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00:00
Bizet - Carmen
14A02:41:002005HD
Le paysage sauvage à couper le souffle de l’ancienne carrière romaine de St. Margarethen, en Autriche, offre le cadre tout désigné pour cette performance unique et colorée de l’opéra Carmen (1875) de Georges Bizet. Rassemblant plus de 400 participants, cette mise en scène opulente du célèbre opéra de Bizet – l’une des œuvres les plus populaires de l’histoire de cette forme d’art – est un véritable festin pour les sens. Le Festival d’opéra St. Margarethen, qui figure parmi les festivals extérieurs les plus courus d’Europe, est fréquenté par quelque 220 000 amateurs d’opéra chaque année. Chef d’orchestre est Ernst Märzendorfer. Solistes: Nadia Krasteva, Russi Nikov, Alexandrs Antonenko. Chorégraphe: Marieta Romero.
02:41
Europakonzert 1993 - Royal Albert Hall
G01:30:001993HD
Au programme de ce concert de l'Orchestre philharmonique de Berlin dirigé par Bernard Haitink avec, en soliste, le violoniste Frank Peter Zimmermann : l'Ouverture-Fantaisie Roméo et Juliette de Tchaïkovski, le Concerto pour violon n° 3 en sol majeur K. 216 de Mozart et le Sacre du Printemps d'Igor Stravinsky. Les Europakonzert de l'Orchestre philharmonique de Berlin sont une contribution de la célèbre formation à l'Union Européenne. Ils ont lieu toujours le 1er mai, date anniversaire de la création de l'Orchestre en 1882 et, à chaque fois, dans une ville différente. En 1993, ce fut à Londres, au Royal Albert Hall.
04:11
Beethoven – Dernières sonates, op. 109, 110 et 111
G01:04:002018HD
Les trois dernières sonates de Beethoven – opus 109, 110 et 111 – explorent les méandres secrets de l’âme humaine, du désespoir jusqu’à la transfiguration. Lorsqu’il les a composées, Beethoven était déjà prisonnier de sa surdité, ce qui affectait énormément son rapport aux autres et au monde. Ce contexte psychologique est exploré par le réalisateur Mariano Nante, qui plonge le pianiste Alexandre Tharaud dans un film inspiré de l’univers de Tarkovski. Tournée dans des châteaux abandonnés, sous la direction photographique de Yorgos Arvanitis, cette œuvre évoque la solitude et l’introspection, proposant un voyage intérieur en images et en musique.
05:15
Schubert - Ouverture Rosamunde (D. 644)
G00:10:002015HD
Andreas Spering dirige la Philharmonie Zuidnederland dans cette interprétation de l’ouverture de Rosamunde (D. 644) de Franz Schubert (1797-1828) Le concert a été enregistré à Muziekgebouw Eindhoven aux Pays-Bas en 2015.
05:26
Ravel - Concerto pour la main gauche
G00:33:002003HD
L’Autrichien Paul Wittgenstein a perdu son bras droit pendant la Première Guerre mondiale. Un désastre, surtout pour quelqu’un qui était pianiste professionnel. Comme Wittgenstein ne voulait pas arrêter sa carrière, il a demandé à plusieurs compositeurs d’écrire un concerto pour piano pour la main gauche. Maurice Ravel a obtempéré à la requête et a écrit son « Concerto pour la main gauche ». Wittgenstein n’était pas satisfait : pendant la première en 1932, le pianiste a modifié quelques passages parce qu’il était d’avis que cela améliorerait le morceau, au grand mécontentement du compositeur. Prokofiev a aussi écrit une œuvre qui n’a pas satisfait l’attente du pianiste. Il a écrit à Prokofiev : « Je vous remercie pour le concerto mais je n’en comprends aucune note et je ne le jouerai pas. » Il a tenu parole.
06:00
Mozart - Concerto pour piano no. 9, KV 271
G00:35:001990HD
Dans le cadre du Festival de Salzbourg, Jeffrey Tate dirige l’Orchestre Mozarteum et la pianiste Mitsuko Uchida dans une performance du Concerto pour piano no 9, KV 271, surnommé Concerto Jeunehomme. Malgré ce que ce surnom laisse entendre, cette œuvre a été composée pour Victoire Jeramy, fille du danseur, chorégraphe et ami de Mozart Jean-Georges Noverre.
06:35
Rossini - Petite Messe solennelle
G01:25:002008HD
Gioachino Rossini l’avait déjà dit lui-même : Il est né pour écrire des opéras comiques. Pourtant cette composition ultérieure est aussi très bien. Il a appelé sa ‘Petite messe solennelle’ son dernier “péché de vieillesse”, et il l’a écrite à l’origine pour chœur, deux pianos et harmonium. Riccardo Chailly dirige l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, le Gewandhauschor et le Chor der Oper Leipzig dans la version pour orchestre au Gewandhaus de Leipzig en 2008.
08:00
Beethoven - Symphonie nº 2 et Symphonie nº 7
G01:24:002016HD
En septembre 2016, nous avons célébré l’anniversaire de l’un des chefs d’orchestre les plus réputés du Japon : Seiji Ozawa. Ardent défenseur des compositeurs modernes, Ozawa a fondé en 1992 le Saito Kinen Festival Matsumoto, mieux connu sous le nom de Seiji Ozawa Festival depuis 2015. Dans cette performance, Ozawa dirige avec passion les 63 membres de l’orchestre Saito Kinen dans une interprétation des deuxième et septième symphonies de Beethoven. La Symphonie no 2 a été principalement composée lors du séjour de Beethoven à Heiligenstadt, alors que sa surdité commençait à s’accentuer. La première de la pièce a été présentée au Theater an der Wien de Vienne, le 5 avril 1803. La première de la Symphonie no 2 a quant à elle été dirigée par Beethoven lui-même à Vienne, en 1813, dans le cadre d’un concert caritatif pour les soldats blessés au front. À l’époque, le public en liesse a exigé un rappel de l’Allegretto, le mouvement le plus populaire de l’œuvre.
09:24
CMIM Voix 2022 – Première épreuve: Iida Antola
G00:39:002022HD
Soprano Iida Antola (Finland, 1990) performs Franz Schubert’s Totengräbers Heimweh, D. 842; ‘I Send My Heart Up To Thee’ from Amy Beach’s Three Browning Songs, Op. 44; and ‘La pintade’ from Maurice Ravel’s Histoires naturelles, during the first round of the Voice Edition of the Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). This performance was recorded at the Bourgie Hall of the Montreal Museum of Fine Arts.
10:03
Musique brésilienne pour violoncelle & piano
G00:29:002018HD
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps. Dans le premier épisode de cette minisérie, des musiciens brésiliens discutent de l’influence de Villa-Lobos sur leur propre développement artistique et le lien intime qui liait le compositeur à son pays natal.
10:33
Œuvres pour violon et piano: Mozart, Falla et al.
G01:13:002022HD
Pour souligner la Journée internationale des femmes, la violoniste italienne Laura Marzadori et le pianiste italien Andrea Bacchetti livrent un magnifique concert sur les planches du Teatro Sociale di Camogli, en Italie. Au programme se trouvent la Sonate no 18 en sol majeur, K. 301, de Wolfgang Amadeus Mozart; la Sonate no 5 en fa majeur, op. 24, de Ludwig van Beethoven; la Suite populaire espagnole de Manuel de Falla (transcription de Paul Kochaniski); Introduction et Rondo capriccioso en la mineur, op. 28, de Camille Saint-Saëns; et « Méditation » tirée de l’opéra Thaïs de Jules Massenet. Cette performance a été enregistrée le 8 mars 2022.
11:46
Jaap van Zweden dirige Symphonie Fantastique
G01:13:002008HD
La rencontre entre le compositeur français Hector Berlioz et la belle actrice Harriet Smithson a inspiré l’une des œuvres les plus célèbres de Berlioz. L’ayant vue dans une pièce de Shakespeare, il était désespérément épris d'elle. Il lui envoya de d’innombrables lettres d’amour, mais elles restèrent sans réponse. Le cœur brisé, il composa sa « Symphonie fantastique » (titre original : « Épisode de la vie d’un artiste, symphonie fantastique en cinq parties »). La composition raconte l’histoire d’un jeune artiste désespéré qui s’empoisonne avec de l'opium à cause d’un amour non partagé. Or, la dose est trop faible : au lieu de lui donner la mort, le narcotique provoque des hallucinations. Le caractère narratif de la musique et la taille de l’orchestre (avec entre autres deux harpes et deux jeux de cloches) firent de cette symphonie une œuvre révolutionnaire.
12:59
IVC 2021 Demi-finale: Schönberg, Britten et autres
G00:23:002021HD
Le baryton Arvid Fagerfjäll (Suède, 1991) et la pianiste Hikaru Kanki (Japon, 1993) interprètent An mein Herz, D. 860, de Franz Schubert; « Die Aufgeregten » tirée de Sechs Lieder, op. 3, d’Arnold Schönberg; « A Poison Tree » tirée de The Red Cockatoo And Other Songs de Benjamin Britten; Vermeer's gold de Bart Visman; « La mer est plus belle » tirée des Trois mélodies de Paul Verlaine, L. 81, de Claude Debussy; Prison, op. 83, no 1, de Gabriel Fauré; et « Die Geister am Mummelsee » tirée de Mörike-Lieder de Hugo Wolf dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
13:23
Schumann - Grande Humoresque, op. 20
G00:38:002023HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète Humoreske en si bémol majeur, op. 20, œuvre composée par Schumann en 1839 et dédiée à Julie von Webenau. Le titre de l’œuvre fait référence au sens plus ancien du mot humour, qui désignait jadis un état émotif. Schumann s’est inspiré de l’auteur romantique allemand Jean Paul, qui définit l’humour comme « une infinité de contrastes » et « la juxtaposition de la banalité et de la grandeur de l’univers », qui donne lieu à « une sorte de rire qui contient à la fois douleur et splendeur ». Humoreske n’est pas divisée en mouvements distincts, mais consiste plutôt en une pièce continue aux sections contrastantes. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
14:02
Pianomania - Daniil Trifonov
G01:50:002018HD
Hannu Lintu dirige l’Orchestre Gulbenkian dans le cadre de ce concert à saveur finlandaise, mettant en vedette Cantus Articus, op. 61, d’Einojuhani Rautavaara et la Symphonie no 2 de Jean Sibelius. Le programme comprend également le Concerto pour piano, op. 54, de Schumann, une œuvre créée en 1841 par Clara Wieck, épouse du compositeur, et ici interprétée par Daniil Trifonov (1991). Trifonov, qui est devenu célèbre après avoir remporté le Concours international Tchaïkovski à Moscou et le Concours international de piano Chopin à Varsovie, a été qualifié de « plus grand virtuose classique contemporain » et de « pianiste le plus étonnant de notre époque ». Ce concert a été enregistré au grand auditorium de la Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne, en 2018.
15:52
Tchaikovsky - Symphony No. 6 in B minor, Op. 74
G00:49:002010HD
Claudio Abbado dirige le Símon Bolívar Youth Orchestra dans le cadre de l’édition pascale du festival de Lucerne, en 2010. L’ensemble accompagne la jeune et talentueuse soprano autrichienne Anna Prohaska. Le programme du concert comprend Suite scythe, op. 20 de Prokofiev, la Lulu-Suite pour soprano et orchestre de Berg, et l’aria de Pamina tirée de la La Flûte enchantée de Mozart. L’orchestre conclut avec la Symphonie no 6, op. 74 de Tchaïkovski.
16:42
Mozart - Gala pour les sœurs Weber
G00:44:002015HD
Le 23 mars 1783, Wolfgang Amadeus Mozart a livré un brillant concert au Burgtheater de Vienne, qu’il a dédié aux sopranos Aloysia et Josepha Weber, les sœurs de sa femme Constance. Le programme du concert, qui serait considéré comme étrange selon les normes d’aujourd’hui, mettait en vedette la Symphonie no 35, présentée de façon morcelée et entrecoupée d’autres compositions, notamment des concertos, des arias et des œuvres pour piano solo. Près de deux siècles de demi plus tard, la soprano française Sabine Devieilhe, le chef d’orchestre Raphaël Pichon et l’Ensemble Pygmalion proposent un merveilleux concert inspiré par cet événement marquant. Le programme comprend l’« allegro con spirito » de la Symphonie no 35, également connue sous le nom de Symphonie Haffner; « Vorrei spiegarvi, oh Dio », KV 418; « Schon lacht der holde Frühling », KV 580; le trio composé de « Die Schlittenfahrt’ no 3 », KV 605; de « Deutscher Tanz no 6 », KV 571; et de « Der Hölle Rache kocht in meinem Herzen » tirés de l’opéra Die Zauberflöte; « Finale: Presto » de la Symphonie no 35; « Nehmt meinen Dank », KV 383; et « Dans un bois solitaire et sombre », KV 308. Cette performance a été enregistrée au Théâtre Impérial de Compiègne, en France.
17:26
Prokofiev - Sonate pour violoncelle, op. 119
G00:27:002021HD
Aleksandr Khramouchin (violoncelle) et Eliane Reyes (piano) interprètent la Sonate pour violoncelle, op. 119, de Sergei Prokofiev. Après avoir vu le jeu impressionnant du jeune violoncelliste Mstislav Rostropovich, qui interprétait une sonate composée par son ami de longue date Nikolai Miaskovsky, Prokofiev s’est mis en tête de composer une sonate pour violoncelle spécialement pour le musicien. Achevée en 1949, la Sonate pour violoncelle, op. 119, a été présentée pour la première fois par Rostropovich dans la Petite Salle du Conservatoire de Moscou un an plus tard. Le partenariat de Prokofiev avec Rostropovich lui a également inspiré d’autres œuvres pour violoncelle, notamment sa Symphonie concertante pour violoncelle et orchestre, op. 125 (1950-1952). Cette performance a été enregistrée aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique à Bruxelles, dans le cadre du Festival Musicorum 2021.
17:53
Mon coeur brûle
G00:43:002006HD
René Pape incarne parfaitement la nouvelle génération de chanteurs d’opéra : d’apparence actuelle et décontractée, il a soif de nouveaux défis et témoigne d’une ouverture à l’expérimentation ambitieuse. Dans le film musical My Heart Is Burning, René Pape chante et joue divers rôles qui font étalage de l’impressionnante polyvalence de sa voix et des nombreuses facettes de sa personnalité. Réalisé par Sibylle Muth.
18:37
Waldbühne 2004 - Nuit avec Tchaïkovski
G01:38:002004HD
The Berliner Philharmoniker and Lang Lang under the baton of Sir Simon Rattle
20:15
Demi-finale II - Concours piano de Liszt 2017
G00:21:002017HD
Asagi Nakata (1995, Japon) interprète La notte (S377a) et la Rhapsodie hongroise no 12 (S379a) dans le cadre de la demi-finale (catégorie musique de chambre) de la 11e édition du Concours international de piano Franz-Liszt, présentée au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
20:37
IVC 2021 Demi-finale: Schubert, Ullmann et autres
G00:22:002021HD
La soprano Ana Carolina Coutinho (Brésil, 1993) et la pianiste Megumi Kuroda (Japon, 1989) interprètent Die Blumensprache, D. 519, de Franz Schubert; « Sonnenuntergang » tirée de Drei Hölderlin-Lieder de Viktor Ullmann; « Verschwiegene Liebe » tirée de Eichendorff-Lieder d’Hugo Wolf; « Il vole » et « Fleurs » tirées de Fiançailles pour rire, FP 101, de Francis Poulenc; « Wasserrose » tirée de Mädchenblumen, op. 22, de Richard Strauss; 風に乗せてうたへる春の歌八章; たたえよ、しらべよ、歌いつれよ de Kōsaku Yamada; et Het Goud van Vermeer de Bart Visman dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
21:00
Beethoven - Fidelio, Op. 72
PG01:56:002018HD
Fidelio (dont le titre original était « Leonore, oder Der Triumph der ehelichen Liebe », ce qui signifie « Leonore ou le triomphe de l’amour marital »), op. 72, est le seul opéra de Ludwig van Beethoven. Ce film d’opéra créé en 2018 au Theater St. Gallen (Suisse) s’appuie sur la célèbre production par Jan Schmidt-Garre de Fidelio de Beethoven. Otto Tausk dirige le Sinfonieorchester et les chœurs de St. Gallen, de même que de merveilleux solistes dans les décors magnifiques de Nikolaus Webern. Les créateurs du film ont minutieusement filmé et monté plusieurs performances, en plus d’intégrer des séquences supplémentaires mettant en vedette la soliste Jacquelyn Wagner (Leonore). Une captivante production scénique enrichie et transformée en une expérience cinématographique unique.
22:56
Ravel: Daphnis et Chloé Suite No.2
G00:19:002017HD
Le chef d’orchestre Mikhail Pletnev dirige l’Orchestre national russe et le Chœur synodal de Moscou lors d’un concert du 9e Grand festival de l’Orchestre national russe. L’orchestre débute par une interprétation de la suite musicale du ballet Daphnis et Chloé de Ravel. Lucas Debargue est le pianiste soliste dans Prométhée : Le poème du feu, op. 60, de Scriabnine : un poème symphonique pour piano, orchestre, chœur et clavier à lumières (« chromola »). Le clavier à lumières est un instrument de musique inventé par Scriabine pour être utilisé dans cette œuvre. Une seule version a été construite pour une exécution de la pièce à New York, en 1915. En bis, Debargue interprète la Gnossienne no 1 de Satie. Enregistré au Tchaikovsky Concert Hall, à Moscou, en 2018.
23:16
Transcriptions pour piano: Bach, Wagner e.a.
G00:43:002021HD
Weer-klank, Pianoparels est une série de courts récitals livrés par dix pianistes sur les planches du Quatre Mains Klaviercentrum de Gand, en novembre 2020. Dans le cadre de cette série, Jan Lust interprète une sélection triée sur le volet de transcriptions pour piano, qui commence par trois pièces de J.-S. Bach : Adagio (BWV 974) dans des arrangements de Marcello; Toccata et fugue en ré mineur (BWV 565) dans des arrangements de Tausig/Lust; et Prélude en si mineur (BWV 855) dans des arrangements de Siloti. Lust poursuit avec « Liebestod » tirée de l’opéra Tristan und Isolde de Wagner, dans des arrangements de Liszt; Le cygne de Saint-Saëns dans des arrangements de Godowsky; et conclut avec la transcription de Grünfeld de Soirée de Vienne de J. Strauss II.