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163Stingray Classica French
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00:00
Handel - Agrippina
PG02:34:001985HD
La petite ville allemande de Schwetzingen, située à proximité de Heidelberg, possède un célèbre palais doté de magnifiques jardins, qui ne sont pas sans rappeler ceux de Versailles. Tous les printemps, le palais accueille le festival de Schwetzingen, qui commande chaque année la création d’un opéra à petite échelle pour son splendide théâtre rococo, construit en 1752. Agrippina est un brillant opéra composé par George Frideric Händel en début de carrière, alors qu’il n’avait que 24 ans. Premier grand succès d’Händel, Agrippina est une œuvre rafraîchissante, exubérante et inventive, dont le livret a été conçu par le cardinal Vincenzo Grimani, l’un des meilleurs librettistes avec lesquels Händel a travaillé. La mise en scène de cette version d’Agrippina présentée sur les ondes de Stingray Brava est dirigée par le chef d’orchestre Arnold Östman, un éminent spécialiste de la musique des 17e et 18e siècles. L’ensemble London Baroque accompagne Barbara Daniels, Janice Hall et David Kuebler dans cette production élégante et colorée signée Michael Hampe, qui met magnifiquement en scène les intrigues perfides et la soif de pouvoir d’Agrippina la Jeune, et les luttes intestines de la Rome classique.
02:34
Berliner Philharmoniker in Japan
G01:37:001994HD
Maestro Abbado nous a fait un don de taille lorsqu’il s’est produit en compagnie de l’Orchestre philharmonique de Berlin au Suntory Hall de Tokyo en 1994. La tournée japonaise de Claudio Abbado est considérée comme l’un des moments forts de sa carrière musicale, et ce concert est tout particulièrement mémorable. On trouve au programme la version originale d’Une nuit sur le mont Chauve de Moussorgski et une suite tirée de L’oiseau de feu de Stravinsky, qui contient 7 des 19 morceaux du ballet intégral. Ce concert se termine par l’une des pièces les plus populaires de Tchaïkovski, la Symphonie no 5.
04:12
Brahms - Symphonie no 4, Op. 98
G00:40:002014HD
Franz Welser-Möst dirige l’Orchestre de Cleveland, qui interprète la Symphonie no 4 de Brahms. Dernière œuvre de son petit corpus symphonique, elle a été décrite comme l’un des « actes créatifs suprêmes de l’ère romantique » par le critique musical Malcolm Macdonald. La Quatrième symphonie de Brahms est dotée d’une forte mélancolie sous-jacente et semble pointer un passé irrécupérable. Ce passé est majestueusement évoqué dans l’œuvre, surtout par le thème du premier mouvement évoquant la pratique baroque, mais aussi par le recours au genre baroque de la chaconne dans le dernier mouvement, où Brahms décline plus de 30 variations d’un thème imposant et solennel. Cette performance a été captée au Severance Hall de Cleveland, aux États-Unis, en 2014.
04:53
Bach - Concerto brandebourgeois no 1
G00:19:002021HD
Composés vers 1711-1720, les six concertos brandebourgeois de J. S. Bach figurent parmi ses œuvres les plus connues. En 1721, il les a dédiés à Christian Ludwig, le margrave de Brandebourg. Pour célébrer leur 300e anniversaire en 2021, le claveciniste et chef d’orchestre tchèque Václav Luks et le célèbre ensemble baroque Collegium 1704 ont enregistré les six concertos brandebourgeois sur des instruments anciens. Ils sont basés sur la forme italienne du concerto grosso, dans lequel un groupe d’instruments solistes est opposé à un grand ensemble. Les concertos brandebourgeois de Bach présentent de remarquables combinaisons d’instruments solistes et de solos virtuoses. Lors de cette représentation à la galerie des Glaces du château de Köthen (Allemagne), Luks et son Collegium 1704 présentent le Concerto brandebourgeois no 1 en fa majeur (BWV 1046) de Bach. L’instrumentation de ce concerto se compose de cordes, de bois et de cuivres, avec des instruments solistes dans chaque groupe.
05:12
PIAM - Demi-finale I: Debussy, Chopin et Liszt
G00:47:002020HD
En 2019-2021, la première édition du Prix international Antonio Mormone (Premio Internazionale Antonio Mormone) a eu lieu dans la ville italienne de Milan. Ce concours international a été créé par Enrica Ciccarelli, présidente de la fondation La Società dei Concerti, en mémoire du célèbre découvreur de talents Antonio Mormone (1930-2017). La première édition était consacrée au piano. Dans le cadre de ce concours, Ying Li (Chine, 1997) interprète Images, livre I de Claude Debussy; Nocturne en do dièse mineur (op. 27, no 1) de Frédéric Chopin; et la « Paraphrase de concert sur Rigoletto » (S. 434) de Franz Liszt. Cette performance a été captée au Teatro Edi Barrio’s de Milan en février 2020.
06:00
Bach – L’Offrande musicale en do mineur
G00:53:002000HD
L’Ensemble Kuijken est composé des trois frères belges Kuijken à la flûte, au violon et à l’alto, ainsi que du claveciniste Robert Kohnen. Ces quatre musiciens figurent parmi les plus éminents spécialistes actuels de la musique ancienne, qu’ils cherchent à faire découvrir au public par de multiples façons. Ces efforts de promotion occupant la majeure partie de leur temps, leurs rares réunions sur scène deviennent de véritables célébrations. Sur les ondes de Stingray Brava, l’Ensemble Kuijken interprète L’Offrande musicale de Jean-Sébastien Bach, jouée ici d’après une partition rigoureusement épurée qui témoigne du style inimitable et de la riche expérience de chaque musicien. Bach a composé L’Offrande musicale en 1747, à l’occasion de sa visite à la cour du roi Frédéric II de Prusse, à Potsdam. Enregistrée dans le cadre historique de l’hôtel de ville de Leipzig à l’occasion du jubilé de Bach en 2000, cette performance recrée à merveille l’atmosphère de l’époque.
06:53
Karl Jenkins - The Armed Man: A Mass for Peace
G01:09:002018HD
Dans le cadre de ce concert historique, Sir Karl Jenkins dirige le World Orchestra for Peace et quelque 2 000 chanteurs provenant de près de 30 pays à l’aréna Mercedes Benz de Berlin, le 2 novembre 2018. Les solistes sont Leah-Marian Jones, Yumeji Matsufuji, Pauline Rathmann, Amir Aziz, Krzysztof Wisniewski (violon) et Valentino Worlitzsch (violoncelle). The Armed Man: A Mass for Peace du compositeur gallois Sir Karl Jenkins est l’œuvre la plus souvent interprétée de tout compositeur vivant. Dans le cadre de la plus imposante mise en scène de l’œuvre jamais produite, la musique de Jenkins est superposée à des images d’archives qui renforcent la trame narrative de l’œuvre en décrivant la rumeur précédant le conflit, la guerre et ses conséquences. Projeté sur cinq écrans géants, le film crée une toile de fond poignante à la narration musicale, et offre au public une expérience multimédia puissante et riche en émotions.
08:03
Brendel et Abbado au Festival de Lucerne
G00:44:002005HD
Alfred Brendel est le soliste du Concerto pour piano n° 3 en ut mineur op. 37 de Ludwig van Beethoven. Le programme est complété par la Symphonie n° 7 en mi majeur d'Anton Bruckner. L'Orchestre du Festival de Lucerne est dirigé par Claudio Abbado. Les semaines internationales de musique sont à l'origine du développement du festival de Lucerne, grâce à Arturo Toscanini, en 1938. Depuis 1966, Claudio Abbado était régulièrement invité au festival. En 2003, il en prit la direction, refondant l'Orchestre et gardant ce poste jusqu'à sa mort en 2014. L'Orchestre accueille des musiciens de l'Orchestre de chambre Mahler, de l'Orchestre philharmonique de Berlin et des solistes internationaux.
08:47
CMIM Piano 2024 - Finale: Jaeden Izik-Dzurko
G01:18:002024HD
Le pianiste Jaeden Izik-Dzurko (Canada, 1999) interprète le Concerto pour piano n° 2 en si bémol majeur, op. 83, de Johannes Brahms, dans le cadre de la finale de l’édition piano 2024 du Concours musical international de Montréal (CMIM). Il est accompagné par l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Xian Zhang. Cette performance a été enregistrée à la Maison symphonique de Montréal.
10:05
Bruckner - Symphonie No. 7
G01:05:002019HD
Lors de cette performance réalisée en 2019 à la salle Muziekgebouw d’Eindhoven, Hartmut Haenchen dirige Philharmonie Zuidnederland, qui interprète la Septième symphonie d’Anton Bruckner. D’une durée de 20 minutes, le magistral thème d’ouverture du premier mouvement préfigure une œuvre retentissante. Le doute et la tourmente ressentis tout au long de l’adagio, le second mouvement, sont réputés être la réaction de Bruckner à la mort de son idole, Richard Wagner.
11:11
Pianomania - Daniil Trifonov
G01:49:002018HD
Hannu Lintu dirige l’Orchestre Gulbenkian dans le cadre de ce concert à saveur finlandaise, mettant en vedette Cantus Articus, op. 61, d’Einojuhani Rautavaara et la Symphonie no 2 de Jean Sibelius. Le programme comprend également le Concerto pour piano, op. 54, de Schumann, une œuvre créée en 1841 par Clara Wieck, épouse du compositeur, et ici interprétée par Daniil Trifonov (1991). Trifonov, qui est devenu célèbre après avoir remporté le Concours international Tchaïkovski à Moscou et le Concours international de piano Chopin à Varsovie, a été qualifié de « plus grand virtuose classique contemporain » et de « pianiste le plus étonnant de notre époque ». Ce concert a été enregistré au grand auditorium de la Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne, en 2018.
13:00
Opera Houses Around the World: Opéra de Lyon
G00:26:002004HD
Stingray Brava vous convie à un voyage à travers le monde dans les coulisses des plus grands opéras internationaux. Dans cet épisode, voyagez avec nous en France pour profiter d’une perspective privilégiée de l’Opéra de Lyon. Lorsque la grande roue mène les visiteurs au-dessus des toits de cette ville française, une voûte de verre attire immédiatement le regard parmi la mer d’édifices. L’Opéra de Lyon a été imaginé par l’architecte français Jean Nouvel (1945*), qui a placé une voûte d’acier et de verre au-dessus de la façade de style classique du bâtiment d’origine. Ce contraste intentionnel se veut une exploration du croisement entre tradition et innovation, l’expression de la culture classique vue à travers le prisme contemporain. Au-delà de l’architecture internationalement célébrée du bâtiment, ce documentaire décrit la transformation artistique de fond connue par l’opéra de Lyon, qui en a fait une institution adorée des Lyonnais et l’une des scènes les plus importantes d’Europe. Le succès de cette institution culturelle est notamment dû à son répertoire exceptionnel et à sa collaboration avec plusieurs autres opéras. Les intervenants à la source de cette métamorphose avaient pour objectif de créer un épicentre de la musique et des arts de la scène mettant en vedette de jeunes chanteurs dirigés par des chefs d’orchestre réputés, tels que Peter Stein et William Christie. Ce documentaire s’intéresse également à la forme artistique jugée la plus sacrée par le public français : le ballet. Un studio de danse — possiblement le plus beau au monde —, est situé dans la verrière au sommet du bâtiment et s’inspire du vocabulaire formel de l’Hôtel de Ville. Devant des vues panoramiques du centre historique de la ville, la troupe de 30 danseurs du ballet de l’Opéra de Lyon y répète en vue des quatre productions annuelles qu’elle présente au public.
13:26
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Deepa Johnny
G00:20:002022HD
La mezzo-soprano Deepa Johnny (Canada/Oman, 1998) interprète « Seguidilla » de l’opéra Carmen de Georges Bizet; « Asie » du cycle de chansons Shéhérazade de Maurice Ravel; et « Tanti affetti in tal momento », tiré de l’opéra La Dame du lac de Gioachino Rossini, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Elle est accompagnée de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
13:47
Chopin - Nocturnes op. 62
G00:12:002006HD
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
14:00
Les sœurs Berthollet au Théâtre des Champs-Élysées
G01:33:002019HD
Pour ce récital exceptionnel, enregistré en 2019 au Théâtre des Champs-Élysées, les sœurs Camille (violoncelle) et Julie Berthollet (violon) sont accompagnées par le pianiste Guillaume Vincent et l’Ensemble Appassionato, sous la baguette de Mathieu Herzog. Pour explorer tout l’éventail expressif du violon et du violoncelle, les sœurs ont choisi un répertoire qui fait le pont entre les styles musicaux et les époques, des airs baroques de Vivaldi aux notes jazz de Django Reinhardt et de Stéphane Grapelli. Le programme comprend les Danses hongroises, no 5 et no 6 de Brahms, Palladio de Karl Jenkins, « Theme from Forrest Gump », d’Alan Silvestri, le Quintette pour piano, op. 44 de Schumann, « The Red Violin » de John Corigliano, Hungarian Rhapsody, op. 68 de David Popper, « Minor Swing » de Reinhardt et Grappeli, et Csárdás de Vittorio Monti.
15:34
Danielpour - Elegies
G00:36:002019HD
Hartmut Haenchen dirige Philharmonie Zuidnederland lors de cette interprétation des Élégies de Richard Danielpour. Les solistes sont Marina Prudenskaya (mezzo-soprano) et Thomas Oliemans (baryton). La performance a été captée à la salle Muziekgebouw d’Eindhoven, Pays-Bas, en 2019. Richard Danielpour (*1956), l’un des compositeurs américains les plus estimés de sa génération, s’inspire d’icônes des États-Unis, notamment Aaron Copland, Samuel Barber et Leonard Bernstein.
16:11
Memory of a Concert
G00:55:002006HD
En 2006, Gidon Kremer et Martha Argerich ont entrepris une tournée où ils interprétaient des solos et des duos signés Bartók et Schumann. Le documentaire Memory of a Concert capture le dernier concert de la série, présenté à la Philharmonie de Berlin. On y retrouve une performance solo rare d’Argerich ainsi que les commentaires personnels et touchants de Kremer. Le programme du concert comprend notamment la Sonate pour violon no 1, op. 10, la Sonate pour violon no 2, op. 121, et Kinderszenen, op. 15 de Schumann, et la Sonate pour violon no 1, Sz 75, et la Sonate pour violon no 2, Sz 76 de Bartók.
17:06
Solos pour clarinette, partie I
G00:26:00HD
Dans le cadre de ce programme spécial présenté sur les ondes de Stingray Brava, le grand clarinettiste Paolo Beltramini interprète une série de solos : Solfeggietto de Carl Philipp Emanuel Bach, l’Hommage à Paganini de Béla Kovàc et les Trois pièces pour clarinette d’Igor Stravinsky. Paolo Beltramini est le seul clarinettiste italien à avoir remporté le premier prix au prestigieux concours international de clarinette du Printemps de Prague, en 1996. En duo avec le pianiste Roberto Arosio, Beltramini s’est également mérité la première place aux concours internationaux de musique de chambre de Paris en 1996, et de Trapani en 1997. Ces récompenses ont contribué à asseoir la réputation enviable de Beltramini parmi les plus grands virtuoses des instruments à vent du circuit international. Au cours de sa carrière, il a été premier clarinettiste du Royal Concertgebouw d’Amsterdam, du Filarmonica della Scala de Milan, du Mahler Chamber Orchestra, et de l’Orchestra della Svizzera italiana de Suisse.
17:33
Bach revisited - Gardiner in Saxony and Thuringia
G00:26:002000HD
Le chef d’orchestre britannique John Eliot Gardiner interprète l’intégrale des cantates de Jean-Sébastien Bach lors d’une série de concerts, dont plusieurs ont lieu en Saxe et en Thuringe, où habitait le célèbre compositeur. Ce faisant, Gardiner redécouvre Bach, sa vie et son œuvre d’une façon toute personnelle. Bach Revisited suit Gardiner à Eisenach, Arnstadt, Pomßen et Leipzig dans le cadre d’un périple pendant lequel il visite la vieille église de Pomßen, découvre que Martin Luther et Bach ont fréquenté la même école, et discute du nouvel orgue Bach de l’église Saint-Thomas de Leipzig avec l’organiste local.
17:59
Chostakovitch - Vingt-quatre préludes et fugues
G01:57:002023HD
Le pianiste franco-anglais David Levy interprète les Vingt-quatre préludes et fugues, op. 87, de Dmitri Chostakovitch. Cette œuvre est une série de 24 pièces pour piano, déclinées dans toutes les tonalités majeures et mineures de l’échelle chromatique. Chaque pièce compte deux parties : un prélude suivi d’une fugue. Le compositeur s’est sans doute inspiré du célèbre Clavier bien tempéré (BWV 846-893) de J. S. Bach, une collection de 48 préludes et fugues publiée en deux livres. Chostakovitch a amorcé son œuvre à l’automne 1950, après avoir assisté au concours Bach à Leipzig en tant que membre du jury. Il y a été profondément impressionné par l’interprétation des 48 préludes et fugues de Bach par la pianiste russe Tatiana Nikolayeva. Une fois l’œuvre achevée, en février 1951, le compositeur l’a dédiée à cette dernière, qui en a interprété la première à Leningrad, en décembre 1952. Cette performance a été enregistrée au Budapest Music Center, en Hongrie, en septembre 2023.
19:57
Finale Solo - Concours piano Liszt 2017
G00:22:002017HD
Alexander Ullman (1991, Royaume-Uni) interprète les Études d’exécution transcendante, No. 11 Harmonies du soir (S139/11) de Liszt, Nuages gris (S199), Bagatelle sans tonalité (S216a) et Grandes études de Paganini n ° 6, Quasi presto, (S141/6) lors de la finale solo du 11e Concours international de piano Franz Liszt, qui s’est tenu à TivoliVredenburg, Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
20:19
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Meredith Wohlgemuth
G00:40:002022HD
La soprano Meredith Wohlgemuth (États-Unis, 1995) interprète « Shadowinnower », tiré de Two Poems of Agueda Pizarro par Joseph Schwantner; « Erwartung » and « Erhebung » des 4 Lieder (op. 2) d’Arnold Schoenberg; « Lied der Delphine », extrait de Zwei Szenen aus dem Schauspiel 'Lacrimas' (D. 857) par Franz Schubert; Trois poèmes de Louise Lalanne (FP. 57) de Francis Poulenc; ainsi que « Rose », « Gris » et « Mauve », du cycle Fantaisie dans tous les tons de Lionel Daunais, lors des demi-finales du volet Mélodie du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Cette performance a été captée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
21:00
Mahler - Symphonie no 7
G01:15:002005HD
Maestro Claudio Abbado dirige l'Orchestre du Festival de Lucerne dans une interprétation de la Symphonie n° 7 de Gustav Mahler. Cette performance faisait partie du Festival de Lucerne de 2005, enregistrée au Palais de la culture et des congrès (KKL) de Lucerne, en Suisse. Durant les années entre l’achèvement (1906) et la première (1908) de la Symphonie No. 7, la vie du chef d’orchestre et compositeur Gustav Mahler a changé dramatiquement. Il a donné sa démission au Wiener Staatsoper, sa fille aînée est décédée et on lui a découvert une maladie de cœur. A cause du caractère ‘sombre’ de certaines parties (les deuxième et quatrième mouvements s’appellent « Nachtmusik » et le troisième mouvement s’appelle « Schattenhaft » : ténébreux), la symphonie est également appelée « Lied der Nacht » (Chant de la nuit), un titre que le compositeur lui-même n’approuvait pas. Cette Symphonie No. 7 constitue l’œuvre la plus abstraite de Mahler ; cela pourrait être la raison pour laquelle elle a été mal reçue à sa création, aussi bien par les musiciens que par le public. La Symphonie No. 7 est toujours peu programmée par les orchestres ; elle semble être l’une de ses œuvres les moins populaires. A tort, parce que la Septième a une structure unique, allant de l’obscurité à la lumière, avec un finale exulté. De toutes les œuvres de la dernière période de Mahler, la Septième n’est pas moins accessible que la Symphonie No. 9 qui est fréquemment exécutée. Aucun des grands chefs d’orchestre de nos jours ne peut ignorer cette symphonie.
22:15
Verdi - Quattro pezzi sacri
G00:39:001998HD
L’Europakonzert fait partie de la tradition du Berlin Philharmonic depuis 1991. En présentant un « concert européen » dans une ville différente d’Europe chaque année, les musiciens soulignent l’anniversaire de la fondation de l’orchestre le 1er mai 1882, et célèbrent le patrimoine commun du Vieux Monde. L’Europakonzert 1998 a été présenté dans un endroit fascinant et unique, le musée Vasa de Stockholm. Ce musée présente un bateau du 17e siècle de 69 mètres de longueur, près de 12 mètres de largeur et pesant 1 210 tonnes, qui s’est renversé et a coulé durant son voyage inaugural en 1628. Le Berlin Philharmonic, sous la direction de Claudio Abbado, présente un programme musical au diapason de ce magnifique cadre maritime. Pour la pièce maîtresse du concert, une interprétation mémorable et puissante des Quattro pezzi sacri de Giuseppe Verdi, le Swedish Radio Choir et l’Eric Ericson Chamber Choir se joignent à l’orchestre.
22:55
Musique de chambre de Mozart et de von Dohnányi
G00:28:002018HD
L’Ensemble Valerius, composé de Carola Ligt (flûte), Robert Windak (violon), Eva Šušlíková (alto) et René Geesing (violoncelle), a livré un concert au théâtre Concordia d’Enschede, le 23 avril 2018. Le programme du spectacle comprend le Quatuor pour flûte no 1, K. 285, de Mozart, le Romanzo de la Sérénade, op. 10 d’Ernst von Dohnányi et Moods, une composition originale créée par la flûtiste Caroli Ligt. Le concert se termine avec Südamerikanische Saitensprünge de Werner Thomas-Mifune et Joseph Haydn.
23:24
Schumann - Études symphoniques, op. 13
G00:35:002021HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète les Études symphoniques, op. 13, de Schumann. Composée entre 1834 et 1837, cette œuvre a d’abord vu le jour sous forme de thème accompagné de seize variations. Ce thème a été composé par Baron von Fricken, musicien amateur et père d’Ernestine von Fricken, à qui Schumann était fiancé en 1834. La pièce a d’abord été publiée en 1837, et contenait alors le thème et douze études (parmi lesquelles seulement neuf étaient qualifiées de variations). Quinze ans plus tard, en 1852, Schumann a publié une deuxième édition de l’œuvre, à laquelle il a éliminé deux études et révisé la composition pour piano. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.