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Mariken in the Garden of Earthly Delights
14A02:03:002015HD
L’opéra Mariken in the Garden of Earthly Delights, mis en musique par Calliope Tsoupaki, est basé sur la pièce Mariken van Nieumeghen (vers 1515). En cinq siècles, cette histoire ancienne n’a rien perdu de son pouvoir et fait incontestablement partie du canon de la culture néerlandaise. Cet opéra suit Mariken, jeune femme curieuse, mais vulnérable, dans son voyage vers un monde obscur. En chemin, elle rencontre des personnages intrigants, notamment une tante aux allures de sorcière, un diable séducteur et un pape inquisitorial. Cette version de l’opéra met en scène les ensembles ASKO|Schönberg et Tetraktys et les solistes Hannah Hoekstra (Mariken), Harry van der Kamp (l’oncle), Jill Feldman (la tante), Julian Podger (Moenen) et Michael Chance (le Pape), sous la direction musicale de Hernán Schvartzman. Mise en scène de Serge van Veggel et réalisation de Sonia Herman Dolz. Enregistré au Théâtre Royal de La Haye, en 2015.
02:03
L'Orchestre philharmonique de Berlin au Japon
G01:38:001994HD
Maestro Abbado nous a fait un don de taille lorsqu’il s’est produit en compagnie de l’Orchestre philharmonique de Berlin au Suntory Hall de Tokyo en 1994. La tournée japonaise de Claudio Abbado est considérée comme l’un des moments forts de sa carrière musicale, et ce concert est tout particulièrement mémorable. On trouve au programme la version originale d’Une nuit sur le mont Chauve de Moussorgski et une suite tirée de L’oiseau de feu de Stravinsky, qui contient 7 des 19 morceaux du ballet intégral. Ce concert se termine par l’une des pièces les plus populaires de Tchaïkovski, la Symphonie no 5.
03:42
Musique chorale baroque de Bach, Schütz et al.
G01:14:002020HD
L’ensemble à cinq voix Amarcord est rejoint par un alto supplémentaire et deux sopranos le temps d’un extraordinaire concert à l’église Saint-Thomas de Leipzig. Sous le nom d’Amarcordplus, les artistes vocaux offrent un programme axé sur la ville de Leipzig, qui comprend des madrigaux sacrés de Johann Hermann Schein, des motets de la collection Geistliche Chor-Music de Heinrich Schütz, ainsi que deux motets du plus célèbre des Thomaskantor, Johann Sebastian Bach. Ils interprètent aussi certaines œuvres sacrées de compositeurs contemporains moins connus, tels Philipp Heinrich Erlebach et Liebhold, ainsi que des compositions d’autres membres de la famille Bach, notamment Johann Michael et Johann Christoph. Cette performance a été captée le 1er mai 2020.
04:56
Bach - Sonata pour violin no. 3 (BWV 1005)
G01:03:002020HD
L’illustre violoniste allemande Isabelle Faust interprète la Sonate no 3 en do majeur (BWV 1005) de J. S. Bach. L'œuvre fait partie des célèbres Sonates et partitas pour violon seul du compositeur (BWV 1001-1006). La Sonate no 3 comprend une longue fugue dans laquelle Bach emploie de nombreuses techniques contrapuntiques. Faust livre une merveilleuse performance captée à l’église Saint-Thomas de Leipzig, en Allemagne, en 2020.
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 8, KV 246
G00:26:001990HD
Lors de son passage à Mannheim, Mozart a non seulement été malchanceux en amour, mais n’a pas réussi à réaliser son ambition de devenir compositeur de la cour, sans doute en raison de son approche sensée et sérieuse. Confronté à la nécessité de gagner sa vie du mieux qu’il pouvait, Mozart a commencé à composer des pièces sur commande pour quiconque pouvait le payer, notamment le Concerto pour piano no 8, commandé par la jeune Antonia Lützow, une interprète peu accomplie. Mais malgré sa simplicité, ce concerto se montre souvent sublime. Dans cet épisode, Christian Zacharias interprète le Concerto pour piano no 8, KV 246 de Mozart, accompagné du Radio-Sinfonieorchester Stuttgart sous la direction de Gianluigi Gelmetti. Ce concert a été enregistré au château de Schwetzingen, où les princes-électeurs de Mannheim passaient leurs étés à l’époque de Mozart.
06:26
Jaroussky chante Bach et Telemann
G01:22:002016HD
Le documentaire Jaroussky chante Bach et Telemann dresse le portrait d’un chanteur très spécial et de deux compositeurs d’exception. Quand Philippe Jaroussky chante des œuvres de Telemann et de Bach de sa voix angélique presque intemporelle, n’appartenant à aucune époque, il est évident que la force émotionnelle et la puissance purificatrice de la musique des deux compositeurs n’ont pas été perdues au cours des siècles. Les œuvres interprétées dans ce film sont Jesus liegt in letzten Zügen, la sinfonia tirée de Brockes-Passion, et Der am Ölberg zagende Jesus de Telemann, et la sinfonia tirée de Ich hatte viel Bekümmernis et Ich habe genug de Bach.
07:49
Mozart Symphonie no 34 et Dvořák Symphonie no 7
G01:06:002021HD
Maestro Iván Fischer dirige l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans un merveilleux programme composé d’œuvres de Wolfgang Amadeus Mozart et d’Antonín Dvořák. Le concert débute par la Symphonie no 34 en do majeur, K. 338, de Mozart. Achevée à l’été 1780, cette œuvre est la dernière symphonie composée par Mozart à Salzbourg, où il était musicien de la cour. La symphonie compte trois mouvements : le premier et le dernier sont énergiques et entraînants, tandis que le deuxième, composé pour cordes seules, est plutôt calme. Le programme se poursuit avec la Symphonie no 7 en ré mineur, op. 70, de Dvořák. Achevée en mars 1885, cette pièce a été présentée pour la première fois à Londres un mois plus tard, sous la baguette du compositeur lui-même. Comme c’est généralement le cas pour les œuvres de cette période, la symphonie présente un style sombre et dramatique, qui crée un contraste notable avec l’œuvre du compositeur. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, le 29 janvier 2021.
08:55
CMIM Piano 2024 Demi-finales II: Michelle Candotti
G01:04:002024HD
La pianiste Michelle Candotti (Italie, 1996) interprète Mzizaakok Miiniwaa Mzizaakoonsak (Taons et mouches à chevreuil) de Barbara Assiginaak; Après une lecture du Dante, fantasia quasi sonata (Années de pèlerinage, deuxième année, S. 161: no 7) de Franz Liszt; « Pavane » tirée de la Suite no 2 en ré majeur, op. 10, de George Enescu; « étude no 111 en sol mineur » tirée des Études d’Hélène de Montgeroult; et la Sonate no 7 en si bémol majeur, op. 83, de Sergueï Prokofiev dans le cadre du récital solo des demi-finales de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM). Cette performance a été enregistrée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
10:00
Brahms - Concerto pour violin & Ouverture op. 80
G00:58:002014HD
L’un des chefs d’orchestre les plus distingués de notre époque, Franz Welser-Möst, dirige l’Orchestre de Cleveland lors d’une performance mettant en vedette des œuvres de Brahms. Le concert s’amorce avec Ouverture pour une fête académique, écrite en l’honneur de l’Université de Breslau, qui décerna au compositeur un doctorat honorifique en philosophie. Ce morceau est suivi du Concerto pour violon (en ré majeur) de Brahms, décrit comme l’un des quatre grands concertos pour violon allemands par le violoniste Joseph Joachim, pour qui il a été composé. Présentée avec la soliste Julia Fischer au violon, cette performance a été captée au Severance Hall de Cleveland, États-Unis, en 2014.
10:59
Œuvres de Mendelssohn et Hensel
G01:15:002020HD
La pianiste d’exception Elena Bashkirova préside la Fondation Felix Mendelssohn-Bartholdy de Leipzig depuis octobre 2020, succédant au chef d’orchestre Kurt Masur. Dans ce concert livré à la Maison Mendelssohn de Leipzig, Bashkirova est accompagnée par la soprano Juliane Banse, le flûtiste Emmanuel Pahud, le violoncelliste Claudio Bohórquez, le clarinettiste Karl-Heinz Steffens et le pianiste Ohad Ben-Ari pour interpréter un programme de musique de chambre consacré à la musique de Mendelssohn et de sa sœur, Fanny Hensel. Le programme débute avec le Trio pour piano en ré mineur, op. 49, de Mendelssohn, et se poursuit avec les chansons « Auf dem Teich, dem regungslosen » tirée du Schilflied, op. 71, no 4; et « Der Herbstwind rüttelt die Bäume » tirée du Reiselied, op. 34, no 6, de Mendelssohn. S’en suivent trois œuvres de Hensel : Vorwurf, op. 10, no 2; Verlust, op. 9, no 10; et Sehnsucht, op. 9, no 7. Le programme se termine avec des œuvres de Mendelssohn : « Allnächtlich im Traume seh ich dich », op. 86, no 4; « Die Liebende schreibt », op. 86, no 3; « Vergangen ist der lichte Tag » tirée de Nachtlied, op. 71, no 6; Sept romances sans paroles pour piano à quatre mains (op. 62, nos 1-6, et op. 67, no 1); et Trois pièces pour clarinette, violoncelle et piano (arr. Ernst Naumann), soit le Prélude, op. 35, no 4, les Romances sans paroles, op. 53 no 2, et le Duo, op. 38 no 6. Cette performance a été enregistrée en novembre 2020.
12:14
Documentaire 2017
G00:43:002017HD
Ce court documentaire suit les participants du 11e Concours international de piano Franz-Liszt, présenté au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
12:57
Schumann - Grande Humoresque, op. 20
G00:26:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète Humoreske en si bémol majeur, op. 20, œuvre composée par Schumann en 1839 et dédiée à Julie von Webenau. Le titre de l’œuvre fait référence au sens plus ancien du mot humour, qui désignait jadis un état émotif. Schumann s’est inspiré de l’auteur romantique allemand Jean Paul, qui définit l’humour comme « une infinité de contrastes » et « la juxtaposition de la banalité et de la grandeur de l’univers », qui donne lieu à « une sorte de rire qui contient à la fois douleur et splendeur ». Humoreske n’est pas divisée en mouvements distincts, mais consiste plutôt en une pièce continue aux sections contrastantes. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
13:24
Bruch - Concerto pour violon no 1, Op. 26
G00:37:002008HD
Sir Simon Rattle dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin dans le cadre de l’édition 2008 de l’Europakonzert, présentée dans la célèbre salle du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Depuis 1991, l’Europakonzert célèbre chaque année la fondation de la Philharmonie de Berlin, le 1er mai 1882, par un concert dans une ville européenne qui revêt une certaine importance culturelle. Ce concert débute par une interprétation exceptionnelle de la Symphonie en trois mouvements de Stravinsky. Vadim Repin, l’un des artistes les plus fascinants de la scène musicale actuelle, est le soliste du Concerto pour violon no 1, op. 26, de Bruch. Le programme se termine par la Symphonie no 7 de Beethoven, dont le deuxième mouvement, l’Allegretto, a connu un succès immédiat lors de sa création, en 1813, et demeure aujourd’hui un grand favori du public.
14:02
Naples, ville des claviers - Gaetano Greco
G00:59:002019HD
Avant l’arrivée de Porpora, de Scarlatti et de Pergolesi, Gaetano Greco, l’un des compositeurs et des professeurs de musique les plus réputés de son époque, régnait en maître sur la scène musicale napolitaine. Le jeune claveciniste romain Andrea Buccarella, qui se produit également au Festival avec l’Ensemble Abchordis, combine ici les plus belles toccatas et la célèbre Ballo di Mantua de Greco à des œuvres de son élève, Francesco Durante, qui explore les derniers recoins du clavier avec sa pièce Quattro stagioni.
15:01
Triple Concerto, op. 56 & Symphonie Fantastique
G01:36:002022HD
Gianandrea Noseda dirige les forces combinées des boursiers KestonMAX de la Music Academy et du London Symphony Orchestra dans le Triple Concerto en ut majeur, op. 56 de Ludwig van Beethoven, ainsi que la Symphonie Fantastique, op. 14 de Hector Berlioz. Ce concert a été enregistré à LSO St Luke’s, Londres, le 20 novembre 2022. Le Concerto pour violon, violoncelle et piano en ut majeur, op. 56 de Beethoven, communément appelé le Triple Concerto, a été composé entre 1803 et 1804. Le choix des trois instruments solistes en fait effectivement un concerto pour trio avec piano, et c’est le seul concerto que Beethoven ait jamais achevé pour plusieurs solistes. La Symphonie Fantastique de Berlioz (Épisode de la vie d’un artiste… en cinq parties), op. 14, est une symphonie à programme écrite en 1830. Il s’agit d’une œuvre de musique à programme qui raconte l’histoire d’un artiste talentueux, plongé dans le désespoir à cause d’un amour non partagé, qui s’empoisonne avec de l’opium.
16:37
Bruckner - Symphonie nº 4
G01:15:002012HD
Lorsqu’il s’agit de créer un événement musical pour les oreilles et les yeux, la majesté monumentale des symphonies d’Anton Bruckner (1824-1896) et la vivacité exaltante du monastère de Saint-Florian forment une combinaison parfaite. C’est particulièrement le cas lorsque les performances sont captées sur pellicule de façon palpitante par un réalisateur aussi éminent que Brian Large en 2012. Bruckner a découvert durant son enfance l’orgue du monastère, où il est devenu organiste de 1845 à 1855. Welser-Möst, chef d’orchestre principal du Cleveland Orchestra et directeur musical général de l’Opéra d’État de Vienne, est un spécialiste reconnu de Bruckner qui a développé une passion pour la quatrième symphonie du compositeur – surnommée « Romantique » par son créateur – dans sa première édition rarement jouée (1888-1889). Plus élancée, dynamique et finement nuancée que la version la plus couramment jouée, cette partition est également plus audacieuse, avec ses contrastes plus marqués et ses dissonances audacieusement exposées. Performance captée au monastère de Saint-Florian en Autriche, en 2012.
17:53
Beethoven - Symphonie no 3 en mi bémol majeur
G00:56:002020HD
Maestro Herbert Blomstedt fait ses débuts à la tête de l’Orchestre du Festival de Lucerne avec une performance de la populaire Symphonie no 3 en mi bémol majeur, op. 55, communément appelée Eroica, de Ludwig van Beethoven dans le cadre de l’édition 2020 du Festival de Lucerne. Un mois à peine avant cette performance, le chef d’orchestre suédois a célébré son 93e anniversaire, mais la vitalité et la curiosité impressionnantes qu’il dégage ne trahissent nullement son âge. Ce concert a été enregistré en août 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
18:49
Beethoven - Quatuor à cordes n° 12, op. 127
G00:39:002020HD
Le réputé quatuor à cordes français Quatuor Ébène a souligné le 250e anniversaire de naissance de Ludwig van Beethoven (1770-1827) avec un projet remarquable : l’enregistrement de l’ensemble de ses seize quatuors à cordes. Pendant cinq ans, les violonistes Pierre Colombet et Gabriel Le Magadure, l’altiste Marie Chilemme et le violoncelliste Raphaël Merlin ont plongé corps et âme dans ces 650 pages de musique en feuille, couvrant trois décennies de la prolifique carrière de Beethoven. Cet effort a culminé en six concerts captivants présentés à la Philharmonie de Paris à l’automne 2020. Le Quatuor Ébène a exploré toutes les facettes des quatuors à cordes de Beethoven, du dynamisme des quatuors à cordes de l’opus 18 aux quatuors Razumovsky, Les Harpes et Quartetto Serioso (opus 59, 74 et 95) de sa période intermédiaire, jusqu’à la profondeur de ses quatuors tardifs (opus 127 à 135). Dans ce programme, le Quatuor Ébène interprète le Quatuor à cordes no 5 en la majeur, op. 18, no 5; le Quatuor à cordes no 4 en do mineur, op. 18, no 4; et le Quatuor à cordes no 12 en mi bémol majeur, op. 1. Ce concert a été enregistré à la Philharmonie de Paris, le 17 décembre 2020.
19:29
Brahms - Sonate pour violon et piano no 1, op. 78
G00:28:002013HD
Lors de ce splendide concert de 2013 à l’église de Verbier, en Suidde, le violoniste grec Leonidas Kavakos et la pianiste chinoise Yuja Wang s’unissent pour interpréter trois sonates de Johannes Brahms. Leonidas Kavakos est devenu célèbre en 1985, lorsqu’il est devenu le plus jeune musicien à remporter le premier prix du prestigieux concours Sibelius. Avec Yuja Wang, une artiste qui s’est elle aussi illustrée dès le plus jeune âge, il forme ce duo de maîtres consacré à l’interprétation de musique de chambre. Le programme comprend la Sonate pour piano et violon no 1 en sol majeur, op. 78, aussi surnommée « Regensonate », et la Sonate pour piano et violon no 2 en la majeur, op. 100, surnommée « Thuner-Sonate », un portrait des paysages paisibles du lac de Thoune, en Suisse. Il se conclut de façon enflammée et passionnée avec la Sonate pour piano et violon no 3 en ré mineur, op. 108.
19:58
Mozart - Divertimento no 11, K. 251
G00:31:002020HD
Les solistes de l’Orchestre du Festival de Lucerne présentent Divertimento no 11 en ré majeur, K. 251, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Nannerl-Septet. Le compositeur a produit cette œuvre en 1776, probablement pour souligner la fête du prénom de sa sœur Maria Anna, surnommée « Nannerl ». Ce septuor a été composé pour hautbois, deux cors, deux violons, alto et contrebasse. Ce concert a été enregistré en 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
20:30
Historical and Hysterical Guide to the Orchestra
G00:58:002018HD
Participez à un voyage dans le temps informatif et fantaisiste qui permet de découvrir à la fois le son et le contexte historique de chaque instrument d’un orchestre. Cette œuvre a été commandée et présentée en première mondiale par le Tonhalle-Orchester Zürich à l’occasion de la tenue d’un concert pour célébrer son 150e anniversaire. Elle est narrée par Aleksey Igudesman et Hyung-ki Joo, avec pour chef d’orchestre Joshua Weilerstein. Saviez-vous que les flûtes étaient autrefois faites d’os de mammouth et d’ailes de vautour, et que les timbales étaient jouées à cheval? Est-ce une coïncidence que les violoncelles ont été créés plus gros que les violons, à la même époque où le chocolat importé du Mexique faisant son entrée en Europe? Rempli de musiques originales mettant en valeur chaque instrument, de faits historiques vérifiés et des plaisanteries caractéristiques d’Igudesman et Joo, ce programme incitera le public de tous âges à en savoir plus sur l’orchestre.
21:28
In Rehearsal: Mariss Jansons
G00:55:001997HD
Mariss Jansons était l’un des plus importants chefs d’orchestre de sa génération. À titre de directeur musical de l’Orchestre philharmonique d’Oslo de 1979 à 2000, le maestro letton a fait de l’ensemble un orchestre de premier plan se produisant aux quatre coins du monde et un favori du circuit international des festivals reconnu pour ses sonorités rafraîchissantes. Sous le bâton passionné de Jansons, l’orchestre a interprété des œuvres de Dimitri Chostakovitch, de Richard Strauss, de Piotr Ilitch Tchaïkovski et de Béla Bartók. Dans cet épisode de la série In Rehearsal, Jansons et l’Orchestre philharmonique d’Oslo répètent la puissante Suite tirée du ballet-pantomime Le Mandarin merveilleux de Bartók. Les images filmées en répétition sont suivies de l’interprétation de la pièce sur les planches de l’Oslo Concert Hall.
22:23
Beethoven - Symphonie n° 5 en ut mineur, op. 67
G00:35:002015HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances interprète la Symphonie no 5 en do mineur, op. 67, de Ludwig van Beethoven, œuvre composée entre 1804 et 1808 et achevée presque au même moment que la Symphonie no 6, dite « Pastorale ». Ces deux symphonies ont été présentées pour la première fois dans le cadre d’un même concert entièrement consacré à la musique de Beethoven, le 22 décembre 1808. La Symphonie no 5 est l’une des pièces les plus connues du canon classique, avec son ouverture célèbre à quatre notes, souvent interprétée comme la manifestation musicale du « destin qui frappe à la porte ». Cette figure rhythmique revient sous différentes formes dans les trois mouvements subséquents de l’œuvre. Le deuxième mouvement est composé d’une série de variations lyriques sur deux thèmes, tandis que le troisième mouvement commence en douceur, mais se transforme avec l’arrivée retentissante des cuivres, qui reprennent le schéma rythmique du motif à quatre notes. Le troisième mouvement se poursuit sans interruption vers le quatrième, qui comprend une finale triomphante en do majeur. Cette performance a été enregistrée à la Philharmonie de Paris, en France, en 2015.
22:59
Classical:NEXT 2019 - Clarinet Factory
G00:28:002019HD
Considéré comme l’un des ensembles les plus uniques de la scène tchèque des 25 dernières années, The Clarinet Factory possède un style qui oscille entre les musiques contemporaines, classiques, jazz et world. Le groupe expérimente aussi avec la musique électronique, tant ambiante qu’axée sur la piste de danse, et ses quatre membres fascinés par les possibilités offertes par leurs instruments considèrent leur travail comme un laboratoire musical. The Clarinet Factory a composé pour le cinéma, le théâtre, le ballet et la danse contemporaine. Lors de cette performance de 2019 à Classical : NEXT!, le quartette interprète ses œuvres « Bird Song », « Husa divoká », « B-A-C-H », « Hikari », « Luda’s Dance » et « L’Amour ». The Clarinet Factory est composé de Vojtěch Nýdl (clarinette, voix), Luděk Boura (clarinette), Jindřich Pavliš (clarinette) et Petr Valášek (clarinette basse).
23:28
IVC 2021 - Demi-finale: Wolf, Debussy et autres
G00:31:002021HD
La soprano Sophia Burgos (États-Unis, 1991) et le pianiste Daniel Gerzenberg (Allemagne, 1991) interprètent Het Goud van Vermeer de Bart Visman; « Nixe Binsefuss » tirée de Mörike-Lieder et « Die Bekehrte » tirée de Goethe-Lieder d’Hugo Wolf; « C’est l’extase langoureuse » tirée des Ariettes oubliées de Claude Debussy; « Crépuscule » tirée de La chanson d’Ève de Gabriel Fauré; « Asturiana » tirée des Siete canciones populares españolas de Manuel de Falla; et « The night in Silence Under Many a Star » tirée d’Apparition de George Crumb dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.