00:00
Meyerbeer - Les Huguenots
Le contexte de ce « grand opéra » de Giacomo Meyerbeer est le massacre de la Saint-Barthélemy. Raoul, un protestant, est amoureux de Valentine, une catholique : un amour impossible. Ce n’est pas que la question de religion qui éloigne les deux amoureux, car Valentine a été promise au Comte de Nevers, un catholique et l’ennemi de Raoul… Cette œuvre était très populaire juste après sa première représentation mais elle est tombée dans l’oubli après. Cette production de l’Opéra allemand de Berlin (1991) est un come-back triomphant pour cette œuvre intemporelle, présentée de façon contemporaine. Solistes: Angela Denning (Margarethe von Valois), Lucy Peacock (Valentine), Richard Leech (Raoul von Nangis), Hartmut Welker (Graf von Saint-Bris), Camille Capasso (Urban), Martin Blasius (Marcel). Chef d' orchestre: Stefan Soltesz.
02:40
The spirits of Mozart
Ce mélange des genres unique, inspiré par l’œuvre de Mozart, montre que la musique du fameux compositeur autrichien est intemporelle et qu’elle s’étend au-delà du style classique. L'Orchestre symphonique de la Radio de Vienne, dirigé par Andreï Boreïko, accompagne entre autres la chanteuse de jazz Dee Dee Bridgewater, le violoniste Benjamin Schmid et Ian Anderson, de Jethro Tull, dans un programme étonnant et universel.
04:25
Modena - The Belcanto School
This documentary by Mark Perna shows the training and professional growth actions for opera singers, the promotion and enhancement of the cultural offer of the city and province of Modena and the maintenance and development of the Modenese musical tradition in the field of opera.
04:50
Scriabine - Prométhée ou le Poème du feu, op. 60
Le chef d’orchestre Mikhail Pletnev dirige l’Orchestre national russe et le Chœur synodal de Moscou lors d’un concert du 9e Grand festival de l’Orchestre national russe. L’orchestre débute par une interprétation de la suite musicale du ballet Daphnis et Chloé de Ravel. Lucas Debargue est le pianiste soliste dans Prométhée : Le poème du feu, op. 60, de Scriabnine : un poème symphonique pour piano, orchestre, chœur et clavier à lumières (« chromola »). Le clavier à lumières est un instrument de musique inventé par Scriabine pour être utilisé dans cette œuvre. Une seule version a été construite pour une exécution de la pièce à New York, en 1915. En bis, Debargue interprète la Gnossienne no 1 de Satie. Enregistré au Tchaikovsky Concert Hall, à Moscou, en 2018.
05:15
Telemann - Cantate: Ich danke dem Herrn, TVWV 7:14
Patrick Debrabandere dirige le chœur de chambre Vox Mago dans une performance de la cantate Ich danke dem Herrn von ganzem Herzen (TWV 7:14) de Georg Philipp Telemann (1681-1767) enregistrée en décembre 2018 au Klein Begijnhof de Gand, en Belgique, dans le cadre de son concert In Tempus Adventus.
05:33
Schumann - Sonata pour piano no 3, op. 14
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. La Sonate pour piano no 3, op. 14, (également appelée Concerto pour piano sans orchestre par Tobias Haslinger) a été composée en 1836 et dédiée à Ignaz Moscheles. En 1853, Schumann a revisité l’œuvre pour y ajouter un Scherzo comme deuxième mouvement. Le mouvement final n’est pas sans rappeler Kreisleriana, op. 16. Cette œuvre est interprétée par Riccardo Schwartz (1986). En carrière, Schwartz a eu le privilège de se produire comme soliste sous la direction de nombreux chefs d’orchestre de renom, dont Gustav Kuhn and Yuri Temirkanov. Ses prestations saluées par la critique et le public comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés dans les salles de concert les plus prestigieuses au monde.
06:00
Mozart - Concertos pour piano no 1 et no 4
Le Concerto pour piano no 1, KV 37 et le Concerto pour piano no 4, KV 41 de Mozart sont interprétés par la soliste Heidrun Holtmann, accompagnée par l’Orchestra della Radiotelevisione della Svizzera, sous la direction de Marc Andreae. La performance a été filmée à l’historique Teatro Bibiena de Mantova, en Italie.
06:39
Rimsky-Korsakov - La légende de la ville invisible
Lors de ce concert exquis capté en 2016 au Tchaikovsky Concert Hall de Moscou, l’Orchestre national de Russie et le pianiste vedette Boris Berezovsky sont dirigés par le chef d’orchestre Mikhail Pletnev pour interpréter deux magnifiques suites de Nikolai Rimsky-Korsakov. Lauréat du Concours international Tchaikovsky de Moscou en 1990, Berezovsky joue l’œuvre de Rimsky-Korsakov avec la puissance d’un virtuose. Le programme comprend la suite pour orchestre de La légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia, ainsi que l’imagerie musicale pour orchestre du Conte du tsar Saltan. Ce programme est produit par la Société philharmonique de Moscou, décrite par le compositeur de Saint-Pétersbourg Dmitri Shostakovich comme une actrice importante dans le « développement de la vie musicale [de la Russie] » et une « université rassemblant des millions d’amoureux de la musique et des milliers de musiciens ». La Société philharmonique de Moscou a été fondée en 1922 par Anatoly Lunacharsky, devenu commissaire de la Culture. Au fil des ans, elle est devenue la plus importante institution organisant des concerts en Russie.
07:01
Concert de la Saint-Patrick 2021
Cette compilation envoûtante des meilleurs moments des célébrations de la Saint-Patrick des dernières années offre un amalgame réjouissant de littérature, de musique et de danse, tant traditionnelles que classiques, sacrées comme séculaires. Ce programme exclusif regroupe des prestations enregistrées juste avant l’éclosion de la pandémie de COVID-19 dans divers lieux uniques du nord de l’Irlande, y compris la première église de saint Patrick (la Cathédrale d’Armagh) et l’église accueillant son tombeau (la Cathédrale de Downpatrick). Grâce à l’acoustique exceptionnelle de la Cathédrale Saint-Patrick, les mots, les mélodies et le sens des pièces au programme trouvent écho comme nulle part ailleurs. Ces pièces comprennent l’hymne « Be Thou My Vision », chanté par un chœur majestueux de 800 chanteurs. Chaque chœur ayant pris part aux célébrations a été invité à choisir les œuvres présentées, et à se joindre aux autres chœurs et à certains invités de marque. Ne manquez pas cette occasion unique de vous imprégner de la magie des célébrations de la Saint-Patrick!
07:53
CMIM Voix 2022 - Finale: Nils Wanderer
Le contre-ténor Nils Wanderer (Allemagne, 1993) interprète « Sea Slumber Song » du cycle de chansons Sea Pictures (op. 37) d’Edward Elgar; « Venga pur minacci e frema » de l’opéra Mithridate, roi du Pont de Wolfgang Amadeus Mozart; et « Pena tiranna », tiré de l’opéra Amadis de Gaule de George Friederic Händel, lors de la finale du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Il est accompagné de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
08:14
La voix du violon
Comment décrire le lien intime qui unit le musicien et son instrument? Le violoniste de renommée mondiale Frank Peter Zimmerman parle de son Stradivarius de 1711, « Lady Inchiquin », comme de l’« amour de sa vie », mais que faut-il pour qu’un morceau de bois accède à ce statut privilégié? Après avoir dû rendre son instrument bien-aimé, qui appartenait à West LB, Zimmerman s’est tourné vers le luthier Martin Schleske, considéré par plusieurs comme un « Stradivari du 21e siècle ». Ce documentaire relie le récit de séparation et de réunion de Zimmerman à des démonstrations en coulisses du travail de Schleske, qui retracent la vie du violon de l’atelier jusqu’à la salle de concert.
09:06
Schumann - Études symphoniques, op. 13
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète les Études symphoniques, op. 13, de Schumann. Composée entre 1834 et 1837, cette œuvre a d’abord vu le jour sous forme de thème accompagné de seize variations. Ce thème a été composé par Baron von Fricken, musicien amateur et père d’Ernestine von Fricken, à qui Schumann était fiancé en 1834. La pièce a d’abord été publiée en 1837, et contenait alors le thème et douze études (parmi lesquelles seulement neuf étaient qualifiées de variations). Quinze ans plus tard, en 1852, Schumann a publié une deuxième édition de l’œuvre, à laquelle il a éliminé deux études et révisé la composition pour piano. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
10:02
Bruckner - Symphonie nº 5
La cinquième symphonie de Bruckner a été surnommée la « médiévale » en raison de ses textures sonores contrapuntiques, baroques et à plusieurs niveaux, mais aussi la « catholique » en raison de sa majesté solennelle. Si ces attributs correspondent parfaitement à l’œuvre, Bruckner lui-même l’a plutôt surnommée sa « Fantastique », ce qui est encore plus vrai lorsqu’elle est jouée au monastère de Saint-Florian, comme sur cet enregistrement. Ce n’est pas sans raison que Bruckner a également appelé sa cinquième son « chef-d’œuvre contrapuntique ». En effet, l’incroyable proéminence du finale provient d’un jeu contrapuntique presque fanatique qui rassemble les structures de toute la symphonie en une forme homogène et les mène ensemble dans une double fugue grandiose qui est unique, même pour Bruckner. Franz Welser-Möst, directeur musical du Cleveland Orchestra et de l’Opéra de Zurich, a fait venir son ensemble américain à Saint-Florian en septembre 2006 pour des représentations aux Internationales Brucknerfest Linz. Bruckner a écrit la Symphonie no 5 en 1875-1876, mais l’œuvre n’a été créée qu’en 1894, après avoir subi de nombreuses révisions par le compositeur.
11:20
Concours de piano Rina Sala Gallo 2022: Finalistes
Créé en 1947 par la pianiste Rina Sala Gallo et Arturo Benedetti Michelangeli, le concours de piano international Rina Sala Gallo se déroule tous les deux ans à Monza, et est aujourd’hui l’un des événements culturels les plus prestigieux de la ville italienne. Cette diffusion présente les performances des trois finalistes de la 26e édition du concours, enregistrées à la Villa Reale di Monza, en octobre 2022. Young Sun Choi (Corée du Sud, 1991) interprète la Sonate pour piano no 30 en mi majeur, op. 106, de Ludwig van Beethoven; Seunghyuk Na (Corée du Sud, 1997) propose « Oiseaux tristes » et « Alborada del gracioso », tirées de la suite en cinq mouvements Miroirs de Maurice Ravel; et Ivan Bašić (Serbie, 1996) présente la Mephisto-Valse no 1 de Franz Liszt. Choi conclut le programme au son d’Images (Livre I) de Claude Debussy.
12:22
Musique brésilienne pour violoncelle & piano V
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps.
12:46
Brahms - Sonate pour violon et piano no 3, op. 108
Lors de ce splendide concert de 2013 à l’église de Verbier, en Suidde, le violoniste grec Leonidas Kavakos et la pianiste chinoise Yuja Wang s’unissent pour interpréter trois sonates de Johannes Brahms. Leonidas Kavakos est devenu célèbre en 1985, lorsqu’il est devenu le plus jeune musicien à remporter le premier prix du prestigieux concours Sibelius. Avec Yuja Wang, une artiste qui s’est elle aussi illustrée dès le plus jeune âge, il forme ce duo de maîtres consacré à l’interprétation de musique de chambre. Le programme comprend la Sonate pour piano et violon no 1 en sol majeur, op. 78, aussi surnommée « Regensonate », et la Sonate pour piano et violon no 2 en la majeur, op. 100, surnommée « Thuner-Sonate », un portrait des paysages paisibles du lac de Thoune, en Suisse. Il se conclut de façon enflammée et passionnée avec la Sonate pour piano et violon no 3 en ré mineur, op. 108.
13:16
Glass - Concerto pour deux pianos
Dans le cadre d’une nouvelle collaboration avec Philip Glass, célèbre compositeur de « pièces aux structures répétitives », les pianistes françaises Katia et Marielle Labèque interprètent la première européenne du Concerto pour deux pianos de Glass, en compagnie de l’Orchestre de Paris. Ce concert est dirigé par Jaap van Zweden, directeur musical du New York Philharmonic.
14:01
Nelsons et Opolais interprètent Dvořák
Andris Nelsons et sa femme, la grande soprano Kristine Opolais, et le Gewandhausorchester de Leipzig présentent un concert consacré à Antonin Dvořák, dans lequel les mélodies cachées par le compositeur dans toutes les couches de sa musique se déploient avec des nuances tendres, chaudes et douces. Les tempos de Nelsons demeurent calmes et décontractés, permettant à la beauté omniprésente de la musique de Dvořák d’inonder le Gewandhaus. Le programme du concert débute par l’ouverture pour orchestre Othello, op. 93. Opolais interprète ensuite le « Chant à la lune » tirée de Roussalka et « Chansons que ma mère m’a apprises » tirée des Mélodies gitanes, op. 55/4, suivies par la Polonaise, « O, marno, marno to je » de Roussalka et « Dobrá! Já mu je dám!... Jak je mi? » de l’opéra Dalibor de Smetana. Le concert se termine par une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95 (« Du Nouveau Monde »). Enregistré au Gewandhaus de Leipzig en mai 2017.
15:44
Bach - Concerto brandebourgeois no 2
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 2 en fa majeur (BWV 1047) de Bach. Cette pièce met en vedette la trompette, le violon, la flûte à bec et le hautbois en guise de solistes. La partition virtuose et vertigineuse de la trompette y est particulièrement remarquable.
15:55
Tchaïkovski - Casse-noisette
Casse-Noisette est sans contredit l’une des œuvres les plus populaires et appréciées de Tchaïkovski. Sa musique a inspiré plusieurs chorégraphes, dont Ben Stevenson, à raconter le coloré récit de Noël de E. T. A. Hoffmann et d’Alexandre Dumas père dans le langage de la danse. À ce jour considéré comme l’une des figures les plus influentes du ballet américain, Stevenson a été directeur artistique du Ballet de Houston pendant près de 30 ans. Sous sa tutelle, la compagnie est devenue un ballet de renommée mondiale. Depuis 2003, Stevenson est directeur artistique du Ballet du Texas. Ses productions scéniques lui ont valu plusieurs récompenses, ont été saluées par la critique, et présentées sur les planches de l’Opéra de Paris, du Ballet national du Canada, de La Scala, de l’Opéra d’État de Bavière, du London City Ballet et plus encore. Cette performance de Casse-Noisette a été enregistrée au Teatro La Fenice de Venise en 2012, et met en scène le Ballet national d’Estonie et les danseurs étoiles Vladislav Lantratov et Galina Laush.
17:29
Gara Garayev : Sonates d'automne
Pianist Vadim Repin and Violist Murad Hüseynov perform Gara Garayev's Violin Sonata and 24 Preludes for Piano. Recorded at La Grange ay Lac. Written and directed by Juliette Swierczewski and recorded at La Grange au Lac. Although Garayev is a 20th century composer, his music nonetheless carries allusions to romantic music. Murad, the main actor, will represent one of those characters carried by solitude that can be found in the romantic paintings of Friedrich. The overall atmosphere of the musical program is rather melancholic, tending either towards a certain musical lightness, or, on the contrary, towards drama. The production is a cinematographic accompaniment of the music and its performers.
18:36
Gala de Berlin - 2011
L’Orchestre philharmonique de Berlin et son directeur musical Sir Simon Rattle marquent l’arrivée du Nouvel An avec le pianiste russe Evgeny Kissin, lauréat de nombreux prix. La musicalité, la profondeur, la poésie des interprétations et l’extraordinaire virtuosité de Kissin ont fait de lui l’un des meilleurs pianistes d’aujourd’hui. Il est mis en vedette en tant que soliste du Concerto pour piano en la mineur, op. 16 de Grieg. De plus, l’orchestre interprète la Danse slave no 1, op. 24 de Dvořák; la Danse symphonique no 2, op. 64 de Grieg; une version pour orchestre d’Alborada del gracioso de Ravel; la « Danse de Salomé », tirée de Salomé de Strauss; ainsi que des extraits de L’oiseau de feu de Stravinsky et de la Danse hongroise no 1 de Brahms.
20:05
A la découverte des chefs-d'œuvre : Bach
L'épisode de cette série présente la Concertos Brandebourgeois de Johann Sébastian Bach (1685-1750). Les exemples musicaux sont interprétés par le Freiburger Barockorchester dirigé par Gottfried von der Goltz. La période que Bach passe à Coethen (1717-1723) est l'une des plus productives de sa vie : partitas, sonates, pièces pour orchestre, suites pour violon seul, violoncelle seul, concertos pour violon et pour clavier naissent aux côtés des Concertos Brandebourgeois. Ils sont ancrés aujourd'hui dans le répertoire international et jouent aussi un rôle important dans l'éducation musicale. Le pianiste et expert de Bach Robert Levin nous donne des clés d'écoute.