00:00
Verdi - La traviata
Cette production du populaire opéra La Traviata de Giuseppe Verdi a été présentée en plein air au Festival St. Margarethen en 2008 par l’Orchestre philharmonique de Slovaquie, sous la direction d’Ernst Märzendorfer. Les solistes Kristiane Kaiser, Magdalena Anna Hofmann et Stefanie Kopinits s’y produisent dans un cadre physique saisissant ayant pour toile de fond les montagnes autrichiennes. Plusieurs hommes font la cour à la riche courtisane Violetta, mais quand elle rencontre Alfredo, elle choisit de vivre une nouvelle vie avec lui. Elle échange donc Paris pour la campagne, mais son passé la poursuit : le père d’Alfredo n’approuve pas de son passé et la convainc d’abandonner son fils. Alfredo est ignorant des supplices de son père et, pensant que Violetta l’a utilisé, il est furieux contre son ancienne amante. Au final, il comprend que Violetta l’a abandonné pour qu’il soit libre, mais il est trop tard. Atteinte d’une maladie incurable, Violetta meurt dans ses bras.
02:16
Orchestre philharmonique Israël : 60e anniversaire
En 1996, l’Orchestre philharmonique d’Israël a célébré son 60e anniversaire avec un gala dirigé par les maestros Zubin Mehta et Daniel Barenboim. Cet événement musical met en vedette des solistes de renommée mondiale, notamment le violoniste chevronné Isaac Stern, les musiciens de la relève Maxim Vengerov et Gil Shaham, ainsi que Pinchas Zukerman, Shlomo Mintz et Itzhak Perlman. La soirée débute par un discours émouvant sur les débuts de l’orchestre livré par Stern. Le programme de la soirée se poursuit avec le Concerto pour deux violons en ré mineur, BWV1043 de Bach, la Symphonie no 2 de Brahms, la Passacaille pour violon, violoncelle et alto d’Halvorsen, la Sérénade no 6, K. 239 de Mozart, le Concerto en si mineur pour quatre violons et orchestre de Vivaldi et l’ouverture d’Oberon de Weber.
04:11
Beethoven – Dernières sonates, op. 109, 110 et 111
Les trois dernières sonates de Beethoven – opus 109, 110 et 111 – explorent les méandres secrets de l’âme humaine, du désespoir jusqu’à la transfiguration. Lorsqu’il les a composées, Beethoven était déjà prisonnier de sa surdité, ce qui affectait énormément son rapport aux autres et au monde. Ce contexte psychologique est exploré par le réalisateur Mariano Nante, qui plonge le pianiste Alexandre Tharaud dans un film inspiré de l’univers de Tarkovski. Tournée dans des châteaux abandonnés, sous la direction photographique de Yorgos Arvanitis, cette œuvre évoque la solitude et l’introspection, proposant un voyage intérieur en images et en musique.
05:15
Saint-Saëns - Intro et Rondo Capriccioso, Op. 28
Le Waldbühne de Berlin est l’un des plus grands et impressionnants amphithéâtres en plein air d’Europe : un décor parfait pour le concert annuel de fin d’année de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Avec environ 22 000 spectateurs, ces concerts sont énormément populaires chez les mélomanes de la musique classique. En 2006, il y avait une petite touche néerlandaise : Neeme Järvi a dirigé les fameux musiciens berlinois en présence de la violoniste néerlandaise Janine Jansen. Au programme : Nikolaï Rimski-Korsakov - « Schéhérazade » ; Edvard Grieg - « Peer Gynt », Suite No. 1, Op. 46 (en partie) ; Carl Nielsen « Aladdin », Suite pour Orchestre Op. 34 (en partie) ; Camille Saint-Saëns - « Introduction et Rondo Capriccioso » ; Jules Massenet - « Méditation » pour violon et orchestre de l’opéra « Thaïs ».
05:51
CMIM Piano 2024 - Demi-finales I: J. Izik-Dzurko
Le pianiste Jaeden Izik-Dzurko (Canada, 1999) se joint à l’ensemble du CMIM, composé de trois solistes de la section des cordes de l’Orchestre symphonique de Montréal, pour interpréter « Sostenuto assai – Allegro ma non troppo », le premier mouvement du Quatuor pour piano en mi bémol majeur, op. 47, de Robert Schumann. Cette performance a été présentée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal dans le cadre des demi-finales consacrées à la musique de chambre de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM).
06:00
Mozart – Quatuor à cordes no 19
Depuis le château de Rammenau, le Gewandhaus-Quartett interprète le Quatuor à cordes no 19 en do majeur, K. 465 de Mozart, une pièce surnommée « Dissonance » en raison de son introduction inhabituelle comprenant des notes dissonantes précédant un brillant allegro. Le Quatuor à cordes no 19 est sans doute le plus célèbre des quatuors de Mozart, et le dernier d’une série de six quatuors composés entre 1782 et 1785 en l’honneur de son ami et collègue Joseph Haydn. Fondé en 1808, le Gewandhaus-Quartett est le plus ancien quatuor au monde, se produisant sans interruption depuis plus de 200 ans. Il est actuellement composé de Frank Michael Erben (premier violon), Conrad Suske (deuxième violon), Volker Metz (alto), Jürnjakob Timm (violoncelle) et Steffen Adelmann (contrebasse).
06:32
Beethoven Concerto pour piano no 1, Symphonie no 2
À l’âge de sept ans, Martha Argerich a fait ses débuts sur scène en interprétant le Concerto pour piano no 1 en do majeur de Ludwig van Beethoven, pièce qui l’accompagnera tout au long de sa carrière. Dans ce concert présenté au Festival de Lucerne, la pianiste de renom livre sa pièce signature accompagnée par l’orchestre du Festival de Lucerne sous la direction du maestro suédois Herbert Blomstedt, qui fait ici ses débuts à la tête de l’ensemble. En plus du Concerto pour piano, l'orchestre interprète la Symphonie no 2 en ré majeur, op. 36, de Beethoven. Cette performance a été enregistrée en août 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
07:53
Veerhavenconcert 2018
Le Veerhavenconcert est un concert de musique classique en plein air présenté chaque année dans un cadre unique : les concerts se déroulent dans le port pittoresque de Rotterdam, sur une scène transparente bordée de voiliers antiques et entourée de bateaux flottant sur l’eau. L’édition 2018 du Veerhavenconcert propose un programme accessible composé d’opéras de Verdi, Ponchielli et Puccini. Maxim Emelyanchec y dirige l’Orchestre philharmonique néerlandais, le chœur Toonkunst Amsterdam, et les solistes Soojin Moon-Sebastian (soprano), Maria Riccarda Wesseling (mezzo-soprano), Paulo Ferreira (ténor) et Hawijch Elders (violon).
09:16
CMIM Piano 2024 - Finale: Jakub Kuszlik
Le pianiste Jakub Kuszlik (Pologne, 1996) interprète le Concerto pour piano n° 2 en do mineur, op. 18, de Sergueï Rachmaninov, dans le cadre de la finale de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM). Il est accompagné par l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Xian Zhang. Cette performance a été enregistrée à la Maison symphonique de Montréal.
10:02
Bach - Concertos brandebourgeois
Pendant les années où Bach était au service de la cour du Prince Léopold de Köthen, il était à la tête de son propre orchestre et on lui demandait de composer beaucoup de musique instrumentale. Cela lui a donné l’occasion d’expérimenter de nouvelles techniques et de développer son propre style instrumental. Les six Concertos brandebourgeois font partie des chefs-d’œuvre qu’il a composés pour de petits ensembles. Avec cette performance d’une bonne humeur communicative, le Freiburg Baroque Orchestra démontre bien son grand professionnalisme et le plaisir que peuvent procurer des instruments d’époque. La décision de jouer sans chef d’orchestre est tout à fait délibérée, et respecte la tradition du 18e siècle.
11:39
Fomin joue Schumann, Beethoven et Tchaïkovski
Après un récital inaugural couronné de succès en 2016, le pianiste Misha Fomin fait un retour sur les planches de la salle intimiste du Concertgebouw Amsterdam le 11 novembre 2017. Célébré par la presse locale et internationale pour sa virtuosité naturelle, la texture riche de son jeu et sa grande intelligence musicale, Fomin interprète la Fantaisie, op. 17 de Schumann, la Sonate pour piano no 30, op. 109 de Beethoven, ainsi que des œuvres de Tchaïkovski, dont les pièces « Mai », « Juin » et « Octobre » tirées des Saisons, op. 37b, et une transcription signée Liszt de la « Polonaise », tirée de l’opéra Eugene Onegin.
13:09
L'Angleterre, mon Angleterre - II
Du 28 août au 6 septembre 2015, le Festival de musique ancienne d’Utrecht a braqué les projecteurs sur England, my England. Lex Bohlmeijer anime ce documentaire en deux parties qui convie les téléspectateurs à un périple intrigant à travers l’Angleterre du Moyen Âge, de la Renaissance et de la période baroque, et crée un parallèle avec la ville d’Utrecht. Dans l’épisode 2 de la série documentaire England, my England, l’animateur René de Kam plonge dans le passé anglican de la ville d’Utrecht. Les téléspectateurs auront l’occasion de rencontrer les musiciens du festival, notamment Benjamin Bagby, Skip Sempé et The Newcastle Kingsmen, dont les membres interprètent une danse du sabre traditionnelle appelée Rapper Sword Dance dans le cadre de spectacles présentés dans les pubs de la ville.
13:29
Liszt - Concerto pour piano no 1, S. 124
Saisissante, virtuose et spectaculaire : ces adjectifs décrivent parfaitement la musique pour piano de Franz Liszt. Profitez d’une performance scintillante de son Concerto pour piano no 1 en mi bémol majeur, livrée par l’incroyable virtuose russe Daniil Trifonov, accompagné de l’Orchestre philharmonique d’Israël sous la baguette de Kent Nagano. Comme rappel, Trifonov interprète Reflets dans l’eau, tirée des cycles Images de Debussy. L’orchestre clôt ce concert livré en 2014 à l’auditorium Charles Bronfman de Tel-Aviv avec la Symphonie no 7 de Mahler.
13:51
Schubert - Ouverture Rosamunde (D. 644)
Andreas Spering dirige la Philharmonie Zuidnederland dans cette interprétation de l’ouverture de Rosamunde (D. 644) de Franz Schubert (1797-1828) Le concert a été enregistré à Muziekgebouw Eindhoven aux Pays-Bas en 2015.
14:01
Vox Luminis – Licht & Schaduw
15:06
Stravinsky - Jeu de cartes
Iván Fischer dirige le Budapest Festival Orchestra lors d’un concert enregistré à la salle de concert nationale Béla Bartók de Budapest, en 2015. Le concert commence avec l’« Ouverture sur des thèmes juifs », op. 34, de Prokofiev. Ensuite, Thomas Zehetmair est le violoniste soliste dans le Concerto pour violon no 2, op. 63, de Prokofiev. La deuxième partie du concert est consacrée à la musique de Stravinsky. Au programme, la musique composée pour le ballet Jeu de cartes (1937) et la suite no 2 de L’oiseau de feu (1919). Jeu de cartes, l’une des œuvres néoclassiques de Stravinsky, est composée de trois parties (« donnes »). La suite no 2 de L’oiseau de feu est basée sur la musique du ballet du même nom, composé pour les Ballets russes de Sergei Diaghilev et dont la première s’est tenue à Paris en 1910.
15:34
Ice Dance : Le lac des cygnes (2015)
Les Imperial Ice Stars sont 24 patineurs qui détiennent ensemble plus de 300 médailles de compétition. Adorés par le public et les critiques, ils livrent toujours des récits enchanteurs, créatifs et puissants, avec de somptueux décors, des effets spéciaux spectaculaires et d’opulents costumes. Sur la trame musicale originale du chef-d’œuvre de Tchaikovsky, les Imperial Ice Stars présentent leur interprétation de 2015 Le lac des cygnes sur glace, complétée par d’exaltantes chorégraphies du directeur Tony Mercer. « Inspiré par mes recherches sur la trame originale de Tchaikovsky et ses intentions artistiques, je souhaitais créer une interprétation plus réaliste de ce conte adoré et le transposer sur glace. Il en résulte un nouveau médium artistique : de la danse sur glace dans un contexte théâtral », explique le chorégraphe. « J’ai toujours senti que ce serait naturel de faire glisser des signes sur la glace. »
17:13
Riccardo Chailly conducts Mendelssohn
Le concert inaugural de Riccardo Chailly à titre de Kapellmeister de l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig capture à merveille l’atmosphère électrisante de cette occasion musicale unique. Le concert met à l’honneur l’œuvre de Felix Mendelssohn, qui a fondé le Gewandhaus en 1743. Ce concert comprend une performance à couper le souffle de la Symphonie no 2 de Mendelssohn, également intitulée Lobgesang, et de son dernier mouvement choral mémorable, de même que la toujours populaire ouverture Songe d’une nuit d’été du même compositeur, mettant en vedette des solistes incomparables, notamment Anne Schwanewilms et Peter Seiffert. L’Orchestre du Gewandhaus peut aujourd’hui se vanter de posséder une riche histoire de plus de 250 ans, et de figurer parmi les orchestres les plus populaires et réputés au monde.
18:47
Oeuvres pour piano de Bruckner
Le pianiste lithuanien Vadim Chaimovich (*1978) a remporté plusieurs prix dans le cadre de concours de piano internationaux, notamment au Concours Schubert de Dortmund, au Kapell International Piano Competition du Maryland, et dans le cadre de la 29e édition de la Masterplayers International Music Competition de Lugano. En carrière, Chaimovich a livré des concerts dans plusieurs pays d’Europe, au Japon et aux États-Unis, notamment dans le cadre de festivals de musique internationaux. Dans ce récital, Chaimovich propose plusieurs œuvres pour piano d’Anton Bruckner : Klavierstück en mi bémol majeur, WAB 119; Erinnerung en la bémol majeur, WAB 117; Lancier-Quadrille en do majeur nos 1, 2, 3 et 4, WAB 120; Steiermärker en sol majeur, WAB 122; Stille Betrachtung an einem Herbstabend (Méditation silencieuse un soir d’automne) en fa dièse mineur, WAB 123; la Fantaisie en sol majeur, WAB 118; et la Sonate pour piano en sol mineur, WAB 243.
19:27
The History of the Lucerne Festival
Chaque année, les plus grands maestros et les orchestres les plus réputés au monde se rendent dans la ville suisse de Lucerne pour se produire devant un public friand de musique symphonique dans le cadre du Lucerne Festival. Ce documentaire raconte l’histoire du légendaire festival, qui a été inauguré par le chef d’orchestre Arturo Toscanini en 1938, puis relancé par Claudio Abbado en 2003. Plusieurs sommités y discutent de l’histoire du Lucerne Festival : Claudio Abbado partage sa vision de l’événement, tandis que la violoncelliste Natalia Gutman et la clarinettiste Sabine Meyer, qui font partie de l’orchestre du Lucerne Festival depuis plusieurs années, offrent leurs réflexions.