Réveillon du jour de l’an
31 décembre
Stingray Classica célèbre le réveillon du jour de l’an dès 21 h avec une diffusion splendide de l’édition 2018 du Concierto de San Silvestre. Dans ce concert, l’ensemble mexicain Orquesta Sinfonica de Minería est dirigé par le violoniste germano-autrichien Leon Spierer, qui se produit à la fois comme chef d’orchestre et comme violoniste. La première partie du concert compte une sélection d’œuvres bien connues, telles que l’ouverture de l’opéra Le Barbier de Séville de Gioachino Rossini, le vilja-lied de l’opérette La veuve joyeuse de Franz Léhar, magnifiquement interprété par la soprano Jéssika Arévalo, et les valses populaires Wiener Blut et An der Schönen Blauen Donau (Le Beau Danube bleu) de Johann Strauss Jr. Dans la seconde partie du concert, l’Orquesta Sinfonica de Minería interprète l’adagio du dernier mouvement de la Symphonie no 45 en fa dièse mineur (les Adieux) de Joseph Haydn, et la Symphonie no 8 en sol majeur, op. 88, d’Antonín Dvořák.
Orquesta de Minería : Concert anniversaire I
Mardi 31 décembre | 21h00
Léon Spierer dirige l’Orquesta Sinfonica de Minería dans le cadre d’un concert de la Saint-Silvestre. La soliste est la soprano Jéssika Arévalo. La première partie de ce concert anniversaire met en scène Wiener Blut, op. 354 de Strauss II; « Meine Lippen, sie küssen so heiß » tiré de Giuditta de Léhar; l’ouverture du Barbier de Séville de Rossini; l’aria de Vilja tirée de Die Lustige Witwe de Léhar; An der Schönen Blauen Donau, op. 314 de Strauss II; « Carceleras » tiré de Las Hijas del Zebedeo de Ruperto Chapi; et la célèbre Marche de Radetzky, op. 228 de Johan Strauss. Enregistré à l’Academia de Música del Palacio de Minería, Mexico.
Orquesta de Minería - Concert anniversaire II
Mardi 31 décembre | 21h50
Léon Spierer dirige l’Orquesta Sinfonica de Minería dans le cadre d’un concert de la Saint-Silvestre. La soliste est la soprano Jéssika Arévalo. La seconde partie de ce concert anniversaire s’ouvre avec l’Adagio de la Symphonie no 45 (« les Adieux ») Hob I:45 de Haydn, et se termine par la Symphonie no 8, op. 88 d’Antonin Dvořák, œuvre achevée en 1889 et présentée pour la première fois l’année suivante. Comparativement aux autres œuvres du compositeur issues de cette période, la Symphonie no 8, originellement publiée sous le nom de Symphonie no 4, est considérablement plus enjouée et plus optimiste.