00:00
Donizetti - L’elisir d’amore
Riccardo Frizza dirige l’Orchestra Gli Originali et le Coro Donizetti Opera dans une performance de l’opéra-comique L’elisir d’amore (L’Élixir d’amour, 1832) de Geatano Donizetti. Le livret de l’œuvre est signé par Felice Romani, d’après le livret d’Eugène Scribe pour l’opéra Le philtre (1831) de Daniel Auber. L’elisir d’amore est sans doute l’œuvre la plus connue du vaste répertoire de Donizetti. Elle raconte l’histoire de Nemorino, un pauvre paysan qui tombe amoureux de la belle et riche Adina. Inspiré par la légende de Tristan et Iseult, Nemorino tente de se procurer un philtre d’amour pour gagner l’affection d’Adina. Dans un élan de désespoir, il achète une bouteille d’élixir magique au docteur ambulant Dulcamara. Mis en scène par Frederic Wake-Walker, cette production de 2021 est unique en ce qu’elle reprend la partition originale complète d’Alberto Zedda. Les musiciens jouent également sur des instruments historiques, pour recréer la sonorité « authentique » de l’orchestre de Donizetti. Les solistes sont Caterina Sala (Adina), Javier Camarena (Nemorino), Florian Sempey (Belcore), Roberto Frontali (Dulcamara), Anaïs Mejías (Giannetta) et Manuel Ferreira (maître de cérémonie). Cette performance présentée dans le cadre du Festival d’opéra Donizetti a été enregistrée au Teatro Donizetti de Bergame, en Italie, en 2021.
02:24
J. S. Bach : Messe en si mineur, BWV 232
Dans ce concert, Herbert Blomstedt dirige l’orchestre et le chœur du Gewandhaus pour la dernière fois à titre de directeur musical des ensembles, dans le cadre du Bachfest de Leipzig, en 2005. Après sept merveilleuses années, le maestro fait ses adieux à Leipzig en dirigeant la Messe en si mineur (BWV 232) de Bach, l’une des plus grandes œuvres de musique sacrée jamais composées. Les solistes sont Ruth Ziesak (soprano), Anna Larsson (alto), Christoph Genz (ténor) et Dietrich Henschel (basse). Cette messe, qui forme le cadre musical de l’Ordinarium Missae – ou Ordinaire de la Messe latine –, est l’une des dernières pièces achevées par Bach avant sa mort, en 1750. Blomstedt signe une exécution de l’œuvre de haut niveau, qui déborde de vie. Depuis 1999, le Bachfest de Leipzig est considéré comme le plus important festival international célébrant la musique de Bach.
04:22
À la découverte de chefs-d’œuvre:Symph fantastique
Les vingt volets de la série « À la découverte de chefs-d’œuvre » constituent des introductions audiovisuelles aux chefs-d’œuvre de la musique classique. Les introductions permettent au téléspectateur d’apprécier les plus belles compositions, depuis le baroque jusqu’à l’époque moderne, sous un jour totalement nouveau. Des extraits de partitions et des explications d'experts aident le téléspectateur à suivre les motifs et rythmes et à comprendre la structure de l’œuvre. Ce volet présente la Symphonie fantastique d’Hector Berlioz, qui est largement considérée comme l'une des œuvres les plus importantes et les plus représentatives du début du romantisme. De par sa nature hallucinatoire et onirique, Leonard Bernstein l'a assimilée à la première expédition musicale psychédélique. Le musicologue allemand Wulf Konold évoque l'idée qui a inspiré Berlioz et explique sa réalisation au sein de cette œuvre fascinante.
04:51
Prokofiev - Concerto pour violon no 2, op 63
Iván Fischer dirige le Budapest Festival Orchestra lors d’un concert enregistré à la salle de concert nationale Béla Bartók de Budapest, en 2015. Le concert commence avec l’« Ouverture sur des thèmes juifs », op. 34, de Prokofiev. Ensuite, Thomas Zehetmair est le violoniste soliste dans le Concerto pour violon no 2, op. 63, de Prokofiev. La deuxième partie du concert est consacrée à la musique de Stravinsky. Au programme, la musique composée pour le ballet Jeu de cartes (1937) et la suite no 2 de L’oiseau de feu (1919). Jeu de cartes, l’une des œuvres néoclassiques de Stravinsky, est composée de trois parties (« donnes »). La suite no 2 de L’oiseau de feu est basée sur la musique du ballet du même nom, composé pour les Ballets russes de Sergei Diaghilev et dont la première s’est tenue à Paris en 1910.
05:20
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Deepa Johnny
La mezzo-soprano Deepa Johnny (Canada/Oman, 1998) interprète « Seguidilla » de l’opéra Carmen de Georges Bizet; « Asie » du cycle de chansons Shéhérazade de Maurice Ravel; et « Tanti affetti in tal momento », tiré de l’opéra La Dame du lac de Gioachino Rossini, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Elle est accompagnée de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
05:41
Saint-Saëns - Polonaise pour deux pianos, op. 77
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant explorant le répertoire pour piano et violon, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom, dont les pianistes Evgeny Kissin, Theodosia Ntokou et Cristina Marton-Argerich, et le violoniste Maxim Vengerov. Le programme de ce concert comprend le Concertino pour deux pianos, op. 94 de Dmitri Chostakovitch; l’Impromptu no 3, op. 51, la Polonaise « héroïque » no 6, op. 53, et la Valse « minute », op. 64, no 1, de Frédéric Chopin; la Polonaise pour deux pianos, op. 77 de Camille Saint-Saëns; la Sonate pour violon et piano en la majeur de César Franck; et Liebesleid et Schön Rosmarin de Fritz Kreisler. Ce concert a été enregistré le 12 juin 2021.
06:00
Mozart - Eine kleine Nachtmusik
Depuis le château de Rammenau, le Gewandhaus-Quartett interprète Eine kleine Nachtmusik, K. 525 (Sérénade no 13 pour cordes en sol majeur) de Mozart. Cette sérénade a été achevée à Vienne le 10 août 1787, tandis que Mozart travaillait au deuxième acte de l’opéra Don Giovanni, et n’a été publiée que vers 1827, longtemps après la mort du compositeur. Le nom de l’œuvre traditionnellement utilisé – Une petite musique de nuit – provient des notes du catalogue personnel de Mozart. Fondé en 1808, le Gewandhaus-Quartett est le plus ancien quatuor au monde, se produisant sans interruption depuis plus de 200 ans. Il est formé de membres du Gewandhausorchester Leipzig et a accueilli plus de 200 musiciens à ce jour. Le Gewandhaus-Quartett est actuellement composé de Frank Michael Erben (premier violon), Conrad Suske (deuxième violon), Volker Metz (alto), Jürnjakob Timm (violoncelle) et Steffen Adelmann (contrebasse).
06:21
Bach - Concerto brandebourgeois no 4
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 4 en sol majeur (BWV 1049) de Bach, avec deux flûtes à bec et un violon en guise d’instruments solistes. Les flûtes à bec jouent un rôle de premier plan dans le deuxième mouvement du concerto, tandis que le violon domine dans les premier et troisième mouvements rapides.
06:38
Schubert - Winterreise
Le nombre impressionnant d’enregistrements et de monographies consacrés au Winterreise de Franz Schubert est un puissant témoignage de la magnificence de l’œuvre. Mais encore aujourd’hui, les spécialistes débattent à savoir si cette œuvre constitue bel et bien un cycle. En effet, ses 24 pièces – des mises en musique de poèmes de Wilhelm Müller – ont été publiées en deux phases : la première en février 1827, et la seconde en octobre 1827. Les poèmes de Müller relatent le parcours d’un jeune homme qui, après avec été rejeté, vagabonde sans destination au beau milieu de l’hiver. L’atmosphère musicale imaginée par Schubert est sombre et mélancolique. Le baryton Thomas Quasthoff interprète le cycle de Schubert, accompagné de Daniel Barenboim au piano. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Berlin, en Allemagne.
07:58
Bach - Cantata "Ich habe genug", BWV 82
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
08:23
Mon coeur brûle
René Pape incarne parfaitement la nouvelle génération de chanteurs d’opéra : d’apparence actuelle et décontractée, il a soif de nouveaux défis et témoigne d’une ouverture à l’expérimentation ambitieuse. Dans le film musical My Heart Is Burning, René Pape chante et joue divers rôles qui font étalage de l’impressionnante polyvalence de sa voix et des nombreuses facettes de sa personnalité. Réalisé par Sibylle Muth.
09:06
PIAM - Demi-finale I: Liszt et Ravel
L’héritage du réputé dénicheur de talents italien Antonio Mormone (1930-2017) se perpétue grâce au Premio Internazionale Antonio Mormone (PIAM), un concours de musique classique consacré à la relève. La première édition du concours, qui s’est déroulée dans diverses salles de Milan entre 2019 et 2021, était consacrée au piano. Josef Edoardo Mossali (Italie, 2001) y interprète Après une lecture de Dante : Fantasia quasi Sonata de Franz Liszt; la toccata tirée du Tombeau de Couperin de Maurice Ravel; et l’étude no 3 « La Campanella » des Six grandes études de Paganini de Liszt. Cette performance a été enregistrée au Teatro EDI Barrio de Milan, en février 2020.
10:00
Mahler - Symphonie no 2, 'Résurrection'
Maestro Myung-Whun Chung dirige l’orchestre et le chœur du Maggio Musicale Fiorentino, la soprano Christiane Karg et la contralto Claudia Huckle dans une performance impressionnante de la Symphonie no 2 en do mineur de Gustav Mahler, également connue sous le nom de « Résurrection ». Composée entre 1888 et 1894, cette œuvre en cinq mouvements pour orchestre complet, chœur, contralto et soprano traite de la vie, de la mort et de la résurrection. Le premier mouvement rappelle une marche funèbre, dont le caractère sombre crée un contraste frappant avec le deuxième mouvement, un ländler gracieux. Le troisième mouvement est un scherzo basé sur Des Antonius von Padua Fischpredigt, l’un des lieder de Malher dans Des Knaben Wunderhorn. Le compositeur utilise un autre poème tiré de Wunderhorn, « Urlicht » (lumière originelle), comme quatrième mouvement, dans lequel le texte et la musique sont chantés par la contralto. Le chœur fait son apparition dans la seconde partie du cinquième et dernier mouvement, pour annoncer la « Résurrection ». Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
11:27
Concours de piano Rina Sala Gallo 2022: Finalistes
Créé en 1947 par la pianiste Rina Sala Gallo et Arturo Benedetti Michelangeli, le concours de piano international Rina Sala Gallo se déroule tous les deux ans à Monza, et est aujourd’hui l’un des événements culturels les plus prestigieux de la ville italienne. Cette diffusion présente les performances des trois finalistes de la 26e édition du concours, enregistrées à la Villa Reale di Monza, en octobre 2022. Young Sun Choi (Corée du Sud, 1991) interprète la Sonate pour piano no 30 en mi majeur, op. 106, de Ludwig van Beethoven; Seunghyuk Na (Corée du Sud, 1997) propose « Oiseaux tristes » et « Alborada del gracioso », tirées de la suite en cinq mouvements Miroirs de Maurice Ravel; et Ivan Bašić (Serbie, 1996) présente la Mephisto-Valse no 1 de Franz Liszt. Choi conclut le programme au son d’Images (Livre I) de Claude Debussy.
12:29
Documentaire 2017
Ce court documentaire suit les participants du 11e Concours international de piano Franz-Liszt, présenté au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
13:12
Villa-Lobos - Quatuor à cordes no 13
L’ensemble Quarteto Radamés Gnattali interprète le Quatuor à cordes no 13 d’Heitor Villa-Lobos. Ce quatuor composé de Carla Rincón (violon), Francisco Roa (violon), Fernando Thebaldi (alto) et Hugo Pilger (violoncelle) a été fondé en 2006 et se spécialise dans la musique brésilienne et les activités éducatives. Son enregistrement de la série complète des quatuors à cordes de Villa-Lobos est une réussite majeure qui a été saluée par la presse musicale internationale. Heitor Villa-Lobos est peu connu à l’extérieur de l’Amérique latine, si ce n’est que pour ses Bachianas brasileiras. Or, ce compositeur, chef d’orchestre et éducateur tenu en haute estime dans son Brésil natal a également composé des opéras, des symphonies, des concertos, des œuvres pour piano et chœur, ainsi que 17 quatuors à cordes. Ce concert a été enregistré au Theatro Municipal de Rio de Janiero.
13:39
Weinberg - Rhapsody on Moldovan Themes, Op. 47/1
Sur une période de 19 jours, les meilleurs orchestres jeunesse au monde, dirigés par des chefs d’orchestre de renom et accompagnés de solistes virtuoses, livrent des performances inspirantes dans le cadre du Young Euro Classical. Ce festival est réputé être la plus importante plateforme pour les jeunes musiciens internationaux évoluant dans la tradition classique européenne. Découvrez certaines des performances exceptionnelles et contagieuses de l’édition 2017 de l’événement, qui comprennent des œuvres classiques de renom ainsi que des pièces de compositeurs locaux. Au programme : La forza del destino de Verdi, Meeresstille und glückliche Fahrt de Beethoven, le Concerto pour piano no 1 et Six romances de Tchaïkovski, Georgian, Mingrelian Songs de Kohji, Rhapsody on Moldavian Themes, op 47, de Weinberg, et As the Heart Soars de Wong.
14:05
Nelsons et Opolais interprètent Dvořák
Andris Nelsons et sa femme, la grande soprano Kristine Opolais, et le Gewandhausorchester de Leipzig présentent un concert consacré à Antonin Dvořák, dans lequel les mélodies cachées par le compositeur dans toutes les couches de sa musique se déploient avec des nuances tendres, chaudes et douces. Les tempos de Nelsons demeurent calmes et décontractés, permettant à la beauté omniprésente de la musique de Dvořák d’inonder le Gewandhaus. Le programme du concert débute par l’ouverture pour orchestre Othello, op. 93. Opolais interprète ensuite le « Chant à la lune » tirée de Roussalka et « Chansons que ma mère m’a apprises » tirée des Mélodies gitanes, op. 55/4, suivies par la Polonaise, « O, marno, marno to je » de Roussalka et « Dobrá! Já mu je dám!... Jak je mi? » de l’opéra Dalibor de Smetana. Le concert se termine par une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95 (« Du Nouveau Monde »). Enregistré au Gewandhaus de Leipzig en mai 2017.
15:47
Saint-Saëns - Intro et Rondo Capriccioso, Op. 28
Le Waldbühne de Berlin est l’un des plus grands et impressionnants amphithéâtres en plein air d’Europe : un décor parfait pour le concert annuel de fin d’année de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Avec environ 22 000 spectateurs, ces concerts sont énormément populaires chez les mélomanes de la musique classique. En 2006, il y avait une petite touche néerlandaise : Neeme Järvi a dirigé les fameux musiciens berlinois en présence de la violoniste néerlandaise Janine Jansen. Au programme : Nikolaï Rimski-Korsakov - « Schéhérazade » ; Edvard Grieg - « Peer Gynt », Suite No. 1, Op. 46 (en partie) ; Carl Nielsen « Aladdin », Suite pour Orchestre Op. 34 (en partie) ; Camille Saint-Saëns - « Introduction et Rondo Capriccioso » ; Jules Massenet - « Méditation » pour violon et orchestre de l’opéra « Thaïs ».
15:58
L’âge d’or
Le Ballet du Théâtre Bolchoï interprète L’âge d’or, un ballet en deux actes chorégraphié par Yuri Grigorovich. Le chorégraphe russe, également co-librettiste de l’œuvre, a été le soliste du Théâtre Mariinsky pendant 18 ans, dirigeant plus tard son ballet durant une brève période. Ses premières productions au Kirov ont été La fleur de pierre et Légende d’amour, marquant la naissance d’un nouveau chorégraphe bientôt de renommée mondiale et celle d’un nouveau courant qui influencerait pendant plusieurs années le développement du ballet en Russie. La trame narrative de L’âge d’or se déroule durant les années 1920, dans un village côtier du sud de la Russie soviétique. C’était l’époque de la Nouvelle politique économique (NEP), qui autorisait le commerce et les entreprises privées, mais faisait proliférer la criminalité et les gestionnaires douteux. Le restaurant L’âge d’or est leur repaire préféré : c’est là que la jeune danseuse Rita, qui apparaît sous le nom de Mademoiselle Margot, et son partenaire Jacques, chef d’un groupe de bandits qui était initialement nommé Yashka, s’occupent d’une clientèle mixte composée de plusieurs criminels. Pour accomplir son « travail », Yashka est aidé par d’autres bandits et par son ami Lyuska. Pendant les célébrations du festival du village, Boris, un jeune pêcheur membre d’un théâtre satirique pour la jeunesse ouvrière, fait la rencontre de Rita. Ils deviennent amoureux, ce qui déclenche une suite d’événements remplis d’intrigue et d’amours en cavale. Enregistré en 2016 au Théâtre Bolchoï de Moscou.