00:00
Puccini - La Bohème
Gustavo Dudamel dirige l’orchestre et le chœur de l’Opéra de Paris dans une performance de La Bohème de Giacomo Puccini, enregistrée à l’Opéra national de Paris en 2017. Cette mise en scène signée Claus Guth souligne le talent des solistes, parmi lesquels se trouvent Nicole Car, Aida Garifullina, Atalla Ayan et Artur Ruciński. L’opéra La Bohème a été présenté pour la première fois en 1896 au Teatro Regio, en Italie. Le libretto de l’opéra se concentre sur la relation entre le jeune poète Rodolfo et la couturière Mimì. Lorsque les deux se rencontrent, c’est le coup de foudre immédiat. Mais malmenée par les dures réalités de la pauvreté et de la maladie, la flamme qui consomme les amants s’éteindra-t-elle? La force brute de leur passion naissante résistera-t-elle aux épreuves que la vie met sur leur chemin?
02:01
Mahler - Das Lied von der Erde
Le chef d’orchestre russe Semyon Bychkov dirige le Sinfonieorchester Köln dans une interprétation de Das Lied von der Erde (Le chant de la terre, 1908) de Gustav Mahler. La mezzo-soprano Waltraud Meier et le ténor Torsten Kerl sont les solistes de cette performance captée à la Philharmonie de Cologne, en Allemagne, en 2001. Das Lied von der Erde est un cycle de chant orchestral écrit pour deux voix et un grand orchestre. Le cycle comprend six mouvements où les deux solistes sont présentés en alternance. Les mouvements sont composés d’anciens poèmes chinois tirés de Die chinesische Flöte (La flûte chinoise), paraphrasés par Hans Bethge (1876-1946). Mahler était fasciné par la façon dont ces poèmes expriment la beauté terrestre et son caractère éphémère.
03:11
Gala de Berlin - 2011
L’Orchestre philharmonique de Berlin et son directeur musical Sir Simon Rattle marquent l’arrivée du Nouvel An avec le pianiste russe Evgeny Kissin, lauréat de nombreux prix. La musicalité, la profondeur, la poésie des interprétations et l’extraordinaire virtuosité de Kissin ont fait de lui l’un des meilleurs pianistes d’aujourd’hui. Il est mis en vedette en tant que soliste du Concerto pour piano en la mineur, op. 16 de Grieg. De plus, l’orchestre interprète la Danse slave no 1, op. 24 de Dvořák; la Danse symphonique no 2, op. 64 de Grieg; une version pour orchestre d’Alborada del gracioso de Ravel; la « Danse de Salomé », tirée de Salomé de Strauss; ainsi que des extraits de L’oiseau de feu de Stravinsky et de la Danse hongroise no 1 de Brahms.
04:40
Ravel - Daphnis et Chloé Suite no 2
Mikhail Pletnev dirige l’Orchestre national de Russie dans une performance de la suite no 2 de Daphnis et Chloé de Maurice Ravel. Cette seconde suite correspond à la troisième et dernière scène du ballet, achevée par Ravel en 1912, et regroupe les sections « Lever du jour », « Pantomime » et « Danse générale ». Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, en 2018.
04:59
PIAM - Demi-finale I: Liszt et Ravel
L’héritage du réputé dénicheur de talents italien Antonio Mormone (1930-2017) se perpétue grâce au Premio Internazionale Antonio Mormone (PIAM), un concours de musique classique consacré à la relève. La première édition du concours, qui s’est déroulée dans diverses salles de Milan entre 2019 et 2021, était consacrée au piano. Josef Edoardo Mossali (Italie, 2001) y interprète Après une lecture de Dante : Fantasia quasi Sonata de Franz Liszt; la toccata tirée du Tombeau de Couperin de Maurice Ravel; et l’étude no 3 « La Campanella » des Six grandes études de Paganini de Liszt. Cette performance a été enregistrée au Teatro EDI Barrio de Milan, en février 2020.
06:00
Le German Brass joue Bach
L’ensemble German Brass livre quelques-uns des airs les plus populaires de Bach dans des arrangements pour cuivres à couper le souffle. Enregistré en direct de la magnifique église Saint-Thomas de Leipzig, ce concert comprend des pièces intemporelles du légendaire compositeur allemand, telles que Toccata et fugue en ré mineur, l’Adagio en sol mineur et Jesus bleibet meine Freude. Le German Brass figure parmi les ensembles de cuivres les plus populaires de notre temps, et regroupe des musiciens provenant des meilleurs orchestres allemands, notamment les orchestres philharmoniques de Berlin et de Munich. Offrant une vue complète de l’église pour laquelle Bach a conçu la plupart de ses œuvres et tirant parti de l’acoustique exceptionnelle de la salle, cet enregistrement de pointe est une véritable fête visuelle et auditive, et une célébration parfaite de l’œuvre de Bach.
06:59
Célébration de saint Patrick 2019
Armagh est l’une des villes les plus anciennes de l’Irlande, et c’est aussi l’endroit choisi par saint Patrick pour ériger sa première église de pierre. Nul endroit au monde n’est plus significatif pour l’honorer que la région où il a lui-même vécu. Cette émission transporte le public vers des lieux associés à saint Patrick et offre les meilleurs moments du concert annuel organisé à la cathédrale qui porte son nom. Joignez-vous à John Anderson, compositeur et présentateur, pour célébrer cet événement grandiose et porteur de réflexion qui rend hommage à saint Patrick. De nombreux chœurs se réunissent pour offrir une soirée de musiques et de paroles dans l’environnement superbe de la cathédrale. Enregistré le 9 mars 2019.
07:54
Mozart, Mendelssohn et Gershwin pour 2 pianos
Roberto Prosseda et Alessandra Ammara interprètent la Sonate pour deux pianos en ré majeur, KV 488 de Mozart, la Sonate pour deux pianos en ré, MWV S 1 de Mendelssohn et Rhapsody in Blue de George Gershwin dans le cadre d’un concert hors saison enregistré dans la salle Fazioli de Sacile, en Italie, le 26 juin 2020.
08:52
CMIM Piano 2024 - Finale: Jaeden Izik-Dzurko
Le pianiste Jaeden Izik-Dzurko (Canada, 1999) interprète le Concerto pour piano n° 2 en si bémol majeur, op. 83, de Johannes Brahms, dans le cadre de la finale de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM). Il est accompagné par l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Xian Zhang. Cette performance a été enregistrée à la Maison symphonique de Montréal.
10:01
Dance on screen
Dans Dance on Screen, le réputé réalisateur Reiner E. Moritz explore l’influence des médias modernes du 20e siècle sur le milieu de la danse, et vice-versa. L’invention de la caméra de cinéma et de la télévision a permis au public de découvrir non seulement de magnifiques œuvres chorégraphiques, mais également les expressions faciales et la présence scénique des artistes. Ces avancées techniques ont permis la conservation de cette forme d’art essentiellement éphémère. Abordant le ballet classique comme la danse moderne, Dance on Screen comprend également des entrevues avec des chorégraphes et des réalisateurs de renom, ainsi que des performances de certains des plus grands danseurs du 20e siècle, dont Alvin Ailey, Anna Pavlova et Pina Bausch.
11:01
Œuvres pour piano de Rachmaninov, Beethoven et al.
Le pianiste russe Nikolay Lugansky a été encensé à l’échelle mondiale pour son interprétation du répertoire de Sergueï Rachmaninov. Dans ce fabuleux récital, l’éminent pianiste présente une sélection de pièces du compositeur romantique russe, ainsi que des œuvres de Ludwig van Beethoven et d’Alexander Glazunov. Le programme débute par la Sonate pour piano n° 14 en do dièse mineur, op. 27 no 2, dite « Clair de lune » de Beethoven, suivie de la Sonate pour piano n° 2 en mi mineur, op. 75, d’Alexander Glazunov. Lugansky interprète ensuite une sélection d’œuvres de Rachmaninov : sa transcription pour piano de la Partita n° 3 en mi majeur de J. S. Bach; une sélection des Études-Tableaux (nos 1, 2, 4 et 8, op, 33; et nos 5 et 6, op. 39); Lilas (op. 21, no 5); Prélude en do mineur, op. 23 no 7; et sa transcription de la Berceuse (op. 16 n° 1) de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, le 4 juin 2021.
12:31
Beethoven - Symphonie no 3 en mi bémol majeur
Maestro Herbert Blomstedt fait ses débuts à la tête de l’Orchestre du Festival de Lucerne avec une performance de la populaire Symphonie no 3 en mi bémol majeur, op. 55, communément appelée Eroica, de Ludwig van Beethoven dans le cadre de l’édition 2020 du Festival de Lucerne. Un mois à peine avant cette performance, le chef d’orchestre suédois a célébré son 93e anniversaire, mais la vitalité et la curiosité impressionnantes qu’il dégage ne trahissent nullement son âge. Ce concert a été enregistré en août 2020 au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse.
13:22
Stingray Originals - Seljan Nasibli
Originaire d’Azerbaïdjan, Seljan Nasibli a commencé à jouer du piano et du violon à tout juste cinq ans. Après être déménagée en Angleterre à un jeune âge, elle a été encouragée à poursuivre ses aspirations musicales et a choisi de chanter du jazz. Or, ses professeurs à l’Université d’Oxford ont décelé chez la jeune femme une tendance opératique certaine, et l’ont invitée à suivre une formation classique. Nasibli a terminé ses études au Royal College of Music, où elle a décroché une maîtrise en performance vocale. Dans cet épisode de Stingray Originals, Nasibli interprète « Signore, ascolta! » et « Tu, che di gel sei cinta » tirées de Turandot de Puccini, et « Quando m’en vo’ » (La Valse de Musette) de La Bohème, du même compositeur.
13:44
Bellini/Liszt - Réminiscences de Norma S.394
Minsoo Hong (1993, Corée du Sud) interprète le Sposalizio tiré des Années de pèlerinage : Deuxième année (S161/1) de Liszt et les Réminiscences de Norma de Bellini/Liszt (S394) lors de la finale en solo du 11e Concours international de piano Franz Liszt, qui s’est tenu à TivoliVredenburg, Utrecht , en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
14:00
Bruges : Métropole bourguignonne
Au 14e siècle, le duché de Bourgogne a fait de Bruges sa résidence officielle. La ville est devenue un aimant pour les artistes. Le manuscrit de Gruuthouse, qui est la plus ancienne collection connue de chansons en moyen néerlandais, exprime l’ébullition de Bruges la métropole. ClubMédiéval juxtapose ces chansons avec des œuvres d’Oswald von Wolkenstein et Machaut.
15:17
Prosseda interprète Mozart, Schubert et Chopin
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
16:49
Sibelius - Symphonie No. 4
En 2013, Hannu Lintu a été nommé premier chef de l’Orchestre symphonique de la radio finlandaise. Lintu a étudié le piano et le violoncelle au Conservatoire de Turku, dans le Sud-Ouest de la Finlande, et à l’Académie Sibelius, où il a également commencé la direction d’orchestre. En 2012, il a donné plusieurs concerts avec l’Orchestre symphonique de la radio finlandaise, s’avérant un successeur logique de Sakari Oramo, qui s’est démis de ses fonctions en 2012 après de nombreuses années de service comme chef d’orchestre et premier violon. L’orchestre s’est spécialisé dans l’interprétation de musique finlandaise, mais interprète également les grandes œuvres d’entre autres Gustav Mahler et Béla Bartók. Le Finlandais Jean Sibelius est le compositeur préféré de l’orchestre et de son chef. En coopération avec la radio-télévision publique nationale de Finlande (Yle), l’orchestre a enregistré les sept symphonies de Sibelius. L’exécution de chaque symphonie est précédée d’une brève introduction. En 1908, Sibelius se remet difficilement d'une opération pour un cancer à la gorge. Cela a des répercussions sur son style de vie, mais également sur son style de composition. Ayant peur de la mort, il renonce à la boisson et au tabac. Ses harmonies deviennent de plus en plus sombres. En écoutant sa Quatrième Symphonie, des images sinistres du diable et de la mort se présentent à l’esprit.