01:00
Debussy - Pelléas et Melisande
Alain Altinoglu dirige Philharmonia Zürich, Zusatzchor Opernhaus Zürich et SoprAlti der Oper Zürich lors d’une performance de Pelléas et Mélisande, un opéra de Debussy en cinq actes dont le livret en français est signé par Maurice Maeterlinck. Sa première s’est tenue à l’Opéra Comique de Paris en 1902. L’intrigue porte sur un triangle amoureux. Le prince Golaud trouve Mélisande, une mystérieuse jeune femme qu’il épouse et ramène au château de son grand-père, le roi Arkel. Mélisande s’éprend alors du jeune demi-frère de Golaud, Pelléas. Les solistes principaux sont Brindley Sherratt (Arkel), Jacques Imbrailo (Pelléas), Kyle Ketelsen (Golaud) et Corinne Winters (Mélisande). Réalisé par Dmitri Tcherniakov et enregistré à l’Opéra de Zurich en 2016.
03:47
Concert Mozart à Berlin
L’orchestre de chambre Carl Philipp Emanuel Bach livre un programme entièrement consacré à Mozart au Konzerthaus de Berlin, sous la direction d’Hartmut Haenchen. En formule réduite, l’ensemble parvient à donner vie aux nombreuses caractéristiques de la musique et à l’esprit unique du célèbre compositeur, qu’il s’agisse de sa gaieté de cœur, de son lyrisme, de son côté dramatique ou de son écriture polyphonique inspirée. La critique a toujours fait l’éloge de l’assurance stylistique, de la transparence des textures et de la précision technique de l’orchestre Carl Philipp Emanuel Bach. L’extraordinaire sensibilité et l’aisance assumée de Stefan Vladar en font un partenaire idéal pour Haenchen et son orchestre. Au programme de la soirée, on trouve Divertimento, K. 113; le Concerto pour piano et orchestre n° 20, K. 466 et la Symphonie n° 41, K. 551.
05:00
À la découverte de chefs-d’œuvre:Symph fantastique
Les vingt volets de la série « À la découverte de chefs-d’œuvre » constituent des introductions audiovisuelles aux chefs-d’œuvre de la musique classique. Les introductions permettent au téléspectateur d’apprécier les plus belles compositions, depuis le baroque jusqu’à l’époque moderne, sous un jour totalement nouveau. Des extraits de partitions et des explications d'experts aident le téléspectateur à suivre les motifs et rythmes et à comprendre la structure de l’œuvre. Ce volet présente la Symphonie fantastique d’Hector Berlioz, qui est largement considérée comme l'une des œuvres les plus importantes et les plus représentatives du début du romantisme. De par sa nature hallucinatoire et onirique, Leonard Bernstein l'a assimilée à la première expédition musicale psychédélique. Le musicologue allemand Wulf Konold évoque l'idée qui a inspiré Berlioz et explique sa réalisation au sein de cette œuvre fascinante.
05:30
Heyward dirige la Symphonie no 9 de Dvořák
Le chef d’orchestre américain Jonathon Heyward fait ses débuts à la tête du London Symphony Orchestra avec une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur d’Antonín Dvořák. Composée pendant le séjour de Dvořák aux États-Unis, la « Symphonie du Nouveau Monde » marie avec brio la chaleur des rythmes de la Bohème et la tradition musicale américaine. Ce chef-d’œuvre hautement expressif et mélodique figure parmi les symphonies les plus populaires du répertoire classique. Cette performance a été enregistrée à LSO St. Luke’s, à Londres, le 30 septembre 2020.
06:14
Bach - Cantata "Ich habe genug", BWV 82
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
06:39
Beethoven - Sonate pour piano nº 21 - III
Julijana Sarac interprète le troisième mouvement de la Sonate pour piano no 21, surnommée Sonate Waldstein, de Ludwig van Beethoven. Cette pièce a été achevée en 1804, et est considérée comme l’une des sonates les plus importantes et techniquement complexes du compositeur allemand.
07:00
Mozart – Quatuor à cordes no 14, « Le printemps »
Depuis le château de Rammenau, le Gewandhaus-Quartett interprète le Quatuor à cordes no 14 en sol majeur, K. 387 de Mozart. Composée à Vienne en 1782, cette pièce surnommée Le printemps est le premier des Quatuors Haydn, une suite de six quatuors à cordes composés par Mozart lors de ses premières années à Vienne en l’honneur de Joseph Haydn, considéré par plusieurs comme le père du quatuor à cordes. Fondé en 1808, le Gewandhaus-Quartett est le plus ancien quatuor au monde, se produisant sans interruption depuis plus de 200 ans. Il est actuellement composé de Frank Michael Erben (premier violon), Conrad Suske (deuxième violon), Volker Metz (alto), Jürnjakob Timm (violoncelle) et Steffen Adelmann (contrebasse).
07:32
Mozart - Divertimento no 11, K. 251
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent Divertimento no 11 en ré majeur, K. 251, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Nannerl-Septet. Le compositeur a produit cette œuvre en 1776, probablement pour souligner la fête du prénom de sa sœur Maria Anna, surnommée « Nannerl ». Ce septuor a été composé pour hautbois, deux cors, deux violons, alto et contrebasse. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
08:00
Célébration de saint Patrick 2019
Armagh est l’une des villes les plus anciennes de l’Irlande, et c’est aussi l’endroit choisi par saint Patrick pour ériger sa première église de pierre. Nul endroit au monde n’est plus significatif pour l’honorer que la région où il a lui-même vécu. Cette émission transporte le public vers des lieux associés à saint Patrick et offre les meilleurs moments du concert annuel organisé à la cathédrale qui porte son nom. Joignez-vous à John Anderson, compositeur et présentateur, pour célébrer cet événement grandiose et porteur de réflexion qui rend hommage à saint Patrick. De nombreux chœurs se réunissent pour offrir une soirée de musiques et de paroles dans l’environnement superbe de la cathédrale. Enregistré le 9 mars 2019.
08:55
IVC 2021 Demi-finale: Debussy, Messiaen et autres
La soprano Sara Gouzy (France, 1991) et la pianiste Seri Dan (Corée du Sud, 1992) interprètent « Chevaux de bois » tirée des Ariettes oubliées, L. 63, de Claude Debussy; An den Mond, op. 57, no 3, D. 193, de Franz Schubert; « Le collier » tirée des Poèmes pour Mi d’Olivier Messiaen; « Margaritki » tirée des Six Romances, op. 38, de Sergueï Rachmaninov; « Quelle aventure! » et « La reine de cœur » tirées de La courte paille de Francis Poulenc; Vermeer’s gold de Bart Visman; et « Wie Lange schon war immer mein Verlangen » et « Ich hab in Penna einen Liebsten wohnen » tirées de Italienisches Liederbuch de Hugo Wolf dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
09:21
How to get out of the Cage - A year with John Cage
Réalisé par le cinéaste primé Frank Scheffer, le fascinant documentaire How to get out of the Cage (2012) dresse un portrait intimiste de John Cage (1912-1992), l’un des plus importants compositeurs du 20e siècle. Entre 1982 et 1992, Scheffer a collaboré avec Cage à plusieurs reprises, ce qui lui a permis de créer des archives de documents audiovisuels comprenant entrevues, concerts et images de divers endroits liés à la vie et à l’œuvre du compositeur. Dans toutes ses œuvres sur Cage, Scheffer fait appel à un manuel chinois ancien appelé Yi Jing (qui signifie Classique des changements), comme l’a souvent fait Cage lui-même dans ses compositions. Mais plutôt que de recourir à des opérations aléatoires, Scheffer a monté son film de la manière habituelle, qui est basée sur le choix.
10:18
Mozart - Sonata pour piano no 13, KV 333
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.