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Verdi - La traviata
PG02:15:002008HD
Cette production du populaire opéra La Traviata de Giuseppe Verdi a été présentée en plein air au Festival St. Margarethen en 2008 par l’Orchestre philharmonique de Slovaquie, sous la direction d’Ernst Märzendorfer. Les solistes Kristiane Kaiser, Magdalena Anna Hofmann et Stefanie Kopinits s’y produisent dans un cadre physique saisissant ayant pour toile de fond les montagnes autrichiennes. Plusieurs hommes font la cour à la riche courtisane Violetta, mais quand elle rencontre Alfredo, elle choisit de vivre une nouvelle vie avec lui. Elle échange donc Paris pour la campagne, mais son passé la poursuit : le père d’Alfredo n’approuve pas de son passé et la convainc d’abandonner son fils. Alfredo est ignorant des supplices de son père et, pensant que Violetta l’a utilisé, il est furieux contre son ancienne amante. Au final, il comprend que Violetta l’a abandonné pour qu’il soit libre, mais il est trop tard. Atteinte d’une maladie incurable, Violetta meurt dans ses bras.
02:15
Waldbühne 1996 – Soirée italienne
G01:48:001996HD
L’amphithéâtre Waldbühne de Berlin a été conçu par l’architecte allemand Werner March à l’image d’un théâtre grec. Comptant plus de 22 000 places, il a été construit entre 1934 et 1936 pour être utilisé durant les Jeux olympiques d’été 1936. Depuis la Deuxième Guerre mondiale, le Waldbühne a été le cadre de plusieurs événements, dont des matches de boxe, des visionnements de film et des concerts classiques et rock. Le Berlin Philharmonic y donne chaque année un magnifique concert en plein air. Dans cette diffusion de 1996, Claudio Abbado dirige l’orchestre. Il invite le baryton basse Bryn Terfel, le ténor Sergei Larin et la soprano Angela Gheorghiu à chanter des airs de Verdi. Le programme comprend plusieurs compositions de Giuseppe Verdi, dont son ouverture de Nabucco, son duo Et lui de Don Carlos, son chœur Fuoco di gioia, le Crédo de Jago, son duo Gia nella notte d’Otello, sa marche triomphale et son chœur Gloria all’ Egitto d’Aida. Une présentation d’Eccomi de l’opéra I Capuleti e i Montecchi de Vincenzo Bellini complète le programme.
04:03
Beethoven – Dernières sonates, op. 109, 110 et 111
G01:04:002018HD
Les trois dernières sonates de Beethoven – opus 109, 110 et 111 – explorent les méandres secrets de l’âme humaine, du désespoir jusqu’à la transfiguration. Lorsqu’il les a composées, Beethoven était déjà prisonnier de sa surdité, ce qui affectait énormément son rapport aux autres et au monde. Ce contexte psychologique est exploré par le réalisateur Mariano Nante, qui plonge le pianiste Alexandre Tharaud dans un film inspiré de l’univers de Tarkovski. Tournée dans des châteaux abandonnés, sous la direction photographique de Yorgos Arvanitis, cette œuvre évoque la solitude et l’introspection, proposant un voyage intérieur en images et en musique.
05:07
Bach - Concerto brandebourgeois no 1
G00:19:002021HD
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 1 en fa majeur (BWV 1046) de Bach. L’instrumentation de ce concerto se compose de cordes, de bois et de cuivres, avec des instruments solistes dans chaque groupe.
05:27
Mozart - Sonata pour piano no 13, KV 333
G00:32:002006HD
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
06:00
Mozart - Symphonie no 39, K. 543
G00:32:001991HD
David Zinman dirige le Deutsche Kammerphilharmonie dans une performance de la Symphonie no 39, K. 543, de W. A. Mozart (1756-1791). Ce concert présenté à la Sophiensaal de Munich en 1991 est mis en scène par János Darvas. Cette œuvre est la première d’une série de trois symphonies composées en succession rapide à l’été 1788, qui seront les dernières de Mozart. Le premier mouvement débute par une introduction majestueuse dans laquelle on peut entendre des fanfares dans la section des cuivres. La pièce est également composée d’un menuet et un trio, qui comprend la danse folk autrichienne « Ländler », de même que d’un solo pour clarinette.
06:32
The Galileo Project : Music of the Spheres
G01:20:002012HD
Le Tafelmusik Baroque Orchestra, aussi surnommé Tafelmusik, est un orchestre baroque canadien de Toronto spécialisé en musiques anciennes. Il est dirigé par la violoniste Jeanne Lamon. Dans The Galileo Project : Music of the Spheres, l’orchestre interprète Monteverdi, Vivaldi, Bach et Händel devant des images HD du télescope Hubble, de la NASA et d’astronomes canadiens. Explorez la fusion des arts, de la science et de la culture aux 17e et 18e siècles dans ce concert original commémorant la première démonstration publique du télescope par Galilée. L’acteur Shaun Smyth se fait narrateur du captivant scénario, tandis que les musiciens s’exécutent sur et autour d’une scène magique créée par Marshal Pynkoski. Créé et scénarisé par Alison Mackay.
07:52
Brahms - Concerto pour violin & Ouverture op. 80
G00:56:002014HD
L’un des chefs d’orchestre les plus distingués de notre époque, Franz Welser-Möst, dirige l’Orchestre de Cleveland lors d’une performance mettant en vedette des œuvres de Brahms. Le concert s’amorce avec Ouverture pour une fête académique, écrite en l’honneur de l’Université de Breslau, qui décerna au compositeur un doctorat honorifique en philosophie. Ce morceau est suivi du Concerto pour violon (en ré majeur) de Brahms, décrit comme l’un des quatre grands concertos pour violon allemands par le violoniste Joseph Joachim, pour qui il a été composé. Présentée avec la soliste Julia Fischer au violon, cette performance a été captée au Severance Hall de Cleveland, États-Unis, en 2014.
08:49
CMIM Piano 2024 - Demi-finales II: Derek Wang
G01:12:002024HD
Le pianiste Derek Wang (États-Unis, 1998) interprète Improvisation no 1 en si mineur, Nocturne no 4 en do mineur (Bal fantôme) et Improvisation no 6 en si bémol majeur de Francis Poulenc; Mzizaakok Miiniwaa Mzizaakoonsak (Taons et mouches à chevreuil) de Barbara Assiginaak; et la Sonate no 29 en si bémol majeur, op. 106 (Hammerklavier), de Ludwig van Beethoven dans le cadre du récital solo des demi-finales de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM). Cette performance a été enregistrée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
10:01
Emotion and Analysis
G00:54:002003HD
Le chef d’orchestre Pierre Boulez (1925-2016) décrit sa relation avec la musique de Béla Bartók (1881-1945) de « sympathie entre musiciens ». Le maestro français s’intéresse à la musique du grand compositeur hongrois depuis plus de cinq décennies, et tous deux figurent parmi les artistes les plus influents du 20e siècle. L’une des pièces les plus importantes de Bartók est le Concerto pour orchestre, qui a été présenté pour la première fois à Boston en 1944. Le documentaire Emotion and Analysis suit Pierre Boulez et l’Orchestre philharmonique de Berlin lors de leurs répétitions de cette pièce, et pose un regard fascinant sur les méthodes de ce grand maître de la musique moderne. Les répétitions ont lieu dans le spectaculaire monastère des Hiéronymites (Mosteiro dos Jeronimos) de Lisbonne, qui a également accueilli le concert européen annuel de l’Orchestre philharmonique de Berlin en 2003. Dans une série d’entretiens, Pierre Boulez explique les origines des dernières œuvres de Bartók, et décrit son style personnel d’interprétation, son rôle à titre de chef d’orchestre et sa propre passion pour la composition.
10:56
Hommage à Vienne
G01:05:002011HD
L’ensemble The Philharmonics rend hommage à Vienne dans le cadre de ce concert enregistré au Café Sperl de la capitale autrichienne, le 9 mars 2011. Cette formation composée de musiciens de l’Orchestre philharmonique de Vienne interprète des arrangements de cinq valses populaires de Johann Straus II, notamment la Kaiser-Walzer, op. 437, et la Schatz-Walzer, op. 418, tirée de l’opérette Le Baron tzigane. Les arrangements ont été composés par Arnold Schönberg, Alban Berg et Anton Webern en mai 1921 pour recueillir des fonds pour leur Société des prestations musicales privées. Bien que le concert et la mise à l’encan des partitions ont connu énormément de succès, la Société a éventuellement fait faillite. Le programme du concert comprend également des œuvres de Fritz Kreisler, de Leopold Godowsky et de Tibor Kováč (premier violon de The Philharmonics), et se termine par l’hommage de Godowsky à Vienne, Alt-Wien.
12:01
Mahler - Symphonie no 1 en ré majeur, « Titan »
G00:57:002021HD
Le Maggio Musicale Fiorentino (Mai musical de Florence) est le plus ancien festival italien consacré à l’opéra et à la musique. Il a été créé en 1933 pour présenter des opéras contemporains et oubliés, mais au fil des ans, sa portée s’est élargie pour inclure des concerts orchestraux. Dans le cadre de l’édition 2021 du festival, maestro Daniel Harding a dirigé l’Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino dans un programme merveilleux comprenant l’Ouverture tragique en ré mineur, op. 81, de Johannes Brahms, et la Symphonie no 1 en ré majeur, dite « Titan » de Gustav Mahler. Composée pendant l’été 1880, l’ouverture de Brahms affiche un caractère sombre et tumultueux qui pourrait être considéré comme le pendant sérieux de la plus joyeuse Ouverture pour une fête académique, op. 80. Mahler a achevé sa première symphonie huit ans plus tard. À l’origine, elle comptait cinq mouvements, mais le compositeur a décidé d’éliminer le deuxième, intitulé « Blumine », quelques années plus tard pour nous laisser la version en quatre mouvements que nous connaissons aujourd’hui. Cette performance a été enregistrée au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino de Florence, en Italie, en 2021.
12:58
IVC 2021 - Finale: Diepenbrock, Fauré et autres
G00:28:002021HD
Le ténor Zhuohan Sun (Chine, 1993) et la pianiste Sara Pavlovic (Serbie, 1996) interprètent « Wanderlied », tirée de Kerner-Lieder, op. 35, de Robert Schumann; « Der Abend kommt gezogen », tirée de Drie ballades, op. 1, d’Alphons Diepenbrock; Prison, op. 83, no 1, de Gabriel Fauré; « Ganymed », tirée de Goethe-Lieder de Hugo Wolf; Nacht und Träume, D. 827, de Franz Schubert; « The Bridge in My Homeland » de Zaiyi Lu; « Mit Myrten und Rosen », tirée de Liederkreis, op. 24, de Schumann; « C », tirée des Deux poèmes de Louis Aragon, FP 122, de Francis Poulenc; et « Scheiden und Meiden », tirée de Lieder und Gesänge aus der Jugendzeit de Gustav Mahler dans le cadre de la ronde finale de l’édition 2021 du concours de chant annuel International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée sur les planches du théâtre Verkadefabriek de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
13:27
Beethoven - Sonate pour piano no 32, op. 111
G00:34:002016HD
Comment pouvons-nous pénétrer dans l’esprit créatif de Beethoven, tout particulièrement pour comprendre ce que signifiait la perte considérable de son ouïe lors des dernières années de sa vie? Le plus récent enregistrement des Sonates pour piano, opus 109, 110 et 111, de Beethoven par le pianiste Tom Beghin constitue une exploration artistique de la façon dont la musique du compositeur a été façonnée par l’environnement de travail qu’il a créé avec ses collègues et amis. Beghin interprète non seulement la trilogie de chefs-d’œuvre pianistiques sur une magnifique nouvelle réplique du piano Broadwood de Beethoven, mais il utilise également une reconstruction de la Gehörmaschine, soit la prothèse auditive qui était installée sur le piano du compositeur pour lui permettre de continuer de créer de la musique malgré le déclin de son audition. « Tu entends mieux lorsque tu places ta tête sous cette machine, n’est-ce pas? », a jadis demandé André Stein à Beethoven. Deux siècles plus tard, nous pouvons nous aussi placer notre tête sous la machine et nous demander : « Entendez-nous Beethoven différemment? » Beghin nous invite à pénétrer dans la machine, pour ressentir et entendre l’essence des vibrations exubérantes et irrésistiblement poétiques de Beethoven. Inside the Hearing Machine est une invitation au cœur du terrain de jeu multisensoriel d’un compositeur sourd pour qui la machine était plus qu’une prothèse auditive, et qui interagissait avec son instrument à l’aide de bien plus que le simple son.
14:01
Waldbühne 2004 - Nuit avec Tchaïkovski
G01:39:002004HD
The Berliner Philharmoniker and Lang Lang under the baton of Sir Simon Rattle
15:40
Danielpour - Elegies
G00:36:002019HD
Hartmut Haenchen dirige Philharmonie Zuidnederland lors de cette interprétation des Élégies de Richard Danielpour. Les solistes sont Marina Prudenskaya (mezzo-soprano) et Thomas Oliemans (baryton). La performance a été captée à la salle Muziekgebouw d’Eindhoven, Pays-Bas, en 2019. Richard Danielpour (*1956), l’un des compositeurs américains les plus estimés de sa génération, s’inspire d’icônes des États-Unis, notamment Aaron Copland, Samuel Barber et Leonard Bernstein.
16:17
Le LSO interprète Dvořák et Tchaïkovski
G01:15:002021HD
Sir Simon Rattle dirige le London Symphony Orchestra (LSO) dans un concert regroupant le Scherzo-caprice en ré bémol majeur, op. 66, d’Antonín Dvořák et des extraits de l’acte II du célèbre ballet Casse-noisette (1892) de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Le Scherzo-caprice (1883) laisse transparaître la crise traversée par Dvořák lors de sa composition : l’œuvre trahit les humeurs variables et la grande fébrilité vécues à l’époque par le compositeur. Dans Casse-noisette, Tchaïkovski a combiné des mélodies mémorables à une orchestration colorée, qui fait le bonheur des mélomanes depuis des décennies. Ce concert a été enregistré à LSO St Luke’s, à Londres, au Royaume-Uni, le 18 mars 2021.
17:33
Mozart à Vienne
PG00:58:002006HD
Le documentaire Mozart in Vienna nous fait voyager dans la capitale autrichienne, au 18e siècle. On y découvre comment Wolfgang Amadeus Mozart a choisi de prendre en main sa propre œuvre pour devenir le premier compositeur indépendant. Après des voyages à Salzbourg et à Paris, Mozart entreprend sa carrière à Vienne. Il s’y produit souvent comme pianiste, mais ne s’épanouit pleinement comme compositeur que lors de la parution de son opéra Die Entführung aus dem Serail (L’enlèvement au sérail), en 1782. Cette grande œuvre est jouée dans toute l’Europe germanophone, aidant Mozart à devenir un compositeur établi et prospère. Après s’être lié d’amitié avec Joseph Haydn à Vienne en 1784, Mozart décide de dédier ses six quatuors à cordes à son compatriote, qui avait lui-même déjà composé plusieurs œuvres du genre. Encore aujourd’hui, nous avons la chance de pouvoir apprécier les grandes œuvres composées par Mozart pendant ses jours à Vienne.
18:31
Mozart live à Beijing
G01:27:002006HD
Le 27 janvier 2006, le pianiste virtuose chinois Lang Lang a célébré l’anniversaire de W.A. Mozart avec une performance du Concerto pour piano no 24 dans le hall des concerts de la Cité interdite de Beijing en compagnie de l’Orchestre philharmonique de Chine, sous la direction de Long Yu. Le hall des concerts est situé à l’intérieur des murs de la Cité interdite, dans les jardins magnifiquement entretenus du parc Zhongshan, directement adjacents à la place Tian’anmen. Le programme du concert comprend également l’ouverture de Cosi fan tutte, la Symphonie no 25, KV 183, « Hai gia vint la causa! » tirée de Le Nozze di Figaro, « Finch’han dal vino » tirée de Don Giovannia et la Sonate pour piano no 10, K. 330.
19:59
Demi-finale II - Concours piano de Liszt 2017
G00:23:002017HD
Michelle Candotti (1996, Italie) interprète Die drei Zigeuner (S383), Die Zelle in Nonnenwerth (S382bis) et La lugubre gondola (S134bis) dans le cadre de la demi-finale (catégorie musique de chambre) de la 11e édition du Concours international de piano Franz-Liszt, présentée au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
20:23
IVC 2021 - Demi-finale: Finzi, Duparc et autres
G00:36:002021HD
Le ténor Ilja Aksionov (Lituanie, 1996) et le pianiste Gustas Raudonius (Lituanie, 1996) interprètent Het goud van Vermeer de Bart Visman; « As I lay in the early sun » tirée de Oh fair to see, op. 13b, de Gerald Finzi; Extase d’Henri Duparc; Paysage sentimental, L. 55, de Claude Debussy; « Mausfallensprüchlein » tirée de Sechs Lieder de Hugo Wolf; « Krysolov » tirée des Six Romances, op. 38, de Sergueï Rachmaninov; Rastlose Liebe, op. 5, no 1, D. 138, de Franz Schubert; et De klare dag, RC 4, d’Alphons Diepenbrock dans le cadre des demi-finales de l’édition 2021 de l’International Vocal Competition ’s-Hertogenbosch, consacrée aux lieder en duo. Cette performance a été enregistrée au Musée Het Noordbrabants de la ville de ’s-Hertogenbosch, aux Pays-Bas.
21:00
Handel - Le triomphe du temps et de la désillusion
PG02:18:002016HD
Emmanuelle Haim dirige Le Concert d’Astrée dans une interprétation d’Il Trionfo del Tempo e del Disinganno (Le triomphe du temps et de la désillusion), un oratorio à deux voix de G. F. Haendel. L’œuvre, dont le libretto est signé par Benedetto Pamphili, a été créée à Rome en 1707. Le metteur en scène Krzysztof Warlikowski propose une version profonde et tendre de ce premier oratorio de Haendel, créé alors que le compositeur n’avait que 22 ans. Le Temps et la Désillusion, les personnages principaux de l’histoire, tentent de convaincre la Beauté d’abandonner le Plaisir pour accéder à des gratifications moins fugaces. Cette version d’Il Trionfo del Tempo e del Disinganno enregistrée au Festival d’Aix-en-Provence en 2016 met en vedette Sabine Devieilhe, qui impressionne encore une fois par sa technique, sa portée et son timbre, tout particulièrement lors de ses harmonies magnifiques avec Franco Fagioli. Les autres solistes sont Michael Spyres et Sara Mingardo.
23:18
Rimsky-Korsakov - Le Conte du tsar Saltan suite
G00:31:002016HD
Lors de ce concert exquis capté en 2016 au Tchaikovsky Concert Hall de Moscou, l’Orchestre national de Russie et le pianiste vedette Boris Berezovsky sont dirigés par le chef d’orchestre Mikhail Pletnev pour interpréter deux magnifiques suites de Nikolai Rimsky-Korsakov. Lauréat du Concours international Tchaikovsky de Moscou en 1990, Berezovsky joue l’œuvre de Rimsky-Korsakov avec la puissance d’un virtuose. Le programme comprend la suite pour orchestre de La légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia, ainsi que l’imagerie musicale pour orchestre du Conte du tsar Saltan. Ce programme est produit par la Société philharmonique de Moscou, décrite par le compositeur de Saint-Pétersbourg Dmitri Shostakovich comme une actrice importante dans le « développement de la vie musicale [de la Russie] » et une « université rassemblant des millions d’amoureux de la musique et des milliers de musiciens ». La Société philharmonique de Moscou a été fondée en 1922 par Anatoly Lunacharsky, devenu commissaire de la Culture. Au fil des ans, elle est devenue la plus importante institution organisant des concerts en Russie.
23:50
CMIM Piano 2024 – Demi-finales I: Carter Johnson
G00:09:002024HD
Le pianiste Carter Johnson (Canada, 1996) se joint à l’ensemble du CMIM, composé de trois solistes de la section des cordes de l’Orchestre symphonique de Montréal, pour interpréter « Sostenuto assai – Allegro ma non troppo », le premier mouvement du Quatuor pour piano en mi bémol majeur, op. 47, de Robert Schumann. Cette performance a été présentée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal dans le cadre des demi-finales consacrées à la musique de chambre de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM).