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Bellini - I Capuleti e I Montecchi
14A02:17:002015HD
Omer Meir Wellber dirige l’orchestre et le chœur du Teatro La Fenice dans une performance de l’opéra tragique I Capuleti e I Montecchi de Vincenzo Bellini. Le libretto a été écrit par Felice Romani, d’après la pièce de théâtre Giulietta e Romeo (1818) de Luigi Scevola plutôt que directement de l’œuvre de William Shakespeare. Le Teatro La Fenice a commandé cet opéra à Bellini à l’occasion du Carnaval de Venise de 1830. Bellini a composé I Capuleti e I Montecchi en tout juste un mois et demi, en puisant allégrement dans la musique de son opéra Zaira (1829), qui n’a pas connu le succès escompté. Dans cette production, la soprano anglaise Jessica Pratt incarne Giulietta, et la mezzo-soprano italienne Sonia Ganassi dans le rôle de Romeo. Les solistes comprennent également Rubén Amoretti, Shalva Mukeria et Luca Dall’Amico. Cette performance a été enregistrée au Teatro la Fenice di Venezia de Venise, en Italie, le 18 janvier 2015.
02:17
Waldbühne 1998 : Soirée latino-américaine
G01:59:001998HD
Le pianiste, chef d’orchestre et musicien le plus célèbre d’Argentine Daniel Barenboim donne une saveur résolument latine à ce concert livré en 1998 par l’Orchestre philharmonique de Berlin à l’amphithéâtre Waldbühne. La soirée s’ouvre avec le célébrissime Boléro de Maurice Ravel, une composition pour orchestre en un seul mouvement qui a été imaginée à l’origine sous forme de ballet. Composition simple et directe, le Boléro est basé sur un rythme qui se répète tout au long de la pièce, et compte deux mélodies qui alternent entre les différents instruments. Son tempo constant ne cesse de prendre en force, jusqu’à atteindre le crescendo final. La seconde pièce au programme est la première suite de l’opéra Carmen de Georges Bizet. Après une introduction électrisante, on y entend le hautbois entamer son thème immédiatement reconnaissable. Le programme se fait encore plus exotique lorsque le guitariste John Williams prend la scène pour interpréter le célèbre Concierto de Aranjuez de Joaquín Rodrigo.
04:17
Mozart - Concerto pour piano no 25 & Symphonie 35
G01:02:002021HD
Stefano Conticello dirige l’orchestre du Teatro Comunale di Bologna lors de ce programme consacré à Wolfgang Amadeus Mozart. Le concert s’amorce avec l’ouverture de son populaire opéra La Flûte enchantée. Elle est suivie du Concerto pour piano n° 25 en do majeur, K. 503, avec le soliste Maurizio Baglini. Il s’agit de l’un des 12 grands concertos pour piano que Mozart a composés entre 1784 et 1786. Le programme est achevé par la Symphonie n° 35 en ré majeur, K. 385, également connue sous le nom de « Symphonie Haffner ». L’œuvre a été commandée à Mozart en 1782 par la famille Haffner de Salzbourg, reconnue pour ses nombreux hommes d’affaires et philanthropes éminents, à l’occasion de l’anoblissement de Sigmund Haffner. Mozart a d’abord écrit une sérénade avant de la transformer en symphonie quelques mois plus tard : la « Symphonie Haffner ». Cette interprétation a été enregistrée au Teatro Comunale di Bologna, en Italie.
05:19
Brahms - l’Ouverture tragique en ré mineur, op. 81
G00:15:002021HD
Le Maggio Musicale Fiorentino (Mai musical de Florence) est le plus ancien festival italien consacré à l’opéra et à la musique. Il a été créé en 1933 pour présenter des opéras contemporains et oubliés, mais au fil des ans, sa portée s’est élargie pour inclure des concerts orchestraux. Dans le cadre de l’édition 2021 du festival, maestro Daniel Harding a dirigé l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans un programme merveilleux comprenant l’Ouverture tragique en ré mineur, op. 81, de Johannes Brahms, et la Symphonie no 1 en ré majeur, dite « Titan » de Gustav Mahler. Composée pendant l’été 1880, l’ouverture de Brahms affiche un caractère sombre et tumultueux qui pourrait être considéré comme le pendant sérieux de la plus joyeuse Ouverture pour une fête académique, op. 80. Mahler a achevé sa première symphonie huit ans plus tard. À l’origine, elle comptait cinq mouvements, mais le compositeur a décidé d’éliminer le deuxième, intitulé « Blumine », quelques années plus tard pour nous laisser la version en quatre mouvements que nous connaissons aujourd’hui. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
05:35
Schubert - Quatre impromptus, op. 90 - I.
G00:24:002006HD
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
06:00
Le German Brass joue Bach
G00:59:002000HD
L’ensemble German Brass livre quelques-uns des airs les plus populaires de Bach dans des arrangements pour cuivres à couper le souffle. Enregistré en direct de la magnifique église Saint-Thomas de Leipzig, ce concert comprend des pièces intemporelles du légendaire compositeur allemand, telles que Toccata et fugue en ré mineur, l’Adagio en sol mineur et Jesus bleibet meine Freude. Le German Brass figure parmi les ensembles de cuivres les plus populaires de notre temps, et regroupe des musiciens provenant des meilleurs orchestres allemands, notamment les orchestres philharmoniques de Berlin et de Munich. Offrant une vue complète de l’église pour laquelle Bach a conçu la plupart de ses œuvres et tirant parti de l’acoustique exceptionnelle de la salle, cet enregistrement de pointe est une véritable fête visuelle et auditive, et une célébration parfaite de l’œuvre de Bach.
06:59
Haendel - Le Messie, HWV 56
G01:27:002016HD
Le Messie (HWV 56) de Georg Frederich Haendel, également appelée Nouvel oratorio sacré, raconte la vie et la souffrance du Christ : une histoire de passion, de feu et de sacrifice. Il s’agit de l’une des œuvres les plus connues d’Haendel, qui a mis seulement trois semaines pour composer cet oratorio et sa célèbre « Hallelujah ». L’œuvre connaît une immense popularité depuis sa première à Dublin, en 1742, et est souvent présentée à Pâques. Cette performance de l’ensemble néerlandais Ribattuta Musica sous la direction du chef d’orchestre Dick Duijst a été filmée dans la grande église de la ville d’Ermelo, aux Pays-Bas, en 2016. Les solistes sont Elvire Beekhuizen (soprano), Rosina Fabius (alto), Oscar Verhaar (contre-ténor) Satriya Krisna (ténor) et Hans Voschezang (basse). Ribattuta Musica est un ensemble professionnel qui livre des performances authentiques basées sur les pratiques musicales en cours au temps des compositeurs.
08:26
Liszt - Années de pèlerinage: Italie (S. 161)
G00:59:002021HD
Costantino Catena interprète une sélection de pièces tirées du deuxième recueil des Années de pèlerinage (Italie), S. 161, de Franz Liszt. Le programme s’ouvre par trois sonnets de Pétrarque (47, 104 et 123), suivis par Après une lecture de Dante : Fantasia Quasi Sonata. Le concert se termine avec Gondoliera, Canzone et Tarantella. Le recueil de trois suites pour piano Années de pèlerinage est considéré comme l’œuvre maîtresse pour piano de Liszt, et un sommaire parfait du style musical du compositeur. Ce dernier inscrit ces compositions dans la lignée de la littérature romantique de son époque en faisant précéder la majorité des pièces d’un extrait littéraire. Enregistré à l’église du collège des Jésuites (Chiesa del Collegio dei Gesuiti) de Trapani, en Italie.
09:26
CMIM Voix 2022 – Première épreuve: Bryan Murray
G00:26:002022HD
Le baryton Bryan Murray (États-Unis, 1989) interprète « Mein Sehnen, mein Wähnen » de l’opéra Die tote Stadt d’Erich Korngold; « Papagena Papage na! », tiré de l’opéra Die Zauberflöte de Wolfgang Amadeus Mozart; et « E fra quest'ansie in eterno vivrai? », extrait de l’opéra Pagliacci de Ruggero Leoncavallo, lors de la première épreuve de l’édition Voix du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Cette performance a été captée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
09:53
CMIM Piano 2024 - Demi-finales I: Jakub Kuszlik
G00:09:002024HD
Le pianiste Jakub Kuszlik (Pologne, 1996) se joint à l’ensemble du CMIM, composé de trois solistes de la section des cordes de l’Orchestre symphonique de Montréal, pour interpréter « Sostenuto assai – Allegro ma non troppo », le premier mouvement du Quatuor pour piano en mi bémol majeur, op. 47, de Robert Schumann. Cette performance a été présentée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal dans le cadre des demi-finales consacrées à la musique de chambre de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM).
10:03
Nino Rota – I due timidi
14A01:06:002017HD
Diffusée par le RAI à Milan en 1950, I due timidi est une œuvre qui a été présentée pour la première fois sur scène à Londres en 1952. Inspirée d’un texte du scénariste italien Suso Cecchi D’Amico, cette comédie d’erreurs ne possède pas de fin heureuse classique, mais le rythme de l’action musicale et le talent des jeunes chanteurs-acteurs rendent la performance particulièrement divertissante. « La cadence de la narration change sans arrêt : la frénésie rythmique laisse soudain place à de grandes déclamations vocales à la Puccini, avec des intermèdes évoquant le jazz ou l’opéra bouffe. Malgré la richesse et l’hétérogénéité des musiques, les chanteurs maintiennent toujours leur équilibre vocal, tout en démontrant leur grand talent pour le jeu. Le chef d’orchestre Gabriele Bonolis et son orchestre ont été applaudis au milieu de la performance pour leur interprétation énergique, rafraîchissante et brillante. » Cette version composée par Nino Rota a été interprétée en 2017 par le Reate Festival Orchestra.
11:09
Bach - Concertos brandebourgeois, BWV 1046-1051
G01:37:002021HD
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Cette performance a été enregistrée à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne).
12:46
Naples - Capitale oubliée de la musique - partie 2
G00:12:002019HD
Au fil des siècles, Naples a entretenu un climat remarquablement favorable à l’innovation artistique. Le paysage musical de la ville était extraordinairement diversifié, notamment grâce à la présence d’une cour royale ou vice-royale, à la pratique de la musique dans les églises, les fraternités et les œuvres de charité, au soutien financier de riches citoyens, et à la popularité du chant et de la danse dans la sphère publique.
12:59
Graupner - Magnificat anima mea
G00:21:002018HD
Patrick Debrabandere dirige le chœur de chambre Vox Mago dans une performance de la cantate Magnificat anima mea de Christoph Graupner (1683-1760). Cette performance fait partie du concert In Tempus Adventus, qui regroupe trois magnifiques cantates baroques enregistrées en décembre 2018 à l’église Onze-Lieve-Vrouw Presentatiekerk de Gand, en Belgique. Magnificat anima mea est une cantate festive composée à l’occasion de Noël, en 1722. Graupner était un compositeur très prolifique, et présente l’un des répertoires les plus vastes de l’histoire de la musique classique. Graupner était ami de nombreux compositeurs, dont Händel et Matheson, et a même été préféré à Jean Sébastien Bach pour occuper le poste de cantor de l’église Saint-Thomas de Leipzig. Son employeur de l’époque, le duc de Saxe-Meiningen Ernst Ludwig I, en a décidé autrement, souhaitant le conserver au service de sa cour.
13:20
Schubert - Quatre impromptus, op. 90
G00:39:002006HD
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
14:00
Gala from Berlin 2002 - What a Wonderful Town
G01:36:002002HD
Les solistes Kim Criswell, Audra McDonald, Thomas Hampson, Brent Barrett, Karl Daymond, Timothy Robinson, Michael Dore, Wayne Marshall et le chœur European Voices sont accompagnés par l’Orchestre philharmonique de Berlin dirigé par Simon Rattle. Il s’agit du concert du Nouvel An, à la Philharmonie de Berlin. Au programme sont des œuvres de Leonard Bernstein (Ouverture de « Candide » - Extraits de « Wonderful Town ») et George Gershwin (« My man's gone now » de « Porgy and Bess » - « Ask me again » - « Fascinating Rhythm »).
15:36
Berlioz - Symphonie fantastique, op. 14
G00:59:002021HD
Le chef d’orchestre Eduard Topchjan dirige l’Orchestre philharmonique national d’Arménie dans une performance de la Symphonie fantastique, op. 14, d’Hector Berlioz. Cette pièce de musique à programme a été achevée en 1830, alors que Berlioz était encore étudiant au conservatoire. Inspirée par l’amour non réciproque de Berlioz pour l’actrice irlandaise Harriet Smithson, cette symphonie en cinq mouvements raconte les rêves d’un jeune artiste qui, incapable de se remettre d’un échec amoureux, consomme une dose mortelle d’opium. Berlioz reprend la même mélodie dans chaque mouvement, pour illustrer l’obsession du jeune protagoniste pour sa bien-aimée. L’œuvre fait appel à un orchestre imposant et compte un éventail impressionnant d’instruments, notamment des cloches d’église, un hautbois présent en coulisses et des instruments à cordes jouant col legno, soit avec le bois de l’archet. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Aram Khachaturian de Yerevan, en Arménie, en 2021.
16:35
Beethoven – Dernières sonates, op. 109, 110 et 111
G01:04:002018HD
Les trois dernières sonates de Beethoven – opus 109, 110 et 111 – explorent les méandres secrets de l’âme humaine, du désespoir jusqu’à la transfiguration. Lorsqu’il les a composées, Beethoven était déjà prisonnier de sa surdité, ce qui affectait énormément son rapport aux autres et au monde. Ce contexte psychologique est exploré par le réalisateur Mariano Nante, qui plonge le pianiste Alexandre Tharaud dans un film inspiré de l’univers de Tarkovski. Tournée dans des châteaux abandonnés, sous la direction photographique de Yorgos Arvanitis, cette œuvre évoque la solitude et l’introspection, proposant un voyage intérieur en images et en musique.
17:40
Beethoven - Quintette pour piano et vents, op. 16
G00:28:002022HD
Luca Vignali (hautbois), Angelo De Angelis (clarinette), Carmine Pinto (cor), Eliseo Smordoni (basson) et Linda Di Carlo (piano) interprètent le Quintette pour piano et vents en mi bémol majeur, op. 16, de Ludwig van Beethoven. Achevée en 1796, cette œuvre est souvent considérée comme inspirée du Quintette pour piano et vents, K. 452 de Mozart. En effet, les deux quintettes partagent la même combinaison inhabituelle d’instruments, sont écrits dans la même tonalité et présentent la même structure en trois mouvements. Une différence notable est que Beethoven, en tant que virtuose du piano, a composé les sections pour piano de façon à mettre en valeur la qualité de son jeu. De plus, le compositeur met régulièrement cet instrument à l’avant-plan. L’œuvre a été publiée en 1801 en deux versions : sous forme de quintette pour piano et vents et de quatuor pour piano et cordes (désignée par la mention op. 16). Cette performance a été enregistrée à l’Auditorium Santa Cecilia de Pérouse, le 23 juin 2022.
18:09
Musique brésilienne pour violoncelle & piano V
G00:23:002018HD
Dans ce documentaire en six parties sur la vie et l’œuvre d’Heitor Villa-Lobos, la réalisatrice Liloye Boubli convie les téléspectateurs à la rencontre de ce monument de la musique classique brésilienne. Ce compositeur, chef d’orchestre, violoncelliste et guitariste classique est né en 1887 à Rio de Janeiro et a grandi dans un Brésil aux prises avec d’immenses changements sociaux – notamment la révolution sociale et la modernisation, et l’abolition de l’esclavage en 1888 – pour devenir l’un des compositeurs sud-américains les plus connus de tous les temps.
18:33
Martha Argerich – Concert d’anniversaire III
G01:43:002021HD
Pour célébrer son 80e anniversaire, la pianiste argentine Martha Argerich propose un concert captivant consacré à la musique de chambre, présenté dans le cadre enchanteur du Château de Chantilly, en France. Pour l’occasion, la « grande dame du piano » est accompagnée par plusieurs artistes de renom, dont les pianistes Lily Maisky et Iddo Bar-Shaï, les violonistes Tedi Papavrami et Akiko Suwanai, l’altiste Lyda Chen-Argerich – qui est également sa fille – et le violoncelliste Mischa Maisky. Au programme du concert se trouvent le Trio pour piano no 1 en ré mineur, op. 49, de Felix Mendelssohn; la Sonate pour violon de Leoš Janáček; le Rondo en la majeur, D. 951, de Franz Schubert; et le Quatuor pour piano no 3 en do mineur, op. 60, de Johannes Brahms. Cette performance a été enregistrée le 4 mai et le 13 juin 2021.
20:16
Demi-finale II - Concours piano de Liszt 2017
G00:20:002017HD
Sergey Belyavskiy (1993, Russie) interprète La notte (S377a) et la Rhapsodie hongroise no 12 (S379a) dans le cadre de la demi-finale (catégorie musique de chambre) de la 11e édition du Concours international de piano Franz-Liszt, présentée au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
20:37
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Vladyslav Buialskyi
G00:22:002022HD
Le baryton-basse Vladyslav Buialskyi (Ukraine, 1997) interprète « Aprite un po' quegli occhi » de l’opéra Les noces de Figaro de Wolfgang Amadeus Mozart; « Vous qui faites l’endormie » de l’opéra Faust de Charles Gounod; et « Come dal ciel precipita », tiré de l’opéra Macbeth par Giuseppe Verdi, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Il est accompagné de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
21:00
Concert Mozart à Salzburg
G01:51:002006HD
Ce concert hommage à Mozart a été enregistré le 27 janvier 2006 – jour du 250e anniversaire du légendaire compositeur – sur les planches du Grosses Festspielhaus de Salzbourg, dans le cadre de la Semaine Mozart de Salzbourg. Thomas Hampson (baryton), Mitsuko Uchida (piano), Gidon Kremer (violon), Yuri Bashmet (alto), le chœur Wiener Singverein et l’orchestre Wiener Philharmoniker, sous la direction de maestro Riccardo Muti, interprètent le Concerto pour piano no 25 en do majeur, K. 503; la Symphonie concertante en mi bémol majeur, K. 364; des arias et des scènes tirées de Così fan tutte, Le nozze di Figaro et La Flûte enchantée; et la Symphonie no 35 en ré majeur, K. 385, dite « Haffner ».
22:51
Beethoven - Symphonie nº 7
G00:40:002016HD
En septembre 2016, nous avons célébré l’anniversaire de l’un des chefs d’orchestre les plus réputés du Japon : Seiji Ozawa. Ardent défenseur des compositeurs modernes, Ozawa a fondé en 1992 le Saito Kinen Festival Matsumoto, mieux connu sous le nom de Seiji Ozawa Festival depuis 2015. Dans cette performance, Ozawa dirige avec passion les 63 membres de l’orchestre Saito Kinen dans une interprétation des deuxième et septième symphonies de Beethoven. La Symphonie no 2 a été principalement composée lors du séjour de Beethoven à Heiligenstadt, alors que sa surdité commençait à s’accentuer. La première de la pièce a été présentée au Theater an der Wien de Vienne, le 5 avril 1803. La première de la Symphonie no 2 a quant à elle été dirigée par Beethoven lui-même à Vienne, en 1813, dans le cadre d’un concert caritatif pour les soldats blessés au front. À l’époque, le public en liesse a exigé un rappel de l’Allegretto, le mouvement le plus populaire de l’œuvre.
23:31
Bach - Sonate no 1 BWV 1014
G00:13:002009HD
La Sonate pour violon et clavecin No. 1 BWV 1014 est la première que Jean-Sébastien Bach ait composée avant 1725, probablement alors qu’il travaillait comme maître de chapelle à Köthen. On croit qu’il a écrit les sonates pour le prince Léopold et que, plus tard, il a adapté ces morceaux pour son usage personnel à Leipzig. C’est peut-être pour cette raison que les sonates sont bien jouables pour des amateursmais qu’elles contiennent également beaucoup de finesse, constituant aussi un défi pour les musiciens professionnels. Comme les «concertos brandebourgeois », ces œuvres ont été écrites pour former une série.
23:45
Beethoven - Sonate pour piano nº 21 - III
G00:14:002017HD
Julijana Sarac interprète le troisième mouvement de la Sonate pour piano no 21, surnommée Sonate Waldstein, de Ludwig van Beethoven. Cette pièce a été achevée en 1804, et est considérée comme l’une des sonates les plus importantes et techniquement complexes du compositeur allemand.