mar. 4 nov.
04:55
Chostakovitch - Symphonie no 5
Dans le cadre d’une nouvelle collaboration avec Philip Glass, célèbre compositeur de « pièces aux structures répétitives », les pianistes françaises Katia et Marielle Labèque interprètent la première européenne du Concerto pour deux pianos de Glass, suivie de la Symphonie no 5 de Chostakovitch en compagnie de l’Orchestre de Paris. Ce concert est dirigé par Jaap van Zweden, directeur musical de l’Orchestre philharmonique de Hong Kong et prochain directeur musical du New York Philharmonic.
07:23
Stravinsky - Le Sacre - II: Le Sacrifice
Au programme de ce concert de l'Orchestre philharmonique de Berlin dirigé par Bernard Haitink avec, en soliste, le violoniste Frank Peter Zimmermann : l'Ouverture-Fantaisie Roméo et Juliette de Tchaïkovski, le Concerto pour violon n° 3 en sol majeur K. 216 de Mozart et le Sacre du Printemps d'Igor Stravinsky. Les Europakonzert de l'Orchestre philharmonique de Berlin sont une contribution de la célèbre formation à l'Union Européenne. Ils ont lieu toujours le 1er mai, date anniversaire de la création de l'Orchestre en 1882 et, à chaque fois, dans une ville différente. En 1993, ce fut à Londres, au Royal Albert Hall.
08:34
Bach - Cantata "Ich habe genug", BWV 82
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
11:01
Brahms - Un requiem allemand, op 45
Dans ce concert enregistré en novembre 2016 à la magnifique basilique baroque de Sankt Florian, en Autriche – de laquelle Anton Bruckner a déjà été titulaire de l’orgue – le Wiener Singverein, le Cleveland Orchestra et son chef d’orchestre principal, Franz Welser-Möst, modèrent toute trace de grandiloquence là où l’émotion aurait aisément pu prendre le dessus. Ein Deutsches Requiem, op. 45, a pour effet de réconforter l’auditeur par des textes religieux qui ne sont pas traditionnellement associés à la messe de Requiem. En résulte une œuvre d’une grande intensité qui s’adresse à tous, peu importe leur foi, qu’ils soient croyants ou non. Les deux solistes au programme, Hanna-Elisabeth Müller et Simon Keenlyside, ont l’habitude des grandes scènes internationales. Müller s’est taillé une réputation enviable non seulement comme chanteuse d’opéra, mais également à titre de musicienne de concert. Keenlyside, natif de Londres, a bâti son impressionnante carrière sur les participations prestigieuses qu’il a faites tout au long de la dernière décennie.
15:04
Naples, ville des claviers: Giovanni Maria Trabaci
Même s’il n’a pas complètement été oublié, Giovanni Maria Trabaci n’est pas un nom très connu de nos jours. À tort, car ce virtuose de l’orgue productif a écrit non seulement une tonne de musique vocale, mais aussi plus de 150 compositions pour le clavier. Avec son chromatisme audacieux et ses structures thématiques expérimentales, ce répertoire pointe résolument dans la direction de Frescobaldi. L’artiste en résidence du festival, Marco Mencoboni, a sélectionné les œuvres les plus audacieuses de Trabaci.
16:03
Europakonzert 2007 - Berlin
Le concert Europakonzert 2007 se déroule à Berlin, à l’occasion du 125e anniversaire de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Sous le thème « L’an 1882 », l’orchestre de renom est dirigé par Sir Simon Rattle pour interpréter le Concerto pour violon et la Quatrième symphonie de Brahms. Il présente aussi le « Prélude de l’Acte 1 » tiré de Parsifal de Wagner, une œuvre qui représente le premier enregistrement de cet orchestre, en septembre 1913, sous la direction d’Alfred Hertz. Les solistes sont Lisa Batiashvili (violon) et Truls Mørk (violoncelle), de jeunes virtuoses très convoités qui collaborent souvent avec des orchestres majeurs et offrent des récitals partout dans le monde.
18:45
IPO 75th Anniversary Gala
Capté en direct à Tel-Aviv en 2006, ce concert célèbre le 70e anniversaire de l’Orchestre philharmonique d’Israël (OPI). Mettant en vedette le chef d’orchestre Zubin Mehta et les solistes Pinchas Zukerman et Daniel Barenboim, l’événement englobait des talents artistiques bien au-delà du cadre de la performance musicale, avec sa présentation d’œuvres brillantes figurant parmi les plus acclamées de la riche histoire de l’orchestre. Le pianiste et chef d’orchestre Daniel Barenboim maintient une relation étroite avec l’OPI et monte sur scène avec l’orchestre presque chaque année. Pinchas Zukerman a joint l’OPI en 1968 et, depuis ce temps, il continue à collaborer souvent avec l’orchestre en tant que violoniste et chef d’orchestre. Le programme comprend le Concerto pour piano no 1 de Brahms et le Concerto pour violon no 1 de Bruch, de même que La valse de Ravel. Composé de morceaux à la fois populaires et exigeants, ce répertoire est parfait pour célébrer l’un des plus importants orchestres au monde!
22:00
Fantasymphony – A Concert of Fire and Magic
L'Orchestre Symphonique National du Danemark ouvre une fois de plus les portes de mondes magiques avec un programme de concert enchanteur. Sous la direction du chef d'orchestre allemand Christian Schumann, l'Orchestre Symphonique National du Danemark, le Chœur National de Concert du Danemark et le Chœur National Junior du Danemark s'associent pour interpréter la musique des films fantastiques, séries télévisées et jeux vidéo les plus populaires, notamment Le Seigneur des Anneaux, Game of Thrones, Le Hobbit, The Witcher et League of Legends. Les solistes de ce concert sont la mezzo-soprano norvégienne Tuva Semmingsen, la soprano canadienne-portugaise Cassandra Lemoine, le musicien danois Bjørn Fjæstad et l'acteur britannique David Bateson.
mer. 5 nov.
03:00
Summer Night Music - Love Songs
Dans Summer Night Music - Love Songs, des artistes du monde entier livrent leurs chansons d’amour préférées dans le cadre d’un événement original et enlevant qui allie musique classique, jazz et musiques du monde. Parmi les musiciens classiques se trouvent l’orchestre du Gewandhaus, le violoncelliste Mischa Maisky et le sextuor vocal King’s Singers. La chanteuse jazz Dee Dee Bridgewater et la cantaora de flamenco Mayte Martin sont également de la partie. L’incroyable gamme d’artistes et de styles musicaux compris à cet événement est sûre de séduire un vaste public et de créer une ambiance conviviale dont tous les mélomanes se souviendront!
06:32
Telemann - Jesus liegt in letzten Zügen, TWV 1:983
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
06:47
Schubert - Quatre impromptus, op. 90 - I.
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
07:35
Prokofiev – Pierre et le loup
Dans cette version de Pierre et le loup (1936), une composition de Sergei Prokofiev (1891-1953), chaque personnage est illustré par un instrument différent (ou une section), avec son propre thème musical. Par exemple, Pierre est représenté par les cordes, son grand-père grincheux par le basson, son chat par la clarinette et les oiseaux par la flûte. Au fil de la narration et des interactions entre les personnages, les thèmes musicaux s’entremêlent joliment. Cette performance de 2018 est narrée et dirigée par Marin Alsop. L’accompagnement musical est assuré par le Britten-Pears Orchestra.
08:02
House of Dreams
House of Dreams est un concert original conçu par Alison Mackay. Il propose un voyage magique vers des lieux où se rencontrent l’art baroque et la musique : cinq maisons d’Europe où des œuvres de Bach, Händel, Vivaldi, Purcell et Marais sont jouées devant des toiles de Vermeer, Canaletto et Watteau. La scène est dirigée par Marshall Pynkoski et la narration, assurée par Blair Williams. Le Tafelmusik Baroque Orchestra, aussi surnommé Tafelmusik, est un orchestre baroque canadien de Toronto spécialisé en musiques anciennes. Fondé en 1979, il possède 19 membres qui se consacrent à plein temps à des performances et techniques historiques, ainsi que certains musiciens invités lorsque nécessaire. L’orchestre est dirigé par la violoniste Jeanne Lamon.
15:02
Gala de Berlin – 2009
À son concert de gala de 2009, l’Orchestre philharmonique de Berlin a présenté, avec son directeur musical Sir Simon Rattle et le pianiste Lang Lang, des œuvres de deux compositeurs russes. Le concert s’est amorcé avec le Concerto pour piano no 2 en do mineur, op. 18, l’une des compositions les plus populaires de tous les temps de Rachmaninov. Cette pièce exige un pianiste virtuose, mais aussi un son orchestral vaste et souple. L’orchestre a poursuivi avec la musique de Casse-noisette de Tchaikovsky, l’un des ballets les plus connus au monde, pour se conclure avec la « Valse des flocons de neige » (tirée de Casse-noisette) et Étude no 1, Op. 25 de Chopin.
16:43
Stravinsky: Firebird Suite No. 2
Iván Fischer dirige le Budapest Festival Orchestra lors d’un concert enregistré à la salle de concert nationale Béla Bartók de Budapest, en 2015. Le concert commence avec l’« Ouverture sur des thèmes juifs », op. 34, de Prokofiev. Ensuite, Thomas Zehetmair est le violoniste soliste dans le Concerto pour violon no 2, op. 63, de Prokofiev. La deuxième partie du concert est consacrée à la musique de Stravinsky. Au programme, la musique composée pour le ballet Jeu de cartes (1937) et la suite no 2 de L’oiseau de feu (1919). Jeu de cartes, l’une des œuvres néoclassiques de Stravinsky, est composée de trois parties (« donnes »). La suite no 2 de L’oiseau de feu est basée sur la musique du ballet du même nom, composé pour les Ballets russes de Sergei Diaghilev et dont la première s’est tenue à Paris en 1910.
19:41
Europakonzert 2012 - Vienne
Chaque année, le Berliner Philharmoniker commémore sa fondation en 1883 avec la tenue de l’Europa Konzert dans une salle d’une grande importance culturelle, chaque fois située dans une ville européenne différente. Cette année, le Berliner Philharmoniker et le chef d’orchestre de renommée internationale Gustavo Dudamel accueillent l’un des meilleurs jeunes violoncellistes au monde, Gautier Capuçon. Le programme comprend : Variations sur un thème de Haydn en si bémol majeur, op. 56a, de Johannes Brahms; Concerto pour violoncelle et orchestre no 1 en do majeur, Hob.VIIb.1, de Haydn; et la Symphonie no 5 en ut mineur, op. 67, de Beethoven. Capté à la Spanische Hofreitschule (École espagnole d’équitation) de Vienne, en Autriche.
23:11
Brahms - Symphonie no 2 en ré majeur, Op. 73
Daniel Barenboim, le Berliner Philharmoniker et Claudio Abbado sont les vedettes de l’Europakonzert 1994, présenté dans la ville allemande de Meiningen. Ensemble, ils interprètent le Concerto pour piano no 5 de Beethoven et la Symphonie no 2 de Brahms. L’œuvre de Beethoven, surnommée le Concerto Empereur, a été composée entre 1809 et 1811, à Vienne. Dernier concerto pour piano achevé par Beethoven, cette pièce est souvent livrée par des pianistes vedettes, comme Daniel Barenboim. Quelques décennies plus tard, en 1877, Brahms a complété sa seconde symphonie, qui est souvent comparée à la Sixième symphonie de Beethoven en raison de son caractère allègre et pastoral.
jeu. 6 nov.
03:18
Le Berliner Philharmoniker à Tokyo
Le Berliner Philharmoniker est l’un des orchestres philharmoniques les plus célébrés au monde, et sa réputation s’étend jusqu’au Japon. Ce concert enregistré en 2000 au majestueux Suntory Hall de Tokyo a connu un succès retentissant. Mariss Jansons y dirige un somptueux programme comprenant notamment la Symphonie no 8 d’Antonin Dvorák, l’ouverture de l’opéra Oberon de Carl Maria von Weber, et le Concerto pour violon de Dmitri Shostakovich, qui met en vedette la violoniste vedette Hilary Hahn (*1979).
07:33
Saint-Saëns - Intro et Rondo Capriccioso, Op. 28
Le Waldbühne de Berlin est l’un des plus grands et impressionnants amphithéâtres en plein air d’Europe : un décor parfait pour le concert annuel de fin d’année de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Avec environ 22 000 spectateurs, ces concerts sont énormément populaires chez les mélomanes de la musique classique. En 2006, il y avait une petite touche néerlandaise : Neeme Järvi a dirigé les fameux musiciens berlinois en présence de la violoniste néerlandaise Janine Jansen. Au programme : Nikolaï Rimski-Korsakov - « Schéhérazade » ; Edvard Grieg - « Peer Gynt », Suite No. 1, Op. 46 (en partie) ; Carl Nielsen « Aladdin », Suite pour Orchestre Op. 34 (en partie) ; Camille Saint-Saëns - « Introduction et Rondo Capriccioso » ; Jules Massenet - « Méditation » pour violon et orchestre de l’opéra « Thaïs ».
07:43
Le grand orgue en concert
Titulaire actuel des grands orgues de Notre-Dame de Paris, Olivier Latry a entrepris sa carrière musicale à l’âge de 16 ans dans les cours de Gaston Litaize à l’Académie de Saint-Maur. En 1985, Latry, alors âgé de 23 ans, a été nommé parmi les quatre titulaires des grands orgues de Notre-Dame de Paris. En plus d’enrichir le monde musical par son travail à titre d’organiste, d’improvisateur et de compositeur, Latry est également professeur d’orgue au Conservatoire de Paris. Ce concert regroupant des œuvres de Bach, de Vierne et de Daquin a été enregistré à la cathédrale Notre-Dame de Paris, en 2015.
11:33
Œuvres de Mendelssohn et Hensel
La pianiste d’exception Elena Bashkirova préside la Fondation Felix Mendelssohn-Bartholdy de Leipzig depuis octobre 2020, succédant au chef d’orchestre Kurt Masur. Dans ce concert livré à la Maison Mendelssohn de Leipzig, Bashkirova est accompagnée par la soprano Juliane Banse, le flûtiste Emmanuel Pahud, le violoncelliste Claudio Bohórquez, le clarinettiste Karl-Heinz Steffens et le pianiste Ohad Ben-Ari pour interpréter un programme de musique de chambre consacré à la musique de Mendelssohn et de sa sœur, Fanny Hensel. Le programme débute avec le Trio pour piano en ré mineur, op. 49, de Mendelssohn, et se poursuit avec les chansons « Auf dem Teich, dem regungslosen » tirée du Schilflied, op. 71, no 4; et « Der Herbstwind rüttelt die Bäume » tirée du Reiselied, op. 34, no 6, de Mendelssohn. S’en suivent trois œuvres de Hensel : Vorwurf, op. 10, no 2; Verlust, op. 9, no 10; et Sehnsucht, op. 9, no 7. Le programme se termine avec des œuvres de Mendelssohn : « Allnächtlich im Traume seh ich dich », op. 86, no 4; « Die Liebende schreibt », op. 86, no 3; « Vergangen ist der lichte Tag » tirée de Nachtlied, op. 71, no 6; Sept romances sans paroles pour piano à quatre mains (op. 62, nos 1-6, et op. 67, no 1); et Trois pièces pour clarinette, violoncelle et piano (arr. Ernst Naumann), soit le Prélude, op. 35, no 4, les Romances sans paroles, op. 53 no 2, et le Duo, op. 38 no 6. Cette performance a été enregistrée en novembre 2020.
12:49
Beethoven - Symphonie no 6
Bernard Haitink dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin dans le cadre du Festival de Pâques à Baden-Baden, en 2015. Au programme, la Symphonie no 6 en fa majeur, op. 68 de Ludwig van Beethoven. Beethoven a composé sa Symphonie no 6 entre 1802 et 1808. Surnommée Symphonie pastorale, cette œuvre est l’un des rares exemples de musique à programme du compositeur allemand. Contrairement aux autres symphonies de Beethoven, elle n’a pas quatre, mais cinq mouvements, ayant chacun un titre de programme particulier.
13:34
Musique de chambre de Haydn, Tchaïkovski et autres
Ce concert de musique de chambre s’inscrit dans la série Preludio, présentée par l’école de musique Reina Sofía de Madrid. Le programme s’ouvre avec le Concerto en ré majeur pour violoncelle et orchestre, H VIIb: 2 (réduction pour violoncelle et piano) de Joseph Haydn, interprété par le violoncelliste Alejandro Gómez Pareja et le pianiste Miguel Ángel Ortega Chavaldas. Ensuite, la violoniste Cecilia Novella Genovés et la pianiste Alina Artemyeva présentent Souvenir d’un lieu cher, op. 42, de Piotr Ilitch Tchaïkovski, suivi par la Sonate pour violon solo en ré mineur, op. 27, no 3, d’Eugène-Auguste Ysaÿe, interprétée par Genovés. Le programme se poursuit avec Capriccio, op. 55, « Hommage à Paganini », de Henri Vieuxtemps, présenté par l’altiste Mario Carpintero Martín. Le bassiste Ramsés Martínez Millán et la pianiste Marharyta Kozlovska clôturent le programme avec la Sonate pour contrebasse et alto en ré majeur (arrangements pour contrebasse et piano) de Johannes Sperger. Cette performance a été enregistrée à l’Auditorio Sony de l’école de musique Reina Sofía de Madrid, en Espagne, le 30 avril 2024.
15:56
Europakonzert 2013 : Prague
Chaque 1er mai depuis 1991, l'Orchestre philharmonique de Berlin donne un concert dans une ville européenne différente ; une ville revêtant une importance culturelle particulière. Les concerts ont une double fonction : commémorer l'anniversaire de la fondation de l'orchestre (le 1er mai 1882) et célébrer l'héritage commun du vieux continent. En 1991, peu après la chute du bloc de l'Est, le premier Europakonzert a eu lieu à Prague. Ce choix délibéré exprimait la volonté de supporter la démocratisation et de faire avancer les changements politiques et sociaux nécessaires, surtout dans le domaine culturel. En 1996, l'Europakonzert a de nouveau eu lieu à Prague, au Théâtre national. Pour honorer cette tradition, l'édition de 2013 a été célébrée au Château de Prague, dans la Salle espagnole. Chef d'orchestre: Sir Simon Rattle. Soliste: Magdalena Kozená. Œuvres: Ralph Vaughan Williams, Fantaisie sur un thème de Thomas Tallis, Antonín Dvořák, Ten Biblical Songs, Opus 99. Ludwig van Beethoven, Symphonie No. 6 en fa major, Opus. 68.
18:51
Œuvres pour piano de Rachmaninov, Beethoven et al.
Le pianiste russe Nikolay Lugansky a été encensé à l’échelle mondiale pour son interprétation du répertoire de Sergueï Rachmaninov. Dans ce fabuleux récital, l’éminent pianiste présente une sélection de pièces du compositeur romantique russe, ainsi que des œuvres de Ludwig van Beethoven et d’Alexander Glazunov. Le programme débute par la Sonate pour piano n° 14 en do dièse mineur, op. 27 no 2, dite « Clair de lune » de Beethoven, suivie de la Sonate pour piano n° 2 en mi mineur, op. 75, d’Alexander Glazunov. Lugansky interprète ensuite une sélection d’œuvres de Rachmaninov : sa transcription pour piano de la Partita n° 3 en mi majeur de J. S. Bach; une sélection des Études-Tableaux (nos 1, 2, 4 et 8, op, 33; et nos 5 et 6, op. 39); Lilas (op. 21, no 5); Prélude en do mineur, op. 23 no 7; et sa transcription de la Berceuse (op. 16 n° 1) de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, le 4 juin 2021.
20:59
Bruch - Concerto pour violon no 1, Op. 26
Sir Simon Rattle dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin dans le cadre de l’édition 2008 de l’Europakonzert, présentée dans la célèbre salle du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Depuis 1991, l’Europakonzert célèbre chaque année la fondation de la Philharmonie de Berlin, le 1er mai 1882, par un concert dans une ville européenne qui revêt une certaine importance culturelle. Ce concert débute par une interprétation exceptionnelle de la Symphonie en trois mouvements de Stravinsky. Vadim Repin, l’un des artistes les plus fascinants de la scène musicale actuelle, est le soliste du Concerto pour violon no 1, op. 26, de Bruch. Le programme se termine par la Symphonie no 7 de Beethoven, dont le deuxième mouvement, l’Allegretto, a connu un succès immédiat lors de sa création, en 1813, et demeure aujourd’hui un grand favori du public.
22:00
Grieg - Concerto pour piano en la mineur, op. 16
Le chef d’orchestre Jan Latham-Koenig dirige l’Orchestre symphonique de Flandre dans une performance du Concerto pour piano en la mineur, op. 16, d’Edvard Grieg mettant en vedette le pianiste français Pascal Amoyel comme soliste. Grieg a composé cette pièce – son seul concerto – en 1868 en s’inspirant de la musique folklorique norvégienne. D’abord présentée le 3 avril 1869 à Copenhague, au Danemark, avec Edmund Neupert comme soliste, l’œuvre a été reçue avec enthousiasme par le public. La première norvégienne a eu lieu quelques mois plus tard. Cette performance a été enregistrée au Concertgebouw de Bruges, en Belgique, le 21 avril 2016.
ven. 7 nov.
03:52
Concert en direct de Genève
Pour transcender les clivages politiques et idéologiques entre leurs pays respectifs, Daniel Barenboim, juif argentin et plus célèbre pianiste et chef d’orchestre d’Israël, et Edward Said, philosophe palestinien et chrétien, ont créé le West-Eastern Divan Orchestra, un ensemble de jeunes musiciens âgés de 13 à 26 ans qui compte autant d’Israéliens que d’Arabes. Malgré ce grand symbolisme, les objectifs et les ambitions du West-Eastern Divan Orchestra sont d’abord et avant tout d’ordre musical : les divisions politiques du Moyen-Orient sont mises de côté le temps de l’union de ces jeunes talents musicaux, ce qui en dit long sur le pouvoir de l'interaction culturelle. Cette prestation livrée au Victoria Hall de Genève met en scène deux chefs-d’œuvre célèbres : le Concerto pour piano no 3 de Beethoven et la Symphonie no 5 de Tchaïkovski. Le concert se termine avec la Valse triste de Sibelius et l’ouverture de La Forza del Destino de Verdi.
05:37
Stingray Originals - Seljan Nasibli
Originaire d’Azerbaïdjan, Seljan Nasibli a commencé à jouer du piano et du violon à tout juste cinq ans. Après être déménagée en Angleterre à un jeune âge, elle a été encouragée à poursuivre ses aspirations musicales et a choisi de chanter du jazz. Or, ses professeurs à l’Université d’Oxford ont décelé chez la jeune femme une tendance opératique certaine, et l’ont invitée à suivre une formation classique. Nasibli a terminé ses études au Royal College of Music, où elle a décroché une maîtrise en performance vocale. Dans cet épisode de Stingray Originals, Nasibli interprète « Signore, ascolta! » et « Tu, che di gel sei cinta » tirées de Turandot de Puccini, et « Quando m’en vo’ » (La Valse de Musette) de La Bohème, du même compositeur.
06:00
Dvořák - Concerto pour violon en la mineur, op. 53
La violoniste géorgienne Lisa Batiashvili et le chef d’orchestre québécois Yannick Nézet-Séguin se joignent au Berliner Philharmoniker le temps d’un magnifique concert entièrement consacré à la musique tchèque à la Waldbühne de Berlin, en 2016. Si l’Allemagne, l’Autriche et l’Italie ont donné naissance à un nombre incalculable de grands compositeurs classiques, on oublie souvent que la République tchèque a aussi été un terreau fertile pour le genre, nous ayant notamment donné Antonin Dvořák, Bedřich Smetana, Leoš Janáček et Bohuslav Martinů. Ce concert débute par le célèbre Má Vlast de Smetana, se poursuit avec le Concerto pour violon en la mineur de Dvořák, interprété par Lisa Batiashvili, et se termine par la pièce maîtresse, la Symphonie no 6 de Dvořák.
07:00
Le German Brass joue Bach
L’ensemble German Brass livre quelques-uns des airs les plus populaires de Bach dans des arrangements pour cuivres à couper le souffle. Enregistré en direct de la magnifique église Saint-Thomas de Leipzig, ce concert comprend des pièces intemporelles du légendaire compositeur allemand, telles que Toccata et fugue en ré mineur, l’Adagio en sol mineur et Jesus bleibet meine Freude. Le German Brass figure parmi les ensembles de cuivres les plus populaires de notre temps, et regroupe des musiciens provenant des meilleurs orchestres allemands, notamment les orchestres philharmoniques de Berlin et de Munich. Offrant une vue complète de l’église pour laquelle Bach a conçu la plupart de ses œuvres et tirant parti de l’acoustique exceptionnelle de la salle, cet enregistrement de pointe est une véritable fête visuelle et auditive, et une célébration parfaite de l’œuvre de Bach.
10:29
Chopin - Nocturnes op. 62
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
17:40
Misha Fomin au Concertgebouw (2020)
Le pianiste Misha Fomin présente un récital regroupant diverses œuvres romantiques pour piano. Le concert s’ouvre avec la Sonate pour piano no 10, op. 14/2 et la Sonate no 15, op. 28 (« Pastorale ») de Beethoven, et se poursuit avec une performance de la Nocturne, op. 9/1, et de l’Étude, op. 25/7 de Chopin. Le programme se termine avec les Variations sur un thème de Paganini, op. 35 (Livre II), une œuvre de Brahms réputée être particulièrement exigeante d’un point de vue technique. En rappel, Fomin livre Chant polonais no 5 (« Meine Freunden ») de Chopin/Liszt. Enregistré au Concertgebouw d’Amsterdam, en novembre 2020.
19:07
Chostakovitch - Concerto pour violon no 1, op 77
En mai 2019, le nouveau chef d’orchestre principal du Gewandhaus, Andris Nelsons, a dirigé un concert mettant en vedette la Symphonie no 5 de Tchaïkovski, surnommée Symphonie du destin. À l’époque, Tchaïkovski voyait dans cette pièce un échec cuisant, et une preuve du tarissement de sa source créative. Constamment rongé par le doute, le compositeur n’a jamais adopté une attitude confiante envers ses propres talents. Le programme du concert comprend également le Concerto pour violon no 1 de Chostakovitch, mettant en scène l’exceptionnelle soliste Baiba Skride. Dans cette composition, le violon ne prend aucune pause; son récit orageux se déploie au fil des lignes de basse « ostinato Passacaglia » et laisse résonner un chant d’une beauté saisissante. Ces deux œuvres sont entrecoupées de l’Élégie pour violon solo de Stravinsky, également interprétée par Baiba Skride.
19:51
Jansons dirige Stravinsky, Hummel et Beethoven
Le chef d’orchestre Mariss Jansons, qui « incarnait à la fois la joie et l’autorité » selon le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, a célébré son 75e anniversaire avec un programme musical regroupant des œuvres signées Stravinsky, Hummel et Beethoven. Dans le cadre de ce concert emballant et éclectique livré en janvier 2018 à la Philharmonie du Gasteig de Munich, Jansons témoigne de la relation privilégiée qu’il a développée avec l’Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise au cours des 15 dernières années. Stravinsky a composé sa Symphonie en trois mouvements entre 1942 et 1945, inspiré par la Deuxième Guerre mondiale et les « images abjectes » du conflit vues dans les bandes cinématographiques d’actualités. D’une façon tout à fait différente, le Concerto pour trompette de Johann Nepomuk Hummel brille de mille feux. Ce brillant concerto, composé en 1803 pour mettre en valeur la trompette à clé nouvellement inventée, est interprété par Martin Angerer, trompettiste principal de l’Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise. Le concert se termine avec la Messe en do majeur de Beethoven, l’un des compositeurs favoris de Janson. Créée en 1807, cette œuvre est peut-être la première messe du compositeur, mais n’en témoigne pas moins de sa grande ambition.
sam. 8 nov.
02:50
Concert européen 2000 à Berlin
Le pianiste Mikhail Pletnev, la soprano Karita Mattila, l’alto Violeta Urmana, le ténor Thomas Moser et la basse Eike Wilm Schulte sont accompagnés par le Chœur de la Radio Suédoise ; le Chœur de chambre Eric Ericson Chamber Choir et l’Orchestre philharmonique de Berlin, l’ensemble étant dirigé par Claudio Abbado. Au programme : le Concerto pour piano n° 2 en si bémol majeur op. 19, puis la Symphonie n°9 en ré mineur op. 125 de Ludwig van Beethoven (1770-1827). Depuis 1991, “Europakonzert” est une tradition de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Les musiciens célèbrent l’anniversaire de leur orchestre fondé le 1er mai 1882. Ils se produisent dans différentes villes européennes. En 2000, ce fut à la Philharmonie de Berlin.
05:24
Johan de Meij - Echoes of San Marco & Fellini
Ce concert résulte d’une collaboration entre les conservatoires Giuseppe Nicolini de Piacenza et Giuseppe Verdi de Milan, dans le cadre du projet « MIlanoPIACEnza ... suonare insieme ». Le programme du concert regroupe des œuvres du chef d’orchestre et compositeur néerlandais Johan de Meij. Echoes of San Marco est un hommage au compositeur de la renaissance vénitienne Giovanni Gabrieli (1555-1612). Echoes of San Marco s’ouvre sur un extrait de « Canzon Septimi Toni », tiré de Sacræ symphoniæ, et rappelle l’œuvre originale pour deux chœurs et cuivres. Composée pour saxophone solo et orchestre, Fellini est un hommage au grand réalisateur italien Federico Fellini (1920-1993). De Meij a créé cette pièce pour le saxophoniste Hans de Jong, qui s’est ici costumé en clown mélancolique pour incarner les univers imaginaires et oniriques des films de Fellini. Ce concert mis en scène par Pietro Tagliaferri a été enregistré à la Sala dei Teatini du Teatri di Piacenza, en 2018.
06:30
Liszt - Sonata in B minor S.178
D'oeuvres: Die Lorelei, S532, La Sonate pour piano en si mineur, S.178. Mariam Batsashvili a étudié le piano à l’École de musique centrale E. Mikeladze de Tbilissi avec Natalia Natsvlishvili et à l’Université Franz Liszt de Weimar avec Grigory Gruzman. Elle a remporté plusieurs prix : le premier prix au Concours de piano international Franz Liszt pour jeunes pianistes (Weimar, 2011) et le second prix au Concours de piano international María Herrero (Grenade, 2012). Mariam Batsashvili s’est produite dans son pays natal, la Géorgie, comme dans d’autres pays : l’Allemagne, la France, l’Espagne, l’Italie, la Russie, Israël, l’Afrique du Sud, la Chine. Elle y a donné des récitals et joué avec des orchestres. Elle a été invitée comme soliste à plusieurs reprises par l’Orchestre philharmonique d’Erfurt et par l’Orchestre philharmonique du Cap.
07:36
Stravinsky - Le Sacre - I. L'Adoration de la Terre
Au programme de ce concert de l'Orchestre philharmonique de Berlin dirigé par Bernard Haitink avec, en soliste, le violoniste Frank Peter Zimmermann : l'Ouverture-Fantaisie Roméo et Juliette de Tchaïkovski, le Concerto pour violon n° 3 en sol majeur K. 216 de Mozart et le Sacre du Printemps d'Igor Stravinsky. Les Europakonzert de l'Orchestre philharmonique de Berlin sont une contribution de la célèbre formation à l'Union Européenne. Ils ont lieu toujours le 1er mai, date anniversaire de la création de l'Orchestre en 1882 et, à chaque fois, dans une ville différente. En 1993, ce fut à Londres, au Royal Albert Hall.
09:23
Telemann - Der am Ölberg zagende Jesus, TWV 1: 364
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
11:59
Brahms - 3 sonates pour violon, Op. 78, 100 et 108
Lors de ce splendide concert de 2013 à l’église de Verbier, en Suidde, le violoniste grec Leonidas Kavakos et la pianiste chinoise Yuja Wang s’unissent pour interpréter trois sonates de Johannes Brahms. Leonidas Kavakos est devenu célèbre en 1985, lorsqu’il est devenu le plus jeune musicien à remporter le premier prix du prestigieux concours Sibelius. Avec Yuja Wang, une artiste qui s’est elle aussi illustrée dès le plus jeune âge, il forme ce duo de maîtres consacré à l’interprétation de musique de chambre. Le programme comprend la Sonate pour piano et violon no 1 en sol majeur, op. 78, aussi surnommée « Regensonate », et la Sonate pour piano et violon no 2 en la majeur, op. 100, surnommée « Thuner-Sonate », un portrait des paysages paisibles du lac de Thoune, en Suisse. Il se conclut de façon enflammée et passionnée avec la Sonate pour piano et violon no 3 en ré mineur, op. 108.
13:51
Franck - Sonate pour violon et piano
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant explorant le répertoire pour piano et violon, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom. Dans le cadre de ce concert, Argerich et le violoniste Maxim Vengerov interprètent la Sonate pour violon et piano en la majeur de César Franck. Ce concert a été enregistré le 12 juin 2021.
15:01
Prosseda interprète Mozart, Schubert et Chopin
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
19:30
Beethoven - Symphonies et Concerto pour piano no 4
Iván Fischer dirige le Budapest Festival Orchestra (BFO) dans un concert consacré à la musique de Ludwig van Beethoven. Le programme débute avec la Symphonie n° 1 en do majeur, op. 21, suivie du Concerto pour piano n° 4 en sol majeur, op. 58, mettant en vedette Richard Goode (1943). Ce pianiste américain de renom est réputé pour son interprétation du répertoire de Beethoven. Il a notamment enregistré ses cinq concertos pour piano en compagnie du BFO et de Fischer, ce qui lui a valu les louanges de la critique et une nomination aux prix Grammy. En rappel, Goode interprète la sarabande tirée de Partita en si bémol majeur, BWV 825, de J. S. Bach. Le concert se termine au son de la célèbre Symphonie n° 5 en do mineur, op. 67, de Beethoven. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert nationale Béla Bartók de Budapest, en Hongrie, le 29 janvier 2017.
22:37
Rachmaninov - Concerto pour piano n ° 4 et Nielsen
Fabio Luisi dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark lors d’une puissante performance tirée des célébrations en l’honneur du 150e anniversaire du compositeur national du Danemark, Carl Nielsen. Aux côtés de l’ironique Symphonie no 6 de Nielsen, le concert présente la pianiste française de renommée mondiale Lise de la Salle en tant que soliste du Concerto pour piano no 4 de Rachmaninov. Ce concerto méconnu a disposé de trois versions distinctes pendant que le compositeur était encore vivant, et il est caractérisé par son mouvement chromatique audacieux et ses qualités évoquant le jazz. Luisi et de la Salle possédaient déjà de l’expérience avec ce morceau, car ils l’avaient interprété et enregistré ensemble auparavant. Cette performance a été captée au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2017.
dim. 9 nov.
03:45
Célébration Mozart à Berlin
Présenté dans le somptueux décor de l’Opéra de Berlin – le Staatsoper Unter den Linden – ce concert est entièrement consacré à l’œuvre de Wolfgang Amadeus Mozart. Ce gala présenté pour un soir seulement met en vedette les pièces les plus exubérantes du compositeur, interprétées par certains des plus grands chanteurs et musiciens internationaux. Le chef d’orchestre Julien Salemkour dirige le Staatskapelle Berlin, l’orchestre du Staatsoper Unter den Linden, ainsi que les solistes Nicolaj Znaider (violon), Thomas Quasthoff (baryton) et Sylvia Schwartz (soprano). Au programme de ce merveilleux concert, on retrouve l’ouverture de La clemenza di Tito, le Concerto pour violon n° 5, le lied Chi sa, chi sa, qual sia, le Concerto pour piano n° 23, l’aria Per questa bella mano, l’aria Papageno et le duo Papageno-Papagena tirés de La Flûte enchantée, et la Symphonie n° 40.
06:10
Bizet - L'Arlésienne Suite
Sous la direction de Mihail Pletnev, Lucas Debargue et l’Orchestre national de Russie présentent un concert consacré à George Bizet et à Maurice Ravel. Le concert s’ouvre avec une sélection d’œuvres de Bizet composées pour la pièce de théâtre L’Arlésienne d’Alphonse Daudet, compilées par Pletnev. Debargue interprète ensuite le Concerto pour piano no 1 de Ravel, suivi par la Barcarolle no 4 de Fauré, présentée en rappel. Le mouvement initial du premier concerto de Ravel contient cinq thèmes distincts, dont deux présentent des accents basques et trois affichent l’influence du jazz. Ce concert a été enregistré à la salle de concert Tchaïkovski dans le cadre de la neuvième édition du Grand Festival de l’Orchestre national de Russie.
10:02
Telemann - Jesus liegt in letzten Zügen, TWV 1:983
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
10:30
Bellini/Liszt - Réminiscences de Norma S.394
Minsoo Hong (1993, Corée du Sud) interprète le Sposalizio tiré des Années de pèlerinage : Deuxième année (S161/1) de Liszt et les Réminiscences de Norma de Bellini/Liszt (S394) lors de la finale en solo du 11e Concours international de piano Franz Liszt, qui s’est tenu à TivoliVredenburg, Utrecht , en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
11:03
Naples, ville des claviers - Gaetano Greco
Avant l’arrivée de Porpora, de Scarlatti et de Pergolesi, Gaetano Greco, l’un des compositeurs et des professeurs de musique les plus réputés de son époque, régnait en maître sur la scène musicale napolitaine. Le jeune claveciniste romain Andrea Buccarella, qui se produit également au Festival avec l’Ensemble Abchordis, combine ici les plus belles toccatas et la célèbre Ballo di Mantua de Greco à des œuvres de son élève, Francesco Durante, qui explore les derniers recoins du clavier avec sa pièce Quattro stagioni.
19:48
Bach - Préludes et Fugues, et Alla variata BWV 989
À l’âge de onze ans, le pianiste italien Andrea Bacchetti (*1977) a fait ses débuts professionnels avec l’orchestre de chambre italien I Solisti Veneti, sous la direction de Claudio Scimone. Il s’est produit dans le cadre de festivals internationaux et sur les planches de salles de concert prestigieuses à travers le monde, en compagnie de plusieurs orchestres de renommée mondiale, dont le Festival Strings Lucerne, la Camerata de Salzbourg et l’Orchestre de musique de chambre de Prague. Dans ce récital, Bacchetti interprète une sélection de préludes et de fugues tirés du Clavier bien tempéré, livre II, de J. S. Bach: no 9 en mi majeur, no 14 en fa dièse mineur, no 15 en sol majeur, no 20 en la mineur, no 2 en do mineur, no 1 en do majeur, no 4 en do dièse mineur, no 6 en ré mineur, no 7 en mi bémol majeur, no 8 en ré dièse mineur, et no 13 en fa dièse majeur. Bacchetti termine le récital avec Aria variata alla maniera italiana en la mineur, BWV 989, de Bach. Cette performance a été enregistrée au Teatro Sociale di Camogli, en Italie, le 9 décembre 2022.
Hier
02:32
Waldbühne 1999 - A Romantic Opera Night
Ce concert livré à la Waldbühne de Berlin célèbre l’héritage de Wagner et de son successeur le plus emblématique, Richard Strauss. Ce concert lyrique mettant en vedette le Berliner Philharmoniker et le soliste Ben Heppner est dirigé par James Levine, directeur musical du Metropolitan Opera depuis près de 40 ans. Parmi les œuvres de Strauss au programme de la soirée, on trouve Don Juan, op. 20; Cäcilie et Heimliche Aufforderung, op. 27; Zueignung, opus 10; Till Eulenspiegels lustige Streich; et la Valse/Di Rigori Armato de Der Rosenkavalier. Les œuvres de Wagner au programme comprennent le prélude In fernem Land tiré de Lohengrin; le prélude Liebestod tiré de Tristan und Isolde; le prélude Walther’s Preislied tiré de Die Meistersinger von Nürnberg; et Ritt der Walküren tiré de Die Wälkure. Fidèle à la tradition, le Berliner Philharmoniker clôt ce concert à la Waldbühne avec le Berliner Luft de Paul Lincke.
05:24
Dvořák - Symphonie no 8 en sol majeur, op. 88
Pour célébrer le 30e anniversaire de l’École de musique Reina Sofía de Madrid, en Espagne, l’Orquesta Sinfónica Freixenet et son chef d’orchestre principal Andrés Orozco-Estrada ont fait la tournée de certains des plus grands centres musicaux d’Europe. Ce concert enregistré le 20 octobre 2021 à l’Académie de musique Liszt Ferenc de Budapest, en Hongrie, compte une performance fantastique de la Symphonie no 8 en sol majeur, op. 88, d’Antonín Dvořák.
07:40
Beethoven - Quatuors à cordes nos 4, 5 et 12
Le réputé quatuor à cordes français Quatuor Ébène a souligné le 250e anniversaire de naissance de Ludwig van Beethoven (1770-1827) avec un projet remarquable : l’enregistrement de l’ensemble de ses seize quatuors à cordes. Pendant cinq ans, les violonistes Pierre Colombet et Gabriel Le Magadure, l’altiste Marie Chilemme et le violoncelliste Raphaël Merlin ont plongé corps et âme dans ces 650 pages de musique en feuille, couvrant trois décennies de la prolifique carrière de Beethoven. Cet effort a culminé en six concerts captivants présentés à la Philharmonie de Paris à l’automne 2020. Le Quatuor Ébène a exploré toutes les facettes des quatuors à cordes de Beethoven, du dynamisme des quatuors à cordes de l’opus 18 aux quatuors Razumovsky, Les Harpes et Quartetto Serioso (opus 59, 74 et 95) de sa période intermédiaire, jusqu’à la profondeur de ses quatuors tardifs (opus 127 à 135). Dans ce programme, le Quatuor Ébène interprète le Quatuor à cordes no 5 en la majeur, op. 18, no 5; le Quatuor à cordes no 4 en do mineur, op. 18, no 4; et le Quatuor à cordes no 12 en mi bémol majeur, op. 1. Ce concert a été enregistré à la Philharmonie de Paris, le 17 décembre 2020.
09:46
Stingray Originals - Seljan Nasibli
Originaire d’Azerbaïdjan, Seljan Nasibli a commencé à jouer du piano et du violon à tout juste cinq ans. Après être déménagée en Angleterre à un jeune âge, elle a été encouragée à poursuivre ses aspirations musicales et a choisi de chanter du jazz. Or, ses professeurs à l’Université d’Oxford ont décelé chez la jeune femme une tendance opératique certaine, et l’ont invitée à suivre une formation classique. Nasibli a terminé ses études au Royal College of Music, où elle a décroché une maîtrise en performance vocale. Dans cet épisode de Stingray Originals, Nasibli interprète « Signore, ascolta! » et « Tu, che di gel sei cinta » tirées de Turandot de Puccini, et « Quando m’en vo’ » (La Valse de Musette) de La Bohème, du même compositeur.
12:03
The Red Priest and the Tanguero
L’ensemble YES Camerata (Young European String Camerata) et le violoniste William Hagen interprètent The Red Priest and the Tanguero à l’Academiezaal de la ville belge de Saint-Trond, en 2017. Le programme du concert comprend Les quatre saisons d’Antonio Vivaldi (1679-1741) et Las quatros estaciones porteñas d’Astór Piazzolla (1921-1992), dans une transcription de Leonid Desyatnikov. YES Camerata est un jeune ensemble à cordes dynamique qui se produit sans chef d’orchestre. Le jeune violoniste américain William Hagen a été le troisième lauréat du prestigieux concours Reine Elisabeth, en 2015.
14:48
Saint-Saëns - Polonaise pour deux pianos, op. 77
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant explorant le répertoire pour piano et violon, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom, dont les pianistes Evgeny Kissin, Theodosia Ntokou et Cristina Marton-Argerich, et le violoniste Maxim Vengerov. Le programme de ce concert comprend le Concertino pour deux pianos, op. 94 de Dmitri Chostakovitch; l’Impromptu no 3, op. 51, la Polonaise « héroïque » no 6, op. 53, et la Valse « minute », op. 64, no 1, de Frédéric Chopin; la Polonaise pour deux pianos, op. 77 de Camille Saint-Saëns; la Sonate pour violon et piano en la majeur de César Franck; et Liebesleid et Schön Rosmarin de Fritz Kreisler. Ce concert a été enregistré le 12 juin 2021.
15:00
Abbado dirige Mahler et Schönberg
Ce programme est introduit par un court documentaire sur Pelléas et Mélisande de Schönberg, basé sur un texte de Claudio Abbado. Chaque thème musical est associé à une couleur spéciale qui apparaît à l’écran. Ce qui est le plus remarquable au sein des performances de Malher par Abbado est que leur impact sans égal n’a jamais mis de côté la sensibilité, la subtilité et l’extrême sophistication des œuvres du compositeur. Avec le plus important orchestre de jeunes musiciens au monde, le Gustav Mahler Jugendorchester (GMJO), Abbado interprète la Symphonie no 4 de Gustav Malher et Pelléas et Mélisande, op. 5 d’Arnold Schönberg. Le Gustav Malher Jugendorchester a été fondé à Vienne en 1986, par Abbado. La qualité artistique élevée et le succès international de cet orchestre ont incité plusieurs chefs d’orchestre et solistes de renom à collaborer avec lui.
19:22
Schumann - le Quintette pour piano, op. 44
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant consacré à la musique de chambre, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Dans ce concert, la « grande dame du piano » est rejointe par les violonistes Maxim Vengerov et Tedi Papavrami, le violoncelliste Mischa Maisky et sa fille Lyda Chen-Argerich à l'alto pour interpréter le Quintette pour piano en mi bémol majeur, op. 44, de Robert Schumann. Ce concert a été enregistré le 11 juin 2021.
23:59
Mozart - Symphonie no 34, K. 338
Maestro Iván Fischer dirige l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans un merveilleux programme composé d’œuvres de Wolfgang Amadeus Mozart et d’Antonín Dvořák. Le concert débute par la Symphonie no 34 en do majeur, K. 338, de Mozart. Achevée à l’été 1780, cette œuvre est la dernière symphonie composée par Mozart à Salzbourg, où il était musicien de la cour. La symphonie compte trois mouvements : le premier et le dernier sont énergiques et entraînants, tandis que le deuxième, composé pour cordes seules, est plutôt calme. Le programme se poursuit avec la Symphonie no 7 en ré mineur, op. 70, de Dvořák. Achevée en mars 1885, cette pièce a été présentée pour la première fois à Londres un mois plus tard, sous la baguette du compositeur lui-même. Comme c’est généralement le cas pour les œuvres de cette période, la symphonie présente un style sombre et dramatique, qui crée un contraste notable avec l’œuvre du compositeur. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, le 29 janvier 2021.