Grille horaire

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Stingray Classica
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sam. 23 août
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00:00
Bizet - Carmen
14A02:41:002005HD
Le paysage sauvage à couper le souffle de l’ancienne carrière romaine de St. Margarethen, en Autriche, offre le cadre tout désigné pour cette performance unique et colorée de l’opéra Carmen (1875) de Georges Bizet. Rassemblant plus de 400 participants, cette mise en scène opulente du célèbre opéra de Bizet – l’une des œuvres les plus populaires de l’histoire de cette forme d’art – est un véritable festin pour les sens. Le Festival d’opéra St. Margarethen, qui figure parmi les festivals extérieurs les plus courus d’Europe, est fréquenté par quelque 220 000 amateurs d’opéra chaque année. Chef d’orchestre est Ernst Märzendorfer. Solistes: Nadia Krasteva, Russi Nikov, Alexandrs Antonenko. Chorégraphe: Marieta Romero.
02:41
Christa Ludwig - Hommage à Vienne
G01:32:001994HD
En 1994, Christa Ludwig a livré sa dernière performance avant de tirer sa révérence sur les planches du Wiener Musikverein. Dans le cadre de ce concert mémorable, la célèbre soliste rend hommage à la ville qui a servi de trame de fond à ses plus grands triomphes. En effet, Ludwig a donné son premier concert dans cette salle historique en 1965, seulement 6 ans après ses débuts sur les planches du Metropolitan Opera. Aujourd’hui, devant une foule imposante de ses fans, elle revient sur la scène qui a accueilli plusieurs de ses performances les plus célébrées pour présenter des lieder soigneusement sélectionnés signés Beethoven, Schubert, Mahler et Wolf. Pour l’occasion, Ludwig est accompagnée par le pianiste Charles Spencer.
04:14
L'Angleterre, mon Angleterre - I
G00:20:002015HD
Du 28 août au 6 septembre 2015, le Festival de musique ancienne d’Utrecht a braqué les projecteurs sur England, my England. Lex Bohlmeijer anime ce documentaire en deux parties qui convie les téléspectateurs à un périple intrigant à travers l’Angleterre du Moyen Âge, de la Renaissance et de la période baroque, et crée un parallèle avec la ville d’Utrecht. L’épisode 1 de la série s’intéresse aux églises de la vieille ville d’Utrecht et à la source d’inspiration première de l’édition 2015 du festival – le domaine anglais de Boughton House – présentée par le duc de Buccleuch.
04:34
Planet Earth
G00:50:002018HD
La Symphonie no 3, dite Planet Earth, de Johan de Meij comprend une ode à la Terre mère (« Gaia » en grec) empruntée à un hymne grec écrit par Homère il y a de cela 3 000 ans. Chantés par un chœur dans la langue d’origine, ces vers nous implorent d’honorer la planète qui prend soin de nous. Une Gaia symbolique (la danseuse Mikayla Scaife) devient la protagoniste et la narratrice du film. Par le mouvement, elle raconte l’histoire de notre passé et de notre présent, et nous offre un aperçu de notre futur possible. Ce film est réalisé et monté par Jed Parker. Selon le compositeur Anthony Fiumara : « La Symphonie Planet Earth de De Meij est la trame sonore de notre époque. Le film donne à cette magnifique pièce orchestrale une nouvelle dimension et illustre la beauté de notre planète. Ce film sonne l’alarme, mais se conclut sur une note d’espoir. L’interaction entre la musique et les images fait de Planet Earth une expérience aussi intense qu’inoubliable. »
05:24
Beethoven - Sonate pour piano no 32, op. 111
G00:35:002016HD
Comment pouvons-nous pénétrer dans l’esprit créatif de Beethoven, tout particulièrement pour comprendre ce que signifiait la perte considérable de son ouïe lors des dernières années de sa vie? Le plus récent enregistrement des Sonates pour piano, opus 109, 110 et 111, de Beethoven par le pianiste Tom Beghin constitue une exploration artistique de la façon dont la musique du compositeur a été façonnée par l’environnement de travail qu’il a créé avec ses collègues et amis. Beghin interprète non seulement la trilogie de chefs-d’œuvre pianistiques sur une magnifique nouvelle réplique du piano Broadwood de Beethoven, mais il utilise également une reconstruction de la Gehörmaschine, soit la prothèse auditive qui était installée sur le piano du compositeur pour lui permettre de continuer de créer de la musique malgré le déclin de son audition. « Tu entends mieux lorsque tu places ta tête sous cette machine, n’est-ce pas? », a jadis demandé André Stein à Beethoven. Deux siècles plus tard, nous pouvons nous aussi placer notre tête sous la machine et nous demander : « Entendez-nous Beethoven différemment? » Beghin nous invite à pénétrer dans la machine, pour ressentir et entendre l’essence des vibrations exubérantes et irrésistiblement poétiques de Beethoven. Inside the Hearing Machine est une invitation au cœur du terrain de jeu multisensoriel d’un compositeur sourd pour qui la machine était plus qu’une prothèse auditive, et qui interagissait avec son instrument à l’aide de bien plus que le simple son.
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 2, KV 491
G00:36:001990HD
Comme c’est le cas pour les opéras de Mozart, le Concerto pour piano no 2, KV 491 présente une charge dramatique intense du début à la fin, et une structure harmonique rappelant Don Giovanni. Dans cette performance enregistrée au château Schönbrunn de Vienne, André Previn est à la fois soliste et chef de l’Orchestre philharmonique royal.
06:36
Rodrigo - Concierto de Aranjuez
G00:25:002011HD
Juan Manuel Cañizares is the soloist in a performance of Joaquín Rodrigo's (1901-1999) Concierto de Aranjuez. He is accompanied by the Berliner Philharmoniker led by maestro Sir Simon Rattle.
07:01
The Galileo Project : Music of the Spheres
G01:19:002012HD
Le Tafelmusik Baroque Orchestra, aussi surnommé Tafelmusik, est un orchestre baroque canadien de Toronto spécialisé en musiques anciennes. Il est dirigé par la violoniste Jeanne Lamon. Dans The Galileo Project : Music of the Spheres, l’orchestre interprète Monteverdi, Vivaldi, Bach et Händel devant des images HD du télescope Hubble, de la NASA et d’astronomes canadiens. Explorez la fusion des arts, de la science et de la culture aux 17e et 18e siècles dans ce concert original commémorant la première démonstration publique du télescope par Galilée. L’acteur Shaun Smyth se fait narrateur du captivant scénario, tandis que les musiciens s’exécutent sur et autour d’une scène magique créée par Marshal Pynkoski. Créé et scénarisé par Alison Mackay.
08:21
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Arvid Fagerfjäll
G00:27:002022HD
Le baryton Arvid Fagerfjäll (Suède, 1991) interprète « Chanson à boire » des Chansons pour voix et piano (op. 17) d’Édouard Lalo; « Was in der Schenke waren Heute » des Goethe-Lieder de Hugo Wolf; « Geselle, woll'n wir uns in Kutten hüllen », tiré de l’Italienisches Liederbuch, vol. I, de Hugo Wolf; « And I have sat » et « Yea, for this love of mine » du cycle Shine and Dark d’Aribert Reimann; « Martus (Stormclouds) » des Hymnes du Rig Veda (op. 24) de Gustav Holst; « Und hat der Tag all seine Qual » des 4 Gesänge (op. 8) d’Alexander von Zemlinsky; « Le cygne », des Histoires naturelles de Maurice Ravel; « La fleur qui va sur l’eau », des 3 Mélodies (op. 85) de Gabriel Fauré; et « Mit Myrten und Rosen », du Liederkreis (op. 24) de Robert Schumann, lors des demi-finales du volet Mélodie du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Cette performance a été captée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
08:48
À la découverte de chefs-d’œuvre – Bartòk Concerto
G00:27:002003HD
Les vingt volets de la série « À la découverte de chefs-d’œuvre » constituent des introductions audiovisuelles aux chefs-d’œuvre de la musique classique. Les introductions permettent au téléspectateur d’apprécier les plus belles compositions, depuis le baroque jusqu’à l’époque moderne, sous un jour totalement nouveau. Des extraits de partitions et des explications d'experts aident le téléspectateur à suivre les motifs et rythmes et à comprendre la structure de l’œuvre. Ce volet présente le Concerto pour orchestre de Béla Bartók, l’une des œuvres les plus fréquemment jouées du XXe siècle. Le chef d'orchestre et compositeur français Pierre Boulez explique comment il a lui-même interprété cette pièce avec l’Orchestre philharmonique de Berlin. Il dévoile également sa fascination pour la vie de Bartók.
09:16
PIAM - Demi-finale: Beethoven et Liszt
G00:44:002021HD
L’héritage du réputé dénicheur de talents italien Antonio Mormone (1930-2017) se perpétue grâce au Premio Internazionale Antonio Mormone (PIAM), un concours de musique classique consacré à la relève. La première édition du concours, qui s’est déroulée dans diverses salles de Milan entre 2019 et 2021, était consacrée au piano. Philipp Scheucher (Autriche, 1993) y interprète Fantasia, op. 77, et le menuet « Moderato e grazioso » de la Sonate no 18 en mi bémol majeur, op. 31, no 3, de Ludwig van Beethoven; et la transcription de Franz Liszt du premier mouvement « Allegro con brio », tiré de la Symphonie no 5 en do mineur de Beethoven. Cette performance a été enregistrée au Nuovo Teatro Ariberto de Milan, en mai 2021.
10:01
Mahler - Symphonie no 9
G01:21:002021HD
Maestro Myung-Whun Chung dirige l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans une performance de la Symphonie no 9 en ré majeur de Gustav Mahler. Composée entre 1908 et 1909, cette œuvre est la toute dernière symphonie achevée par Mahler. Croyant à la « malédiction de la neuvième symphonie », le compositeur superstitieux ne voulait d’abord pas composer une Symphonie no 9. Après tout, Ludwig van Beethoven et Anton Bruckner ne sont-ils pas décédés avant de pouvoir composer leur dixième symphonie? La Symphonie no 9 de Mahler a été interprétée pour la première fois le 26 juin 1912, à Vienne, par l’Orchestre philharmonique de Vienne, sous la baguette de Bruno Walter. Malheureusement, Mahler n’a pu y assister de son vivant : il est décédé l’année précédente. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
11:23
Beethoven - Quatuors à cordes nos 4, 5 et 12
G01:37:002020HD
Le réputé quatuor à cordes français Quatuor Ébène a souligné le 250e anniversaire de naissance de Ludwig van Beethoven (1770-1827) avec un projet remarquable : l’enregistrement de l’ensemble de ses seize quatuors à cordes. Pendant cinq ans, les violonistes Pierre Colombet et Gabriel Le Magadure, l’altiste Marie Chilemme et le violoncelliste Raphaël Merlin ont plongé corps et âme dans ces 650 pages de musique en feuille, couvrant trois décennies de la prolifique carrière de Beethoven. Cet effort a culminé en six concerts captivants présentés à la Philharmonie de Paris à l’automne 2020. Le Quatuor Ébène a exploré toutes les facettes des quatuors à cordes de Beethoven, du dynamisme des quatuors à cordes de l’opus 18 aux quatuors Razumovsky, Les Harpes et Quartetto Serioso (opus 59, 74 et 95) de sa période intermédiaire, jusqu’à la profondeur de ses quatuors tardifs (opus 127 à 135). Dans ce programme, le Quatuor Ébène interprète le Quatuor à cordes no 5 en la majeur, op. 18, no 5; le Quatuor à cordes no 4 en do mineur, op. 18, no 4; et le Quatuor à cordes no 12 en mi bémol majeur, op. 1. Ce concert a été enregistré à la Philharmonie de Paris, le 17 décembre 2020.
13:01
Musique brésilienne pour violoncelle & piano
G00:27:002018HD
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps. Dans le premier épisode de cette minisérie, des musiciens brésiliens discutent de l’influence de Villa-Lobos sur leur propre développement artistique et le lien intime qui liait le compositeur à son pays natal.
13:28
Schumann - Fantasiestücke Op. 73
G00:10:002021HD
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant consacré à la musique de chambre, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom, dont les pianistes Evgeny Kissin, Iddo Bar-Shaï et Arielle Beck, les violonistes Gidon Kremer, Maxim Vengerov et Tedi Papavrami, le violoncelliste Mischa Maisky et le bugliste Sergei Nakariakov, ainsi que sa fille Lyda Chen-Argerich (piano et alto) et son petit-fils David Chen-Argerich (piano). Le programme de ce concert comprend Gratulationsrondo pour piano et violon d’Alfred Schnittke; les Préludes nos 5, 21 et 24 des 24 Préludes, op. 100, de Mieczysław Weinberg (arrangements pour violon solo de G. Kremer); la valse et la gloire tirées des Six morceaux, op. 11, et Romance à six mains de Sergueï Rachmaninov; Liebesleid de Fritz Kreisler; Fantasiestücke, op. 73, et le Quintette pour piano en mi bémol majeur, op. 44, de Robert Schumann; et « Laideronnette, impératrice des Pagodes » tirée de Ma mère l’Oye de Maurice Ravel. Ce concert a été enregistré le 11 juin 2021.
13:39
Saint-Saëns - Intro et Rondo Capriccioso, Op. 28
G00:21:002006HD
Le Waldbühne de Berlin est l’un des plus grands et impressionnants amphithéâtres en plein air d’Europe : un décor parfait pour le concert annuel de fin d’année de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Avec environ 22 000 spectateurs, ces concerts sont énormément populaires chez les mélomanes de la musique classique. En 2006, il y avait une petite touche néerlandaise : Neeme Järvi a dirigé les fameux musiciens berlinois en présence de la violoniste néerlandaise Janine Jansen. Au programme : Nikolaï Rimski-Korsakov - « Schéhérazade » ; Edvard Grieg - « Peer Gynt », Suite No. 1, Op. 46 (en partie) ; Carl Nielsen « Aladdin », Suite pour Orchestre Op. 34 (en partie) ; Camille Saint-Saëns - « Introduction et Rondo Capriccioso » ; Jules Massenet - « Méditation » pour violon et orchestre de l’opéra « Thaïs ».
14:00
Nelsons dirige Tchaïkovski et Chostakovitch
G01:45:002019HD
En mai 2019, le nouveau chef d’orchestre principal du Gewandhaus, Andris Nelsons, a dirigé un concert mettant en vedette la Symphonie no 5 de Tchaïkovski, surnommée Symphonie du destin. À l’époque, Tchaïkovski voyait dans cette pièce un échec cuisant, et une preuve du tarissement de sa source créative. Constamment rongé par le doute, le compositeur n’a jamais adopté une attitude confiante envers ses propres talents. Le programme du concert comprend également le Concerto pour violon no 1 de Chostakovitch, mettant en scène l’exceptionnelle soliste Baiba Skride. Dans cette composition, le violon ne prend aucune pause; son récit orageux se déploie au fil des lignes de basse « ostinato Passacaglia » et laisse résonner un chant d’une beauté saisissante. Ces deux œuvres sont entrecoupées de l’Élégie pour violon solo de Stravinsky, également interprétée par Baiba Skride.
15:46
Nizamov - Heavenly Movement
G00:11:002017HD
Le soliste Boris Berezovsky est accompagné par l’Orchestre philharmonique de Moscou, sous la direction d’Alexander Sladkovsky, pour interpréter le Concerto pour piano no 1, op. 1 de Rachmaninov, une pièce créée alors que le compositeur n’avait que 18 ans et étudiait au Conservatoire de Moscou. Le concert débute avec par une œuvre du jeune compositeur russe Elmir Nizamov (1986), intitulée Heavenly Movement. Enregistré au centre de concert Tchaïkovski de la Société philharmonique russe, le 28 avril 2017.
15:57
Ice Dance: Tchaïkovsky - Le lac des cygnes (2006)
G01:54:002006HD
Cette fascinante performance révèle l’art du ballet sur glace et le talent impressionnant des Imperial Ice Stars. Le spectacle aux décors et éclairages superbes est porté par une magnifique trame musicale et par la direction artistique de Tony Mercer. Les compositions de Tchaïkovsky y sont interprétées par l’Orchestre symphonique de Manchester, sous la direction de Tim A. Duncan. Cette performance magique met en scène 26 patineurs, incluant Vadim Yarkov et Olga Sharutenko (Dancing on Ice). Une production très spéciale filmée en direct à Sydney, en Australie.
17:51
Schubert - Quatuor à cordes no 15 en sol majeur
G00:47:002014HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Dans cette performance, le quatuor Les Dissonances – composé de David Grimal (violon), d’Hans Peter Hofmann (violon), de David Gaillard (alto) et de Xavier Phillips (violoncelle) – interprète le Quatuor à cordes no 15 en sol majeur, D. 887, op. 161, de Franz Schubert. Le compositeur a achevé son ultime quatuor à cordes en dix jours, au mois de juin 1826, mais l’œuvre n’a été publiée qu’en 1851, à titre posthume. Elle est caractérisée par une modulation incessante, qui alterne constamment entre notes majeures et mineures. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
18:39
Mahler - Symphonie no 2, 'Résurrection'
G01:25:002021HD
Maestro Myung-Whun Chung dirige l’orchestre et le chœur du Maggio Musicale Fiorentino, la soprano Christiane Karg et la contralto Claudia Huckle dans une performance impressionnante de la Symphonie no 2 en do mineur de Gustav Mahler, également connue sous le nom de « Résurrection ». Composée entre 1888 et 1894, cette œuvre en cinq mouvements pour orchestre complet, chœur, contralto et soprano traite de la vie, de la mort et de la résurrection. Le premier mouvement rappelle une marche funèbre, dont le caractère sombre crée un contraste frappant avec le deuxième mouvement, un ländler gracieux. Le troisième mouvement est un scherzo basé sur Des Antonius von Padua Fischpredigt, l’un des lieder de Malher dans Des Knaben Wunderhorn. Le compositeur utilise un autre poème tiré de Wunderhorn, « Urlicht » (lumière originelle), comme quatrième mouvement, dans lequel le texte et la musique sont chantés par la contralto. Le chœur fait son apparition dans la seconde partie du cinquième et dernier mouvement, pour annoncer la « Résurrection ». Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
20:04
A la découverte des chefs-d'œuvre : Bach
G00:29:002010HD
L'épisode de cette série présente la Concertos Brandebourgeois de Johann Sébastian Bach (1685-1750). Les exemples musicaux sont interprétés par le Freiburger Barockorchester dirigé par Gottfried von der Goltz. La période que Bach passe à Coethen (1717-1723) est l'une des plus productives de sa vie : partitas, sonates, pièces pour orchestre, suites pour violon seul, violoncelle seul, concertos pour violon et pour clavier naissent aux côtés des Concertos Brandebourgeois. Ils sont ancrés aujourd'hui dans le répertoire international et jouent aussi un rôle important dans l'éducation musicale. Le pianiste et expert de Bach Robert Levin nous donne des clés d'écoute.
20:33
Demi-finale II - Concours piano de Liszt 2017
G00:26:002017HD
Ran Feng (1991, Chine) interprète La notte (S377a) et la Rhapsodie hongroise no 12 (S379a) dans le cadre de la demi-finale (catégorie musique de chambre) de la 11e édition du Concours international de piano Franz-Liszt, présentée au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
21:00
Concert en direct de Genève
G01:45:002004HD
Pour transcender les clivages politiques et idéologiques entre leurs pays respectifs, Daniel Barenboim, juif argentin et plus célèbre pianiste et chef d’orchestre d’Israël, et Edward Said, philosophe palestinien et chrétien, ont créé le West-Eastern Divan Orchestra, un ensemble de jeunes musiciens âgés de 13 à 26 ans qui compte autant d’Israéliens que d’Arabes. Malgré ce grand symbolisme, les objectifs et les ambitions du West-Eastern Divan Orchestra sont d’abord et avant tout d’ordre musical : les divisions politiques du Moyen-Orient sont mises de côté le temps de l’union de ces jeunes talents musicaux, ce qui en dit long sur le pouvoir de l'interaction culturelle. Cette prestation livrée au Victoria Hall de Genève met en scène deux chefs-d’œuvre célèbres : le Concerto pour piano no 3 de Beethoven et la Symphonie no 5 de Tchaïkovski. Le concert se termine avec la Valse triste de Sibelius et l’ouverture de La Forza del Destino de Verdi.
22:45
Tchaïkovski - Ouverture de «Roméo et Juliette»
G00:22:002019HD
Sous la direction de Conrad van Alphen, la Sinfonia Rotterdam interprète l’ouverture-fantaisie Roméo et Juliette de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Van Alphen a fondé la Sinfonia Rotterdam en 2000. Sous son leadership passionné, l’orchestre est rapidement devenu l’un des ensembles musicaux les plus réputés des Pays-Bas. Tchaïkovski a basé cette composition sur la célèbre pièce homonyme de Shakespeare. Après en avoir terminé la première version en 1870, Tchaïkovski a réécrit certaines sections de l’œuvre à deux reprises, achevant la troisième et dernière version dix ans plus tard. L’ouverture-fantaisie s’ouvre par une introduction lente, marquée principalement par les clarinettes et les bassons. La composition est dominée par son célèbre thème de l’amour, qui illustre la relation passionnée entre Roméo et Juliette. Ce thème magnifique est introduit dans la première moitié de la pièce par le cor anglais et les altos, puis répété dans différentes sections de l’œuvre. Il est finalement interprété en mode mineur à la fin de la pièce pour accentuer le destin tragique des deux amants.
23:07
Concert mexicain – Première partie
G00:52:002019HD
Anabel de la Mora est accompagnée par l’Orquesta Sinfonica de Minería sous la direction de Raúl Delgado dans un programme entièrement consacré aux compositeurs mexicains. La première partie du concert comprend Angelus de Miguel Bernal Jiménez, Dime que sí d’Alfonso Esparza, Munequita Lina de María Grever, Intermezzo de Atzimba de Ricardo Castro, Besos robados de Jorge del Moral et Bésame mucho de Consuelo Velázquez. Enregistré à l’Academia de Música del Palacio de Minería, Mexico, 2019.