Grille horaire

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Stingray Classica
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ven. 14 nov.
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01:00
Verdi - La Traviata
PG02:14:002015HD
Après avoir été initialement rejetée, La Traviata est devenue l’une des œuvres les plus célèbres de Verdi. Cette histoire d’amour tragique relate l’histoire de Violetta Valéry, une riche courtisane qui a tout ce qu’elle désire – argent, amis, amants – jusqu’à ce qu’elle amoureuse du jeune Alfredo. Giorgio Germont, le père d’Alfredo, désapprouve de la relation et exige que Violetta quitte Alfredo pour toujours. Par sa musique profondément humaine et son habile représentation psychologique des personnages et de leurs sentiments, cette œuvre a conféré à Verdi son statut légendaire. David McVicar propose une mise en scène combinant références romantiques et perspectives actuelles. Renato Palumbo dirige les solistes Ermonela Jaho (Violetta Valéry), Francesco Demuro (Alfredo Germont) et Juan Jesús Rodriguez (Georgio Germont), ainsi que l’orchestre et le chœur du Teatro Real de Madrid.
03:14
Mahler - Symphonie No. 7
G01:23:001993HD
Le chef d’orchestre néerlandais Bernard Haitink dirige le Berliner Philharmoniker dans cette interprétation de la Symphonie no 7 de Gustav Mahler, enregistrée à la Berliner Filharmonie en 1993. Cette symphonie pour orchestre a été présentée pour la première fois en 1908 à Prague, sous la direction de Mahler lui-même. Quelques semaines plus tard à peine, la pièce avait déjà été interprétée aux Pays-Bas et en Allemagne, mais le public n’est pas tombé immédiatement sous le charme de ses mélodies. Composée de cinq mouvements, cette œuvre présente un plan tonal plus complexe que celui des symphonies précédentes de Mahler. Les deux premières parties de la symphonie, appelées « Nachtmusik », ou musique de nuit, sont inspirées de la toile La Ronde de nuit de Rembrandt. La finale, sans doute le passage le plus exubérant composé par Mahler, conclut la symphonie d’une façon aussi étrange que somptueuse.
04:38
L'Angleterre, mon Angleterre - I
G00:20:002015HD
Du 28 août au 6 septembre 2015, le Festival de musique ancienne d’Utrecht a braqué les projecteurs sur England, my England. Lex Bohlmeijer anime ce documentaire en deux parties qui convie les téléspectateurs à un périple intrigant à travers l’Angleterre du Moyen Âge, de la Renaissance et de la période baroque, et crée un parallèle avec la ville d’Utrecht. L’épisode 1 de la série s’intéresse aux églises de la vieille ville d’Utrecht et à la source d’inspiration première de l’édition 2015 du festival – le domaine anglais de Boughton House – présentée par le duc de Buccleuch.
04:58
Tchaïkovski - Symphonie no 6, opus 74
G00:47:002016HD
Ce concert de Pâques présenté au Festspielhaus de Baden-Baden est une véritable rencontre au sommet : Manfred Honeck y dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin et le légendaire violoncelliste Yo-Yo Ma. Honeck, directeur musical de l’Orchestre symphonique de Pittsburgh, a fait ses débuts avec le Berliner Philharmoniker en 2013, et Yo-Yo Ma joue régulièrement avec l’orchestre depuis 1978. Le concert débute par l’Ouverture tragique, op. 81, de Brahms, suivie du Concerto pour violoncelle, op 129, de Schumann. Le programme se termine par la Symphonie no 6, dite Pathétique, de Tchaïkovski. Le Concerto pour violoncelle de Schumann n’a jamais été joué du vivant de son compositeur, et Tchaïkovski est mort neuf jours seulement après la première de sa Sixième Symphonie.
05:46
IVC 2021 Demi-finale: Fauré, Wolf et autres
G00:26:002021HD
La soprano Alisa Fedorenko (Russie, 1999) et le pianiste Evgenii Sergeev (Russie, 1986) interprètent « Mandoline » et « À Clymène » tirées des Cinq mélodies de Venise, op. 58, de Gabriel Fauré; « Lied der Delphine » tirée de Zwei Szenen aus dem Schauspiel ‘Lacrimas’, D. 857, de Franz Schubert; « Son » tirée des Six romances, op. 38, de Sergueï Rachmaninov; « Elfenlied » tirée de Mörike-Lieder de Hugo Wolf; « Staccato » tirée des Trois exercices de solfège de Rodion Chtchedrine; et Vermeer's gold de Bart Visman dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
06:12
PIAM - Demi-finale II: Mozart et Bartók
G00:47:002021HD
En 2019-2021, la première édition du Prix international Antonio Mormone (Premio Internazionale Antonio Mormone) a eu lieu dans la ville italienne de Milan. Ce concours international a été créé par Enrica Ciccarelli, présidente de la fondation La Società dei Concerti, en mémoire du célèbre découvreur de talents Antonio Mormone (1930-2017). La première édition était consacrée au piano. Dans le cadre de ce concours, Ying Li (Chine, 1997) interprète la Sonate no 13 en si bémol majeur (K.333) de Wolfgang Amadeus Mozart et la Sonate pour piano (Sz.80, BB 88) de Béla Bartók. Cette performance a été captée au Nuovo Teatro Ariberto de Milan en juin 2021.
07:00
Œuvres pour orgue de J. S. Bach
G00:57:002000HD
L’organiste allemand Ullrich Böhme interprète plusieurs pièces pour orgue signées J. S. Bach dans le cadre de ce concert livré à l’église Saint-Thomas de Leipzig, en Allemagne, en 2000. L’église Saint-Thomas est associée à plusieurs compositeurs, dont Felix Mendelssohn et Richard Wagner, mais tout particulièrement à Bach, qui en était le thomaskantor de 1723 jusqu’à sa mort, en 1750. Le programme de ce concert comprend la Toccata en ré mineur, BWV 565; Jesu, meine Freude, BWV 227/9; Nun danket alle Gott, BWV 657; Jesu bleibet meine Freude, BWV 147/6; Prélude et Fugue en la mineur, BWV 543; Vor deinen Thron tret ich hiermit, BWV 668; Toccata et Fugue en fa majeur, BWV 540; et une sélection de chœurs d’orgue tirés d’Orgelbüchlein : In dich hab ich gehoffet, Herr, BWV 640; Wenn wir in höchsten Nöten, BWV 641; Wer nur den lieben Gott läßt walten, BWV 642; Alle Menschen müssen sterben, BWV 643; et Ach wie nichtig, BWV 644.
07:57
Schubert - Symphonie no 8 en si mineur, D. 759
G00:24:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 8 en si mineur, D. 759, de Franz Schubert. Schubert a commencé cette œuvre en 1822, mais en a seulement achevé les deux premiers mouvements, d’où son surnom de Symphonie inachevée. Le premier mouvement, l’allegro moderato, affiche des couleurs sombres et mystérieuses, qui offrent un contraste saisissant au magnifique deuxième mouvement, l’andante con moto en mi majeur. Schubert n’a composé que quelques mesures du troisième mouvement, un scherzo, en partition complète. Nul ne sait pourquoi le compositeur n’a jamais terminé cette symphonie, mais plusieurs théories circulent. Malgré tout, cette pièce figure parmi les compositions les plus populaires de Schubert. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la musique de Paris, en France, en 2013.
08:21
Mozart Symphonie no 34 et Dvořák Symphonie no 7
G01:05:002021HD
Maestro Iván Fischer dirige l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans un merveilleux programme composé d’œuvres de Wolfgang Amadeus Mozart et d’Antonín Dvořák. Le concert débute par la Symphonie no 34 en do majeur, K. 338, de Mozart. Achevée à l’été 1780, cette œuvre est la dernière symphonie composée par Mozart à Salzbourg, où il était musicien de la cour. La symphonie compte trois mouvements : le premier et le dernier sont énergiques et entraînants, tandis que le deuxième, composé pour cordes seules, est plutôt calme. Le programme se poursuit avec la Symphonie no 7 en ré mineur, op. 70, de Dvořák. Achevée en mars 1885, cette pièce a été présentée pour la première fois à Londres un mois plus tard, sous la baguette du compositeur lui-même. Comme c’est généralement le cas pour les œuvres de cette période, la symphonie présente un style sombre et dramatique, qui crée un contraste notable avec l’œuvre du compositeur. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, le 29 janvier 2021.
09:27
IVC 2021 - Demi-finale: Duparc, Schumann et autres
G00:23:002021HD
Le baryton Geng Lee (Chine, 1994) et le pianiste Nils Basters (Allemagne, 1989) interprètent Chanson triste d’Henri Duparc; « Ein Jüngling liebt ein Mädchen » et « Am leuchtenden Sommermorgen » tirées de Dichterliebe, op. 48, de Robert Schumann; « Litany » tirée de Shadow of the Blues de John Musto; Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « Hôtel » tirée de Banalités, FP 107, de Francis Poulenc; et « Ging heut’ Morgen über’s Feld » tirée de Lieder eines fahrenden Gesellen de Gustav Mahler dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
09:51
Naples - Capitale oubliée de la musique - partie 1
G00:22:002019HD
Du 23 août au 1er septembre de 2019, le Festival de musique ancienne d’Utrecht explorera l’héritage musical de Naples, une métropole culturelle marquée par les contradictions et la solidarité. Dans le documentaire Napoli – Music’s Forgotten Capital, le co-commissaire du festival Thomas Höft part à la recherche d’histoires provenant de cette ville mystérieuse.
10:13
Schumann - Fantasiestücke, op. 12
G00:47:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il propose Fantasiestücke, op. 12. Composée en 1837, cette œuvre forme une série de huit pièces pour piano aux caractères contrastants. Son titre est inspiré de la collection de romans Pièces de fantaisie à la manière de Callot de E. T. A. Hoffmann, l’un des auteurs préférés du compositeur. Comme il l’a fait pour Davidsbündlertänze, Schumann a conçu Fantasiestücke sous forme de dialogue musical entre Florestan et Eusebius, qui incarnent la dualité de sa propre personnalité. Le premier représente la facette passionnée du compositeur, tandis que le second illustre son côté rêveur. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
11:01
Bach - Concertos brandebourgeois, BWV 1046-1051
G01:38:002021HD
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Cette performance a été enregistrée à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne).
12:39
Œuvres de Mendelssohn et Hensel
G01:15:002020HD
La pianiste d’exception Elena Bashkirova préside la Fondation Felix Mendelssohn-Bartholdy de Leipzig depuis octobre 2020, succédant au chef d’orchestre Kurt Masur. Dans ce concert livré à la Maison Mendelssohn de Leipzig, Bashkirova est accompagnée par la soprano Juliane Banse, le flûtiste Emmanuel Pahud, le violoncelliste Claudio Bohórquez, le clarinettiste Karl-Heinz Steffens et le pianiste Ohad Ben-Ari pour interpréter un programme de musique de chambre consacré à la musique de Mendelssohn et de sa sœur, Fanny Hensel. Le programme débute avec le Trio pour piano en ré mineur, op. 49, de Mendelssohn, et se poursuit avec les chansons « Auf dem Teich, dem regungslosen » tirée du Schilflied, op. 71, no 4; et « Der Herbstwind rüttelt die Bäume » tirée du Reiselied, op. 34, no 6, de Mendelssohn. S’en suivent trois œuvres de Hensel : Vorwurf, op. 10, no 2; Verlust, op. 9, no 10; et Sehnsucht, op. 9, no 7. Le programme se termine avec des œuvres de Mendelssohn : « Allnächtlich im Traume seh ich dich », op. 86, no 4; « Die Liebende schreibt », op. 86, no 3; « Vergangen ist der lichte Tag » tirée de Nachtlied, op. 71, no 6; Sept romances sans paroles pour piano à quatre mains (op. 62, nos 1-6, et op. 67, no 1); et Trois pièces pour clarinette, violoncelle et piano (arr. Ernst Naumann), soit le Prélude, op. 35, no 4, les Romances sans paroles, op. 53 no 2, et le Duo, op. 38 no 6. Cette performance a été enregistrée en novembre 2020.
13:54
Stingray Originals - Seljan Nasibli
G00:22:002021HD
Originaire d’Azerbaïdjan, Seljan Nasibli a commencé à jouer du piano et du violon à tout juste cinq ans. Après être déménagée en Angleterre à un jeune âge, elle a été encouragée à poursuivre ses aspirations musicales et a choisi de chanter du jazz. Or, ses professeurs à l’Université d’Oxford ont décelé chez la jeune femme une tendance opératique certaine, et l’ont invitée à suivre une formation classique. Nasibli a terminé ses études au Royal College of Music, où elle a décroché une maîtrise en performance vocale. Dans cet épisode de Stingray Originals, Nasibli interprète « Signore, ascolta! » et « Tu, che di gel sei cinta » tirées de Turandot de Puccini, et « Quando m’en vo’ » (La Valse de Musette) de La Bohème, du même compositeur.
14:17
Bartók - Danses folkloriques roumaines
G00:13:002020HD
Ce concert intitulé Liszt Mosaics se veut une célébration de la riche tradition de la musique folklorique hongroise. Le concert s’ouvre avec une sélection des 44 Duos pour 2 violons (nos 17, 18, 36 et 44) de Bartók, interprétés par Shlomo Mintz et Radics Ferenc, et se poursuit avec des œuvres vocales de musique folklorique hongroise de la région de Kalotaszeg, interprétées par Pál Eszter, accompagnée de l’Ensemble folklorique d’État hongrois et de l’orchestre de chambre Cameristi della Scala. Les ensembles concluent le concert en interprétant des danses folkloriques roumaines de Bartók, sous la direction du directeur musical István Pál Szalonna. La violoniste solo est Agnese Ferraro.
14:31
Prokofiev - Extraits de Roméo et Juliett
G00:29:001996HD
En 1996 l’Europakonzert annuel de l’Orchestre philharmonique de Berlin a eu lieu au magnifique théâtre Mariinsky à Saint-Pétersbourg. Le concert commence par les moments forts de l’opéra Roméo et Juliette de Prokofiev, suivis d’une cavatine de l’opéra Aleko de Rachmaninov afin d’honorer l’hôte russe. Après la pause on entend Kolja Blacher jouer les deux Romances pour violon de Beethoven, suivies d’une exécution de sa Symphonie No. 7.
15:00
Gaming in Symphony
PG01:09:002018HD
Eímear Noone dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark et son chœur lors d’une performance spectaculaire qui comprend certaines des plus célèbres trames musicales de jeux vidéo des 40 dernières années. Ce programme met en vitrine la profondeur et l’ampleur de la musique de jeux vidéo, avec des morceaux de la légende du Nintendo Koji Kondo, du vétéran de DOOM Mick Gordon et d’une panoplie d’autres compositeurs contemporains. Les trames principales abordées incluent Call of Duty, Final Fantasy, Assassin’s Creed, Halo et World of Warcraft. Les solistes de cette performance sont Tuva Semmingsen (mezzo) et Christine Nonbo Andersen (soprano). Capté au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2018.
16:10
Beethoven - Symphonie no 3 en mi bémol majeur
G00:52:002014HD
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 3 en mi bémol majeur, op. 55, dite « Eroica », de Beethoven. Composée entre 1803 et 1804 dans un style qui rompt avec la tradition, cette symphonie est perçue comme un tournant dans l’œuvre de Beethoven ainsi que pour l’histoire de la musique occidentale dans son ensemble. Plus longue que toute symphonie précédemment composée, Eroica s’ouvre avec deux accords puissants qui remplacent l’introduction longue habituelle. Les violoncelles et les contrebasses introduisent ensuite le thème principal. Le deuxième mouvement, très lent, est une marche funèbre, suivie d’un scherzo rapide. Le quatrième et dernier mouvement est dominé par un thème tiré du ballet Les Créatures de Prométhée de Beethoven. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
17:03
Antonio Manna: Il basso napolitano
G00:57:002020HD
Stefano Demicheli dirige l’ensemble Talenti Vulcanici et les solistes Nicola Cianncio (basse) et Catherine Jones (violoncelle) dans un concert éclectique consacré à la musique baroque, enregistré à la l’église Santa Caterina da Siena de Naples, en Italie. Le programme comprend : « Quante i boschi han piane » (tirée d’Erminia) de A. Scarlatti; « Contro coli di fortuna » (tirée d’Il faraone sommerso) de Fago; « Idre, arpie, draghi e leoni » (tirée de La Iole) de Porpora; la Sonata a quattro, no 1 de Ragazzi; « Nel mar che bagna al bel Sebeïo » de A. Scarlatti; « Quanto abbraccia il mar » (tirée d’Euleo festeggiante) de Bononcini; « Precipitoso il mar che freme » (tirée d’Avi, Galatea e Polifemo) de G. F. Haendel; le Concerto pour violoncelle et cordes en sol de Porpora; « Miei fidi armatevi » (tirée d’Il faraone sommerso) de Fago; et « Per molti lustri » (tirée d’Euleo festeggiante) de Bononcini.
18:00
PIAM - Demi-finale I: Chopin et Scriabin
G00:28:002020HD
L’héritage du réputé dénicheur de talents italien Antonio Mormone (1930-2017) se perpétue grâce au Premio Internazionale Antonio Mormone (PIAM), un concours de musique classique consacré à la relève. La première édition du concours, qui s’est déroulée dans diverses salles de Milan entre 2019 et 2021, était consacrée au piano. Micah McLaurin (États-Unis, 1994) y interprète Nocturne no 2, op. 27, et Barcarolle, op. 60, de Frédéric Chopin, ainsi qu’une sélection des Études d’Alexander Scriabin : no 5, op. 42, et nos 11 et 12, op. 8. Cette performance a été enregistrée au Teatro EDI Barrio de Milan en janvier 2020.
18:28
Beethoven - Concerto pour violon, op. 61
G00:50:002015HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Dans cette performance, Grimal est accompagné de son ensemble pour interpréter le Concerto pour violon en ré majeur, op. 61, de Ludwig van Beethoven. Composé en 1806, le Concerto pour violon est la seule œuvre du genre créée par Beethoven. À la suite d’une première peu concluante, l’œuvre n’a pas été souvent interprétée au cours des décennies suivantes, mais a connu un second souffle en 1844, après une performance remarquable d’un jeune violoniste de 12 ans appelé Joseph Joachim. Depuis, il s’agit de l’une des œuvres du genre les plus souvent présentées. En rappel, Grimal interprète l’allegro tiré de la Sonate pour violon no 2 en la mineur, BWV 1003, de J. S. Bach. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2015.
19:19
Nelsons et Opolais interprètent Dvořák
G01:40:002017HD
Andris Nelsons et sa femme, la grande soprano Kristine Opolais, et le Gewandhausorchester de Leipzig présentent un concert consacré à Antonin Dvořák, dans lequel les mélodies cachées par le compositeur dans toutes les couches de sa musique se déploient avec des nuances tendres, chaudes et douces. Les tempos de Nelsons demeurent calmes et décontractés, permettant à la beauté omniprésente de la musique de Dvořák d’inonder le Gewandhaus. Le programme du concert débute par l’ouverture pour orchestre Othello, op. 93. Opolais interprète ensuite le « Chant à la lune » tirée de Roussalka et « Chansons que ma mère m’a apprises » tirée des Mélodies gitanes, op. 55/4, suivies par la Polonaise, « O, marno, marno to je » de Roussalka et « Dobrá! Já mu je dám!... Jak je mi? » de l’opéra Dalibor de Smetana. Le concert se termine par une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95 (« Du Nouveau Monde »). Enregistré au Gewandhaus de Leipzig en mai 2017.
21:00
Demi-finale I - Concours piano de Liszt 2017
G00:59:002017HD
Yonghwan Jeong (1991, Corée du Sud) interprète Harmonies poétiques et religieuses de Liszt, Funérailles n ° 7 (S173 / 7) et Grandes études de Paganini (S141) lors de la demi-finale I du 11e Concours international de piano Franz Liszt qui s’est tenu à TivoliVredenburg, Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
22:00
Copland - El Salón México
G00:16:002017HD
Le chef d’orchestre français Adrien Perruchon et l’Orchestre symphonique de Flandre nous convient à un périple musical vers le Mexique à l’écoute d’El Salón México (1936) d’Aaron Copland. Inspiré par une visite au club coloré du même nom à Mexico, Copland a composé cette œuvre orchestrale enjouée qui intègre des airs folkloriques mexicains. Cette performance a été enregistrée au Concertgebouw de Bruges, en Belgique, le 1er mars 2017.
22:16
Copland - Appalachian Spring
G00:25:002021HD
Le chef d’orchestre mexicain Carlos Miguel Prieto dirige l’Orquesta Sinfónica de Minería dans une performance de la suite Appalachian Spring d’Aaron Copland, une œuvre d’abord créée en 1944 sous forme de ballet pour la compagnie de Martha Graham. Orchestré à l’origine pour 13 instruments, Appalachian Spring a ensuite été décliné par Copland en plusieurs suites, dont une version pour orchestre complet. Cette performance a été enregistrée à l’Auditorio Nacional de Mexico, en 2021.
22:41
Puccini - Tosca
14A02:18:002017HD
Pour leur prestation à l’édition 2017 du Festival de Pâques de Baden-Baden, Sir Simon Rattle et le Berliner Philharmoniker se sont inspirés de Tosca, le plus réputé et sans doute le plus brillant des opéras de Puccini. Tosca n’est pas simplement un chef-d’œuvre d’un point de vue artistique, mais offre également une histoire fascinante riche en suspense. Cette œuvre en trois actes, présentée pour la toute première fois en 1900 au Teatro Costanzi de Rome, est basée sur un libretto signé par les Italiens Luigi Illica et Giuseppe Giacosa. Pour cette performance, Philipp Himmelmann propose une mise en scène spectaculaire qui offre une nouvelle perspective sur ce classique populaire, et met en scène Kristine Opolais dans le rôle de Tosca, et Marcelo Álvarez dans le rôle de Mario Cavaradossi.