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00:00
Donizetti - Don Pasquale
G02:02:002021HD
Frédéric Chaslin dirige l’Orchestre symphonique région Centre-Val de Loire/Tours et le Chœur de l’Opéra de Tours dans cette représentation de l’opéra-bouffe Don Pasquale (1842) de Gaetano Donizetti. Présentée pour la première fois en 1843 à la Salle Ventadour à Paris avec une distribution des chanteurs les plus célèbres de l’époque, l’œuvre connaît un succès immédiat et est présentée dans les plus prestigieux opéras d’Europe moins d’un an après sa création. Le livret est en grande partie rédigé par Giovanni Ruffini, ainsi que par le compositeur lui-même. Don Pasquale, vieux et riche célibataire endurci, est outré d’entendre que son neveu Ernesto désire épouser Norina, une charmante veuve infortunée. Don Pasquale décide donc de le punir en le privant de son héritage et en prenant Norina pour épouse. Cependant, son ami Malatesta et Norina élaborent un plan pour contrecarrer les plans du vieux garçon en organisant un mariage fictif. Parmi les solistes, comptons notamment Laurent Naouri, Florian Sempey, Sébastien Droy, Anne-Catherine Gillet et François Bazola. Cette prestation a été enregistrée à l’Opéra de Tours, en 2021.
02:02
Gala from Berlin 1998 - Songs of Love and Desire
G01:30:001998HD
L’amour est le thème central de l’édition 1998 du gala du Nouvel An de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Puisque peu de compositeurs ont su décrire l’amour en musique comme Mozart et Verdi, maestro Claudio Abbado a sélectionné deux des plus grands interprètes actuels de leur œuvre, Christine Schäfer et Simon Keenlyside, comme têtes d’affiche de ce gala traditionnel. L’Argentin Marcelo Álvarez – que plusieurs comparent à un jeune Placido Domingo – livre des extraits de grandes œuvres du répertoire ténor, et la prima donna italienne Mirella Freni clôt la soirée avec une performance à couper le souffle de la scène de la lettre de l’opéra Eugène Onéguine de Tchaïkovski.
03:33
Mozart - Concerto pour piano no 25 & Symphonie 35
G01:02:002021HD
Stefano Conticello dirige l’orchestre du Teatro Comunale di Bologna lors de ce programme consacré à Wolfgang Amadeus Mozart. Le concert s’amorce avec l’ouverture de son populaire opéra La Flûte enchantée. Elle est suivie du Concerto pour piano n° 25 en do majeur, K. 503, avec le soliste Maurizio Baglini. Il s’agit de l’un des 12 grands concertos pour piano que Mozart a composés entre 1784 et 1786. Le programme est achevé par la Symphonie n° 35 en ré majeur, K. 385, également connue sous le nom de « Symphonie Haffner ». L’œuvre a été commandée à Mozart en 1782 par la famille Haffner de Salzbourg, reconnue pour ses nombreux hommes d’affaires et philanthropes éminents, à l’occasion de l’anoblissement de Sigmund Haffner. Mozart a d’abord écrit une sérénade avant de la transformer en symphonie quelques mois plus tard : la « Symphonie Haffner ». Cette interprétation a été enregistrée au Teatro Comunale di Bologna, en Italie.
04:35
Mozart - Symphonie no 29 en la majeur, KV. 201
G01:19:001991HD
L’Orchestre philharmonique de Berlin, sous la baguette de maestro Claudio Abbado, présente la toute première édition de l’Europakonzert à Prague, en 1991. Ce concert marque le début d’une tradition visant à célébrer la création de l’orchestre, le 1er mai 1882, par un concert annuel présenté dans une ville européenne qui revêt une certaine importance culturelle. Les solistes de cette première édition sont la soprano Cheryl Studer et le pianiste Bruno Canino, et le programme comprend plusieurs œuvres de Mozart, notamment l’ouverture et différents arias tirés de l’opéra Don Giovanni, sa Symphonie no 29 (K. 201), l’aria de concert pour soprano, piano obligato et orchestre Ch'io mi scordi di te? (K. 505) et la Symphonie no 35 (K. 385), surnommée Haffner.
05:54
CMIM Piano 2024 - Demi-finales I: Antonio C. Guang
G00:05:002024HD
Le pianiste Antonio Chen Guang (Chine, 1994) se joint à l’ensemble du CMIM, composé de trois solistes de la section des cordes de l’Orchestre symphonique de Montréal, pour interpréter « Sostenuto assai – Allegro ma non troppo », le premier mouvement du Quatuor pour piano en mi bémol majeur, op. 47, de Robert Schumann. Cette performance a été présentée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal dans le cadre des demi-finales consacrées à la musique de chambre de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM).
06:00
l’Octuor de Beethoven et la Sérénade de Dvořák
G00:54:001990HD
Le Berliner Philharmoniker – l’Orchestre philharmonique de Berlin – est régulièrement nommé parmi les meilleurs orchestres au monde. En 1990, ses membres se sont réunis pour interpréter une série de splendides pièces de musique de chambre, notamment l’Octuor en mi bémol majeur de Beethoven et la Sérénade en ré mineur de Dvořák. Ces deux œuvres ont été composées pour instruments à vent, bien que Beethoven ait remanié et étendu son Quatuor à cordes no 1 pour cette composition. Cette performance a été enregistrée au célèbre Jaspis-Hall, salle située directement à côté de Sanssouci, le palais d’été de Frédéric le Grand.
06:54
Shusha Renaissance (2023)
G00:52:002023HD
“Shusha, the Renaissance” is a musical journey featuring pianist Murad Huseynov. The city of Shusha is often considered the cradle of Azerbaijan's music and poetry and one of the leading centres of the Azerbaijani culture, having been declared the cultural capital of Azerbaijan in January 2021. On the program are the following works: Fikret Amirov’s (1922-1984) Twelve Miniatures for Piano Solo: I. Ballade - II. Ashigsayagi – III. Nocturne – IV. Humoresque – V. Lyrical Dance – VI. Hunting - VII. Lullaby – VIII. Waltz – IX. Barcarolle – X. Toccata – XI. Elegy – XII. March; Adil Babirov’s (1934-2021) ‘s Prelude & Scherzo; Gara Garayev’s (1918-1982) Sonatine: I. Allegro – II. Moderato assai – III. Vivo ; Tofik Kouliyev’s (1917-2000) ‘Gaytagi’ and F. Amirov’s Romantic Sonata: I. Allegro energico - II. Andante espressivo - III. Allegro non troppo). This performance is filmed in Shusha in October 2023 and in the Heydar Aliyev Center, Baku, in December 2023. Written and directed by Michel Swierczewski.
07:47
Œuvres pour luth de J. S. Bach
G01:03:002017HD
Le luthiste français Thomas Dunford interprète une série d’œuvres pour luth de J. S. Bach dans ce concert de musique de chambre intimiste enregistré au Concertgebouw de Bruges, en Belgique, en 2017. Le programme comprend la Suite pour luth en sol mineur, BWV 995; la Suite pour violoncelle solo en sol majeur (arr. pour luth), BWV 1007; et la chaconne tirée de la Partita pour violon solo en ré mineur (arr. pour luth), BWV 1004. Né à Paris, Thomas Dunford (1988*) a découvert le luth à l’âge de neuf ans. Il a étudié au Conservatoire de Paris et à la Schola Cantorum de Bâle, et a participé à plusieurs classes de maître aux côtés de luthistes de renom, notamment Rolf Lislevand et Julian Bream. Il s’est produit dans le cadre des festivals européens les plus prestigieux, en solo comme au sein d’ensembles.
08:50
CMIM Piano 2024 - Demi-finales II: Arisa Onoda
G01:13:002024HD
La pianiste Arisa Onoda (Japon, 1996) interprète la Sonate en sol majeur, Hob. XVI:40, de Joseph Haydn; Mzizaakok Miiniwaa Mzizaakoonsak (Taons et mouches à chevreuil) de Barbara Assiginaak; la transcription de Guido Agosti de L’Oiseau de feu d’Igor Stravinsky (Danse infernale, Berceuse et Finale); et la Sonate n° 3 en si mineur, op. 58, de Frédéric Chopin dans le cadre du récital solo des demi-finales de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM). Cette performance a été enregistrée à la Salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
10:04
Le violon à Naples – Cailò et ses disciples
G00:52:002019HD
Vers 1700, à Naples, quiconque aspirait à faire carrière comme violoniste devait composer avec la figure monumentale de Gian Carlo Cailò. Ce virtuose travaillait pour la chapelle royale et enseignait dans quatre conservatoires. Une seule de ses sonates a été conservée, ce qui a inspiré la jeune violoniste vedette néerlandaise Eva Saladin, ainsi que Daniel Rosin au violoncelle et Johannes Keller au clavecin, à construire un programme autour de Cailò et de ses brillants élèves, Mascitti et Piani.
10:57
Misha Enzovoort
G01:06:002013HD
Misha Mengelberg, l’oubli a commencé son œuvre. Il attend un taxi qu’il n’a pas commandé pour aller à un concert qu’il n’aura pas lieu. Dans ce film, le documentariste Cherry Duyns suit le pianiste Misha Mengelberg lors de sa dernière tournée internationale avec son ensemble ICP (Instant Composers Pool). Depuis quelques années, le chef d’orchestre, compositeur et pianiste est en proie à la démence. Duyns suit cette icône du jazz européen lors d’une semaine de concerts données au club de jazz londonien Vortex : en raison de sa santé déclinante, il s’agit sans doute de ses derniers concerts à l’étranger. Les membres du groupe se préparent à dire adieu à Mengelberg, avec qui ils ont joué pendant des décennies. Faire de la musique, c’est comme respirer pour Mengelberg, mais maintenant qu’il est à couteaux tirés avec son cerveau, la question se pose de savoir jusqu'à quand il pourra continuer à jouer avec son ensemble ICP. Duyns se renseigne discrètement sur cette question auprès des membres du groupe : Misha, ne doit-il pas être protégé contre lui-même ? L’un d’entre eux répond résolument : non. Le fait que Mengelberg est toujours sur scène avec son ensemble, malgré sa maladie, correspond à son esthétique : tous peuvent participer. Il aime le chaos et la folie. Dans des éclairs de lucidité, Mengelberg dit vertement ce qu’il pense de ses confrères compositeurs comme John Cage (« de la musique assez hostile » et Chopin (« terriblement ennuyeux »). Dans un moment ludique, il joue du piano avec sa canne. Pourtant, une question importante se pose : l’ensemble pourra-t-il continuer à exister sans son pivot ?
12:03
Tchaïkovski - Symphonie no 1 en sol mineur, op. 13
G00:48:002022HD
Conrad van Alphen dirige Sinfonia Rotterdam lors d’une interprétation de la Symphonie no 1 en sol mineur (op. 13), surnommée « Rêves d’hiver », de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Il s’agit de la première symphonie créée par le jeune compositeur à la suite de plusieurs œuvres orchestrales plus courtes. À l’époque, durant l’été, il avait montré une partition incomplète à ses anciens professeurs, Anton Rubinstein et Nikolai Zaremba, qui avaient beaucoup critiqué son travail. Après d’importantes modifications, la symphonie entière a été présentée en première en 1868. Toujours insatisfait du résultat, Tchaïkovski procède à de nouvelles révisions en 1874. En plus de la baptiser « Rêves d’hiver », le compositeur a également donné des titres descriptifs aux deux premiers mouvements. Cette interprétation a été captée au centre De Doelen de Rotterdam (Pays-Bas), en septembre 2022.
12:51
Beethoven - Concerto pour piano no 4, op. 58
G00:39:002007HD
Pour célébrer son 65e anniversaire en 2007, le pianiste Daniel Barenboim s’est offert le cycle des concertos pour piano de Ludwig van Beethoven. Enregistré en direct du Klavier-Festival Ruhr, en Allemagne, en mai 2007, ce concert témoigne d’une lecture très personnelle et inhabituelle de la musique de Beethoven, et du dévouement de longue date de Barenboim envers le compositeur. Les chefs-d’œuvre de Beethoven sont au cœur du répertoire de Barenboim depuis le début de sa carrière. Simultanément maestro et pianiste, il dirige ici la Staatskapelle Berlin dans une performance du Concerto pour piano no 4 en sol majeur, op. 58. Bien que les concertos solos étaient traditionnellement introduits par l’orchestre, Beethoven a laissé au soliste le soin d’ouvrir ce concerto pour piano avant l’intervention de l’orchestre, une idée ensuite adoptée par Wolfgang Amadeus Mozart dans son Concerto pour piano no 9.
13:31
IVC 2019 - Finale: Schubert, Schumann et al.
G00:32:002019HD
La soprano Harriet Burns (Royaume-Uni, 1989) et le pianiste Ian Tindale (Royaume-Uni, 1990) interprètent Verklärung (D. 59) de Franz Schubert; Er ist gekommen in Sturm und Regen (op. 12, no 2) de Clara Schumann; « L’heure exquise », extrait des Chansons grises de Reynaldo Hahn; « Le printemps », des Douze rondels de Hahn; « Herzeleid », tiré des Sechs Gesänge (op. 107) de Robert Schumann; « Le corbeau et le renard », des Trois fables d’André Caplet; Die Liebende schreibt (RC 20) par Alphons Diepenbrock; « Seranilla de la zarzuela », de A Spanish liederbooklet par Judith Weir; Renouncement de Muriel Herbert; et « Waldmädchen », des Eichendorff-Lieder de Hugo Wolf, lors de la finale du Concours vocal international 2019 – Duo de lied. Cette performance a été captée au Theater aan de Parade à Bois-le-Duc (‘s-Hertogenbosch), aux Pays-Bas.
14:03
Donizetti - Lucia di Lammermoor
PG02:18:002021HD
Le chef d’orchestre italien Speranza Scappucci dirige l’orchestre Philharmonia Zürich et le chœur de l’Opernhaus Zürich dans une performance de l’opéra tragique Lucia di Lammermoor (1835) de Gaetano Donizetti. Le libretto est signé Salvatore Cammarano d’après le roman La Fiancée de Lammermoor de Sir Walter Scott. Campé dans l’Écosse du 17e siècle, l’opéra suit l’histoire de Lucia, qui s’éprend d’Edgardo, l’ennemi juré de sa famille. Lucia se voit alors forcée par son frère Enrico d’épouser un homme qu’elle n’aime pas, ce qui mène la jeune femme à la folie. La célèbre « scène de folie » de Lucia, qui comprend l’aria hautement technique « Il dolce suono », est ici interprétée par la soprano colorature Irina Lungu, qui fait étalage de prouesses vocales exceptionnelles. Composée à l’origine par Donizetti, la scène de folie de Lucia est accompagnée par un harmonica de verres, plongeant la scène dans une atmosphère surnaturelle, d’une beauté entêtante. Les solistes de cette performance livrée en 2021 à l’Opernhaus de Zürich, en Suisse, comprennent Massimo Cavalletti (Enrico Ashton), Piotr Beczała (Edgardo di Ravenswood), Andrew Owens (Lord Arturo Bucklaw), Oleg Tsibulko (Raimondo Bidebent), Roswitha Christina Müller (Alisa) et Iain Milne (Normanno).
16:21
Monteverdi - Vespro della beata vergine
01:27:002010HD
Vers 1600, Claudio Monteverdi, l’un des plus grands compositeurs de la période baroque, a écrit une œuvre pour chœur et solistes mélangeant l’ancien et le moderne – des madrigaux et des compositions liturgiques, par exemple. Cette combinaison s’est avérée très réussie ; elle est devenue le standard dans tous les genres religieux de la période baroque, dont l’oratorio, la cantate et la passion. Plus tard, cette approche a également été utilisée dans les opéras. Un bel exemple de cette combinaison de styles chez Monteverdi est « Vespro della Beate Vergine » (« Vêpres de la Vierge » ou plus simplement « Les Vêpres de 1610 »). Solistes: Soloists: Dorothee Blotzki-Mields, Katharine Fuge, Mark Padmore, Jan Kobow, Furio Zanasi, Dominik Wörner.
17:48
Stravinsky - Symphonie en trois mouvements
G00:22:002008HD
Sir Simon Rattle dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin dans le cadre de l’édition 2008 de l’Europakonzert, présentée dans la célèbre salle du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Depuis 1991, l’Europakonzert célèbre chaque année la fondation de la Philharmonie de Berlin, le 1er mai 1882, par un concert dans une ville européenne qui revêt une certaine importance culturelle. Ce concert débute par une interprétation exceptionnelle de la Symphonie en trois mouvements de Stravinsky.
18:11
Rachmaninov - Concerto pour piano n° 4, op. 40
G00:27:002017HD
Fabio Luisi dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark lors d’une puissante performance tirée des célébrations en l’honneur du 150e anniversaire du compositeur national du Danemark, Carl Nielsen. Aux côtés de l’ironique Symphonie no 6 de Nielsen, le concert présente la pianiste française de renommée mondiale Lise de la Salle en tant que soliste du Concerto pour piano no 4 de Rachmaninov. Ce concerto méconnu a disposé de trois versions distinctes pendant que le compositeur était encore vivant, et il est caractérisé par son mouvement chromatique audacieux et ses qualités évoquant le jazz. Luisi et de la Salle possédaient déjà de l’expérience avec ce morceau, car ils l’avaient interprété et enregistré ensemble auparavant. Cette performance a été captée au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2017.
18:39
Mozart - Quintette pour piano et vents, K. 452
G00:25:002022HD
Luca Vignali (hautbois), Angelo De Angelis (clarinette), Carmine Pinto (cor), Eliseo Smordoni (basson) et Linda Di Carlo (piano) interprètent le Quintette pour piano et vents en mi bémol majeur, K. 452, de Wolfgang Amadeus Mozart. La première de l’œuvre a été présentée le 1er avril 1784 au Burgtheater de Vienne, mettant en vedette le compositeur lui-même au piano. Quelques jours après la première, Mozart écrivait à son père, Léopold : « Moi-même, je le tiens pour ce que j’ai encore fait de mieux dans ma vie. ». Le quintette se distingue par son instrumentation inhabituelle, qui a posé un défi au compositeur, car « le recours aux vents seuls, par opposition à une utilisation en paire, pose des problèmes d’harmonie ». Mozart a donc exploré de nombreuses combinaisons d’instruments pour produire différentes sonorités et utilisé des phrases et des motifs courts pour dynamiser l’œuvre. Cette performance a été enregistrée à l’Auditorium Santa Cecilia de Pérouse, le 23 juin 2022.
19:04
Schumann - Novellettes, op. 21
G00:48:002021HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète Novelletten, op. 21, de Schumann, un cycle de huit pièces pour piano qui sont souvent interprétées individuellement. Cette œuvre dédiée au pianiste Adolph Henselt a été composée entre janvier et avril 1838, environ au même moment que Kinderszenen, op. 18, et Kreisleriana, op. 16. Novelletten est le plus important, mais le moins connu des cycles pour piano de Schumann. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
19:53
IVC 2021 Demi-finale: Schönberg, Britten et autres
G00:36:002021HD
Le baryton Arvid Fagerfjäll (Suède, 1991) et la pianiste Hikaru Kanki (Japon, 1993) interprètent An mein Herz, D. 860, de Franz Schubert; « Die Aufgeregten » tirée de Sechs Lieder, op. 3, d’Arnold Schönberg; « A Poison Tree » tirée de The Red Cockatoo And Other Songs de Benjamin Britten; Vermeer's gold de Bart Visman; « La mer est plus belle » tirée des Trois mélodies de Paul Verlaine, L. 81, de Claude Debussy; Prison, op. 83, no 1, de Gabriel Fauré; et « Die Geister am Mummelsee » tirée de Mörike-Lieder de Hugo Wolf dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
20:30
Tchaïkovski - Iolanta
G01:49:002012HD
L’opéra « Iolanta », une œuvre tardive de Tchaïkovski, a été créé en 1892. L’opéra regroupe tous les éléments de l’art du compositeur russe : de belles mélodies, une structure claire et une passion sincère sous toutes sortes de formes. Cette production du Teatro Real de Madrid (2012) faisait partie d’un double programme, présentant « Iolanta » de Tchaïkovski et « Perséphone » de Stravinsky. Les deux œuvres représentent un idéal de beauté, de poésie et d’espoir. La progression de l’obscurité à la lumière sert de rite de passage, transformant l’attitude existentielle des personnages principaux. Chef d'orchestre: Teodor Currentzis. Solistes: Ekaterina Scherbachenko (Iolanta), Alexej Markov (Robert), Pavel Cernoch (Vaudémont), Dmitry Ulianov (King René), Willard White (Ibn-Hakia), Vasily Efimov (Alméric), Pavel Kudinov (Bertrand), Ekaterina Semenchuk (Marta), Irina Churilova (Brigita) & Letitia Singleton (Irina Churilova) Interprètes: Pequeños Cantores et Chœurs et Orchestre de Teatro Real.
22:19
Schubert - Symphonie no 8 en si mineur, D. 759
G00:24:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 8 en si mineur, D. 759, de Franz Schubert. Schubert a commencé cette œuvre en 1822, mais en a seulement achevé les deux premiers mouvements, d’où son surnom de Symphonie inachevée. Le premier mouvement, l’allegro moderato, affiche des couleurs sombres et mystérieuses, qui offrent un contraste saisissant au magnifique deuxième mouvement, l’andante con moto en mi majeur. Schubert n’a composé que quelques mesures du troisième mouvement, un scherzo, en partition complète. Nul ne sait pourquoi le compositeur n’a jamais terminé cette symphonie, mais plusieurs théories circulent. Malgré tout, cette pièce figure parmi les compositions les plus populaires de Schubert. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la musique de Paris, en France, en 2013.
22:43
Concert mexicain – Première partie
G00:33:002019HD
Anabel de la Mora est accompagnée par l’Orquesta Sinfonica de Minería sous la direction de Raúl Delgado dans un programme entièrement consacré aux compositeurs mexicains. La première partie du concert comprend Angelus de Miguel Bernal Jiménez, Dime que sí d’Alfonso Esparza, Munequita Lina de María Grever, Intermezzo de Atzimba de Ricardo Castro, Besos robados de Jorge del Moral et Bésame mucho de Consuelo Velázquez. Enregistré à l’Academia de Música del Palacio de Minería, Mexico, 2019.
23:17
IVC 2021 Demi-finale: Debussy, Messiaen et autres
G00:42:002021HD
La soprano Sara Gouzy (France, 1991) et la pianiste Seri Dan (Corée du Sud, 1992) interprètent « Chevaux de bois » tirée des Ariettes oubliées, L. 63, de Claude Debussy; An den Mond, op. 57, no 3, D. 193, de Franz Schubert; « Le collier » tirée des Poèmes pour Mi d’Olivier Messiaen; « Margaritki » tirée des Six Romances, op. 38, de Sergueï Rachmaninov; « Quelle aventure! » et « La reine de cœur » tirées de La courte paille de Francis Poulenc; Vermeer’s gold de Bart Visman; et « Wie Lange schon war immer mein Verlangen » et « Ich hab in Penna einen Liebsten wohnen » tirées de Italienisches Liederbuch de Hugo Wolf dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.