00:00
Puccini - La Bohème
Eivind Gullberg Jensen dirige l’Orchestre et le Chœur de l’Opéra national d’Oslo dans une interprétation de La Bohème de Puccini. Cette production mise en scène par Stedan Herheim a été présentée à l’Opéra national de Norvège à Oslo en 2012. Les solistes sont Marita Sølberg (Mimi), Diego Torre (Rodolfo), Vasily Ladyuk (Marcello) et Jennifer Rowley (Musetta). « En transposant l’histoire de La Bohème dans un cadre contemporain, nous espérons raviver le pouvoir de suggestion exceptionnel et la grande importance de l’œuvre à l’époque de sa création », explique le metteur en scène Stefan Herheim. L’histoire, inspirée du récit autobiographique Scènes de la vie de Bohème d’Henry Murger, a été réduite à l’essentiel par Puccini, qui a ainsi créé un récit trépidant comprenant certaines des plus belles arias jamais créées par le compositeur.
02:00
Les Petits Chanteurs de Vienne
Le chœur prestigieux « Wiener Sängerknaben » (les Petits Chanteurs de Vienne) a été créé il y a plus de 500 ans. Au fil de sa longue histoire, le chœur a travaillé avec de grandes figures de l'histoire de la musique, dont Joseph Haydn et Franz Schubert. De plus, personne d’autre que Wolfgang Amadeus Mozart a composé des pièces pour le chœur. Le 27 janvier 2006 – le 250e anniversaire de la naissance de Mozart – les Petits Chanteurs de Vienne ont rendu honneur à Mozart avec un concert dans la Cathédrale Saint-Étienne de Vienne. Le chœur a été assisté par l’Orchestre symphonique de la radio de Vienne sous la direction de Bertrand de Billy, ainsi que la soprano française Sandrine Piau.
03:09
Galaxymphony Strikes Back
L’Orchestre symphonique national du Danemark nous convie à un spectaculaire périple symphonique dans l’espace. Sous la direction du chef d’orchestre néerlandais Antony Hermus, l’orchestre propose une sélection musicale tirée des meilleurs films de science-fiction, tels qu’Avatar, Gravity, Interstellar et La Guerre des étoiles, signée par de grands compositeurs tels que John Williams, Hans Zimmer et James Horner. Les solistes de ce concert sont Tuva Semmingsen, Christine Nonbo Andersen, Steffen Bruun et David Bateson. Cette performance a été enregistrée au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en août 2021.
04:36
Mozart - Concerto pour violon n° 3
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Grimal est ici accompagné par Les Dissonances pour interpréter comme soliste le Concerto pour violon no 3 en sol majeur, K. 216, de Wolfgang Amadeus Mozart. À l’exception du premier, tous les concertos pour violon de Mozart ont été composés en 1775, à l’époque où il était premier violon de l’Orchestre de la Cour de Salzbourg. Son Concerto pour violon no 3 s’ouvre avec un thème emprunté par le compositeur à l’aria « Aer tranquillo » de son opéra récent Il re pastore. Dans le magnifique adagio, les cordes sont mises en sourdine et les hautbois font place aux flûtes, qui résonnent uniquement dans le deuxième mouvement, et le mouvement final s’apparente à une danse. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
05:43
CMIM Piano 2024 – Demi-finales I: Carter Johnson
Le pianiste Carter Johnson (Canada, 1996) se joint à l’ensemble du CMIM, composé de trois solistes de la section des cordes de l’Orchestre symphonique de Montréal, pour interpréter « Sostenuto assai – Allegro ma non troppo », le premier mouvement du Quatuor pour piano en mi bémol majeur, op. 47, de Robert Schumann. Cette performance a été présentée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal dans le cadre des demi-finales consacrées à la musique de chambre de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM).
06:00
Rolando Villazón - One Night in Berlin
Le ténor franco-mexicain Rolando Villazón (1972) et la Südwestdeutsche Kammerphilharmonie Konstanz livrent un concert haut en couleur à la Philharmonie de Berlin, en 2006. Villazón interprète divers airs d’opéra italien signés Verdi, Rossini, Donizetti, Cilea et Mascagni, ainsi que des œuvres françaises de Massenet, notamment Ô Souverain, ô Juge, ô père, tiré du Cid, et Toute mon âme est là! Pourquoi me réveiller, ô souffle du printemps, tiré de Werther. Ses interprétations fascinantes en compagnie d’opéras et d’orchestres de renommée mondiale ont permis à Villazón de s’imposer comme l’une des plus grandes vedettes de la musique classique et l’un des ténors les plus importants de notre époque. Le quotidien The Times a même qualifié Villazón de « plus charmant des divos d’aujourd’hui ».
07:00
Œuvres de Haydn, Mozart et Saint-Saëns
Le violoncelliste et chef d’orchestre italien Enrico Bronzi dirige l’Orchestra da Camera di Perugia lors d’un concert intime enregistré dans la magnifique Basilique San Pietro de la ville italienne de Pérouse, le 27 septembre 2021. Le programme s’ouvre avec une interprétation de l’ « Andante cantabile » de la Symphonie n° 13 en ré majeur, Hob. I:13, de Joseph Haydn, interprétée par Bronzi et l’Orchestra da Camera di Perugia. Ensuite, les pianistes italiens Linda Di Carlo et Marco Scolastra se joignent à l’orchestre pour interpréter le Concerto pour deux pianos et orchestre en mi bémol majeur, K. 365, de Wolfgang Amadeus Mozart. Le programme se poursuit avec l’aria « Ch’ol mi scordi di te? ... Non temer, amato bene », K. 505, de Mozart, interprétée par Marina Comparato. La mezzo-soprano italienne clôt le concert avec l’aria « Mon cœur s’ouvre à ta voix », tirée de l’opéra Samson et Dalila de Camille Saint-Saëns, accompagnée par Di Carlo au piano.
07:56
Mozart - Concerto pour piano no 25 & Symphonie 35
Stefano Conticello dirige l’orchestre du Teatro Comunale di Bologna lors de ce programme consacré à Wolfgang Amadeus Mozart. Le concert s’amorce avec l’ouverture de son populaire opéra La Flûte enchantée. Elle est suivie du Concerto pour piano n° 25 en do majeur, K. 503, avec le soliste Maurizio Baglini. Il s’agit de l’un des 12 grands concertos pour piano que Mozart a composés entre 1784 et 1786. Le programme est achevé par la Symphonie n° 35 en ré majeur, K. 385, également connue sous le nom de « Symphonie Haffner ». L’œuvre a été commandée à Mozart en 1782 par la famille Haffner de Salzbourg, reconnue pour ses nombreux hommes d’affaires et philanthropes éminents, à l’occasion de l’anoblissement de Sigmund Haffner. Mozart a d’abord écrit une sérénade avant de la transformer en symphonie quelques mois plus tard : la « Symphonie Haffner ». Cette interprétation a été enregistrée au Teatro Comunale di Bologna, en Italie.
08:59
CMIM Piano 2024 – Première épreuve: Derek Wang
Derek Wang (États-Unis, 1998) interprète Fantaisie no 4 en do mineur, K. 475, de Wolfgang Amadeus Mozart; les Trois burlesques, op. 8c, de Béla Bartók; et Réminiscences de Don Juan, S. 418, de Franz Liszt dans le cadre de la première ronde de l’édition 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM), entièrement consacrée au piano. Cette performance a été enregistrée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
10:02
Memory of a Concert
En 2006, Gidon Kremer et Martha Argerich ont entrepris une tournée où ils interprétaient des solos et des duos signés Bartók et Schumann. Le documentaire Memory of a Concert capture le dernier concert de la série, présenté à la Philharmonie de Berlin. On y retrouve une performance solo rare d’Argerich ainsi que les commentaires personnels et touchants de Kremer. Le programme du concert comprend notamment la Sonate pour violon no 1, op. 10, la Sonate pour violon no 2, op. 121, et Kinderszenen, op. 15 de Schumann, et la Sonate pour violon no 1, Sz 75, et la Sonate pour violon no 2, Sz 76 de Bartók.
11:01
Concert au piano-pédalier
Le pianiste Roberto Prosseda n’a pas seulement les mains véloces… Ses pieds sont tout aussi agiles! Prosseda est spécialiste du piano-pédalier, un instrument similaire à l’orgue classique dont les pédales actionnent les notes les plus graves du clavier. Descendant du clavicorde à pédalier et du clavecin à pédalier, le piano-pédalier a été remis au goût du jour par Prosseda en 2011, lorsque le musicien a livré la première performance moderne du Concerto pour piano-pédalier et orchestre de Charles Gounod. Parmi les autres pièces pour piano-pédalier de son répertoire se trouvent des compositions de Robert Schumann, d’Alexandre-Pierre-François Boëly et de Charles-Valentin Alkan, de même que des pièces plus contemporaines signées Ennio Morricone, Michael Nyman et Cristian Carrara. Sur les ondes de Stingray Brava, Prosseda interprète 4 Skizzen für den Pedalflügel 6 Studien in kanonischer Form für den Pedalflügel, Op. 56 de Schumann, Fantaisie et Fugue Op. 18 no 6 de Boëly, et Benedictus pour piano-pédalier en ré mineur, Op. 54 d’Alkan.
11:59
Beethoven - Concerto pour piano no 3, op. 37
Le chef d’orchestre Eduard Topchjan est à la tête de l’Orchestre philharmonique national d’Arménie dans cette performance du Concerto pour piano no 3 en do mineur, op. 37, de Ludwig van Beethoven. La pianiste d’origine russe Maya Oganyan (2005*) est ici la soliste, et fait ses débuts avec l’orchestre. Le Concerto pour piano no 3 a été composé en 1800, et a été joué pour la première fois trois ans plus tard par Beethoven lui-même. Comme les deux autres œuvres majeures du compositeur – la Symphonie no 5 et la Sonate pour piano no 8, dite « Pathétique » – ce concerto pour piano est composé dans la clé de do mineur, ce qui contribue à son caractère orageux. Comme rappel, Oganyan propose Der Bote (Le messager) du compositeur ukrainien Valentin Silvestrov. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Aram Khachaturian de Yerevan, en Arménie, en 2021.
12:49
IVC 2021 - Finale: Schubert, Ullmann et autres
Le baryton-basse Matthias Hoffmann (Autriche, 1991) et la pianiste Lisa Ochsendorf (Allemagne, 1991) interprètent « Il modo di prender morale », tirée de Drei Lieder, op. 83, D. 902, de Franz Schubert; « Le faune », tirée des Fêtes galantes II, L. 114, de Claude Debussy; « Du alte Ananasbirne », tirée de Dreizehn Lieder de Miroslav Srnka; Simeons lofzang, RC 120, d’Alphons Diepenbrock; Odins Meeresritt, op. 118, de Carl Loewe; « Nach dem Gewitter », tirée de Acht Lieder, op. 5, d’Alexander von Zemlinksy; « L’heure exquise », tirée des Sept chansons grises de Reynaldo Hahn; « Silent noon », tirée de The house of life de Ralph Vaughan Williams; « Ich mag euch alle nicht », tirée de Neue Alexanderlieder de Wolfgang Rihm; « Betrunken », tirée de Liederbuch des Hafis, op. 30, de Viktor Ullmann; et Belsazar, op. 57, de Robert Schumann dans le cadre de la ronde finale de l’édition 2021 du concours de chant annuel International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée sur les planches du théâtre Verkadefabriek de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.