00:00
Rossini - La Cenerentola
L’opéra La Cenerentola de Gioachino Rossini, dont le libretto est signé Jacopo Ferretti, a été présenté pour la première fois en février 1816 en réponse au succès de la pièce Il Barbiere di Siviglia. Comme ce fut le cas pour son prédécesseur, cet opéra a reçu un accueil quelque peu hostile lors de sa première, mais a rapidement connu une popularité croissante dans les théâtres d’Italie et à l’étranger. Évoquant un certain esprit de fraîcheur et de légèreté, l’ouverture de La Cenerentola est l’un des airs les plus connus de Rossini. L’originalité de la pièce réside dans le contraste marqué entre la tendresse de l’héroïne et le côté sentimental de l’histoire, et la virtuosité incroyable et le sens de l’humour débridé de Rossini. Présentée en 2015, cette performance de La Cenerentola de Rossini met en scène l’orchestre de Bretagne et le chœur de l’Opéra des Rennes, sous la direction de Darrell Ang. Les solistes sont José Maria Lo Monaco, Daniele Zanfardino, Marc Scoffoni et Bruno Pratico.
02:52
Legato - The World of the Piano
Roland Pöntinen, pianiste et compositeur suédois, joue « Les Barricades mystérieuses » de Couperin, la gavotte en la mineur de Rameau, le « Feuillet d’album no. 1 » de Busoni, le prélude et la ballade de Saariaho, la ballade no. 4 en fa mineur de Chopin, « Iberia » (livre 2, no’s 1 et 3) d’Albéniz, la sérénade en si bémol mineur de Rachmaninov et « Oiseaux tristes » (extrait de « Miroirs ») de Ravel. Enregistré à la Folkwang Hochschüle à Essen en juillet 2007.
04:08
Musique brésilienne pour violoncelle & piano VI
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps.
04:34
Beethoven - Symphonie no 2 en ré majeur, op. 36
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 2 en ré majeur, op. 36, de Beethoven. Achevée en 1802, cette œuvre a été présentée pour la première fois le 5 avril 1803 au Theater an der Wien, dans un concert comprenant également les premières du Concerto pour piano no 3 et de l’oratorio Le Christ au mont des Oliviers, ainsi que la Symphonie no 1. Au menuet traditionnel, Beethoven a préféré un scherzo plein d’entrain comme troisième mouvement de sa Deuxième Symphonie, ce qui confère à l’ensemble de l’œuvre un caractère optimiste. Cette performance a été enregistrée au Palais Garnier de Paris, en France, en 2014.
05:12
Graupner - Magnificat anima mea
Patrick Debrabandere dirige le chœur de chambre Vox Mago dans une performance de la cantate Magnificat anima mea de Christoph Graupner (1683-1760). Cette performance fait partie du concert In Tempus Adventus, qui regroupe trois magnifiques cantates baroques enregistrées en décembre 2018 à l’église Onze-Lieve-Vrouw Presentatiekerk de Gand, en Belgique. Magnificat anima mea est une cantate festive composée à l’occasion de Noël, en 1722. Graupner était un compositeur très prolifique, et présente l’un des répertoires les plus vastes de l’histoire de la musique classique. Graupner était ami de nombreux compositeurs, dont Händel et Matheson, et a même été préféré à Jean Sébastien Bach pour occuper le poste de cantor de l’église Saint-Thomas de Leipzig. Son employeur de l’époque, le duc de Saxe-Meiningen Ernst Ludwig I, en a décidé autrement, souhaitant le conserver au service de sa cour.
05:34
Beethoven - Sonate pour piano no 31, op. 110
Comment pouvons-nous pénétrer dans l’esprit créatif de Beethoven, tout particulièrement pour comprendre ce que signifiait la perte considérable de son ouïe lors des dernières années de sa vie? Le plus récent enregistrement des Sonates pour piano, opus 109, 110 et 111, de Beethoven par le pianiste Tom Beghin constitue une exploration artistique de la façon dont la musique du compositeur a été façonnée par l’environnement de travail qu’il a créé avec ses collègues et amis. Beghin interprète non seulement la trilogie de chefs-d’œuvre pianistiques sur une magnifique nouvelle réplique du piano Broadwood de Beethoven, mais il utilise également une reconstruction de la Gehörmaschine, soit la prothèse auditive qui était installée sur le piano du compositeur pour lui permettre de continuer de créer de la musique malgré le déclin de son audition. « Tu entends mieux lorsque tu places ta tête sous cette machine, n’est-ce pas? », a jadis demandé André Stein à Beethoven. Deux siècles plus tard, nous pouvons nous aussi placer notre tête sous la machine et nous demander : « Entendez-nous Beethoven différemment? » Beghin nous invite à pénétrer dans la machine, pour ressentir et entendre l’essence des vibrations exubérantes et irrésistiblement poétiques de Beethoven. Inside the Hearing Machine est une invitation au cœur du terrain de jeu multisensoriel d’un compositeur sourd pour qui la machine était plus qu’une prothèse auditive, et qui interagissait avec son instrument à l’aide de bien plus que le simple son.
06:00
Le German Brass joue Bach
L’ensemble German Brass livre quelques-uns des airs les plus populaires de Bach dans des arrangements pour cuivres à couper le souffle. Enregistré en direct de la magnifique église Saint-Thomas de Leipzig, ce concert comprend des pièces intemporelles du légendaire compositeur allemand, telles que Toccata et fugue en ré mineur, l’Adagio en sol mineur et Jesus bleibet meine Freude. Le German Brass figure parmi les ensembles de cuivres les plus populaires de notre temps, et regroupe des musiciens provenant des meilleurs orchestres allemands, notamment les orchestres philharmoniques de Berlin et de Munich. Offrant une vue complète de l’église pour laquelle Bach a conçu la plupart de ses œuvres et tirant parti de l’acoustique exceptionnelle de la salle, cet enregistrement de pointe est une véritable fête visuelle et auditive, et une célébration parfaite de l’œuvre de Bach.
07:00
Haydn - Symphonie no 94 « La Surprise »
Au programme de cet Europakonzert : la Symphonie n° 94 en sol majeur « Roulement de timbales » de Joseph Haydn. L'Orchestre Philharmonique de Berlin étant dirigé par Mariss Jansons. Les Europakonzert de l'Orchestre philharmonique de Berlin sont une contribution de la célèbre formation à l'Union Européenne. Ils ont lieu le 1er mai, date anniversaire de la création de l'Orchestre en 1882 et, à chaque fois, dans une ville différente. En 2012, l'Europakonzert se déroula dans l'église byzantine Hagia Eirene d'Istanbul.
07:24
Mirabile Mysterium - A Christmas Tale
Le chef d’orchestre Paul Van Nevel et l’Ensemble Huelgas présentent une programmation des fêtes exceptionnelle, composée d’une sélection musicale féérique provenant du 14e au 19e siècle. L’Ensemble Huelgas, qui est aujourd’hui considéré comme l’un des plus importants ensembles vocaux d’Europe se consacrant à la musique du Moyen-Âge et de la Renaissance, s’avère être le candidat idéal pour cette tâche, et évoque à merveille le mystère et l’éclat propres aux célébrations de Noël. Van Nevel a organisé cette sélection musicale éclectique selon quatre thèmes : la naissance à Bethléem, le crime d’Hérode, le voyage des trois Rois mages, et l’épilogue. En 2015, la programmation complète de ce concert a été présentée et enregistrée à l’église baroque Sainte-Augustine, actuellement connue sous le nom d’AMUZ, à Anvers, en Belgique. La naissance à Bethléem s’ouvre et se termine par des pièces de compositeurs non identifiés : « Balaam de quo Vaticinans » et « A Carol for Christmas Eve », respectivement. Cette section compte également Myrabile Mysterium de Jacobus Gallus, et Este nino que es sol del Aurora de Jerónimo Luca. Le crime d’Hérode s’ouvre avec « Hostis Herodes Impie », dont on ne connaît pas le compositeur, suivi de « Interrogabat Magos Herodes » de Jean Mouton, « Vox in Rama » de Giaches De Wert, et « A Voice from Ramah was There Sent » de Bertram Luard-Selby. Le voyage des trois Rois mages, Melchior, Gaspard et Balthazar, débute par une autre œuvre anonyme intitulée « Vincti Presepio », suivie de « Reges Terrae » de Pierre De Manchicourt, « Ab Oriente » de Jan Pieterszoon Sweelinck, et « Drei Könige Wandern » de Peter Cornelius. Finalement, l’épilogue comprend « Quae Stella Sole Pulchrior » une dernière pièce anonyme, et « Dexen que Ilore mi Niño » d’António Marques Lésbio.
08:27
IVC 2021 Demi-finale: Schönberg, Britten et autres
Le baryton Arvid Fagerfjäll (Suède, 1991) et la pianiste Hikaru Kanki (Japon, 1993) interprètent An mein Herz, D. 860, de Franz Schubert; « Die Aufgeregten » tirée de Sechs Lieder, op. 3, d’Arnold Schönberg; « A Poison Tree » tirée de The Red Cockatoo And Other Songs de Benjamin Britten; Vermeer's gold de Bart Visman; « La mer est plus belle » tirée des Trois mélodies de Paul Verlaine, L. 81, de Claude Debussy; Prison, op. 83, no 1, de Gabriel Fauré; et « Die Geister am Mummelsee » tirée de Mörike-Lieder de Hugo Wolf dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
08:50
Modena - The Belcanto School
This documentary by Mark Perna shows the training and professional growth actions for opera singers, the promotion and enhancement of the cultural offer of the city and province of Modena and the maintenance and development of the Modenese musical tradition in the field of opera.
09:15
Liszt – Concerto pour piano no 2, S.125
Alexander Ullman (1991, Royaume-Uni) interprète le Concerto pour piano no 2 (S125) de Franz Liszt dans le cadre de la finale du 11e Concours international de piano Franz Liszt, présenté au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht en 2017.
10:02
Haendel - Le Messie, HWV 56
Le Messie (HWV 56) de Georg Frederich Haendel, également appelée Nouvel oratorio sacré, raconte la vie et la souffrance du Christ : une histoire de passion, de feu et de sacrifice. Il s’agit de l’une des œuvres les plus connues d’Haendel, qui a mis seulement trois semaines pour composer cet oratorio et sa célèbre « Hallelujah ». L’œuvre connaît une immense popularité depuis sa première à Dublin, en 1742, et est souvent présentée à Pâques. Cette performance de l’ensemble néerlandais Ribattuta Musica sous la direction du chef d’orchestre Dick Duijst a été filmée dans la grande église de la ville d’Ermelo, aux Pays-Bas, en 2016. Les solistes sont Elvire Beekhuizen (soprano), Rosina Fabius (alto), Oscar Verhaar (contre-ténor) Satriya Krisna (ténor) et Hans Voschezang (basse). Ribattuta Musica est un ensemble professionnel qui livre des performances authentiques basées sur les pratiques musicales en cours au temps des compositeurs.
11:30
Beethoven - Quatuors à cordes nos 1, 9 et 10
Le réputé quatuor à cordes français Quatuor Ébène a souligné le 250e anniversaire de naissance de Ludwig van Beethoven (1770-1827) avec un projet remarquable : l’enregistrement de l’ensemble de ses seize quatuors à cordes. Pendant cinq ans, les violonistes Pierre Colombet et Gabriel Le Magadure, l’altiste Marie Chilemme et le violoncelliste Raphaël Merlin ont plongé corps et âme dans ces 650 pages de musique en feuille, couvrant trois décennies de la prolifique carrière de Beethoven. Cet effort a culminé en six concerts captivants présentés à la Philharmonie de Paris à l’automne 2020. Le Quatuor Ébène a exploré toutes les facettes des quatuors à cordes de Beethoven, du dynamisme des quatuors à cordes de l’opus 18 aux quatuors Razumovsky, Les Harpes et Quartetto Serioso (opus 59, 74 et 95) de sa période intermédiaire, jusqu’à la profondeur de ses quatuors tardifs (opus 127 à 135). Dans ce programme, le Quatuor Ébène interprète le Quatuor à cordes no 1 en fa majeur, opus 18, no 1; le Quatuor à cordes no 10 en mi bémol majeur, opus 74, dit « Les Harpes »; et le Quatuor à cordes no 9 en do majeur, opus 59, no 3, dit « Razumovsky ». Ce concert a été enregistré à la Philharmonie de Paris, le 13 octobre 2020.
13:09
L'Angleterre, mon Angleterre - I
Du 28 août au 6 septembre 2015, le Festival de musique ancienne d’Utrecht a braqué les projecteurs sur England, my England. Lex Bohlmeijer anime ce documentaire en deux parties qui convie les téléspectateurs à un périple intrigant à travers l’Angleterre du Moyen Âge, de la Renaissance et de la période baroque, et crée un parallèle avec la ville d’Utrecht. L’épisode 1 de la série s’intéresse aux églises de la vieille ville d’Utrecht et à la source d’inspiration première de l’édition 2015 du festival – le domaine anglais de Boughton House – présentée par le duc de Buccleuch.
13:29
Dupré - Variations sur deux thèmes, op. 35
Le pianiste italien Alessandro et l’organiste italien Paolo Oreni interprètent les Variations sur deux thèmes pour piano et orgue, op. 35, de Marcel Dupré. Pour cette performance, Oreni se produit sur un orgue Wanderer qu’il a lui-même conçu, et qui est le plus grand orgue à tuyaux transportable existant. Avec ses 1200 tuyaux répartis en 42 jeux, il possède tous les timbres essentiels au répertoire de l’orgue. Cette performance a été enregistrée à la Fabbrica Poggi de Pavia, en Italie, le 5 avril 2024.
13:44
Ravel - Boléro
Le chef d’orchestre français Adrien Perruchon dirige l’Orchestre symphonique de Flandres dans une performance du célèbre Boléro de Maurice Ravel. Le Boléro est sans conteste l’une des œuvres les plus populaires du répertoire classique mondial. Elle a été commandée par la danseuse russe Ida Rubinstein, qui a demandé au compositeur de créer un ballet de caractère espagnol. L’œuvre composée par Ravel en 1928 est inspirée du boléro, une danse espagnole à trois temps datant du 18e siècle. L’œuvre est caractérisée par un motif rythmique principal, donné par la caisse claire sans aucune variation tout au long de la pièce. Cette performance a été enregistrée au Concertgebouw de Bruges, en Belgique, le 1er mars 2017.
14:00
L'Orchestre du Divan à l'Alhambra
L’Orchestre du Divan occidental-oriental est peut-être bien l’un des orchestres les plus spéciaux au monde. Cet orchestre, formé par le chef d’orchestre israélien Daniel Barenboim et l’écrivain palestinien Edward Saïd, se compose de jeunes musiciens originaires d’Israël ou des pays arabes environnants. C’est pour cette raison que faire de la musique au plus haut niveau n’est pas le seul objectif : la compréhension mutuelle est aumoins tout aussi importante. Pour ce concert le magnifique palais de l’Alhambra sert de podium et ils jouent des œuvres, entre autres, de Beethoven, Brahms, Rossini et Wagner.
15:45
Bach - Concerto brandebourgeois no 3
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 3 en sol majeur (BWV 1048) de Bach, une composition pour trois violons, trois altos, trois violoncelles et basse continue. La structure de ce concerto est très particulière, avec deux mouvements rapides séparés par un adagio composé de seulement deux accords.
15:56
Hedda Gabler
Après sa première mondiale à l’automne 2017, Seeing Dance a décrit cette adaptation d’Hedda Gabler pour le ballet réalisée par l’Opéra et ballet national de Norvège comme brûlante d’« intensité ». Créée par le dramaturge norvégien Henrik Ibsen, Hedda Gabler figure parmi les personnages les plus connus du théâtre mondial. Cette adaptation profonde et psychologique par la directrice Marit Moum Aune est interprétée par le Ballet national de Norvège sur une musique de Nils Petter Molvær. La performance met en vedette Grete Sofie Borud Nybakken dans le rôle du personnage iconique. Enregistré en 2017 à Oslo, en Norvège.
17:36
Shusha Renaissance (2023)
“Shusha, the Renaissance” is a musical journey featuring pianist Murad Huseynov. The city of Shusha is often considered the cradle of Azerbaijan's music and poetry and one of the leading centres of the Azerbaijani culture, having been declared the cultural capital of Azerbaijan in January 2021. On the program are the following works: Fikret Amirov’s (1922-1984) Twelve Miniatures for Piano Solo: I. Ballade - II. Ashigsayagi – III. Nocturne – IV. Humoresque – V. Lyrical Dance – VI. Hunting - VII. Lullaby – VIII. Waltz – IX. Barcarolle – X. Toccata – XI. Elegy – XII. March; Adil Babirov’s (1934-2021) ‘s Prelude & Scherzo; Gara Garayev’s (1918-1982) Sonatine: I. Allegro – II. Moderato assai – III. Vivo ; Tofik Kouliyev’s (1917-2000) ‘Gaytagi’ and F. Amirov’s Romantic Sonata: I. Allegro energico - II. Andante espressivo - III. Allegro non troppo). This performance is filmed in Shusha in October 2023 and in the Heydar Aliyev Center, Baku, in December 2023. Written and directed by Michel Swierczewski.