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lun. 11 août
05:01
Brahms - Symphonie n° 4 en mi mineur, op. 98
G00:39:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances interprète la Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98, de Johannes Brahms. Brahms a achevé sa dernière symphonie en 1885, et en a dirigé la première en octobre de la même année, dans la ville allemande de Meiningen. Le mouvement final de la Symphonie no 4 est une chaconne, une variation classique qui reflète la fascination du compositeur envers la musique baroque. Ce mouvement s’ouvre avec un thème à huit mesures emprunté de la cantate Nach dir, Herr, verlanget mich, BWV 150, de J. S. Bach, et se poursuit par une série de variations présentant le même motif de basse. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2014.
11:28
Beethoven Concerto pour piano no 1
G00:37:002020HD
À l’âge de sept ans, Martha Argerich a fait ses débuts sur scène en interprétant le Concerto pour piano no 1 en do majeur de Ludwig van Beethoven, pièce qui l’accompagnera tout au long de sa carrière. Dans ce concert présenté au Festival de Lucerne, la pianiste de renom livre sa pièce signature accompagnée par l’orchestre du Festival de Lucerne sous la direction du maestro suédois Herbert Blomstedt, qui fait ici ses débuts à la tête de l’ensemble. Cette performance a été enregistrée en août 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
13:20
Schumann - Sonate pour piano no 2, op. 22
G00:41:002021HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète la Sonate pour piano no 2 en sol mineur, op. 22. Cette œuvre achevée en 1838 est la plus souvent interprétée et enregistrée des trois sonates de Schumann. Elle s’ouvre sur un premier mouvement énergique, suivi d’un magnifique andantino langoureux basé sur la pièce « Im Herbste » (1828) du compositeur. Le troisième mouvement est un court scherzo. À la demande de sa future épouse, Clara, Schumann a remplacé le mouvement final d’origine par une version moins complexe. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
mar. 12 août
05:31
Schumann - Faschingsschwank aus Wien, op. 26
G00:28:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il présente Faschingsschwank aus Wien, op. 26 (Carnaval de Vienne). Schumann a composé les quatre premiers mouvements de cette pièce lors de son dernier séjour à Vienne, en 1839, et a achevé l’œuvre lors de son retour à Leipzig. Figurant parmi les cycles pour piano les plus populaires du compositeur, Faschingsschwank aus Wien est composée de cinq mouvements recréant l’atmosphère festive et animée du carnaval. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
09:24
Liszt – Aïda (de Paraphrase de l’opéra de Verdi)
G00:39:002007HD
Les œuvres pour piano de Franz Liszt peuvent en gros être divisées en deux catégories : les œuvres « originales » et les paraphrases et fantaisies sur des œuvres d’autres compositeurs.Dans cette pièce, il a adapté « Rigoletto », l’un des opéras les plus dramatiques de Verdi. Plusieurs morceaux de choix de cet opéra reviennent dans cette pièce. Entout, Liszt a adapté trois opéras de Verdi pour piano (« Rigoletto », « Ernani » et « Il Trovatore ») pour le pianiste et chef d’orchestre Hans von Bülow qui a donné une série de concerts à Berlin. De ces arrangements pour piano, Liszt a voulu en faire des pièces de spectacle, adaptées aussi bien au son qu’à l’expression de cet instrument, et il y a certainement réussi. Dans cette émission : la « Danse sacrée » et le « Duo final » de « Aïda ».
10:04
Bruckner - Symphonie nº 5
G01:18:002006HD
La cinquième symphonie de Bruckner a été surnommée la « médiévale » en raison de ses textures sonores contrapuntiques, baroques et à plusieurs niveaux, mais aussi la « catholique » en raison de sa majesté solennelle. Si ces attributs correspondent parfaitement à l’œuvre, Bruckner lui-même l’a plutôt surnommée sa « Fantastique », ce qui est encore plus vrai lorsqu’elle est jouée au monastère de Saint-Florian, comme sur cet enregistrement. Ce n’est pas sans raison que Bruckner a également appelé sa cinquième son « chef-d’œuvre contrapuntique ». En effet, l’incroyable proéminence du finale provient d’un jeu contrapuntique presque fanatique qui rassemble les structures de toute la symphonie en une forme homogène et les mène ensemble dans une double fugue grandiose qui est unique, même pour Bruckner. Franz Welser-Möst, directeur musical du Cleveland Orchestra et de l’Opéra de Zurich, a fait venir son ensemble américain à Saint-Florian en septembre 2006 pour des représentations aux Internationales Brucknerfest Linz. Bruckner a écrit la Symphonie no 5 en 1875-1876, mais l’œuvre n’a été créée qu’en 1894, après avoir subi de nombreuses révisions par le compositeur.
16:39
Beethoven - Symphonie no 9 en ré mineur, op. 125
G01:14:002015HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans le cadre de ce concert enregistré à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2015, Jordan dirige l’Orchestre et le Chœur de l’Opéra national de Paris, ainsi que quatre chanteurs, dans une performance de la Symphonie no 9 en ré mineur, op. 125, de Beethoven. Les solistes sont la soprano Ricarda Merbeth, la mezzo-soprano Daniela Sindram, le ténor Robert Dean Smith et la basse Günther Groissböck. Beethoven a composé son ultime symphonie entre 1822 et 1824, alors qu’il était presque entièrement sourd. Plus longue des symphonies de Beethoven, la Neuvième symphonie est sans doute également la plus grandiose, notamment en raison de son mouvement final, lors duquel un chœur et quatre solistes chantent le poème An die Freude (Ode à la joie) de Friedrich von Schiller.
mer. 13 août
05:02
Beethoven - Symphonie no 2, Op. 36
G00:39:002020HD
Dans ce concert présenté au Festival de Lucerne, le maestro suédois Herbert Blomstedt dirige l’orchestre du Festival de Lucerne dans une performance de la Symphonie no 2 en ré majeur, op. 36, de Ludwig van Beethoven. Cette performance a été enregistrée en août 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
06:00
Mahler - Rückert-Lieder
G00:24:001988HD
La soprano galloise Margaret Price interprète les Rückert-Lieder de Gustav Mahler, accompagnée par l’Orchester der Ludwigsburger Schloßfestspiele, sous la direction de Wolfgang Gönnenwein. Les Rückert-Lieder de Mahler sont composés de cinq chants basés sur des poèmes de Friedrich Rückert (1788-1866). Les quatre premiers ont été achevés au cours de l’été 1901 sous deux versions : pour piano et pour orchestre, tandis que le cinquième chant, « Liebst du um Schönheit » (Je t’aime pour la beauté), n’a jamais été orchestré par le compositeur lui-même. Mahler a écrit cette dernière afin d’exprimer son amour pour sa fiancée, Alma Schindler. Cette performance a été captée au Ludwigsburger Schloßfestspiele en 1988.
10:01
Mahler - Symphonie no 1
G00:59:002008HD
La source d’inspiration de la Symphonie No. 1 de Gustav Mahler a été le roman « Titan » de Jean Paul, dans lequel un jeune artiste talentueux n’arrive pas à trouver sa place dans la société et se livre au désespoir et au suicide. Cette œuvre ne s’est pas faite sans coup férir : Mahler l’a composée entre 1887 et 1888 alors qu’il avait la vingtaine et qu’il travaillait comme chef d’orchestre à l’Opéra de Leipzig. La première version de l’œuvre a été vue comme un poème symphonique en deux parties aux titres imagés. La première de cette œuvre originale a eu lieu en 1898 à Budapest mais elle a été mal accueillie. Mahler a décidé de la réviser : il a barré les titres et il a supprimé la deuxième partie (« Blumine »). Le résultat est une très belle symphonie pleine de références musicales. Ainsi, dans la première partie nous pouvons reconnaître un morceau antérieur de Mahler, la deuxième chanson de « Chants d’un compagnon errant », la deuxième partie est une danse paysanne autrichienne et dans la troisième partie il fait allusion à la mélodie « Frère Jacques ». Somme toute, la Symphonie No. 1 est un accomplissement incroyable pour un compositeur si jeune.
13:22
Schumann - Concerto pour violoncelle, op. 129
G00:37:002016HD
Ce concert de Pâques présenté au Festspielhaus de Baden-Baden est une véritable rencontre au sommet : Manfred Honeck y dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin et le légendaire violoncelliste Yo-Yo Ma. Honeck, directeur musical de l’Orchestre symphonique de Pittsburgh, a fait ses débuts avec le Berliner Philharmoniker en 2013, et Yo-Yo Ma joue régulièrement avec l’orchestre depuis 1978. Le concert débute par l’Ouverture tragique, op. 81, de Brahms, suivie du Concerto pour violoncelle, op 129, de Schumann. Le programme se termine par la Symphonie no 6, dite Pathétique, de Tchaïkovski. Le Concerto pour violoncelle de Schumann n’a jamais été joué du vivant de son compositeur, et Tchaïkovski est mort neuf jours seulement après la première de sa Sixième Symphonie.
17:55
Beethoven - Septuor en mi bémol majeur, op. 20
G00:44:002020HD
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent le Septuor en mi bémol majeur, op. 20, pour clarinette, cor, basson, violon, alto, violoncelle et contrebasse de Ludwig van Beethoven. Composée en 1799, cette œuvre a connu une grande popularité du vivant du compositeur. Plusieurs arrangements ont été créés par Beethoven lui-même pour différents ensembles, notamment pour deux guitares et quatre pianos, ou encore pour clarinette (ou violon), violoncelle et piano. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
20:36
Orchestre finale - Concours de piano Liszt 2017
G00:23:002017HD
Minsoo Hong (1993, South Korea) performs Franz Liszt's Piano Concerto No. 1 (S124) during the final of the 11th International Franz Liszt Piano Competition, held in TivoliVredenburg, Utrecht 2017. The competition actively presents, develops and promotes piano talents from around the world. In doing so, it has become one of the prominent gateways to the international professional classical music scene for young musicians. The International Franz Liszt Piano Competition was founded in 1986 in the Netherlands and since has built a reputation as one of the world’s most prestigious piano competitions.
jeu. 14 août
04:38
Beethoven - Symphonie no 4 en si bémol majeur
G00:36:002014HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 4 en si bémol majeur, op. 60, de Beethoven. Le comte Franz von Oppersdorff, grand amateur de la Symphonie no 2 de Beethoven, a offert à ce dernier une somme considérable pour produire une œuvre similaire. Achevée à l’automne 1806, la symphonie a été présentée pour la première fois dans le cadre d’un concert privé à Vienne, en mars 1807. Bien qu’elle soit souvent éclipsée par son prédécesseur et son successeur révolutionnaires, la Symphonie no 4 offre un contraste intéressant grâce à son caractère léger et réjouissant. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
12:06
Brahms - Symphonie no 2 en ré majeur, op. 73
G00:41:002015HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 2 en ré majeur, op. 73, de Johannes Brahms. Bien que Brahms ait mis de nombreuses années à achever sa première symphonie, il a bouclé sa Symphonie no 2 en quelques mois à peine, à l’été 1877, dans le village autrichien paisible de Pörtschach. Avec son lyrisme et ses mélodies joyeuses, cette œuvre surnommée Symphonie pastorale est sans contredit la plus ensoleillée et la plus optimiste des quatre symphonies composées par Brahms en carrière. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2015.
19:59
Schubert - Symphonie no 8 en si mineur, D. 759
G01:00:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 8 en si mineur, D. 759, de Franz Schubert. Schubert a commencé cette œuvre en 1822, mais en a seulement achevé les deux premiers mouvements, d’où son surnom de Symphonie inachevée. Le premier mouvement, l’allegro moderato, affiche des couleurs sombres et mystérieuses, qui offrent un contraste saisissant au magnifique deuxième mouvement, l’andante con moto en mi majeur. Schubert n’a composé que quelques mesures du troisième mouvement, un scherzo, en partition complète. Nul ne sait pourquoi le compositeur n’a jamais terminé cette symphonie, mais plusieurs théories circulent. Malgré tout, cette pièce figure parmi les compositions les plus populaires de Schubert. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la musique de Paris, en France, en 2013.
22:41
Schumann - Symphonie no 1 en si bémol majeur
G00:36:002017HD
Le chef d’orchestre allemand Christian Zacharias dirige l’Orchestre national de Lille dans une performance de la Symphonie no 1 en si bémol majeur, op. 38, de Robert Schumann, également connue sous le nom de « Symphonie du Printemps ». Cette pièce aux accents optimistes a été composée en 1841, et est la plus populaire des quatre symphonies de Schumann. Ce concert a été enregistré à l’Auditorium du Nouveau Siècle de Lille, en France, le 16 juin 2017.
ven. 15 août
01:48
Mahler - Symphonie no 4
G01:04:001992HD
Le chef d’orchestre néerlandais Bernard Haitink dirige le Berliner Philharmoniker dans une interprétation de la Symphonie no 4 de Gustav Mahler au Schauspielhaus de Berlin, en 1992. La soliste est la soprano Sylvia McNair. Mahler a composé sa quatrième symphonie entre 1899 et 1900, et l’a présentée pour la première fois à Munich l’année suivante. L’œuvre reprend la pièce Das himmlische Leben (La vie céleste), que Mahler avait déjà composée en 1892. Cette pièce présente le ciel à travers le regard d’un enfant, et est interprétée par une soprano dans le quatrième et dernier mouvement, bien que ses lignes mélodiques soient déjà reconnaissables dans les trois premiers mouvements.
03:51
Beethoven - Concerto pour violon, op. 61
G00:50:002015HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Dans cette performance, Grimal est accompagné de son ensemble pour interpréter le Concerto pour violon en ré majeur, op. 61, de Ludwig van Beethoven. Composé en 1806, le Concerto pour violon est la seule œuvre du genre créée par Beethoven. À la suite d’une première peu concluante, l’œuvre n’a pas été souvent interprétée au cours des décennies suivantes, mais a connu un second souffle en 1844, après une performance remarquable d’un jeune violoniste de 12 ans appelé Joseph Joachim. Depuis, il s’agit de l’une des œuvres du genre les plus souvent présentées. En rappel, Grimal interprète l’allegro tiré de la Sonate pour violon no 2 en la mineur, BWV 1003, de J. S. Bach. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2015.
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 19, KV 459
G00:31:001990HD
Radu Lupu interprète le Concerto pour piano no 19, KV 459 de Mozart en compagnie de la Deutsche Kammerphilharmonie, sous la direction de David Zinman. Cette performance a été filmée dans la salle impériale de la résidence de Munich. Lorsque Léopold II, empereur d’Autriche, s’est rendu à Francfort pour être nommé empereur du Saint-Empire en 1790, Mozart l’a suivi en espérant se voir confier la composition de l’œuvre de couronnement. Or, cette entreprise s’est révélé être désastreuse, et c’est plutôt à Antonio Salieri qu’est incombé la tâche. Mozart, frustré de cet échec, a cependant été invité à composer et à interpréter un concerto en marge des cérémonies de couronnement. Bien qu’ignorée à l’époque de sa création, cette œuvre n’en demeure pas moins un chef d’œuvre.
09:13
Schumann - Faschingsschwank aus Wien, op. 26
G00:48:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il présente Faschingsschwank aus Wien, op. 26 (Carnaval de Vienne). Schumann a composé les quatre premiers mouvements de cette pièce lors de son dernier séjour à Vienne, en 1839, et a achevé l’œuvre lors de son retour à Leipzig. Figurant parmi les cycles pour piano les plus populaires du compositeur, Faschingsschwank aus Wien est composée de cinq mouvements recréant l’atmosphère festive et animée du carnaval. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
13:20
Debussy - La Mer
G00:44:002000HD
Dans ses « Trois esquisses symphoniques pour orchestre » (ou simplement « La Mer »), Claude Debussy donne sa vision abstraite sur la mer. Les trois parties dépeignent chacune une scène maritime différente. Le premier mouvement s’intitule « De l’aube à midi sur la mer », le deuxième « Jeux de vagues » et le troisième « Dialogue du vent et de la mer ». La mer de Debussy, c’est la mer Méditerranée : il la connaissait de ses visites à Cannes dans sa jeunesse et de ses voyages en Italie plus tard dans sa vie.
21:00
Brahms - Symphonie n° 4 en mi mineur, op. 98
G00:41:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances interprète la Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98, de Johannes Brahms. Brahms a achevé sa dernière symphonie en 1885, et en a dirigé la première en octobre de la même année, dans la ville allemande de Meiningen. Le mouvement final de la Symphonie no 4 est une chaconne, une variation classique qui reflète la fascination du compositeur envers la musique baroque. Ce mouvement s’ouvre avec un thème à huit mesures emprunté de la cantate Nach dir, Herr, verlanget mich, BWV 150, de J. S. Bach, et se poursuit par une série de variations présentant le même motif de basse. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2014.
21:41
Bruckner - Symphonie nº 7
G01:06:002008HD
Franz Welser-Möst dirige le Cleveland Orchestra dans une interprétation de la Symphonie n°7 de Bruckner. L’œuvre occupe une place singulièrement importante dans la production du compositeur. C’est avec cette pièce que Bruckner a finalement obtenu une large reconnaissance et elle est restée l’une de ses œuvres les plus populaires. La symphonie suit le format classique en quatre mouvements, et son cœur est un adagio long et profond, composé en mémoire de Wagner. Le premier mouvement commence par un thème vertigineux annoncé par les violoncelles. Le scherzo soulage l’atmosphère sombre de l’adagio précédent et la finale conclut la symphonie sur une note de joie débridée. Performance captée au Severance Hall, Cleveland, en 2008.
sam. 16 août
04:24
Beethoven - Symphonie no 3, op. 55
G00:48:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 3 en mi bémol majeur, op. 55, dite Eroica, de Ludwig van Beethoven. Admirateur des idéaux de la Révolution française, le compositeur avait initialement dédié sa symphonie à Napoléon Bonaparte. Toutefois, lorsqu’il a appris que ce dernier s’était autoproclamé Empereur, Beethoven a violemment effacé son nom du manuscrit. Composée entre 1803 et 1804, la symphonie est considérée comme un point de bascule de l’histoire de la musique occidentale ainsi que du style de Beethoven. La Symphonie no 3 est plus longue que les symphonies précédentes du compositeur. La pièce s’ouvre sur deux accords puissants, qui remplacent la longue introduction caractéristique des symphonies précédentes de Beethoven. Le thème central est ensuite introduit par les violoncelles et les contrebasses. Le deuxième mouvement est une marche funèbre tout en lenteur, suivi par un scherzo rapide. Le quatrième et dernier mouvement est dominé par un thème composé par Beethoven pour son ballet Les Créatures de Prométhé. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra de Dijon, en France, en 2012.
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 20, KV 466
G00:34:001990HD
Ivan Klánský interprète le Concerto pour piano no 20, KV 466 de Mozart avec l’Orchestre de chambre de Prague, sous la direction de Jiri Belohlávek. Cette représentation a eu lieu au Palais Waldstein de Prague.
08:59
Mozart - Concerto pour piano nº 23, KV 488
G01:06:002016HD
Le pianiste italien Francesco Attesti (*1975) figure sans contredit parmi les plus grands interprètes du répertoire romantique. Attesti a donné son premier concert à 11 ans, et s’est vu décerner les plus hautes notes par le Conservatorio Luigi Cherubini de Florence à 23 ans. Dans cet enregistrement capté lors de la tournée Deeply Mozart en 2016, Attesti interprète les concertos pour piano KV 449 et KV 488 de Mozart en compagnie de l’orchestre italien OIDA, sous la direction du chef d’orchestre Paolo Belloli.
Hier
04:20
Beethoven - Symphonie no 5 en do mineur, op. 67
G00:42:002014HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 5 en do mineur, op. 67, de Beethoven. Ce dernier a composé sa cinquième symphonie entre 1804 et 1808, et l’a achevée presque au même moment que sa Symphonie no 6, dite « Pastorale ». Ces deux œuvres ont été présentées pour la première fois dans le cadre d’un programme entièrement consacré à la musique de Beethoven, le 22 décembre 1808. La Symphonie no 5 est aujourd’hui l’une des œuvres les plus connues du répertoire classique. Elle s’ouvre sur le célèbre motif à quatre notes, souvent interprété comme la manifestation musicale de la « destinée qui cogne à la porte », qui revient sous différentes formes dans d’autres mouvements de la symphonie. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
05:25
Schumann - Grande Humoresque, op. 20
G00:34:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète Humoreske en si bémol majeur, op. 20, œuvre composée par Schumann en 1839 et dédiée à Julie von Webenau. Le titre de l’œuvre fait référence au sens plus ancien du mot humour, qui désignait jadis un état émotif. Schumann s’est inspiré de l’auteur romantique allemand Jean Paul, qui définit l’humour comme « une infinité de contrastes » et « la juxtaposition de la banalité et de la grandeur de l’univers », qui donne lieu à « une sorte de rire qui contient à la fois douleur et splendeur ». Humoreske n’est pas divisée en mouvements distincts, mais consiste plutôt en une pièce continue aux sections contrastantes. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 5, KV 175
G00:27:001990HD
Malcolm Frager interprète le Concerto pour piano no 5, KV 175 de Mozart, une œuvre témoignant d’une écriture contrapuntique, un style que Mozart a perfectionné sous la tutelle de Padre Martini. Cette performance, qui met également en vedette l’Orchestra della Radiotelevisione della Svizzera sous la direction de Marc Andreae, a été filmée au Teatro Bibiena historique de Mantova, en Italie.
06:27
Ravel - Ma mère l'Oye
G00:16:002023HD
Le 21 octobre 2023, la pianiste argentine Martha Argerich et plusieurs artistes de talent ont pris part à un concert caritatif au profit du Fonds Érasme pour la recherche médicale en soins intensifs au Conservatoire royal de Bruxelles, en Belgique. Le concert rend hommage au réputé violoncelliste Aleksandr Khramouchin (1979), décédé subitement le 13 mai 2023. Dans le cadre de ce concert, Argerich et la pianiste et veuve de Khramouchin Eliane Reyes interprètent Ma mère l’Oye de Maurice Ravel, une suite de cinq pièces composées pour piano à quatre mains.
19:01
Danielpour - Elegies
G00:35:002019HD
Hartmut Haenchen dirige Philharmonie Zuidnederland lors de cette interprétation des Élégies de Richard Danielpour. Les solistes sont Marina Prudenskaya (mezzo-soprano) et Thomas Oliemans (baryton). La performance a été captée à la salle Muziekgebouw d’Eindhoven, Pays-Bas, en 2019. Richard Danielpour (*1956), l’un des compositeurs américains les plus estimés de sa génération, s’inspire d’icônes des États-Unis, notamment Aaron Copland, Samuel Barber et Leonard Bernstein.
19:37
Schumann - Sonata pour piano no 3, op. 14
G00:22:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. La Sonate pour piano no 3, op. 14, (également appelée Concerto pour piano sans orchestre par Tobias Haslinger) a été composée en 1836 et dédiée à Ignaz Moscheles. En 1853, Schumann a revisité l’œuvre pour y ajouter un Scherzo comme deuxième mouvement. Le mouvement final n’est pas sans rappeler Kreisleriana, op. 16. Cette œuvre est interprétée par Riccardo Schwartz (1986). En carrière, Schwartz a eu le privilège de se produire comme soliste sous la direction de nombreux chefs d’orchestre de renom, dont Gustav Kuhn and Yuri Temirkanov. Ses prestations saluées par la critique et le public comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés dans les salles de concert les plus prestigieuses au monde.
Aujourd'hui
05:31
Liszt – Concerto pour piano no 2, S.125
G00:28:002017HD
Alexander Ullman (1991, Royaume-Uni) interprète le Concerto pour piano no 2 (S125) de Franz Liszt dans le cadre de la finale du 11e Concours international de piano Franz Liszt, présenté au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht en 2017.
06:00
Beethoven - Concerto pour violon, Op. 61
G00:50:001992HD
Le violoniste israélien Itzhak Perlman et l’Orchestre philharmonique de Berlin interprètent le Concerto pour violon, op. 61 de Ludwig van Beethoven sous la direction de Daniel Barenboim. Beethoven a dédié son Concerto pour violon à son collègue Franz Clement, un important violoniste de l’époque. La première de la pièce a été présentée à Vienne en 1806. N’ayant malheureusement pas connu le succès escompté, la pièce a seulement été interprétée à une poignée de reprises au cours des décennies suivantes. Cependant, l’œuvre a connu un second souffle en 1844, lorsque le jeune violoniste Joseph Joachim, alors âgé d’à peine 12 ans, l’a interprétée avec la London Philharmonic Society, sous la direction de Mendelssohn. Depuis, le Concerto pour violon de Beethoven figure parmi les concertos les plus importants du répertoire classique. Cette œuvre réputée pour sa vaste gamme de cadenzas pose un grand défi technique et intellectuel, relevé avec brio par Perlman et l’Orchestre philharmonique de Berlin.
06:50
Mozart - Concerto pour violon n° 3
G00:23:002014HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Grimal est ici accompagné par Les Dissonances pour interpréter comme soliste le Concerto pour violon no 3 en sol majeur, K. 216, de Wolfgang Amadeus Mozart. À l’exception du premier, tous les concertos pour violon de Mozart ont été composés en 1775, à l’époque où il était premier violon de l’Orchestre de la Cour de Salzbourg. Son Concerto pour violon no 3 s’ouvre avec un thème emprunté par le compositeur à l’aria « Aer tranquillo » de son opéra récent Il re pastore. Dans le magnifique adagio, les cordes sont mises en sourdine et les hautbois font place aux flûtes, qui résonnent uniquement dans le deuxième mouvement, et le mouvement final s’apparente à une danse. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
Demain
04:22
Brahms - Symphonie n° 4 en mi mineur, op. 98
G00:39:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances interprète la Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98, de Johannes Brahms. Brahms a achevé sa dernière symphonie en 1885, et en a dirigé la première en octobre de la même année, dans la ville allemande de Meiningen. Le mouvement final de la Symphonie no 4 est une chaconne, une variation classique qui reflète la fascination du compositeur envers la musique baroque. Ce mouvement s’ouvre avec un thème à huit mesures emprunté de la cantate Nach dir, Herr, verlanget mich, BWV 150, de J. S. Bach, et se poursuit par une série de variations présentant le même motif de basse. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2014.
05:32
Schumann - Sonate pour piano no 2, op. 22
G00:27:002021HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète la Sonate pour piano no 2 en sol mineur, op. 22. Cette œuvre achevée en 1838 est la plus souvent interprétée et enregistrée des trois sonates de Schumann. Elle s’ouvre sur un premier mouvement énergique, suivi d’un magnifique andantino langoureux basé sur la pièce « Im Herbste » (1828) du compositeur. Le troisième mouvement est un court scherzo. À la demande de sa future épouse, Clara, Schumann a remplacé le mouvement final d’origine par une version moins complexe. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
06:00
Mozart - Symphonie no 31, K. 297
G00:22:001989HD
Jeffrey Tate dirige l’Orchestre du Mozarteum de Salzbourg dans une performance de la Symphonie no 31 (K. 297), surnommée « Paris ». Mozart a composé cette œuvre en 1778, lors d’une période de recherche d’emploi peu fructueuse à Paris. L’ouverture de cette symphonie est sans doute l’un des airs les plus grandioses jamais composés pour un orchestre par Mozart, qui y a utilisé les clarinettes pour la première fois après en avoir fait la découverte à Mannheim. L’orchestration, qui regroupe cors, trompettes, timbales et une section de bois complète avec flûtes, hautbois, clarinettes et bassons, est sans doute la plus imposante utilisée par Mozart en carrière. Mise en scène : János Darvos.
10:04
Bruckner - Symphonie nº 4
G01:15:002012HD
Lorsqu’il s’agit de créer un événement musical pour les oreilles et les yeux, la majesté monumentale des symphonies d’Anton Bruckner (1824-1896) et la vivacité exaltante du monastère de Saint-Florian forment une combinaison parfaite. C’est particulièrement le cas lorsque les performances sont captées sur pellicule de façon palpitante par un réalisateur aussi éminent que Brian Large en 2012. Bruckner a découvert durant son enfance l’orgue du monastère, où il est devenu organiste de 1845 à 1855. Welser-Möst, chef d’orchestre principal du Cleveland Orchestra et directeur musical général de l’Opéra d’État de Vienne, est un spécialiste reconnu de Bruckner qui a développé une passion pour la quatrième symphonie du compositeur – surnommée « Romantique » par son créateur – dans sa première édition rarement jouée (1888-1889). Plus élancée, dynamique et finement nuancée que la version la plus couramment jouée, cette partition est également plus audacieuse, avec ses contrastes plus marqués et ses dissonances audacieusement exposées. Performance captée au monastère de Saint-Florian en Autriche, en 2012.
16:53
Bruckner - Symphonie nº 9
G01:03:002007HD
La Symphonie n°9 d’Anton Bruckner peut être considérée comme un adieu à la vie. Alors qu’il entamait sa composition en 1887, sa santé commençait à décliner. Il a exprimé l’espoir que « Dieu [lui] accorde suffisamment de temps pour l’achever » et y a travaillé assidûment pendant les années suivantes. Mais à la fin de 1894, il n’avait achevé que les trois premiers mouvements. Lorsqu’il mourut le 11 octobre 1896, il laissa six versions différentes du mouvement final, toutes incomplètes. Malgré son caractère inachevé, cette œuvre monumentale évoque la grandeur d’une cathédrale majestueuse. Les détails de ce colosse architectural sont formés avec une étonnante transparence par Franz Welser-Möst et le Cleveland Orchestra. Cette performance puissante et pointue de l’orchestre a été enregistrée en direct fin octobre 2007 dans la magnifique « Salle dorée » du légendaire Musikverein de Vienne, où l’œuvre a été créée.
20:08
Mozart - Concerto pour violon n° 5
G00:51:002014HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Grimal est ici accompagné par Les Dissonances pour interpréter comme soliste le Concerto pour violon no 5 en la majeur, K. 219, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Concerto turc. À l’exception du premier, tous les concertos pour violon de Mozart ont été composés en 1775, à l’époque où il était premier violon de l’Orchestre de la Cour de Salzbourg. Le Concerto no 5 est surnommé Concerto turc en raison de son troisième et dernier mouvement, qui comprend une saisissante section d’inspiration turque, que Mozart a créée en modifiant la pulsation et en changeant le mode en mineur pour permettre aux violoncelles et aux basses de jouer col legno, c’est-à-dire d’attaquer la corde avec le bois plutôt qu’avec les crins de l’archet afin de créer un son percussif. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
mer. 20 août
06:00
Mozart - Concerto pour piano No. 27, KV 595
G00:36:001990HD
Aleeksander Madzar et l’Orchestre philharmonique royal joignent leurs forces pour interpréter le Concerto pour piano no 27, KV 595 de Mozart. Cette performance dirigée par André Previn a été enregistrée au château Schönbrunn de Vienne. En 1791, Mozart – alors à l’approche de la mort – s’est une fois de plus tourné vers le style de composition qui reflète le mieux sa personnalité : le concerto pour piano et orchestre. Son ultime concerto pour piano, qui aurait pu être une œuvre solennelle et lugubre, constitue plutôt une composition positive et réjouissante. Mozart a régalé le public avec cette pièce lyrique qui évoque les joies de la jeunesse et du printemps de la vie, et représente sans doute une réflexion sur les jours tranquilles où le jeune prodige goûtait pour la première fois à la gloire.
13:26
Mozart - Concerto pour violon n° 4
G00:39:002014HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Grimal est ici accompagné par Les Dissonances pour interpréter comme soliste le Concerto pour violon no 4 en ré majeur, K. 218, de Wolfgang Amadeus Mozart. À l’exception du premier, tous les concertos pour violon de Mozart ont été composés en 1775, à l’époque où il était premier violon de l’Orchestre de la Cour de Salzbourg. De ces cinq concertos, le Concerto pour violon no 4 est sans doute le plus connu. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
jeu. 21 août
04:36
Dvořák - Symphonie no 9, op. 95
G00:46:002017HD
Andris Nelsons dirige le Gewandhausorchester Leipzig dans une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95, dite « du Nouveau Monde » d’Antonín Dvořák. Dvořák a composé sa célèbre symphonie en 1893, lors de son mandat de trois ans à titre de directeur du National Conservatory of Music de New York. Le compositeur a été mandaté par le conservatoire pour créer un nouveau style musical et artistique national pour les États-Unis. Il a donc appliqué à sa symphonie des éléments inspirés de la musique afro-américaine et autochtone, dont des mélodies pentatoniques et des rythmes syncopés. Cette performance a été enregistrée au Gewandhaus de Leipzig, en Allemagne, en 2017.
09:26
Ravel - La Valse
G00:33:002021HD
Les pianistes russes d’exception Nikolay Lugansky et Vadim Rudenko joignent leurs forces le temps d’une performance d’un arrangement pour deux pianos de La Valse de Maurice Ravel. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, le 25 novembre 2021.
16:30
Mahler - Symphonie no 8
G01:34:002017HD
Fabio Luisi dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark, qui interprète la Huitième symphonie de Mahler. Il s’agit de l’une des plus imposantes œuvres chorales du répertoire classique, que l’on surnomme souvent « Symphonie des Mille ». Mahler l’a composée à sa villa de Maiernigg, dans le sud de l’Autriche, durant l’été de 1906, et c’est la dernière qu’il a présentée en première de son vécu. Parmi les solistes se trouvent Ricarda Merbeth (soprano), Henriette Bonde-Hansen (soprano), Sofia Fomini (soprano), Marianne Beate Kielland (alto), Olesya Petrova (alto), Stefan Vinke (ténor), Russel Braun (baryton) et Günther Groissböck (basse). Les chorales participantes incluent la Danish National Concert Choir, la MDR Leipzig Radio Choir et la Copenhagen Royal Chapel Choir. Capté au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2017.
19:59
Mozart - Divertimento no 11, K. 251
G01:00:002020HD
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent Divertimento no 11 en ré majeur, K. 251, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Nannerl-Septet. Le compositeur a produit cette œuvre en 1776, probablement pour souligner la fête du prénom de sa sœur Maria Anna, surnommée « Nannerl ». Ce septuor a été composé pour hautbois, deux cors, deux violons, alto et contrebasse. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
ven. 22 août
03:57
Berlioz - Symphonie fantastique, op. 14
G00:58:002021HD
Le chef d’orchestre Eduard Topchjan dirige l’Orchestre philharmonique national d’Arménie dans une performance de la Symphonie fantastique, op. 14, d’Hector Berlioz. Cette pièce de musique à programme a été achevée en 1830, alors que Berlioz était encore étudiant au conservatoire. Inspirée par l’amour non réciproque de Berlioz pour l’actrice irlandaise Harriet Smithson, cette symphonie en cinq mouvements raconte les rêves d’un jeune artiste qui, incapable de se remettre d’un échec amoureux, consomme une dose mortelle d’opium. Berlioz reprend la même mélodie dans chaque mouvement, pour illustrer l’obsession du jeune protagoniste pour sa bien-aimée. L’œuvre fait appel à un orchestre imposant et compte un éventail impressionnant d’instruments, notamment des cloches d’église, un hautbois présent en coulisses et des instruments à cordes jouant col legno, soit avec le bois de l’archet. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Aram Khachaturian de Yerevan, en Arménie, en 2021.
10:05
Bruckner - Symphonie nº 9
G01:04:002007HD
La Symphonie n°9 d’Anton Bruckner peut être considérée comme un adieu à la vie. Alors qu’il entamait sa composition en 1887, sa santé commençait à décliner. Il a exprimé l’espoir que « Dieu [lui] accorde suffisamment de temps pour l’achever » et y a travaillé assidûment pendant les années suivantes. Mais à la fin de 1894, il n’avait achevé que les trois premiers mouvements. Lorsqu’il mourut le 11 octobre 1896, il laissa six versions différentes du mouvement final, toutes incomplètes. Malgré son caractère inachevé, cette œuvre monumentale évoque la grandeur d’une cathédrale majestueuse. Les détails de ce colosse architectural sont formés avec une étonnante transparence par Franz Welser-Möst et le Cleveland Orchestra. Cette performance puissante et pointue de l’orchestre a été enregistrée en direct fin octobre 2007 dans la magnifique « Salle dorée » du légendaire Musikverein de Vienne, où l’œuvre a été créée.
15:43
Beethoven - Symphonie no 3 en mi bémol majeur
G00:51:002020HD
Maestro Herbert Blomstedt fait ses débuts à la tête de l’Orchestre du Festival de Lucerne avec une performance de la populaire Symphonie no 3 en mi bémol majeur, op. 55, communément appelée Eroica, de Ludwig van Beethoven dans le cadre de l’édition 2020 du Festival de Lucerne. Un mois à peine avant cette performance, le chef d’orchestre suédois a célébré son 93e anniversaire, mais la vitalité et la curiosité impressionnantes qu’il dégage ne trahissent nullement son âge. Ce concert a été enregistré en août 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
sam. 23 août
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 2, KV 491
G00:36:001990HD
Comme c’est le cas pour les opéras de Mozart, le Concerto pour piano no 2, KV 491 présente une charge dramatique intense du début à la fin, et une structure harmonique rappelant Don Giovanni. Dans cette performance enregistrée au château Schönbrunn de Vienne, André Previn est à la fois soliste et chef de l’Orchestre philharmonique royal.
10:01
Mahler - Symphonie no 9
G01:21:002021HD
Maestro Myung-Whun Chung dirige l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans une performance de la Symphonie no 9 en ré majeur de Gustav Mahler. Composée entre 1908 et 1909, cette œuvre est la toute dernière symphonie achevée par Mahler. Croyant à la « malédiction de la neuvième symphonie », le compositeur superstitieux ne voulait d’abord pas composer une Symphonie no 9. Après tout, Ludwig van Beethoven et Anton Bruckner ne sont-ils pas décédés avant de pouvoir composer leur dixième symphonie? La Symphonie no 9 de Mahler a été interprétée pour la première fois le 26 juin 1912, à Vienne, par l’Orchestre philharmonique de Vienne, sous la baguette de Bruno Walter. Malheureusement, Mahler n’a pu y assister de son vivant : il est décédé l’année précédente. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
15:46
Nizamov - Heavenly Movement
G00:11:002017HD
Le soliste Boris Berezovsky est accompagné par l’Orchestre philharmonique de Moscou, sous la direction d’Alexander Sladkovsky, pour interpréter le Concerto pour piano no 1, op. 1 de Rachmaninov, une pièce créée alors que le compositeur n’avait que 18 ans et étudiait au Conservatoire de Moscou. Le concert débute avec par une œuvre du jeune compositeur russe Elmir Nizamov (1986), intitulée Heavenly Movement. Enregistré au centre de concert Tchaïkovski de la Société philharmonique russe, le 28 avril 2017.
18:39
Mahler - Symphonie no 2, 'Résurrection'
G01:25:002021HD
Maestro Myung-Whun Chung dirige l’orchestre et le chœur du Maggio Musicale Fiorentino, la soprano Christiane Karg et la contralto Claudia Huckle dans une performance impressionnante de la Symphonie no 2 en do mineur de Gustav Mahler, également connue sous le nom de « Résurrection ». Composée entre 1888 et 1894, cette œuvre en cinq mouvements pour orchestre complet, chœur, contralto et soprano traite de la vie, de la mort et de la résurrection. Le premier mouvement rappelle une marche funèbre, dont le caractère sombre crée un contraste frappant avec le deuxième mouvement, un ländler gracieux. Le troisième mouvement est un scherzo basé sur Des Antonius von Padua Fischpredigt, l’un des lieder de Malher dans Des Knaben Wunderhorn. Le compositeur utilise un autre poème tiré de Wunderhorn, « Urlicht » (lumière originelle), comme quatrième mouvement, dans lequel le texte et la musique sont chantés par la contralto. Le chœur fait son apparition dans la seconde partie du cinquième et dernier mouvement, pour annoncer la « Résurrection ». Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
22:45
Tchaïkovski - Ouverture de «Roméo et Juliette»
G00:22:002019HD
Sous la direction de Conrad van Alphen, la Sinfonia Rotterdam interprète l’ouverture-fantaisie Roméo et Juliette de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Van Alphen a fondé la Sinfonia Rotterdam en 2000. Sous son leadership passionné, l’orchestre est rapidement devenu l’un des ensembles musicaux les plus réputés des Pays-Bas. Tchaïkovski a basé cette composition sur la célèbre pièce homonyme de Shakespeare. Après en avoir terminé la première version en 1870, Tchaïkovski a réécrit certaines sections de l’œuvre à deux reprises, achevant la troisième et dernière version dix ans plus tard. L’ouverture-fantaisie s’ouvre par une introduction lente, marquée principalement par les clarinettes et les bassons. La composition est dominée par son célèbre thème de l’amour, qui illustre la relation passionnée entre Roméo et Juliette. Ce thème magnifique est introduit dans la première moitié de la pièce par le cor anglais et les altos, puis répété dans différentes sections de l’œuvre. Il est finalement interprété en mode mineur à la fin de la pièce pour accentuer le destin tragique des deux amants.
dim. 24 août
06:00
Stravinsky - Symphonie de Psaumes
G00:23:001988HD
Wolfgang Gönnenwein dirige l’Orchester der Ludwigsburger Schloßfestspiele et le Süddeutscher Madrigalchor Stuttgart dans une interprétation de la Symphonie de Psaumes (1930) d’Igor Stravinsky. La symphonie comprend donc des versets des psaumes 38, 39 et 150, tirées de la Vulgate, la version latine de la Bible. L’œuvre compte trois mouvements qui se succèdent sans pause, et une orchestration remarquable exempte de violon, d’alto et de clarinette, dans un effort d’éviter la sonorité orchestrale traditionnellement associée à la période romantique. Cette performance a été captée au Ludwigsburger Schloßfestspiele en 1988.
09:04
Schumann - Fantaisie, op. 17
G00:56:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. La Fantaisie en do, op. 17, a été composée en 1836 puis révisée avant sa publication, en 1839. Cette pièce dédiée à Franz Liszt est l’une des plus grandes œuvres de Schumann pour piano solo, et une pièce phare du début de la période romantique. La Fantaisie en do est composée sous forme de sonate libre. Son premier mouvement est rhapsodique et passionné, son mouvement central constitue un rondo grandiose, et son mouvement final se fait lent et méditatif. Cette œuvre est interprétée par Riccardo Schwartz (1986). En carrière, Schwartz a eu le privilège de se produire comme soliste sous la direction de nombreux chefs d’orchestre de renom, dont Gustav Kuhn and Yuri Temirkanov. Ses prestations saluées par la critique et le public comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés dans les salles de concert les plus prestigieuses au monde.
12:12
Beethoven - Symphonie no 3, op. 55
G00:48:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 3 en mi bémol majeur, op. 55, dite Eroica, de Ludwig van Beethoven. Admirateur des idéaux de la Révolution française, le compositeur avait initialement dédié sa symphonie à Napoléon Bonaparte. Toutefois, lorsqu’il a appris que ce dernier s’était autoproclamé Empereur, Beethoven a violemment effacé son nom du manuscrit. Composée entre 1803 et 1804, la symphonie est considérée comme un point de bascule de l’histoire de la musique occidentale ainsi que du style de Beethoven. La Symphonie no 3 est plus longue que les symphonies précédentes du compositeur. La pièce s’ouvre sur deux accords puissants, qui remplacent la longue introduction caractéristique des symphonies précédentes de Beethoven. Le thème central est ensuite introduit par les violoncelles et les contrebasses. Le deuxième mouvement est une marche funèbre tout en lenteur, suivi par un scherzo rapide. Le quatrième et dernier mouvement est dominé par un thème composé par Beethoven pour son ballet Les Créatures de Prométhé. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra de Dijon, en France, en 2012.
19:05
Schumann - Sonate pour piano no 2, op. 22
G00:18:002021HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète la Sonate pour piano no 2 en sol mineur, op. 22. Cette œuvre achevée en 1838 est la plus souvent interprétée et enregistrée des trois sonates de Schumann. Elle s’ouvre sur un premier mouvement énergique, suivi d’un magnifique andantino langoureux basé sur la pièce « Im Herbste » (1828) du compositeur. Le troisième mouvement est un court scherzo. À la demande de sa future épouse, Clara, Schumann a remplacé le mouvement final d’origine par une version moins complexe. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
lun. 25 août
03:55
Brahms - Symphonie no 2, Op. 73
G00:40:002014HD
Franz Welser-Möst dirige l’Orchestre de Cleveland, qui interprète la Symphonie no 2 de Johannes Brahms. Sachant que le compositeur avait consacré 15 ans à sa première symphonie, il n’est pas étonnant que sa seconde soit une œuvre plus légère et lumineuse, qui intègre avec maîtrise les prouesses de la première. Avec plus d’envergure et moins d’empressement, elle charme l’oreille avec son lyrisme et ses tutti passionnés. Elle figure parmi les œuvres orchestrales les plus acclamées de Brahms depuis sa première, présentée à la fin de 1876. Welser-Möst dirige ses « musiciens dévoués et d’une précision exemplaire » (Die Presse) lors de cette version qui polit chacun des petits détails pour les faire briller de l’intérieur. Grâce à ses nombreuses années à la tête de l’Orchestre de Cleveland, Welser-Möst façonne avec subtilité des sonorités parmi les plus complexes. Cette performance a été captée au Musikverein de Vienne, en Autriche, en 2014.
04:59
Mozart - Concerto pour piano nº 23, KV 488
G01:00:002016HD
Le pianiste italien Francesco Attesti (*1975) figure sans contredit parmi les plus grands interprètes du répertoire romantique. Attesti a donné son premier concert à 11 ans, et s’est vu décerner les plus hautes notes par le Conservatorio Luigi Cherubini de Florence à 23 ans. Dans cet enregistrement capté lors de la tournée Deeply Mozart en 2016, Attesti interprète les concertos pour piano KV 449 et KV 488 de Mozart en compagnie de l’orchestre italien OIDA, sous la direction du chef d’orchestre Paolo Belloli.
06:00
Mozart - Concertos pour piano no 1 et no 4
G00:40:001990HD
Le Concerto pour piano no 1, KV 37 et le Concerto pour piano no 4, KV 41 de Mozart sont interprétés par la soliste Heidrun Holtmann, accompagnée par l’Orchestra della Radiotelevisione della Svizzera, sous la direction de Marc Andreae. La performance a été filmée à l’historique Teatro Bibiena de Mantova, en Italie.
09:25
Chopin - Polonaise-Fantaisie, op. 61
G00:37:002022HD
La pianiste d'origine ukrainienne Inna Faliks interprète la Polonaise-Fantaisie op. 61 de Frédéric Chopin. Enregistré au Nicols Concert Hall d'Evanston dans l'Illinois aux États-Unis. Inna Faliks s'est imposée comme l'une des artistes les plus expansives et poétiques de sa génération. La Polonaise-Fantaisie fut dédiée à Mme A. Veyret, et a été composée et publiée en 1846.
11:54
Prokofiev - Concerto pour violon no 2, op 63
G00:29:002015HD
Iván Fischer dirige le Budapest Festival Orchestra lors d’un concert enregistré à la salle de concert nationale Béla Bartók de Budapest, en 2015. Le concert commence avec l’« Ouverture sur des thèmes juifs », op. 34, de Prokofiev. Ensuite, Thomas Zehetmair est le violoniste soliste dans le Concerto pour violon no 2, op. 63, de Prokofiev. La deuxième partie du concert est consacrée à la musique de Stravinsky. Au programme, la musique composée pour le ballet Jeu de cartes (1937) et la suite no 2 de L’oiseau de feu (1919). Jeu de cartes, l’une des œuvres néoclassiques de Stravinsky, est composée de trois parties (« donnes »). La suite no 2 de L’oiseau de feu est basée sur la musique du ballet du même nom, composé pour les Ballets russes de Sergei Diaghilev et dont la première s’est tenue à Paris en 1910.
15:44
Britten - The Young Persons Guide to the Orchestra
G00:21:002017HD
Marin Alsop dirige l’Orchestre Britten-Pears dans cette performance de The Young Person’s Guide to the Orchestra de Britten. Enregistré au Snape Maltings Concert Hall de Snape Bridge en Angleterre en 2017. Le programme Britten-Pears pour jeunes artistes a été fondé il y a plus de 40 ans par le compositeur et Peter Pears dans le but de fournir une formation de haut niveau aux meilleurs musiciens professionnels émergents du monde. Leur film éducatif Les instruments de l’orchestre inspire depuis 1946 des générations de jeunes musiciens. Cette œuvre parmi les plus connues de ce genre est associée à deux autres grandes œuvres d’éducation musicale pour enfants : Le Carnaval des animaux de Saint-Saëns et Pierre et le loup de Prokofiev.
22:59
Schumann - Concerto pour violoncelle, op. 129
G00:24:002016HD
Ce concert de Pâques présenté au Festspielhaus de Baden-Baden est une véritable rencontre au sommet : Manfred Honeck y dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin et le légendaire violoncelliste Yo-Yo Ma. Honeck, directeur musical de l’Orchestre symphonique de Pittsburgh, a fait ses débuts avec le Berliner Philharmoniker en 2013, et Yo-Yo Ma joue régulièrement avec l’orchestre depuis 1978. Le concert débute par l’Ouverture tragique, op. 81, de Brahms, suivie du Concerto pour violoncelle, op 129, de Schumann. Le programme se termine par la Symphonie no 6, dite Pathétique, de Tchaïkovski. Le Concerto pour violoncelle de Schumann n’a jamais été joué du vivant de son compositeur, et Tchaïkovski est mort neuf jours seulement après la première de sa Sixième Symphonie.
23:24
Chostakovitch – Symphonie de chambre, op. 110a
G00:35:002018HD
Le Casco Phil, l’orchestre de musique de chambre de Belgique, interprète la Symphonie de chambre, op. 110a de Chostakovitch sous la direction de Benjamin Haemhouts au Centre Elisabeth d’Anvers. Cette œuvre est une transcription signée Roudolf Barchaï du Quatuor à cordes no 8 de Chostakovitch, qui a été composée en seulement trois jours, du 12 au 14 juillet 1960. Elle s’inspire des pièces de Chostakovitch, notamment les Symphonies no 1 et no 5 ainsi que d’un thème tiré du Trio pour piano no 2, et contient des mélodies du Concerto pour violoncelle no 1 et de l’opéra Lady Macbeth.
mar. 26 août
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 6, KV 238
G00:25:001990HD
Christian Zacharias interprète le Concerto pour piano no 6, KV 238 de Mozart, accompagné du Radio-Sinfonieorchester Stuttgart sous la direction de Gianluigi Gelmetti. Ce concert a été enregistré au château de Schwetzingen, où les princes-électeurs de Mannheim passaient leurs étés à l’époque de Mozart.
10:05
Mahler - Symphonie nº 9
G01:25:002004HD
Depuis sa fondation en 1986 par Claudio Abbado, le Gustav Mahler Jugendorchester est devenu le meilleur orchestre de jeunes musiciens au monde. Son programme est marqué par la complicité entre le maestro et son jeune orchestre, mais aussi par la relation spéciale qu’ils entretiennent tous avec le grand compositeur Gustav Mahler. Claudio Abbado est indéniablement le meilleur chef d’orchestre pour diriger Mahler aujourd’hui, et les liens intimes qu’il entretient avec son répertoire culminent dans cette épatante interprétation de sa dernière symphonie, composée peu de temps avant sa mort. Tourné à l’Accademia di Santa Cecilia de Rome en 2004, ce film illustre avec vivacité l’enthousiasme, le talent et le professionnalisme de jeunes musiciens issus de partout en Europe, ainsi que leur dévouement à Claudio Abbado. Un merveilleux hommage à l’orchestre, au chef d’orchestre, au compositeur et à une œuvre triomphale : la magnifique neuvième symphonie de Gustav Mahler.
20:09
Debussy - La Mer
G00:50:002000HD
Dans ses « Trois esquisses symphoniques pour orchestre » (ou simplement « La Mer »), Claude Debussy donne sa vision abstraite sur la mer. Les trois parties dépeignent chacune une scène maritime différente. Le premier mouvement s’intitule « De l’aube à midi sur la mer », le deuxième « Jeux de vagues » et le troisième « Dialogue du vent et de la mer ». La mer de Debussy, c’est la mer Méditerranée : il la connaissait de ses visites à Cannes dans sa jeunesse et de ses voyages en Italie plus tard dans sa vie.
mer. 27 août
06:33
Mozart - Divertimento no 11, K. 251
G00:28:002020HD
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent Divertimento no 11 en ré majeur, K. 251, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Nannerl-Septet. Le compositeur a produit cette œuvre en 1776, probablement pour souligner la fête du prénom de sa sœur Maria Anna, surnommée « Nannerl ». Ce septuor a été composé pour hautbois, deux cors, deux violons, alto et contrebasse. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
10:00
Rachmaninov - Concerto pour piano no 3, op 30
G00:55:001978HD
Le légendaire pianiste Vladimir Horowitz (1903-1989) a reçu ses premiers éloges pour son interprétation du Troisième concerto pour piano de Rachmaninov de la part du compositeur lui-même. Lorsque Rachmaninov a entendu le jeune pianiste né à Kiev jouer son œuvre peu après l’arrivée d’Horowitz à New York en 1928, il s’est exclamé : « Il l’a avalée en entier! » Cinquante ans plus tard, le 24 septembre 1978, Horowitz a électrisé à nouveau son public avec cette œuvre monumentale. Accompagné par l’Orchestre philharmonique de New York sous la direction de Zubin Mehta, il a donné une représentation spéciale de cette œuvre dans le cadre des célébrations honorant ses débuts américains 50 ans plus tôt. Sa performance inoubliable a été captée en direct et diffusée simultanément dans tous les États-Unis. C’était la toute dernière fois qu’Horowitz interprétait le Troisième. La réputation internationale de l’œuvre, surnommée « Rach 3 » par les pianistes assez courageux pour relever ses monstrueux défis techniques, a atteint de nouveaux sommets au cours des dernières années.
jeu. 28 août
05:16
Beethoven - Symphonie no 8 en fa majeur, op. 93
G00:29:002015HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 8 en fa majeur, op. 93, de Beethoven. Cette œuvre a été composée en 1812 et a été présentée en première en 1814, dans le cadre d’un concert comprenant également la Septième Symphonie, pièce composée immédiatement après, et La Victoire de Wellington. La Symphonie no 8 est la plus courte des neuf symphonies de Beethoven, et ne présente pas de mouvement réellement lent. Plutôt, son deuxième mouvement, l’allegretto scherzando, affiche un « tic-tac » rythmique joué de manière régulière par les bois tout au long du mouvement, sans doute en référence à l’andante de la Symphonie no 101, dite « L’horloge », de Joseph Haydn. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2015.
12:30
Beethoven - Symphonie no 2 en ré majeur, op. 36
G00:38:002014HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 2 en ré majeur, op. 36, de Beethoven. Achevée en 1802, cette œuvre a été présentée pour la première fois le 5 avril 1803 au Theater an der Wien, dans un concert comprenant également les premières du Concerto pour piano no 3 et de l’oratorio Le Christ au mont des Oliviers, ainsi que la Symphonie no 1. Au menuet traditionnel, Beethoven a préféré un scherzo plein d’entrain comme troisième mouvement de sa Deuxième Symphonie, ce qui confère à l’ensemble de l’œuvre un caractère optimiste. Cette performance a été enregistrée au Palais Garnier de Paris, en France, en 2014.
13:39
Liszt - Concerto pour piano no 1, S. 124
G00:21:002014HD
Saisissante, virtuose et spectaculaire : ces adjectifs décrivent parfaitement la musique pour piano de Franz Liszt. Profitez d’une performance scintillante de son Concerto pour piano no 1 en mi bémol majeur, livrée par l’incroyable virtuose russe Daniil Trifonov, accompagné de l’Orchestre philharmonique d’Israël sous la baguette de Kent Nagano. Comme rappel, Trifonov interprète Reflets dans l’eau, tirée des cycles Images de Debussy. L’orchestre clôt ce concert livré en 2014 à l’auditorium Charles Bronfman de Tel-Aviv avec la Symphonie no 7 de Mahler.
ven. 29 août
03:57
Mozart - Symphonie No. 38, K. 504
G00:38:002020HD
Dans ce concert présenté en 2020 au Gewandhaus de Leipzig, en Allemagne, Herbert Blomstedt dirige le Gewandhausorchester le temps d’une virée musicale en République tchèque. Le programme s’ouvre avec la Symphonie en ré majeur, op. 23, du compositeur bohémien Jan Václav Hugo Voríšek (1791-1825). Cette pièce écrite en 1821 est la seule symphonie du compositeur. Bien qu’elle n’ait jamais été interprétée de son vivant, elle est aujourd’hui l’une de ses œuvres les plus populaires. Le programme se poursuit avec la Symphonie no 38 en ré majeur, K. 504, de Wolfgang Amadeus Mozart. Cette œuvre a été présentée pour la première fois dans la capitale tchèque en 1787 lors d’une visite du compositeur, et est donc fréquemment surnommée Symphonie de Prague.
10:00
Beethoven - Symphonie no 9 en ré mineur, op. 125
G01:14:002015HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans le cadre de ce concert enregistré à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2015, Jordan dirige l’Orchestre et le Chœur de l’Opéra national de Paris, ainsi que quatre chanteurs, dans une performance de la Symphonie no 9 en ré mineur, op. 125, de Beethoven. Les solistes sont la soprano Ricarda Merbeth, la mezzo-soprano Daniela Sindram, le ténor Robert Dean Smith et la basse Günther Groissböck. Beethoven a composé son ultime symphonie entre 1822 et 1824, alors qu’il était presque entièrement sourd. Plus longue des symphonies de Beethoven, la Neuvième symphonie est sans doute également la plus grandiose, notamment en raison de son mouvement final, lors duquel un chœur et quatre solistes chantent le poème An die Freude (Ode à la joie) de Friedrich von Schiller.
21:00
Prokofiev - Symphonie No. 5, Op. 100
G00:45:002012HD
Le Festival de Pâques est un événement de renommée mondiale, débutant chaque année le dimanche de Pâques à Moscou. A l’occasion de ce Festival, l’Orchestre symphonique du Théâtre Mariinsky et son directeur musical Valeri Guerguiev traversent la Russie pour donner des concerts. Durant le concert d’aujourd’hui, Guerguiev et son orchestre interprètent la Symphonie No. 5 de Sergueï Prokofiev. Cette composition, écrite au plus sombre de la Seconde Guerre mondiale, était pour Prokofiev « la symphonie de la grandeur de l'esprit humain, comme un chant d'hommage à l'homme libre et heureux ».
sam. 30 août
04:38
Brahms - Symphonie no 2 en ré majeur, op. 73
G00:41:002015HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 2 en ré majeur, op. 73, de Johannes Brahms. Bien que Brahms ait mis de nombreuses années à achever sa première symphonie, il a bouclé sa Symphonie no 2 en quelques mois à peine, à l’été 1877, dans le village autrichien paisible de Pörtschach. Avec son lyrisme et ses mélodies joyeuses, cette œuvre surnommée Symphonie pastorale est sans contredit la plus ensoleillée et la plus optimiste des quatre symphonies composées par Brahms en carrière. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2015.
13:14
Mozart - Divertimento no 11, K. 251
G00:47:002020HD
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent Divertimento no 11 en ré majeur, K. 251, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Nannerl-Septet. Le compositeur a produit cette œuvre en 1776, probablement pour souligner la fête du prénom de sa sœur Maria Anna, surnommée « Nannerl ». Ce septuor a été composé pour hautbois, deux cors, deux violons, alto et contrebasse. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
14:01
Dvořák - Concerto pour violoncelle, op. 104
G00:48:002011HD
Emmanuel Krivine dirige l’Orchestre philharmonique du Luxembourg et le violoncelliste Aleksandr Khramouchin dans une performance du Concerto pour violoncelle en si mineur, op. 104, d’Antonin Dvořák. Faisant partie des concertos pour violoncelle les plus populaires du répertoire classique, le Concerto pour violoncelle en si mineur a été composé par Dvořák pendant les trois années qu’il a passées à la barre du National Conservatory of Music de New York. Achevée en 1895, l’œuvre a été dédiée à Hanuš Wihan, ami de Dvořák et violoncelliste tchèque de renom. Wihan a d’ailleurs fait plusieurs suggestions d’améliorations à la pièce, notamment l’ajout de deux cadences, parmi lesquelles Dvořák n’a accepté que quelques changements mineurs. Fait intéressant, le deuxième mouvement du concerto comprend une mélodie tirée de « Lasst mich allein » (Laissez-moi seule), composition de Dvořák adorée de sa belle-sœur Josefina Čermáková, qui était alors malade et décéda peu après. Cette performance a été enregistrée en mai 2011.
20:28
Orchestre finale - Concours de piano Liszt 2017
G00:31:002017HD
Alexander Ullman (1991, United Kingdom) performs Franz Liszt's Piano Concerto No. 2 (S125) during the final of the 11th International Franz Liszt Piano Competition, held in TivoliVredenburg, Utrecht 2017. The competition actively presents, develops and promotes piano talents from around the world. In doing so, it has become one of the prominent gateways to the international professional classical music scene for young musicians. The International Franz Liszt Piano Competition was founded in 1986 in the Netherlands and since has built a reputation as one of the world’s most prestigious piano competitions.
21:00
Dvořák - Symphonie no 9, op. 95
G00:48:002017HD
Andris Nelsons dirige le Gewandhausorchester Leipzig dans une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95, dite « du Nouveau Monde » d’Antonín Dvořák. Dvořák a composé sa célèbre symphonie en 1893, lors de son mandat de trois ans à titre de directeur du National Conservatory of Music de New York. Le compositeur a été mandaté par le conservatoire pour créer un nouveau style musical et artistique national pour les États-Unis. Il a donc appliqué à sa symphonie des éléments inspirés de la musique afro-américaine et autochtone, dont des mélodies pentatoniques et des rythmes syncopés. Cette performance a été enregistrée au Gewandhaus de Leipzig, en Allemagne, en 2017.
23:05
Mozart - Gran Partita
G00:54:002015HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances interprète la Sérénade no 10 pour vents en si bémol majeur, K. 361, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connue sous le nom de Gran Partita. Cette œuvre en sept parties pour douze instruments à vent et contrebasse est notablement plus longue que les autres pièces de musique de chambre de Mozart, et présente une instrumentation inhabituellement imposante. En plus des huit instruments de l’octuor à vent traditionnel, Mozart a ajouté deux cors de basset, deux cors supplémentaires, et une contrebasse. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2015.
dim. 31 août
05:11
Schumann - Fantaisie, op. 17
G00:48:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. La Fantaisie en do, op. 17, a été composée en 1836 puis révisée avant sa publication, en 1839. Cette pièce dédiée à Franz Liszt est l’une des plus grandes œuvres de Schumann pour piano solo, et une pièce phare du début de la période romantique. La Fantaisie en do est composée sous forme de sonate libre. Son premier mouvement est rhapsodique et passionné, son mouvement central constitue un rondo grandiose, et son mouvement final se fait lent et méditatif. Cette œuvre est interprétée par Riccardo Schwartz (1986). En carrière, Schwartz a eu le privilège de se produire comme soliste sous la direction de nombreux chefs d’orchestre de renom, dont Gustav Kuhn and Yuri Temirkanov. Ses prestations saluées par la critique et le public comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés dans les salles de concert les plus prestigieuses au monde.
06:57
Mozart - Concerto pour violon n° 4
G00:22:002014HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Grimal est ici accompagné par Les Dissonances pour interpréter comme soliste le Concerto pour violon no 4 en ré majeur, K. 218, de Wolfgang Amadeus Mozart. À l’exception du premier, tous les concertos pour violon de Mozart ont été composés en 1775, à l’époque où il était premier violon de l’Orchestre de la Cour de Salzbourg. De ces cinq concertos, le Concerto pour violon no 4 est sans doute le plus connu. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
13:00
Beethoven Concerto pour piano no 1
G00:37:002020HD
À l’âge de sept ans, Martha Argerich a fait ses débuts sur scène en interprétant le Concerto pour piano no 1 en do majeur de Ludwig van Beethoven, pièce qui l’accompagnera tout au long de sa carrière. Dans ce concert présenté au Festival de Lucerne, la pianiste de renom livre sa pièce signature accompagnée par l’orchestre du Festival de Lucerne sous la direction du maestro suédois Herbert Blomstedt, qui fait ici ses débuts à la tête de l’ensemble. Cette performance a été enregistrée en août 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
17:43
Berlioz - Symphonie fantastique, op. 14
G00:58:002021HD
Le chef d’orchestre Eduard Topchjan dirige l’Orchestre philharmonique national d’Arménie dans une performance de la Symphonie fantastique, op. 14, d’Hector Berlioz. Cette pièce de musique à programme a été achevée en 1830, alors que Berlioz était encore étudiant au conservatoire. Inspirée par l’amour non réciproque de Berlioz pour l’actrice irlandaise Harriet Smithson, cette symphonie en cinq mouvements raconte les rêves d’un jeune artiste qui, incapable de se remettre d’un échec amoureux, consomme une dose mortelle d’opium. Berlioz reprend la même mélodie dans chaque mouvement, pour illustrer l’obsession du jeune protagoniste pour sa bien-aimée. L’œuvre fait appel à un orchestre imposant et compte un éventail impressionnant d’instruments, notamment des cloches d’église, un hautbois présent en coulisses et des instruments à cordes jouant col legno, soit avec le bois de l’archet. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Aram Khachaturian de Yerevan, en Arménie, en 2021.
19:22
Schumann - Fantasiestücke, op. 12
G00:26:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il propose Fantasiestücke, op. 12. Composée en 1837, cette œuvre forme une série de huit pièces pour piano aux caractères contrastants. Son titre est inspiré de la collection de romans Pièces de fantaisie à la manière de Callot de E. T. A. Hoffmann, l’un des auteurs préférés du compositeur. Comme il l’a fait pour Davidsbündlertänze, Schumann a conçu Fantasiestücke sous forme de dialogue musical entre Florestan et Eusebius, qui incarnent la dualité de sa propre personnalité. Le premier représente la facette passionnée du compositeur, tandis que le second illustre son côté rêveur. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.