchestre. Au programme de la soirée, on trouve Divertimento, K. 113; le Concerto pour piano et orchestre n° 20, K. 466 et la Symphonie n° 41, K. 551.
07:54
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Simone McIntosh
G00:18:002022HD
La mezzo-soprano Simone McIntosh (Canada, 1991) interprète « Ah scostati! … Smanie implacabili » de l’opéra Così fan tutte de Wolfgang Amadeus Mozart; « Morgen » des 4 Lieder (op. 27) de Richard Straus; et « Dieu! Que viens-je d’entendre? », tiré de l’opéra Béatrice et Bénédict d’Hector Berlioz, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Elle est accompagnée de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
08:13
Dance on screen
G00:58:002013HD
Dans Dance on Screen, le réputé réalisateur Reiner E. Moritz explore l’influence des médias modernes du 20e siècle sur le milieu de la danse, et vice-versa. L’invention de la caméra de cinéma et de la télévision a permis au public de découvrir non seulement de magnifiques œuvres chorégraphiques, mais également les expressions faciales et la présence scénique des artistes. Ces avancées techniques ont permis la conservation de cette forme d’art essentiellement éphémère. Abordant le ballet classique comme la danse moderne, Dance on Screen comprend également des entrevues avec des chorégraphes et des réalisateurs de renom, ainsi que des performances de certains des plus grands danseurs du 20e siècle, dont Alvin Ailey, Anna Pavlova et Pina Bausch.
09:12
PIAM - Demi-finale: Beethoven et Liszt
G00:49:002021HD
L’héritage du réputé dénicheur de talents italien Antonio Mormone (1930-2017) se perpétue grâce au Premio Internazionale Antonio Mormone (PIAM), un concours de musique classique consacré à la relève. La première édition du concours, qui s’est déroulée dans diverses salles de Milan entre 2019 et 2021, était consacrée au piano. Philipp Scheucher (Autriche, 1993) y interprète Fantasia, op. 77, et le menuet « Moderato e grazioso » de la Sonate no 18 en mi bémol majeur, op. 31, no 3, de Ludwig van Beethoven; et la transcription de Franz Liszt du premier mouvement « Allegro con brio », tiré de la Symphonie no 5 en do mineur de Beethoven. Cette performance a été enregistrée au Nuovo Teatro Ariberto de Milan, en mai 2021.
10:02
Mon coeur brûle
G00:44:002006HD
René Pape incarne parfaitement la nouvelle génération de chanteurs d’opéra : d’apparence actuelle et décontractée, il a soif de nouveaux défis et témoigne d’une ouverture à l’expérimentation ambitieuse. Dans le film musical My Heart Is Burning, René Pape chante et joue divers rôles qui font étalage de l’impressionnante polyvalence de sa voix et des nombreuses facettes de sa personnalité. Réalisé par Sibylle Muth.
10:47
Œuvres pour violoncelle et piano: Debussy et al.
G01:07:002023HD
La violoncelliste italienne Silvia Chiesa et le pianiste italien Maurizio Baglini proposent un magnifique récital dans le cadre de l’édition 2023 de l’Amiata Piano Festival. Au programme se trouvent la Sonate pour violoncelle, L. 135, de Claude Debussy; l’allegro moderato tiré de la Sonate pour violoncelle no 1 en do mineur, op. 32, de Claude Debussy; l’allegro ma non troppo tiré de la Sonate pour violoncelle no 1 en mi mineur, op. 38, de Johannes Brahms; l’allegro scherzando tiré de la Sonate pour violoncelle en sol mineur, op. 19, de Sergueï Rachmaninov; alla Romanza – largo doloroso tiré de la Sonate pour violoncelle en ré majeur, op. 38, de Francesco Cilea; le scherzo – allegro molto tiré de la Sonate pour violoncelle no 3 en la majeur, op. 69, de Ludwig van Beethoven; « Vive Henri IV (no 2) » et « Charmante Gabrielle » (no 3) tirées d’Après cinq chansons d’élite d’Azio Corghi; et Rhapsody in Blue de George Gershwin (transcription pour violoncelle et piano de Thierry Huillet). Cette performance a été enregistrée au Forum Fondazione Bertarelli de Poggi del Sasso, en Italie, le 29 juillet 2023.
11:55
Dvořák - Symphonie no 9, op 95
G00:46:002017HD
Andris Nelsons et sa femme, la grande soprano Kristine Opolais, et le Gewandhausorchester de Leipzig présentent un concert consacré à Antonin Dvořák, dans lequel les mélodies cachées par le compositeur dans toutes les couches de sa musique se déploient avec des nuances tendres, chaudes et douces. Les tempos de Nelsons demeurent calmes et décontractés, permettant à la beauté omniprésente de la musique de Dvořák d’inonder le Gewandhaus. Le programme du concert débute par l’ouverture pour orchestre Othello, op. 93. Opolais interprète ensuite le « Chant à la lune » tirée de Roussalka et « Chansons que ma mère m’a apprises » tirée des Mélodies gitanes, op. 55/4, suivies par la Polonaise, « O, marno, marno to je » de Roussalka et « Dobrá! Já mu je dám!... Jak je mi? » de l’opéra Dalibor de Smetana. Le concert se termine par une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95 (« Du Nouveau Monde »). Enregistré au Gewandhaus de Leipzig en mai 2017.
12:41
Arias, solos et duos de J. S. Bach
G00:58:002020HD
Le baryton Matthias Goerne s’est associé au violoniste Vilde Frang, au violoncelliste Nicolas Altstaedt, au flûtiste Stathis Karapanos et à la claveciniste Michaela Hasselt pour présenter un programme consacré à la musique de J. S. Bach. Ils ont interprété des arias pour baryton tirées de ses plus belles cantates, ainsi que des morceaux en solo ou en duo. Au programme, la Sonate no 3 en do majeur pour violon solo (BWV 1005); « Hier, in meines Vaters Stätte » (BWV 32); « Die Welt mit allen Königreichen » (BWV 59); la Suite no 5 en do mineur pour violoncelle solo (BWV 1011); « Wenn Trost und Hülf ermangeln muß » (BWV 117); « Ja, ja, ich halte Jesum fest » (BWV 157); l’Invention no 7 en mi mineur (BWV 778); l’Invention no 12 en la majeur (BWV 783); et « Welt ade, ich bin dein müde » (BWV 158). Cette performance a été captée à l’église St. Mary’s de Wittenberg, en Allemagne.
13:39
PIAM - Demi-finale: Mendelssohn et Chopin
G00:20:002021HD
En 2019-2021, la première édition du Prix international Antonio Mormone (Premio Internazionale Antonio Mormone) a eu lieu dans la ville italienne de Milan. Ce concours international a été créé par Enrica Ciccarelli, présidente de la fondation La Società dei Concerti, en mémoire du célèbre découvreur de talents Antonio Mormone (1930-2017). La première édition était consacrée au piano. Dans le cadre de ce concours, Leonardo Colafelice (Italie, 1995) interprète les Variations sérieuses (op. 54) de Felix Mendelssohn et la Polonaise « Héroïque » en la bémol majeur (op. 53) de Frédéric Chopin. Cette performance a été captée au Nuovo Teatro Ariberto de Milan en mai 2021.
14:00
Bruges : Métropole bourguignonne
G01:17:002018HD
Au 14e siècle, le duché de Bourgogne a fait de Bruges sa résidence officielle. La ville est devenue un aimant pour les artistes. Le manuscrit de Gruuthouse, qui est la plus ancienne collection connue de chansons en moyen néerlandais, exprime l’ébullition de Bruges la métropole. ClubMédiéval juxtapose ces chansons avec des œuvres d’Oswald von Wolkenstein et Machaut.
15:18
Martha Argerich – Concert d’anniversaire I
G01:24:002021HD
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant consacré à la musique de chambre, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom, dont les pianistes Evgeny Kissin, Iddo Bar-Shaï et Arielle Beck, les violonistes Gidon Kremer, Maxim Vengerov et Tedi Papavrami, le violoncelliste Mischa Maisky et le bugliste Sergei Nakariakov, ainsi que sa fille Lyda Chen-Argerich (piano et alto) et son petit-fils David Chen-Argerich (piano). Le programme de ce concert comprend Gratulationsrondo pour piano et violon d’Alfred Schnittke; les Préludes nos 5, 21 et 24 des 24 Préludes, op. 100, de Mieczysław Weinberg (arrangements pour violon solo de G. Kremer); la valse et la gloire tirées des Six morceaux, op. 11, et Romance à six mains de Sergueï Rachmaninov; Liebesleid de Fritz Kreisler; Fantasiestücke, op. 73, et le Quintette pour piano en mi bémol majeur, op. 44, de Robert Schumann; et « Laideronnette, impératrice des Pagodes » tirée de Ma mère l’Oye de Maurice Ravel. Ce concert a été enregistré le 11 juin 2021.
16:43
Holst - Les Planètes
G00:52:002019HD
Sous la direction de Conrad van Alphen, la Sinfonia Rotterdam et le Nationaal Vrouwen Jeugdkoor interprètent Les Planètes, op. 32 de Gustav Holst au palais de concerts De Doelen de Rotterdam, en 2019. Van Alphen a fondé la Sinfonia Rotterdam en 2000. Sous son leadership passionné, l’orchestre est rapidement devenu l’un des ensembles musicaux les plus réputés des Pays-Bas. Holst a créé Les Planètes entre 1914 et 1916 pour exprimer son intérêt envers l’astrologie. Cette suite pour orchestre est composée de sept mouvements nommés d’après les planètes connues à l’époque (à l’exception de la Terre) et leur signe astrologique correspondant : Mars, celui qui apporte la guerre; Vénus, celle qui apporte la paix; Mercure, le messager ailé; Jupiter, celui qui apporte la gaieté; Saturne, celui qui apporte la vieillesse; Uranus, le magicien; et Neptune, le mystique. Le mouvement consacré à Jupiter comprend une mélodie glorieuse qui est aujourd’hui largement connue, adaptée par Holst lorsqu’il a mis en musique le poème I Vow to Thee, My Country. Le dernier mouvement des Planètes comprend un chœur féminin qui donne à la musique une atmosphère mystérieuse et céleste.
17:35
Chostakovitch - Vingt-quatre préludes et fugues
G01:57:002023HD
Le pianiste franco-anglais David Levy interprète les Vingt-quatre préludes et fugues, op. 87, de Dmitri Chostakovitch. Cette œuvre est une série de 24 pièces pour piano, déclinées dans toutes les tonalités majeures et mineures de l’échelle chromatique. Chaque pièce compte deux parties : un prélude suivi d’une fugue. Le compositeur s’est sans doute inspiré du célèbre Clavier bien tempéré (BWV 846-893) de J. S. Bach, une collection de 48 préludes et fugues publiée en deux livres. Chostakovitch a amorcé son œuvre à l’automne 1950, après avoir assisté au concours Bach à Leipzig en tant que membre du jury. Il y a été profondément impressionné par l’interprétation des 48 préludes et fugues de Bach par la pianiste russe Tatiana Nikolayeva. Une fois l’œuvre achevée, en février 1951, le compositeur l’a dédiée à cette dernière, qui en a interprété la première à Leningrad, en décembre 1952. Cette performance a été enregistrée au Budapest Music Center, en Hongrie, en septembre 2023.
19:32
Beethoven - Quintette pour piano et vents, op. 16
G00:28:002022HD
Luca Vignali (hautbois), Angelo De Angelis (clarinette), Carmine Pinto (cor), Eliseo Smordoni (basson) et Linda Di Carlo (piano) interprètent le Quintette pour piano et vents en mi bémol majeur, op. 16, de Ludwig van Beethoven. Achevée en 1796, cette œuvre est souvent considérée comme inspirée du Quintette pour piano et vents, K. 452 de Mozart. En effet, les deux quintettes partagent la même combinaison inhabituelle d’instruments, sont écrits dans la même tonalité et présentent la même structure en trois mouvements. Une différence notable est que Beethoven, en tant que virtuose du piano, a composé les sections pour piano de façon à mettre en valeur la qualité de son jeu. De plus, le compositeur met régulièrement cet instrument à l’avant-plan. L’œuvre a été publiée en 1801 en deux versions : sous forme de quintette pour piano et vents et de quatuor pour piano et cordes (désignée par la mention op. 16). Cette performance a été enregistrée à l’Auditorium Santa Cecilia de Pérouse, le 23 juin 2022.
20:00
L'Angleterre, mon Angleterre - II
G00:20:002015HD
Du 28 août au 6 septembre 2015, le Festival de musique ancienne d’Utrecht a braqué les projecteurs sur England, my England. Lex Bohlmeijer anime ce documentaire en deux parties qui convie les téléspectateurs à un périple intrigant à travers l’Angleterre du Moyen Âge, de la Renaissance et de la période baroque, et crée un parallèle avec la ville d’Utrecht. Dans l’épisode 2 de la série documentaire England, my England, l’animateur René de Kam plonge dans le passé anglican de la ville d’Utrecht. Les téléspectateurs auront l’occasion de rencontrer les musiciens du festival, notamment Benjamin Bagby, Skip Sempé et The Newcastle Kingsmen, dont les membres interprètent une danse du sabre traditionnelle appelée Rapper Sword Dance dans le cadre de spectacles présentés dans les pubs de la ville.
20:21
Ravel - Ma mère l'Oye
G00:38:002023HD
Le 21 octobre 2023, la pianiste argentine Martha Argerich et plusieurs artistes de talent ont pris part à un concert caritatif au profit du Fonds Érasme pour la recherche médicale en soins intensifs au Conservatoire royal de Bruxelles, en Belgique. Le concert rend hommage au réputé violoncelliste Aleksandr Khramouchin (1979), décédé subitement le 13 mai 2023. Dans le cadre de ce concert, Argerich et la pianiste et veuve de Khramouchin Eliane Reyes interprètent Ma mère l’Oye de Maurice Ravel, une suite de cinq pièces composées pour piano à quatre mains.
21:00
Ice Dance: Cendrillon (2008)
G01:58:002008HD
Les Imperial Ice Stars possèdent la réputation d’être la meilleure compagnie de patinage contemporain au monde. Leur production Swan Lake on Ice (2006) a été présentée devant plus d’un million de personnes dans 12 pays. Le public et la critique ont adoré, le spectacle étant chaque soir accueilli par une ovation. Cette version de Cendrillon par les Imperial Ice Stars se déroule en Sibérie, et le célèbre récit a été dynamisé et mis à jour par Tony Mercer, directeur artistique primé. Avec à nouveau des décors, des costumes et des éclairages magnifiques, Cinderella on Ice saura vous divertir à plusieurs niveaux. Une performance réalisée par 26 patineurs sur une trame musicale originale spécialement commandée pour l’occasion, enregistrée en direct en août 2008 à Melbourne, en Australie.
22:58
Beethoven - Symphonie no 4 en si bémol majeur
G00:36:002014HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 4 en si bémol majeur, op. 60, de Beethoven. Le comte Franz von Oppersdorff, grand amateur de la Symphonie no 2 de Beethoven, a offert à ce dernier une somme considérable pour produire une œuvre similaire. Achevée à l’automne 1806, la symphonie a été présentée pour la première fois dans le cadre d’un concert privé à Vienne, en mars 1807. Bien qu’elle soit souvent éclipsée par son prédécesseur et son successeur révolutionnaires, la Symphonie no 4 offre un contraste intéressant grâce à son caractère léger et réjouissant. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
23:35
Mozart - Quintette pour piano et vents, K. 452
G00:24:002022HD
Luca Vignali (hautbois), Angelo De Angelis (clarinette), Carmine Pinto (cor), Eliseo Smordoni (basson) et Linda Di Carlo (piano) interprètent le Quintette pour piano et vents en mi bémol majeur, K. 452, de Wolfgang Amadeus Mozart. La première de l’œuvre a été présentée le 1er avril 1784 au Burgtheater de Vienne, mettant en vedette le compositeur lui-même au piano. Quelques jours après la première, Mozart écrivait à son père, Léopold : « Moi-même, je le tiens pour ce que j’ai encore fait de mieux dans ma vie. ». Le quintette se distingue par son instrumentation inhabituelle, qui a posé un défi au compositeur, car « le recours aux vents seuls, par opposition à une utilisation en paire, pose des problèmes d’harmonie ». Mozart a donc exploré de nombreuses combinaisons d’instruments pour produire différentes sonorités et utilisé des phrases et des motifs courts pour dynamiser l’œuvre. Cette performance a été enregistrée à l’Auditorium Santa Cecilia de Pérouse, le 23 juin 2022.