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Donizetti – L’elisir d’amore
Si la présentation de l’opéra L’elisir d’amore en 2012 à Baden-Baden a créé un incroyable engouement mondial, c’est sans contredit grâce à la signature unique du célébré ténor mexicain Rolando Villazón. Pour faire suite à sa première mise en scène (Werther, à Lyon en 2011), Villazòn est allé encore plus loin en mettant en scène l’opéra-comique de Donizetti en plus d’y jouer le rôle de Nemorino. Ce documentaire raconte cette « histoire dans une histoire » et dévoile le processus créatif derrière la mise en scène de l’opéra en deux actes au palais des festivals de Baden-Baden aux mois d’avril et de mai 2012. Nous y suivons Rolando Villazón lors des répétitions avec les chanteurs et les acteurs, et de ses échanges avec le jeune chef d’orchestre Pablo Heras-Casado en amont de cette performance hautement personnelle.
02:17
Barenboim : 50 ans sur scène
Le 19 août 2000, le Teatro Colón était rempli à ras bord de spectateurs désireux d'entendre Daniel Barenboim jouer du piano. Barenboim, qui est aujourd'hui plus connu en tant que chef d'orchestre, a commencé sa carrière il y a un demi-siècle. Il était enfant prodige et joua son premier récital de piano à l'âge de 7 ans. Ce concert célèbre la carrière sur scène du maestro. Ce n'est qu'après trois heures de concert et 13 rappels que le public a bien voulu le laisser quitter la scène : une soirée spéciale, peut-être la plus spéciale qui existe ! Le concert incluait la Sonate n°23 de Ludwig van Beethoven Appassionata, la Valse en mi mineur de Frédéric Chopin et la Sonate en do majeur de Wolfgang Amadeus de Mozart.
04:18
Naples - Capitale oubliée de la musique - partie 1
Du 23 août au 1er septembre de 2019, le Festival de musique ancienne d’Utrecht explorera l’héritage musical de Naples, une métropole culturelle marquée par les contradictions et la solidarité. Dans le documentaire Napoli – Music’s Forgotten Capital, le co-commissaire du festival Thomas Höft part à la recherche d’histoires provenant de cette ville mystérieuse.
04:40
Beethoven - Symphonie no 4 en si bémol majeur
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 4 en si bémol majeur, op. 60, de Beethoven. Le comte Franz von Oppersdorff, grand amateur de la Symphonie no 2 de Beethoven, a offert à ce dernier une somme considérable pour produire une œuvre similaire. Achevée à l’automne 1806, la symphonie a été présentée pour la première fois dans le cadre d’un concert privé à Vienne, en mars 1807. Bien qu’elle soit souvent éclipsée par son prédécesseur et son successeur révolutionnaires, la Symphonie no 4 offre un contraste intéressant grâce à son caractère léger et réjouissant. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
05:16
IVC 2019 - Finale: Schubert, Wolf et al.
La soprano Erika Baikoff (États-Unis, 1994) et le pianiste Gary Beecher (Irlande, 1993) interprètent « Suleika I, Was bedeutet die Bewegung » (op. 14, no 1 – D. 720) et Die Blumensprache (op. 173, no 5 – D. 519) et Die Gebüsche (D. 646) de Franz Schubert; « Lied vom Winde » et « Der Knabe und das Immlein », tirés des Mörike-Lieder de Hugo Wolf; « Fleur jetée » des Quatre mélodies (op. 39) de Gabriel Fauré; « C », extrait des Deux poèmes de Louis Aragon (FP 122) par Francis Poulenc; « Les lilas qui avaient fleuri », tiré de Clairières dans le ciel par Lili Boulanger; « Oranje may-lied » de Johanna Bordewijk-Roepman; et « Eti letniye nochi » (Ces nuits d’été) des Douze romances (op. 14) de Sergei Rachmaninoff, lors de la finale du Concours vocal international 2019 – Duo de lied. Cette performance a été captée au Theater aan de Parade à Bois-le-Duc (‘s-Hertogenbosch), aux Pays-Bas.
05:46
Bach – Le Clavier bien tempéré nos 24
En 1722, alors que Johann Sebastian Bach habitait à Köthen, en Allemagne, il a publié un recueil de préludes et de fugues dans chacune des 24 tonalités majeures et mineures. Cette collection a été appelée Le Clavier bien tempéré, livre un, BWV 846–869. Environ deux décennies plus tard, Bach a compilé un deuxième recueil du genre à Leipzig, qui a été appelé Le Clavier bien tempéré, livre deux, BWV 870-893. Bach a composé ces pièces pour un « clavier » générique, pouvant comprendre le clavecin, le clavicorde, ou l’orgue. Malgré cette imprécision, ces pièces sont généralement reconnues comme certaines des œuvres les plus importantes de l’histoire de la musique classique occidentale. Dans cette diffusion, Joanna MacGregor joue les préludes et fugues nos 13 à 24 (BWV 858-869) du premier livre du Clavier bien tempéré de Bach, enregistrées au Palau Güell de Barcelone, en Espagne, en 2010.
06:00
Concerto pour piano no 12, KV 414
Vladimir Ashkenazy est à la fois soliste et chef d’orchestre du Concerto pour piano no 12, KV 414 de Mozart. Il est accompagné par l’Orchestre philharmonique royal au Hampton Court Palace, à Londres.
06:28
Bach - Concerto brandebourgeois no 1
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 1 en fa majeur (BWV 1046) de Bach. L’instrumentation de ce concerto se compose de cordes, de bois et de cuivres, avec des instruments solistes dans chaque groupe.
06:48
Karl Jenkins - The Armed Man: A Mass for Peace
Dans le cadre de ce concert historique, Sir Karl Jenkins dirige le World Orchestra for Peace et quelque 2 000 chanteurs provenant de près de 30 pays à l’aréna Mercedes Benz de Berlin, le 2 novembre 2018. Les solistes sont Leah-Marian Jones, Yumeji Matsufuji, Pauline Rathmann, Amir Aziz, Krzysztof Wisniewski (violon) et Valentino Worlitzsch (violoncelle). The Armed Man: A Mass for Peace du compositeur gallois Sir Karl Jenkins est l’œuvre la plus souvent interprétée de tout compositeur vivant. Dans le cadre de la plus imposante mise en scène de l’œuvre jamais produite, la musique de Jenkins est superposée à des images d’archives qui renforcent la trame narrative de l’œuvre en décrivant la rumeur précédant le conflit, la guerre et ses conséquences. Projeté sur cinq écrans géants, le film crée une toile de fond poignante à la narration musicale, et offre au public une expérience multimédia puissante et riche en émotions.
07:57
Bach - Cantata "Ich habe genug", BWV 82
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.