00:00
Mozart - La Flûte enchantée
Antonello Manacorda dirige l’orchestre et le chœur du Teatro La Fenice dans une performance du popularissime opéra Singspiel Die Zauberflöte (La Flûte enchantée) de Wolfgang Amadeus Mozart. Mozart a probablement commencé l’écriture de son chef-d’œuvre en mai 1791, à peine six mois avant sa mort. Le libretto de l’œuvre est écrit par Emanuel Schikaneder. Die Zauberflöte est un conte de fées dans lequel la Reine de la nuit demande au prince Tamino de secourir sa fille Pamina, qui a été enlevée par le prêtre Sarastro. Accompagné par l’oiseleur Papageno, Tamino entame sa quête. Après avoir trouvé Pamina chez Sarastro, Tamino doit relever une série de défis pour prouver qu’il est digne d’épouser la jeune femme. Die Zauberflöte compte de magnifiques arias, notamment la célèbre « Der Hölle Rache kocht in meinem Herzen », un air virtuose chanté par la Reine de la nuit, ici interprétée par la soprano colorature russe Olga Pudova. Les solistes comprennent également Goran Juric, Antonio Poli, Ekaterina Sadovnikova, Alex Esposito et Caterina di Tonno. Cette performance a été enregistrée au Teatro La Fenice de Venise, en Italie, en 2015.
02:26
L'Orchestre philharmonique de Berlin au Japon
Maestro Abbado nous a fait un don de taille lorsqu’il s’est produit en compagnie de l’Orchestre philharmonique de Berlin au Suntory Hall de Tokyo en 1994. La tournée japonaise de Claudio Abbado est considérée comme l’un des moments forts de sa carrière musicale, et ce concert est tout particulièrement mémorable. On trouve au programme la version originale d’Une nuit sur le mont Chauve de Moussorgski et une suite tirée de L’oiseau de feu de Stravinsky, qui contient 7 des 19 morceaux du ballet intégral. Ce concert se termine par l’une des pièces les plus populaires de Tchaïkovski, la Symphonie no 5.
04:04
Œuvres de Haydn, Mozart et Saint-Saëns
Le violoncelliste et chef d’orchestre italien Enrico Bronzi dirige l’Orchestra da Camera di Perugia lors d’un concert intime enregistré dans la magnifique Basilique San Pietro de la ville italienne de Pérouse, le 27 septembre 2021. Le programme s’ouvre avec une interprétation de l’ « Andante cantabile » de la Symphonie n° 13 en ré majeur, Hob. I:13, de Joseph Haydn, interprétée par Bronzi et l’Orchestra da Camera di Perugia. Ensuite, les pianistes italiens Linda Di Carlo et Marco Scolastra se joignent à l’orchestre pour interpréter le Concerto pour deux pianos et orchestre en mi bémol majeur, K. 365, de Wolfgang Amadeus Mozart. Le programme se poursuit avec l’aria « Ch’ol mi scordi di te? ... Non temer, amato bene », K. 505, de Mozart, interprétée par Marina Comparato. La mezzo-soprano italienne clôt le concert avec l’aria « Mon cœur s’ouvre à ta voix », tirée de l’opéra Samson et Dalila de Camille Saint-Saëns, accompagnée par Di Carlo au piano.
05:00
Mozart - Concerto pour violon n° 5
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Grimal est ici accompagné par Les Dissonances pour interpréter comme soliste le Concerto pour violon no 5 en la majeur, K. 219, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Concerto turc. À l’exception du premier, tous les concertos pour violon de Mozart ont été composés en 1775, à l’époque où il était premier violon de l’Orchestre de la Cour de Salzbourg. Le Concerto no 5 est surnommé Concerto turc en raison de son troisième et dernier mouvement, qui comprend une saisissante section d’inspiration turque, que Mozart a créée en modifiant la pulsation et en changeant le mode en mineur pour permettre aux violoncelles et aux basses de jouer col legno, c’est-à-dire d’attaquer la corde avec le bois plutôt qu’avec les crins de l’archet afin de créer un son percussif. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.
05:26
Beethoven - Sonate pour piano no 31, op. 110
Comment pouvons-nous pénétrer dans l’esprit créatif de Beethoven, tout particulièrement pour comprendre ce que signifiait la perte considérable de son ouïe lors des dernières années de sa vie? Le plus récent enregistrement des Sonates pour piano, opus 109, 110 et 111, de Beethoven par le pianiste Tom Beghin constitue une exploration artistique de la façon dont la musique du compositeur a été façonnée par l’environnement de travail qu’il a créé avec ses collègues et amis. Beghin interprète non seulement la trilogie de chefs-d’œuvre pianistiques sur une magnifique nouvelle réplique du piano Broadwood de Beethoven, mais il utilise également une reconstruction de la Gehörmaschine, soit la prothèse auditive qui était installée sur le piano du compositeur pour lui permettre de continuer de créer de la musique malgré le déclin de son audition. « Tu entends mieux lorsque tu places ta tête sous cette machine, n’est-ce pas? », a jadis demandé André Stein à Beethoven. Deux siècles plus tard, nous pouvons nous aussi placer notre tête sous la machine et nous demander : « Entendez-nous Beethoven différemment? » Beghin nous invite à pénétrer dans la machine, pour ressentir et entendre l’essence des vibrations exubérantes et irrésistiblement poétiques de Beethoven. Inside the Hearing Machine est une invitation au cœur du terrain de jeu multisensoriel d’un compositeur sourd pour qui la machine était plus qu’une prothèse auditive, et qui interagissait avec son instrument à l’aide de bien plus que le simple son.
06:00
Mozart - Concerto pour piano no 23, KV 488
Le pianiste hongrois Zoltán Kocsis (1952-2016) se joint au chef d’orchestre tchèque Jiri Belohlávek et à l’Orchestre de chambre de Prague dans la grande salle du palais Wallenstein de Prague pour interpréter le Concerto pour piano no 23, KV 488 de Mozart. L'ensemble de ce concerto pour piano témoigne d’une approche et d’une exécution opératiques, de la théâtralité saisissante des premières notes au lyrisme vocal sublime du mouvement central, jusqu’à la mélodie vaporeuse de la finale.
06:27
Haydn - La création
Le metteur en scène Carlus Padrissa propose une production avant-gardiste éblouissante de l’oratorio La création (Die Schöpfung), Hob. XXI:2, de Joseph Haydn mettant en vedette la compagnie de théâtre catalane mondialement reconnue La Fura dels Baus. Cette production multimédia offre aux spectateurs un flux continu d’images, de texte et d’éléments de mise en scène qui transforment le chef-d’œuvre du compositeur en une expérience théâtrale immersive. La production comprend d’immenses ballons gonflés à l’hélium, une grue de scène et des chanteurs plongés dans un aquarium. Dans cette performance enregistrée à La Seine Musicale de Paris, le 12 mai 2017, la cheffe d’orchestre française Laurence Equilbey dirige son orchestre Insula et le chœur accentus, ainsi que la soprano Mari Eriksmoen, le baryton Daniel Schmutzhard et le ténor Martin Mitterrutzner.
08:11
Le grand orgue en concert
Titulaire actuel des grands orgues de Notre-Dame de Paris, Olivier Latry a entrepris sa carrière musicale à l’âge de 16 ans dans les cours de Gaston Litaize à l’Académie de Saint-Maur. En 1985, Latry, alors âgé de 23 ans, a été nommé parmi les quatre titulaires des grands orgues de Notre-Dame de Paris. En plus d’enrichir le monde musical par son travail à titre d’organiste, d’improvisateur et de compositeur, Latry est également professeur d’orgue au Conservatoire de Paris. Ce concert regroupant des œuvres de Bach, de Vierne et de Daquin a été enregistré à la cathédrale Notre-Dame de Paris, en 2015.
09:21
CMIM Piano 2024 - Finale: Anthony Ratinov
Le pianiste Anthony Ratinov (États-Unis, 1997) interprète le Concerto pour piano n° 3 en do majeur, op. 26, de Sergueï Prokofiev, dans le cadre de la finale de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM). Il est accompagné par l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Xian Zhang. Cette performance a été enregistrée à la Maison symphonique de Montréal.
10:02
Mahler - Symphonie nº 2
« Il serait difficile de trouver une performance plus grande, significative ou émouvante dans l’univers musical actuel : c’était l’harmonie complète de l’esprit et du cœur, de la poésie et de l’indignation, de la peur et du réconfort, du savoir et du ressenti », a déclaré le journal bernois Der Bund après cette superbe interprétation de la symphonie Résurrection de Malher par l’Orchestre du Festival de Lucerne en août 2003. Claudio Abbado a créé cet ensemble avec de célèbres instrumentistes, de grands musiciens de chambre et des solistes d’expérience issus des meilleurs orchestres du monde entier, et le concert affichait déjà complet plusieurs mois en avance. Lors de cette performance, les magnifiques solistes Eteri Gvazava (soprano) et Anna Larsson (mezzo-soprano) sont accompagnées par le chœur Orfeón Donostiarra.
11:28
Brahms - 3 sonates pour violon, Op. 78, 100 et 108
Lors de ce splendide concert de 2013 à l’église de Verbier, en Suidde, le violoniste grec Leonidas Kavakos et la pianiste chinoise Yuja Wang s’unissent pour interpréter trois sonates de Johannes Brahms. Leonidas Kavakos est devenu célèbre en 1985, lorsqu’il est devenu le plus jeune musicien à remporter le premier prix du prestigieux concours Sibelius. Avec Yuja Wang, une artiste qui s’est elle aussi illustrée dès le plus jeune âge, il forme ce duo de maîtres consacré à l’interprétation de musique de chambre. Le programme comprend la Sonate pour piano et violon no 1 en sol majeur, op. 78, aussi surnommée « Regensonate », et la Sonate pour piano et violon no 2 en la majeur, op. 100, surnommée « Thuner-Sonate », un portrait des paysages paisibles du lac de Thoune, en Suisse. Il se conclut de façon enflammée et passionnée avec la Sonate pour piano et violon no 3 en ré mineur, op. 108.
12:50
Teatro Regio behind the scenes
Peu de théâtres italiens peuvent se vanter d’être un point de référence absolu pour la culture nationale et mondiale. Pilier de la vie de Turin, le Teatro Regio est à la fois un symbole d’excellence de la tradition lyrique nationale et une scène prestigieuse accueillant des opéras, des ballets, des concerts et des comédies musicales d’une grande substance. Ce court documentaire offre une incursion dans les coulisses du Teatro Regio et témoigne de la réputation enviable qui le précède depuis son ouverture, en 1740.
13:20
IVC 2019 - Finale: Schubert, Schumann et al.
La soprano Harriet Burns (Royaume-Uni, 1989) et le pianiste Ian Tindale (Royaume-Uni, 1990) interprètent Verklärung (D. 59) de Franz Schubert; Er ist gekommen in Sturm und Regen (op. 12, no 2) de Clara Schumann; « L’heure exquise », extrait des Chansons grises de Reynaldo Hahn; « Le printemps », des Douze rondels de Hahn; « Herzeleid », tiré des Sechs Gesänge (op. 107) de Robert Schumann; « Le corbeau et le renard », des Trois fables d’André Caplet; Die Liebende schreibt (RC 20) par Alphons Diepenbrock; « Seranilla de la zarzuela », de A Spanish liederbooklet par Judith Weir; Renouncement de Muriel Herbert; et « Waldmädchen », des Eichendorff-Lieder de Hugo Wolf, lors de la finale du Concours vocal international 2019 – Duo de lied. Cette performance a été captée au Theater aan de Parade à Bois-le-Duc (‘s-Hertogenbosch), aux Pays-Bas.
13:48
Chopin - Fantaisie en fa mineur, op. 49
Le pianiste italien Andrea Molteni (1998) interprète Fantaisie en fa mineur, op. 49, de Frédéric Chopin. Molteni a commencé à étudier le piano à l’âge de six ans et a poursuivi ses études au Conservatorio di musica Giuseppe Verdi di Como, puis au Conservatorio della Svizzera Italiana de Lugano, où il a décroché une maîtrise magna cum laude en études avancées de la performance. En carrière, il s’est produit sur les planches de la Wiener Saal de l’Université Mozarteum de Salzbourg, du musée Scriabin de Moscou, du National Opera Center de New York et de plusieurs autres salles de spectacle internationales. Cette performance a été enregistrée à l’Oberlin Conservatory of Music, en Ohio, aux États-Unis, en 2022.
14:00
Gaming in Symphony
Eímear Noone dirige l’Orchestre symphonique national du Danemark et son chœur lors d’une performance spectaculaire qui comprend certaines des plus célèbres trames musicales de jeux vidéo des 40 dernières années. Ce programme met en vitrine la profondeur et l’ampleur de la musique de jeux vidéo, avec des morceaux de la légende du Nintendo Koji Kondo, du vétéran de DOOM Mick Gordon et d’une panoplie d’autres compositeurs contemporains. Les trames principales abordées incluent Call of Duty, Final Fantasy, Assassin’s Creed, Halo et World of Warcraft. Les solistes de cette performance sont Tuva Semmingsen (mezzo) et Christine Nonbo Andersen (soprano). Capté au DR Koncerthuset de Copenhague, au Danemark, en 2018.
15:10
Rachmaninov - Sonate pour violoncelle, op. 19
La violoncelliste italienne Silvia Chiesa et le pianiste italien Maurizio Baglini présentent la Sonate en sol mineur pour violoncelle et piano, op. 19, de Sergueï Rachmaninov. Cette performance a été enregistrée à la Sala Verdi du Conservatorio Giuseppe Verdi de Milan, en Italie, le 4 novembre 2024.
15:35
Abbado dirige Mahler No 4 et Rückert-Lieder
La mezzo-soprano Magdalena Kožená ne se contente pas de faire résonner les « joies célestes » dans le mouvement final de la Symphonie no 4 de Gustav Mahler. Dès le début du concert, elle se consacre à la beauté angélique et à la simplicité intimiste du Rückert Lieder de Mahler. Pratiquement toutes les pièces composées par Mahler avant 1900 étaient basées sur des textes de Des Knaben Wunderhorn, une collection de poèmes folkloriques publiée par Clemens Brentano et Achim von Arnim. Après cette époque, Mahler a uniquement mis en musique l’œuvre d’un seul poète, l’orientaliste allemand et traducteur Friedrich Rückert. Mahler a affirmé que ses poèmes le touchaient si profondément qu’il avait parfois l’impression de les avoir écrits lui-même. Dans son dernier lied, Ich bin der Welt abhanden gekommen, Malher cite également une phrase de l’adage de sa quatrième symphonie. Questionné quant à la signification de ce choix, Malher aurait affirmé qu’il le considérait comme sa propre personnification.
17:02
Arias, solos et duos de J. S. Bach
Le baryton Matthias Goerne s’est associé au violoniste Vilde Frang, au violoncelliste Nicolas Altstaedt, au flûtiste Stathis Karapanos et à la claveciniste Michaela Hasselt pour présenter un programme consacré à la musique de J. S. Bach. Ils ont interprété des arias pour baryton tirées de ses plus belles cantates, ainsi que des morceaux en solo ou en duo. Au programme, la Sonate no 3 en do majeur pour violon solo (BWV 1005); « Hier, in meines Vaters Stätte » (BWV 32); « Die Welt mit allen Königreichen » (BWV 59); la Suite no 5 en do mineur pour violoncelle solo (BWV 1011); « Wenn Trost und Hülf ermangeln muß » (BWV 117); « Ja, ja, ich halte Jesum fest » (BWV 157); l’Invention no 7 en mi mineur (BWV 778); l’Invention no 12 en la majeur (BWV 783); et « Welt ade, ich bin dein müde » (BWV 158). Cette performance a été captée à l’église St. Mary’s de Wittenberg, en Allemagne.
18:01
Mozart - Gala pour les sœurs Weber
Le 23 mars 1783, Wolfgang Amadeus Mozart a livré un brillant concert au Burgtheater de Vienne, qu’il a dédié aux sopranos Aloysia et Josepha Weber, les sœurs de sa femme Constance. Le programme du concert, qui serait considéré comme étrange selon les normes d’aujourd’hui, mettait en vedette la Symphonie no 35, présentée de façon morcelée et entrecoupée d’autres compositions, notamment des concertos, des arias et des œuvres pour piano solo. Près de deux siècles de demi plus tard, la soprano française Sabine Devieilhe, le chef d’orchestre Raphaël Pichon et l’Ensemble Pygmalion proposent un merveilleux concert inspiré par cet événement marquant. Le programme comprend l’« allegro con spirito » de la Symphonie no 35, également connue sous le nom de Symphonie Haffner; « Vorrei spiegarvi, oh Dio », KV 418; « Schon lacht der holde Frühling », KV 580; le trio composé de « Die Schlittenfahrt’ no 3 », KV 605; de « Deutscher Tanz no 6 », KV 571; et de « Der Hölle Rache kocht in meinem Herzen » tirés de l’opéra Die Zauberflöte; « Finale: Presto » de la Symphonie no 35; « Nehmt meinen Dank », KV 383; et « Dans un bois solitaire et sombre », KV 308. Cette performance a été enregistrée au Théâtre Impérial de Compiègne, en France.
18:46
Beethoven - Symphonie no 1 en do majeur, op. 21
Le chef d’orchestre suisse Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont enregistré le cycle complet des symphonies de Ludwig van Beethoven entre 2014 et 2015. Dans cette performance, Jordan dirige la Symphonie no 1 en do majeur, op. 21, de Beethoven. Cette pièce témoigne non seulement de la loyauté du compositeur envers le modèle des symphonies tardives de Joseph Haydn et de Wolfgang Amadeus Mozart, mais également de son désir de se distinguer de ses prédécesseurs. Par exemple, l’œuvre s’ouvre avec une introduction lente qui évite de définir la tonalité de la pièce, ce qui contribue à désorienter l’auditeur. Au rang des particularités de l’œuvre, on note également la présence inhabituellement marquée des bois, et le troisième mouvement qui, bien qu’indiqué comme menuet, affiche plutôt le caractère d’un scherzo. Cette performance a été enregistrée à l’Opéra Bastille de Paris, en France, en 2014.
19:17
Bruch - Concerto pour violon no 1, Op. 26
Sir Simon Rattle dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin dans le cadre de l’édition 2008 de l’Europakonzert, présentée dans la célèbre salle du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Depuis 1991, l’Europakonzert célèbre chaque année la fondation de la Philharmonie de Berlin, le 1er mai 1882, par un concert dans une ville européenne qui revêt une certaine importance culturelle. Ce concert débute par une interprétation exceptionnelle de la Symphonie en trois mouvements de Stravinsky. Vadim Repin, l’un des artistes les plus fascinants de la scène musicale actuelle, est le soliste du Concerto pour violon no 1, op. 26, de Bruch. Le programme se termine par la Symphonie no 7 de Beethoven, dont le deuxième mouvement, l’Allegretto, a connu un succès immédiat lors de sa création, en 1813, et demeure aujourd’hui un grand favori du public.
19:43
Demi-finale I - Concours piano de Liszt
Minsoo Hong (1993, Corée du Sud) interprète Variationen über das Motif von J.S. Bach: « Weinen, Klagen » (S180), Les Adieux de Gounod / Liszt, Rêverie sur un motif de l’opéra Roméo et Juliette (S409) et la Valse de l’opéra Faust (S407) de Gounod / Liszt au cours de la demi-finale I du 11e Concours international de piano Franz Liszt tenu à TivoliVredenburg, Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
20:20
IVC 2021 Demi-finale: Debussy, Messiaen et autres
La soprano Sara Gouzy (France, 1991) et la pianiste Seri Dan (Corée du Sud, 1992) interprètent « Chevaux de bois » tirée des Ariettes oubliées, L. 63, de Claude Debussy; An den Mond, op. 57, no 3, D. 193, de Franz Schubert; « Le collier » tirée des Poèmes pour Mi d’Olivier Messiaen; « Margaritki » tirée des Six Romances, op. 38, de Sergueï Rachmaninov; « Quelle aventure! » et « La reine de cœur » tirées de La courte paille de Francis Poulenc; Vermeer’s gold de Bart Visman; et « Wie Lange schon war immer mein Verlangen » et « Ich hab in Penna einen Liebsten wohnen » tirées de Italienisches Liederbuch de Hugo Wolf dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.