00:00
Von Weber - Der Freischütz
Cette production unique de l’opéra Der Freischütz de Carl Maria von Weber a été créée pour célébrer le 200e anniversaire de sa première au Konzerthaus de Berlin, ainsi que le 200e anniversaire de la salle de concert elle-même. La troupe de théâtre catalane La Fura dels Baus, qui a acquis une renommée internationale pour ses opéras d’avant-garde, a créé une forêt virtuelle dans la grande salle du Konzerthaus et livre une nouvelle interprétation palpitante de l’œuvre romantique de Von Weber. Le metteur en scène Carlus Padrissa décrit la production comme « un voyage jusqu’aux racines de l’opéra, où le mythe, l’histoire et la réalité actuelle de la forêt se rencontrent ». Christoph Eschenbach dirige le Konzerthausorchester Berlin et le Rundfunkchor Berlin lors de cette représentation. Parmi les solistes figurent Jeanine De Bique (Agathe), Anna Prohaska (Ännchen), Benjamin Bruns (Max), Falk Struckmann (Kaspar), Franz Hawlata (Kuno) et Viktor Rud (Kilian). Cette performance a été captée le 18 juin 2021.
02:16
Concert en direct de Genève
Pour transcender les clivages politiques et idéologiques entre leurs pays respectifs, Daniel Barenboim, juif argentin et plus célèbre pianiste et chef d’orchestre d’Israël, et Edward Said, philosophe palestinien et chrétien, ont créé le West-Eastern Divan Orchestra, un ensemble de jeunes musiciens âgés de 13 à 26 ans qui compte autant d’Israéliens que d’Arabes. Malgré ce grand symbolisme, les objectifs et les ambitions du West-Eastern Divan Orchestra sont d’abord et avant tout d’ordre musical : les divisions politiques du Moyen-Orient sont mises de côté le temps de l’union de ces jeunes talents musicaux, ce qui en dit long sur le pouvoir de l'interaction culturelle. Cette prestation livrée au Victoria Hall de Genève met en scène deux chefs-d’œuvre célèbres : le Concerto pour piano no 3 de Beethoven et la Symphonie no 5 de Tchaïkovski. Le concert se termine avec la Valse triste de Sibelius et l’ouverture de La Forza del Destino de Verdi.
04:00
Music in the air
La télévision a joué un rôle de premier plan dans la démocratisation de la musique classique. Non seulement a-t-elle contribué à la pérennité de précieux moments musicaux d’hier, mais elle contribue également à façonner le futur de la musique. L’IMZ International Music + Media Centre, une association mondiale basée à Vienne qui s’adresse à tous ceux et celles qui s’intéressent à la musique classique, contemporaine et du monde, au jazz et à la danse, a célébré son 50e anniversaire en 2015. Pour souligner l’événement, le réputé réalisateur Reiner E. Moritz a produit le documentaire Music in the Air, qui vise à faire la lumière sur l’histoire de la musique classique au petit écran. Le film plonge dans les archives télévisuelles pour illustrer la contribution du média à la diffusion de la musique. On y trouve notamment des images rares d’Arturo Toscanini à la tête du NBC Symphony Orchestra dans l’un des premiers concerts télévisés, ainsi que des fragments captivants des Young People Concerts de Leonard Bernstein. Le film regroupe également des extraits de performances mémorables de Glenn Gould, d’Herbert von Karajan, d’Igor Stravinsky et de Pierre Boulez.
05:00
Ravel - Concerto pour piano en sol majeur
Mikhail Pletnev dirige l’Orchestre national de Russie dans une performance du Concerto pour piano en sol majeur de Maurice Ravel, mettant en vedette Lucas Debargue comme soliste. Le compositeur a achevé ce concerto dynamique en trois mouvements en 1931, auquel il a intégré plusieurs éléments tirés du jazz, tout particulièrement dans les mouvements d’ouverture et de clôture. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, dans le cadre de la neuvième édition du RNO Grand Festival, en 2017.
05:25
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Jihoon Son
Le ténor Jihoon Son (Corée du Sud, 1990) interprète « Pourquoi me réveiller? » de l’opéra Werther de Jules Massenet; « Si, ritrovarla io giuro » de l’opéra Cendrillon de Gioachino Rossini; et « Che gelida manina », extrait de l’opéra La Bohème de Giacomo Puccini, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Il est accompagné de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
05:42
Chopin - Polonaise-Fantaisie, op. 61
La pianiste d'origine ukrainienne Inna Faliks interprète la Polonaise-Fantaisie op. 61 de Frédéric Chopin. Enregistré au Nicols Concert Hall d'Evanston dans l'Illinois aux États-Unis. Inna Faliks s'est imposée comme l'une des artistes les plus expansives et poétiques de sa génération. La Polonaise-Fantaisie fut dédiée à Mme A. Veyret, et a été composée et publiée en 1846.
06:00
J.S. Bach - Concertos pour orgue
Pour célébrer l’œuvre de Bach, Ullrich Böhme interprète les Concertos pour orgue du grand compositeur allemand sur le nouvel « orgue Bach » de l’église Saint-Thomas de Leipzig. Cette réplique exacte de l’orgue qui a accompagné Bach lors des 27 ans qu’il a passés à Leipzig a été créée dans le cadre de l’année Bach, en 2000.
06:57
Brahms - Ouverture tragique, op. 81
Ce concert de Pâques présenté au Festspielhaus de Baden-Baden est une véritable rencontre au sommet : Manfred Honeck y dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin et le légendaire violoncelliste Yo-Yo Ma. Honeck, directeur musical de l’Orchestre symphonique de Pittsburgh, a fait ses débuts avec le Berliner Philharmoniker en 2013, et Yo-Yo Ma joue régulièrement avec l’orchestre depuis 1978. Le concert débute par l’Ouverture tragique, op. 81, de Brahms, suivie du Concerto pour violoncelle, op 129, de Schumann. Le programme se termine par la Symphonie no 6, dite Pathétique, de Tchaïkovski. Le Concerto pour violoncelle de Schumann n’a jamais été joué du vivant de son compositeur, et Tchaïkovski est mort neuf jours seulement après la première de sa Sixième Symphonie.
07:12
Janáček - Messe glagolitique
Mariss Jansons dirige le chœur et l’ensemble de l’Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise dans une performance de la Messe glagolitique de Janáček (1926) dans le cadre de l’édition 2012 du Lucerne Easter Festival. L’œuvre est divisée en huit sections qui mettent l’accent sur le chœur tout en offrant d’impressionnants solos, tout particulièrement pour soprano et ténor. On y compte notamment un solo d’orgue complètement inattendu et étonnamment échevelé (ici interprété par Iveta Apklana) qui suit l’Ordinaire de la messe et précède le mouvement final. Janáček, qui n’a connu la célébrité internationale qu’en fin de vie, souhaitait souligner les liens entre les nations slaves en rédigeant le texte en vieux-slave, une langue faisant appel au « glagolithique », un alphabet créé par les Saints Cyril et Méthode. Le choix de cette langue ancienne reflète également les sympathies du compositeur morave envers les nations slaves sous le joug de l’Empire austro-hongrois.
07:58
CMIM Voix 2022 - Finale: Simone McIntosh
La mezzo-soprano Simone McIntosh (Canada, 1991) interprète « Sein wir wieder gut » de l’opéra Ariane à Naxos de Richard Strauss; « Vani solo i lamenti ... Svegliatevi nel core » de l’opéra Jules César de George Friederic Händel; et « Naqui'all affanno ... Non più mesta », extrait de l’opéra Cendrillon de Gioachino Rossini, lors de la finale du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Elle est accompagnée de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
08:16
Pierre Boulez - A life for music
Le musicien et compositeur français Pierre Boulez (1925-2016) est considéré comme l’une des figures plus influentes de la musique du 20e siècle. Dans le documentaire Pierre Boulez – A Life of Music (2017), Reiner E. Moritz brosse un portrait personnel d’un jeune artiste impatient, qui a déjà impétueusement suggéré de faire sauter les opéras pour faire table rase des traditions désuètes. Moritz explore comment le musicien en est ensuite venu à diriger Ring of the Century sur les planches de l’opéra de Bayreuth, sans doute le plus traditionnel des opéras d’Europe, et s’est taillé une réputation enviable parmi les plus importants orchestres internationaux. Le documentaire comprend des fragments de la riche œuvre du compositeur et des photos rares tirées des archives Boulez-Chevalier. Mais le documentaire se fait encore plus intimiste lorsque la famille et les amis du maestro se remémorent sa vie. Roger, frère cadet de Boulez, offre des renseignements précieux sur la jeunesse de Pierre, et le pianiste de renom Daniel Barenboim s’ouvre sur la musique et les compositions de son ami.
09:14
Schumann - Sonata pour piano no 3, op. 14
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. La Sonate pour piano no 3, op. 14, (également appelée Concerto pour piano sans orchestre par Tobias Haslinger) a été composée en 1836 et dédiée à Ignaz Moscheles. En 1853, Schumann a revisité l’œuvre pour y ajouter un Scherzo comme deuxième mouvement. Le mouvement final n’est pas sans rappeler Kreisleriana, op. 16. Cette œuvre est interprétée par Riccardo Schwartz (1986). En carrière, Schwartz a eu le privilège de se produire comme soliste sous la direction de nombreux chefs d’orchestre de renom, dont Gustav Kuhn and Yuri Temirkanov. Ses prestations saluées par la critique et le public comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés dans les salles de concert les plus prestigieuses au monde.
10:00
Beethoven - Symphonie no 3 en mi bémol majeur
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 3 en mi bémol majeur, op. 55, dite « Eroica », de Beethoven. Composée entre 1803 et 1804 dans un style qui rompt avec la tradition, cette symphonie est perçue comme un tournant dans l’œuvre de Beethoven ainsi que pour l’histoire de la musique occidentale dans son ensemble. Plus longue que toute symphonie précédemment composée, Eroica s’ouvre avec deux accords puissants qui remplacent l’introduction longue habituelle. Les violoncelles et les contrebasses introduisent ensuite le thème principal. Le deuxième mouvement, très lent, est une marche funèbre, suivie d’un scherzo rapide. Le quatrième et dernier mouvement est dominé par un thème tiré du ballet Les Créatures de Prométhée de Beethoven. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
10:53
Œuvres pour violoncelle et piano: Debussy et al.
La violoncelliste italienne Silvia Chiesa et le pianiste italien Maurizio Baglini proposent un magnifique récital dans le cadre de l’édition 2023 de l’Amiata Piano Festival. Au programme se trouvent la Sonate pour violoncelle, L. 135, de Claude Debussy; l’allegro moderato tiré de la Sonate pour violoncelle no 1 en do mineur, op. 32, de Claude Debussy; l’allegro ma non troppo tiré de la Sonate pour violoncelle no 1 en mi mineur, op. 38, de Johannes Brahms; l’allegro scherzando tiré de la Sonate pour violoncelle en sol mineur, op. 19, de Sergueï Rachmaninov; alla Romanza – largo doloroso tiré de la Sonate pour violoncelle en ré majeur, op. 38, de Francesco Cilea; le scherzo – allegro molto tiré de la Sonate pour violoncelle no 3 en la majeur, op. 69, de Ludwig van Beethoven; « Vive Henri IV (no 2) » et « Charmante Gabrielle » (no 3) tirées d’Après cinq chansons d’élite d’Azio Corghi; et Rhapsody in Blue de George Gershwin (transcription pour violoncelle et piano de Thierry Huillet). Cette performance a été enregistrée au Forum Fondazione Bertarelli de Poggi del Sasso, en Italie, le 29 juillet 2023.
12:01
Dance on screen
Dans Dance on Screen, le réputé réalisateur Reiner E. Moritz explore l’influence des médias modernes du 20e siècle sur le milieu de la danse, et vice-versa. L’invention de la caméra de cinéma et de la télévision a permis au public de découvrir non seulement de magnifiques œuvres chorégraphiques, mais également les expressions faciales et la présence scénique des artistes. Ces avancées techniques ont permis la conservation de cette forme d’art essentiellement éphémère. Abordant le ballet classique comme la danse moderne, Dance on Screen comprend également des entrevues avec des chorégraphes et des réalisateurs de renom, ainsi que des performances de certains des plus grands danseurs du 20e siècle, dont Alvin Ailey, Anna Pavlova et Pina Bausch.
13:00
Concert mexicain – Première partie
Anabel de la Mora est accompagnée par l’Orquesta Sinfonica de Minería sous la direction de Raúl Delgado dans un programme entièrement consacré aux compositeurs mexicains. La première partie du concert comprend Angelus de Miguel Bernal Jiménez, Dime que sí d’Alfonso Esparza, Munequita Lina de María Grever, Intermezzo de Atzimba de Ricardo Castro, Besos robados de Jorge del Moral et Bésame mucho de Consuelo Velázquez. Enregistré à l’Academia de Música del Palacio de Minería, Mexico, 2019.
13:33
Bruch - Concerto pour violon no 1, Op. 26
Sir Simon Rattle dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin dans le cadre de l’édition 2008 de l’Europakonzert, présentée dans la célèbre salle du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Depuis 1991, l’Europakonzert célèbre chaque année la fondation de la Philharmonie de Berlin, le 1er mai 1882, par un concert dans une ville européenne qui revêt une certaine importance culturelle. Ce concert débute par une interprétation exceptionnelle de la Symphonie en trois mouvements de Stravinsky. Vadim Repin, l’un des artistes les plus fascinants de la scène musicale actuelle, est le soliste du Concerto pour violon no 1, op. 26, de Bruch. Le programme se termine par la Symphonie no 7 de Beethoven, dont le deuxième mouvement, l’Allegretto, a connu un succès immédiat lors de sa création, en 1813, et demeure aujourd’hui un grand favori du public.
14:00
Britten - War Requiem
Paul McCreesh dirige l’Orquesta Gulbenkian et le Coro Infantil da Academia de Música de Sana Cecília dans une interprétation du War Requiem, op. 66, de Benjamin Britten (1913-1976) mettant en vedette les solistes Tatiana Pavlovskaya (soprano), John Mark Ainsley (ténor) et Hanno Müller-Brachmann (basse). Ce concert enregistré au Grand Auditorio Gulbenkian de Lisbonne en 2014 a été mis en scène par Yan Proefrock. Le War Requiem de Britten a été présenté pour la première fois dans le cadre de l’inauguration de la nouvelle cathédrale de Coventry, en 1962. Les textes latins traditionnels sont ponctués de poèmes extra-liturgiques de Wilfred Owen. Britten a composé le requiem pour soprano, ténor et baryton, chœur et chœur de garçons, orgue, grand orchestre et orchestre de chambre. L’orchestre de chambre accompagne la poésie anglaise, tandis que les chœurs et le grand orchestre servent les sections latines.
15:34
Bach - Concerto brandebourgeois no 6
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 6 en si bémol majeur (BWV 1051) de Bach. Contrairement à d’autres concertos, ce morceau ne comporte pas de violons, qui sont remplacés par des instruments à cordes graves à l’avant-scène, appuyés par le clavecin.
15:51
Ice Dance: Cendrillon (2008)
Les Imperial Ice Stars possèdent la réputation d’être la meilleure compagnie de patinage contemporain au monde. Leur production Swan Lake on Ice (2006) a été présentée devant plus d’un million de personnes dans 12 pays. Le public et la critique ont adoré, le spectacle étant chaque soir accueilli par une ovation. Cette version de Cendrillon par les Imperial Ice Stars se déroule en Sibérie, et le célèbre récit a été dynamisé et mis à jour par Tony Mercer, directeur artistique primé. Avec à nouveau des décors, des costumes et des éclairages magnifiques, Cinderella on Ice saura vous divertir à plusieurs niveaux. Une performance réalisée par 26 patineurs sur une trame musicale originale spécialement commandée pour l’occasion, enregistrée en direct en août 2008 à Melbourne, en Australie.
17:47
Shusha Renaissance (2023)
“Shusha, the Renaissance” is a musical journey featuring pianist Murad Huseynov. The city of Shusha is often considered the cradle of Azerbaijan's music and poetry and one of the leading centres of the Azerbaijani culture, having been declared the cultural capital of Azerbaijan in January 2021. On the program are the following works: Fikret Amirov’s (1922-1984) Twelve Miniatures for Piano Solo: I. Ballade - II. Ashigsayagi – III. Nocturne – IV. Humoresque – V. Lyrical Dance – VI. Hunting - VII. Lullaby – VIII. Waltz – IX. Barcarolle – X. Toccata – XI. Elegy – XII. March; Adil Babirov’s (1934-2021) ‘s Prelude & Scherzo; Gara Garayev’s (1918-1982) Sonatine: I. Allegro – II. Moderato assai – III. Vivo ; Tofik Kouliyev’s (1917-2000) ‘Gaytagi’ and F. Amirov’s Romantic Sonata: I. Allegro energico - II. Andante espressivo - III. Allegro non troppo). This performance is filmed in Shusha in October 2023 and in the Heydar Aliyev Center, Baku, in December 2023. Written and directed by Michel Swierczewski.
18:40
Glass - Concerto pour deux pianos
Dans le cadre d’une nouvelle collaboration avec Philip Glass, célèbre compositeur de « pièces aux structures répétitives », les pianistes françaises Katia et Marielle Labèque interprètent la première européenne du Concerto pour deux pianos de Glass, suivie de la Symphonie no 5 de Chostakovitch en compagnie de l’Orchestre de Paris. Ce concert est dirigé par Jaap van Zweden, directeur musical de l’Orchestre philharmonique de Hong Kong et prochain directeur musical du New York Philharmonic.
19:59
Villa-Lobos: Musique pour violoncelle et piano II
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps. Dans le deuxième épisode de cette minisérie, Boubli plonge plus en profondeur dans l’œuvre de Villa-Lobos pour explorer ses influences musicales et l’anatomie de certaines de ses compositeurs les plus célèbres, dont la Pequena Suíte, une collection de danses et de courtes pièces en six mouvements qui offre un clin d’œil à son amour de Jean-Sébastien Bach.
20:26
Demi-finale II - Concours piano de Liszt 2017
Ran Feng (1991, Chine) interprète La notte (S377a) et la Rhapsodie hongroise no 12 (S379a) dans le cadre de la demi-finale (catégorie musique de chambre) de la 11e édition du Concours international de piano Franz-Liszt, présentée au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.